(L’épisode précédent est l’article : Conscience animale s’individualisant de son âme Groupe)
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(Tomy est un jeune chien qu’observent Anne et Daniel dans une odyssée consacrée à la découverte du monde animal sur Terre vue sous l’angle enrichissant de la décorporation ou voyage astral)
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A deux pas du chiot et au ras de la poussière du sol, nos êtres se stabilisent alors, bien décidés à tenter un contact avec Tomy.
Dehors une portière claque, un moteur ronronne, grince, puis enfin le véhicule s’éloigne et les chiens se taisent.
Voilà… Le silence est à nouveau tombé sur le mas et Tomy s’est précipité vers la porte comme pour recueillir les parfums du vent qui s’engouffre sous elle.
« N’espérez pas ainsi un contact, chuchote la voix-guide. Votre compagnon est encore jeune et, pour l’heure, il demeure plus préoccupé par cette dimension horizontale évoquée tout à l’heure, que par tout autre chose. Ainsi que pour tout animal introduit dans un lieu inconnu de lui, cette grange représente un véritable univers. Tomy a besoin de le cerner, de le pénétrer de sa présence, dans ses moindres recoins. C’est cela que vous devez observer. Il a besoin aussi d’y trouver une chose à laquelle l’homme ne songe pas souvent… une trace d’amour. En effet, voyez-vous, la conscience animale, quelle qu’elle soit, sait très bien que tout lieu est doté d’une mémoire. Elle a infiniment besoin de lire cette mémoire pour tenter d’y adapter son être.
Lorsque vous regardez un animal découvrir un endroit ignoré de lui, vous, les hommes, ne parlez généralement que de flair ou d’instinct, incapables que vous êtes d’accéder à une vibration plus intime de l’univers physique. Oui, je dis bien physique, car la mémoire d’un lieu fait encore bien partie du monde relativement dense. Sa pénétration exige seulement un déverrouillage des facultés d’écoute du cœur. Ne vous y trompez pas… Le cœur peut réellement écouter autrement que poétiquement ! Les poèmes humains traduisent une perception souvent confuse ou un espoir, à moins que ce ne soit un souvenir inconscient… mais l’âme animale, quant à elle, vit constamment tout cela.
Regardez bien Tomy, mes amis ; Vous le voyez flairer la poussière et la paille du sol de cette grange, ainsi d’ailleurs que le feraient beaucoup d’autres animaux. Bien sûr, c’est l’idée de leur odeur et des informations véhiculées par celle-ci qui vous vient à l’esprit, mais vous devez savoir que c’est aussi au-delà de l’odeur que l’animal cherche. C’est vers cette dimension, trop négligée de votre monde, que l’on nomme l’éther, qu’il dirige sa quête. L’odeur est une manifestation de la lumière dense renvoyée par toute chose. La lumière subtile, quant à elle, ce que vous appelez aura, dégage sa propre odeur et c’est elle que cherche l’animal car c’est par elle qu’il trouve la porte d’accès à la mémoire d’un lieu ou d’un objet.
Approchez-vous de Tomy. Ne soyez plus observateurs mais tentez de vous mettre en symbiose avec lui ; Aimez-le pour la vie qui est en lui, sachant que ce qu’il connaît aujourd’hui, chaque homme, chaque femme l’a expérimenté analogiquement des milliers de fois, il y a des milliards d’années. »
C’est un véritable défi qui nous est lancé. Faut-il renoncer, comme tout à l’heure encore, à tout comportement d’homme et de femme afin de nous laisser entraîner vers d’autres réflexes et aussi une logique différente ?
Sans doute la Présence-guide a-t-elle agi sur quelque déclic au plus profond de nous-mêmes, car la question n’a pas plutôt surgi en nous qu’elle perd immédiatement de sa consistance, emportée par un flot d’images déferlantes. Ainsi, c’est une sorte de brouillard lumineux qui envahit notre conscience et, en son sein, apparaissent subrepticement des images gorgées de soleil, de pluie et de vent. Celles d’un champ aux reflets blonds en bas d’une colline aride, celle d’une lame de faucheuse qui tournoie et d’un moteur qui toussote sur une route de montagne. Puis, ce sont des images de bottes traînant sur la terre battue, des bruits de fourches qui raclent le sol et des cris d’hommes et d’enfants qui viennent nous submerger. Autant de visions, autant de perceptions, qui font parler en nous le monde de la paille, celui des êtres qui l’on mise en bottes, enfin celui de la poussière chaude et acre de la grange.
