Dalai lama et son disciple Shoko Asahara (麻原 彰晃 Asahara Shōkō), fondateur de la secte japonaise Aum Shinrikyo célèbre depuis qu’il a perpétré l’attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo.

En mars 1995, des adeptes de cette secte religieuse japonaise, qui pratique l’hérésie, ont répandu du gaz toxique à l’intérieur du métro de Tokyo et ont fait plus de cinq mille victimes dont douze ont été tuées. Après cet incident tragique et sanglant, le Dalai Lama a fait une déclaration à l’Agence de presse japonaise « Kyodo News », dans laquelle il a dit qu’il considère Aum Shinri Kyo comme une secte religieuse propagatrice de la doctrine du bouddhisme et que son gourou Asahara Shoko est toujours son « ami ». Ses propos ont suscité une grande effervescence parmi l’opinion publique internationale. Pourquoi a-t-il tenu ce genre de propos malgré l’abominable acte perpétré par Asahara Shoko ? Parce que ce dernier était un de ses « meilleurs disciples » !

Le Dalai Lama avait effectué douze « visites » au Japon. Quant à Asahara Shoko qui est devenu son disciple, il s’est rendu en Inde en 1986, puis dès après son retour au Japon, il fonda officiellement Aum Shinri Kyo. L’année suivante, il se rendit une deuxième fois en Inde où il rencontra le Dalai Lama et c’était lors de cette entrevue que le Dalai Lama l’accueillit avec de l’eau bénite et ils établirent ainsi la « relation de maître-disciple ».

Et dans les huit années qui suivirent jusqu’en 1995 lorsque se produisit la tragédie sanglante, le maître et le disciple se sont rencontrés cinq fois, mais ils se communiquaient souvent par lettres. En 1989, le disciple offrit à son maître cent mille dollars US, alors que celui-ci lui donna en retour un « certificat » et une lettre de recommandation. Dans cette lettre de recommandation adressée aux autorités compétentes de la ville de Tokyo, le Dalai Lama fit l’éloge d’Asahara Shoko en certifiant qu’il est un « maître religieux très capable » et il attesta qu’Aum Shinri Kyo est une secte religieuse qui « pratique et propage le bouddhisme » et qui « promeut la charité et la bienfaisance publiques ». Dans la lettre, le Dalai Lama demande en plus aux autorités locales de Tokyo d’ « exempter Aum Shinri Kyo des impôts et des taxes ». C’était grâce au « certificat » délivré par le Dalai Lama et sa lettre de recommandation que la secte Aum Shinri Kyo était devenue une organisation religieuse reconnue et acceptée officiellement par le gouvernement japonais. Celle-ci accumula par la suite des fonds considérables qu’elle utilisa pour entreprendre des recherches sur le sarin, un gaz toxique mortel, et pour le mettre en production.

Asahara Shoko reconnaît ouvertement que le Dalai Lama était son apôtre et qu’il lui a indiqué la voie à suivre. La doctrine et les règlements internes d’Aum Shinri Kyo venaient en grande partie du Dalai Lama.

Pour ce qui est des relations entre Asahara Shoko, l’hebdomadaire allemand « Focus » a fait le commentaire suivant : « Sans le soutien du Dalai Lama, Asahara Shoko ne pouvait absolument pas mettre sur pied son empire sectaire. C’était grâce à l’appui du premier que le deuxième, d’un médecin charlatan et d’un petit escroc criminel, a pu devenir dans le très court délai de quelques années, le chef d’une secte religieuse japonaise. Il n’aurait jamais eu une ascension aussi vertigineuse comme le lancement d’une fusée et son entreprise ne se déroulerait jamais dans des conditions aussi favorables. Cela est certain. »

Le problème du “Yasukuni Shrine” a été toujours pour les Chinois quelque chose de très sensible, car les extrémistes japonais l’utilisent toujours pour rappeler la puissance d’antan de l’empire nipon. Les dirigeants des pays amis de la Chine ou des pays qui ont établi des relations diplomatiques avec elle, ainsi que les personnalités politiques éprises de la justice, ne se rendront jamais dans ce sanctuaire dans lequel sont enterrés les restes d’un grand nombre de criminels de guerre japonais qui ont commis des actes sanglants impardonnables à l’égard des autres peuples d’Asie et surtout envers le peuple chinois. Mais, le Dalai Lama a eu l’aplomb en 1980 de visiter “Yasukuni Shrine” et de se prosterner devant les restes des criminels de guerre. On voit par là que les agissements de ce dernier sont tout à fait contraires au comportement qu’un chef religieux doit avoir.

Le Chef du Parti du Tibet, Zhang Qingli, a une fois de plus dit lundi que le Dalai Lama était un « loup en robe de moine » et critiqué de nouveau la clique du Dalai Lama, qui ne souhaite que faire éclater la Chine.


Zhang Qingli s’entretient avec des moines du monastère Sera.


Dalai lama et son éducateur et ami , le nazi autrichien Heinrich Harrer

Ce même Harrer en compagnie d’Adolf Hitler qui le remercie pour son rôle dans l’extermination des juifs

Il a ajouté qu’en le décrivant ainsi, il ne faisait que reprendre les termes mêmes que feu le Premier Ministre Zhou Enlai utilisait pour décrire le Dalai Lama.

Il a précisé que Zhou Enlai disait que le Dalai Lama était un « loup en robe de moine » après que le Gouvernement Central ait fait échouer une rébellion orchestrée par le Dalai Lama et ses soutiens en 1959. Par la suite, le Dalai Lama s’était enfui vers l’Inde et y avait créé un « Gouvernement tibétain en exil » autoproclamé.

« J’utilise à dessein les mots du Premier Ministre Zhou, pour dire que je m’oppose à la fourberie et pour donner une compréhension correcte des faits », a t-il dit.

M. Zhang a également fait la comparaison entre le Dalai Lama et Rebiya Kadeer, une séparatiste ouighoure qui dirigé le Congrès Mondial Ouighour.

Dr Bruno Beger officier nazi Reconnu coupable de crimes de guerre, Haut Conseiller Dalaï Lama.

Miguel Serrano: Chef du parti nazi pour l’Argentine et qui promeut l’antisémitisme et les livres Prétendant que Hitler était un « Dieu ». Également un bon ami du dalaï-lama avec qui il se réunit régulièrement

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