« Non, là il n’y a pas d’amour », avons-nous envie de murmurer alors que tout s’estompe. Et déjà, nous savons, avec une certitude absolue, que Tomy a ressenti tout cela et sans doute plus encore. Nous savons qu’il a perçu la main humaine obéissant à la machine et asservissant une vie végétale qui, pour lui, ne signifie rien. Cet endroit est mécanique, il porte seulement le masque d’une certaine chaleur. « Nous sommes dans le monde de l’utile », c’est ce que clament la poussière, les murs et ce tas de cartons vides abandonnés dans un angle.
Près d’un tonneau qui perd son cerclage, Tomy soupire bruyamment et nous aurions presque envie et besoin de l’imiter dans cette sorte de désert privé de toute âme aimante.
Nous sommes désormais dans un état de conscience tel qu’il nous emble percevoir quelque chose se déverser de l’esprit du jeune chien jusqu’au centre du nôtre.
« Aimer, aimer… Qu’y a-t-il pour aimer, qu’y a-t-il à aimer… et qui donc aimer ? »
Toutes ces interrogations, étrangères à nous-mêmes, virevoltent littéralement dans notre conscience. Elles nous habitent pendant quelques instants comme des oiseaux qui se débattent dans une cage trop étroite.
Au pied du tonneau, Tomy se laisse finalement glisser sur le sol, le museau contre terre, avec une plainte nostalgique.
Face à lui, entre quelques piquets de bois et la pierre du mur, un rayon de lumière blafarde vient jouer avec une immense toile d’araignée. Un petit animal velu se tient immobile en son centre et paraît l’observer.
« Il y a tout au moins elle à aimer… »
« L’araignée ? »
« Bien sûr, reprend la voix-guide. Mais aimer, pour un animal qui ouvre sa conscience, cela ne signifie pas nécessairement s’approprier. Cela peut être jouer, c’est-à-dire reconnaître l’autre comme un être à part entière, digne d’intérêt. »
« Mais, pour un chien… pour un chat, jouer dans de telles conditions, c’est chercher à dominer. L’araignée sera écrasée, avalée. Est-ce cela que l’on appelle un jeu ? »
« Vous êtes au royaume animal, ne l’oubliez pas, mes amis. Le regard posé par vos frères sur ce que vous appelez vie et mort est souvent bien différent du vôtre. Pourquoi attendre de l’animal plus que ce que l’homme parvient lui-même à donner ?
Derrière le mur de cette grange, sur une cheminée, il y a un fusil et des cartouches… Prétendez-vous que les chasseurs tuent aujourd’hui pour manger ?
L’âme animale ne craint pas la mort en elle-même. Elle la fréquente de beaucoup plus près que l’humain ne saurait le faire, parce qu’elle n’a pas de culture qui en dresse de perception hideuse et parce qu’elle est dénuée de la notion de morbide. Ce qu’elle craint, c’est l’énergie qui génère parfois l’apparition de cette mort, la hargne, la haine ou le sadisme qui la font naître.
Si Tomy venait à écraser cette araignée par jeu, il le ferait par un manque d’une certaine conscience, mais sans engendrer une énergie qui souille le cœur et le lieu. Son ego n’a pas encore suffisamment éclos en lui pour que la notion de responsabilité signifie quelque chose à son propos. »
Tandis que la voix achève de prononcer ces mots, nos regards sont de plus en plus attirés par l’araignée au centre de sa toile. Nos consciences s’en approchent involontairement de si près qu’il nous semble maintenant l’observer à la loupe. Il y a quelque chose de fascinant dans son petit corps velu ; Tout y paraît ordonné comme dans un mécanisme d’horlogerie, beau et force de précision.
Insensiblement, nous nous laissons absorber par sa présence et une sorte de voile translucide vient à tomber entre les murs de la grange et nous-mêmes. C’est un voile par lequel la lumière acquiert une épaisseur, une consistance jaunâtre. Nous comprenons alors que, sans l’avoir cherché, nous venons de basculer sur une autre longueur d’onde de notre univers. L’animal et sa toile nous apparaissent désormais d’un blanc laiteux, parcouru de fines brillances azurées. Et puis d’un coup, semblable à une projection lumineuse faite sur un écran qui serait au centre de notre être, une forme apparaît devant laquelle tout s’efface. Elle est une sphère blanche aux reflets de nacre et sur son pourtour s’échappent de toutes parts une infinité de filaments qui ondoient comme autant de bras cherchant à palper l’invisible.
Qu’y a-t-il derrière cette merveilleuse organisation et, nous devrions dire, cette si douce présence ? Oui, si douce, car ce ne sont pas des tentacules ni de longues et fines pattes qui viennent ainsi nous chercher et nous envelopper mais des projections de lumière, les émanations d’une conscience puissante et sereine.
« Amis, ô amis, fait-elle, comme si elle nous connaissait de toute éternité, béni soit cet instant où une oreille humaine s’ouvre. Ecoutez, écoutez simplement car je veux vous dire qui je suis et qui vous ignorez chaque jour… Je suis le cœur et l’âme de la planète araignée, son intelligence aussi, l’inspiratrice, l’ordonnatrice de tous ces filets que vous découvrez chaque matin couverts de rosée, de toutes ces toiles tendues et retendues patiemment dans les recoins oubliés de vos maisons. Je suis une force mentale qui essaie d’apprivoiser la matière, les souvenirs de votre monde et qui apprend aussi ses lois.
A travers des milliards et des milliards de corps, je tisse un immense réseau par lequel l’organisation de cette terre pénètre lentement en moi, dans tous ses rouages… Car je suis une mémoire, amis. Je construis une intelligence basée sur une mémoire détaillée et nourrie de toute l’intimité des intelligences qui y vivent aujourd’hui. Patiemment, je bâtis la structure d’un univers pour demain… pour après-demain peut-être… peu importe car j’ignore votre temps. Il y a une boule de feu, un espoir qui vit en mon centre et qui, déjà, a la vision d’un monde à venir, un monde fort des richesses de celui-ci. Avec vos mots de matière… vous diriez peut-être que je suis un cerveau qui se bâtit, une race en gestation qui vivra et grandira sur d’autres Terres, sous d’autres Cieux.
Toutes ces toiles qu’à travers les cellules de mon être je tisse inlassablement par les forêts et les granges, les caves et les greniers, sont plus que de simples instruments afin que mon corps subsiste et s’ancre en ce monde. Ce sont des lecteurs, des capteurs de ce que la conscience humaine produit, de votre intelligence créative et destructive, de vos errances, de vos doutes et de vos peurs mais aussi de vos percés vers l’Infini. Par leur réseau subtil j’absorbe l’histoire de votre monde, ses mutations, et les schémas de votre croissance.
Ainsi, lorsque chaque matin votre vision de l’ordonnance des choses vous dicte de briser d’un revers de la main l’un des capteurs de ma mémoire, faites-le au moins sans colère ni reproche. La vie ne vous appartient pas… ne l’oubliez jamais. Elle essaie de parler par toutes les voies, tous les pores de la Création… avec ou sans l’homme, en-deçà et au-delà de lui. Acceptez seulement de m’observer de pénétrer l’étincelle de conscience et d’amour enclose en chacun de mes corps. Vos peurs sont à l’image de vos yeux embués et de vos oreilles fermées. Alors, apprenez à m’écouter, à me regarder… sous toutes mes apparences. Il est trop injuste de fuir et de détester ce que l’on n’a pas pris la peine d’approcher et de voir. C’est une platitude que de dénoncer cela mais c’en est également une que de vivre et de perpétuer un tel état de fait d’âge en âge. Tout mon être vous propose un pas de plus vers l’harmonie en découvrant un autre visage du respect de la Vie.
A chaque seconde qui s ‘écoule, je vois et sens des millions d’épaules qui se haussent face à ma présence et autant de cris que l’on me jette. Du fond de mon âme, je les reçois, je les analyse et j’y perçois toute votre détresse. J’y lis votre incapacité de percevoir le Divin en toute chose, votre coupure avec le Monde et, derrière tout cela, votre crainte héréditaire de devoir relativiser votre propre image, votre importance devant l’immensité de la Création.
Qu’est-ce qu’une araignée ? Dites-vous. Mais, un peu de tous ces éléments, de toutes ces forces qui circulent en vous ! Un peu de cet Être sans nom dont vous cherchez, vies après vies, la trace lumineuse, sans trop oser même l’avouer.
Sachez-le, une araignée lit en vous plus surement que la plupart des créatures de votre monde. Elle est déchiffreuse de perceptions auditives et d’émissions psychiques.
En cet instant, amis, je perçois une foule d’interrogations qui déferlent en vous, mais surtout, surtout cette lancinante question qui traîne encore chez les hommes. L’intelligence animale… Y en a-t-il vraiment une ? Ne se limite-t-elle pas à la simple reproduction de quelques schémas ?
Mais, dites-moi, vous, ce qu’est l’Intelligence ! Savez-vous réellement qu’elle peut ne pas avoir visage humain, que vous pouvez ne pas en être la juste et éternelle mesure ?
Il n’y a pas une intelligence, mais des intelligences… Certains de vos frères, dans d’autres mondes, ne perçoivent pas sept couleurs dans l’arc-en-ciel mais bien plus, d’autres captent les parfums et en font des sculptures, d’autres encore jouent avec le temps et s’y déplacent comme sur une route ! Tous n’ont pas votre apparence, loin s’en faut. De la même façon, nous autres, dévas et frères animaux bâtissons à l’intérieur même de votre monde, des sphères de conscience et d’intelligence dont vous ne pouvez avoir la moindre idée. Nous y développons des civilisations… oui, je dis bien des civilisations… mais autour de concepts qu’aucun mot ne saurait traduire. Des civilisations d’images mentales, des civilisations édifiées à partir de reliefs vivants (1) issus de notre conscience, des univers complets, parfaits dans leurs rouages… et où l’intelligence, la sensibilité, la logique divines déploient l’une de leurs myriades de facettes. Oui, il y a plusieurs terres qui s’entrecroisent au cœur même de cette terre… et, sachez-le, seule l’Intelligence des intelligences, celle qu’affine un cœur pur, permet de se déplacer de l’un de ces univers à l’autre, de l’univers de l’homme à ceux qui ne le sont plus ou pas encore.
Une telle vision de la part de l’âme arachnoïde vous surprend, n’est-ce pas, frères humains ?
Mais l’histoire et le rôle de ceux que vous appelez dévas, voyez-vous, c’est l’histoire de la Présence divine qui s’expanse à tout instant… sans autre raison que celui de l’Unité. »
Unité… ce mot est resté gravé en nous alors que la « vision » vient soudain de s’estomper. Il y résonne encore comme pour nous faire savourer la multitude des promesses dont il est chargé et qu’il faut transmettre.
Puis, peu à peu, tandis que l’image de Tomy somnolant et du vieux mas s’est éloignée, notre temps d’homme et de femme a repris ses droits et sa densité.
A trois mètres au-dessous de nous, deux corps de chair ankylosés attendent… notre retour !
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(1) = note des auteurs : Reliefs vivant : sans doute peut-on assimiler cela à des hologrammes.
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(Extrait du livre « Le Peuple Animal » écrit par Anne Givaudan et Daniel Meurois)
(Notes entre parenthèses et retranscription : Delta de la Lyre)
Eh bien oui, je persiste et dis à nouveau que c’est difficile pour ce petit chien, jeune et vulnérable.
Quant aux araignées, même si je n’ai pas pour elles une énorme sympathie, jamais je ne les écrase. Elles ont le droit de vivre….alors, je les laisse vivre . Lorsqu’elles rentrent dans la maison, ce qui est très fréquent à cette époque de l’année, je les capture et je les conduis dans le jardin. Pendant « le transport » elles sont dans un petit bocal, je leur dis de ne pas avoir peur que je ne leur ferai pas de mal.
J’ai remarqué qu’aussitôt posées dans le jardin, les araignées rebroussent chemin et se dirigent immédiatement vers la porte d’entrée (que je ferme vite)- Je sens qu’elles se sentent chez elles dans la maison, autant que moi!
Tomy risque d’écraser l’araignée mais également de se faire mordre par elle, et cela peut être dangereux.
Mais, Tomy pourrait bien avoir sur lui d’autres animaux de plus petite taille : des puces … Tomy pourrait-il les aimer ? s’en faire des petites copines de jeu?
Des puces, il arrive que mes chats en récupèrent et là, j’avoue les détruire dès que possible. Suis-je fautive ?- Faudrait-il que je les laisse proliférer et envahir d’abord les chats et aussi les humains ?
Souvent je m’interroge sur l’utilité de certaines espèces bien plus dangereuses pour l’homme et l’animal domestique que les araignées, les puces et les poux.
Pauvre Tomy, avoir pour compagnon un chasseur, quelle horreur !
J’ai le souvenir de quelqu’un prétendant aimer les animaux puisqu’il soignait bien ses chiens de chasse et les récompensait lorsqu’ils ramenaient le gibier, même non comestible. En effet, dans le Sud de la France, des chasseurs parfois tuent uniquement pour leur petit plaisir sanguinaire de jolis oiseaux dont la chair n’est même pas mangeable . N’est-ce pas honteux ?
Voilà, je crois que je suis hors sujet et je vous prie de m’en excuser.
Bonne journée à tout le monde
Manuella.
Bonjour Manuella,
Merci pour ton beau ressenti de vie.
Ce petit commentaire pour t’expliquer ce que ta question pose en t’interrogeant de la sorte
«Souvent je m’interroge sur l’utilité de certaines espèces bien plus dangereuses pour l’homme et l’animal domestique que les araignées, les puces et les poux. »
Dans ce même livre « Le Peuple Animal », les auteurs reçoivent entre autre enseignement que par exemple la tique est un organisme purement créé par l’homme à l’époque atlante. Que c’ait été le but ou que c’ait été une erreur, cet organisme est un concentré de mauvaises énergies, ce sont celle-ci qui lui permettent d’être, d’exister.
Pour preuve, il y a quelques années à un moment où j’étais particulièrement énervé + conjointement où il arrivait que je sois au contact de quelqu’un de toujours très énervé, j’attrapai des tiques.
Depuis j’ai compris la leçon. Et en définitive cela est une bonne leçon. Comme quoi l’ombre a belle et bien son utilité !
Si cela vous arrivait n’oubliez pas la prise de sang afin de voir si la maladie de Lyme a été transmise par la tique.
N’oubliez pas non plus d’extraire cette dernière soit avec de l’éther soit avec un tir tique achetable en pharmacie. Les pattes doivent impérativement être extraites de votre peau ou de celle de l’animal que vous soignez.
Dans le Sud de la France, mais ne me rappelle plus exactement où, soit dans le Tarn soit dans l’Hérault soit dans l’Aude, (c’est vaste, désolé), il y a un endroit où sous les arbres il pleut des tiques !
Venant de retrouver le passage relatif à la tique, je t’en présente un résumé :
– le corps de la tique = cellules issues du monde animal
– son âme = n’est pas une âme mais un support éthérique constitué des égrégores de basses vibrations émanant de l’homme (violence, peurs, etc…)
– sa place = besoin de se fixer à un constituant fondamental de la matière, une mémoire : le sang.
Enfin, certains certaines, imaginent aisément que le frelon asiatique serait une création de l’ombre.
Voilà Manuella, ce petit partage répondant partiellement à ta question !
Bonheur et Sourire
Très intéressant Delta ton message sur la tique, je voudrais poser ici un témoignage, voilà ce qui s’est passé il y a de ça environ 12 ans :
Il y avait sur la chienne de mon ex, une grasse tique, enormus que je lui enlevai ; comme je n’avais pas encore commencé à me rapprocher de la spiritualité à l’époque, je ne savais que faire de cette énorme boule d’insecte rempli de sang. Pour éviter sa prolifération, y compris dans une poubelle qui pourrait ne pas être étanche, je décidais de la tuer.
J’y plantai un couteau, et je vis s’extraire de son corps une sorte de mélange de sang et de petits tiques (c’était une maman prête à mettre au monde des centaines de bébés tiques). Mais alors ce n’est pas tout, j’ai ressenti clairement, bien qu’à l’époque je ne savais pas qu’il s’agissait d’intuition, que ma propre famille, ou alors moi-même? aurait à payer pour ce geste.
Aujourd’hui mon frère à attraper la maladie de Lyme, et mon beau frère aussi, j’ai essayé de faire comprendre à ce premier que c’était sans doute son karma et son état d’esprit (principalement de nervosité) qui avait attiré ce problème ; bon il ne m’a pas cru mais cela n’est pas important (enfin ça l’est pour lui, mais pas pour ce message).
Ce qui est important c’est qu’il ne faut pas faire les choses avec méchanceté. Je crois qu’en faisant ce geste je voulais détruire le mal par le mal, et bien mal m’en a prit !
Plein d’autres choses à dire, mais je voudrais te rassurer manuela pour le problème des puces et des tiques et des poux, je crois que quand l’on est incarné, et que l’on veut être bien dans sa vie, l’on ne peut pas faire autrement à un moment ou à un autre de devoir éliminer un parasite ; c’est naturel. Ce qu’il ne faut pas faire, c’est le faire avec violence ou méchanceté, mais au contraire le faire avec amour, même si c’est vrai que ce n’est pas évident de dire : je vous aime, et je vous tue…
Bref je sais pas trop.
Merci ddll pour cet article qui m’a surpris, et qui m’a entre autre fait comprendre pourquoi les araignées semblaient me comprendre.
Beaucoup de paix, et d’amour pour nous tous
Superbe témoignage réellement riche Tomtom333. Merci pour ce partage qui apporte beaucoup.
Il y a un an, plantant un palmier non pas sur une surface plane mais en pente et comme on approchait de l’hiver j’ai converti l’idée de semer du gazon au pied de cet arbre par celle d’y implanter de la mousse. Alors je me mis au fastidieux raclage des mousses s’étalant juste aux environs.
Et quelle fut la surprise à un moment donné d’y voir cachée une tique, au sein même d’une mousse. Au début je cru que ce fut une araignée, mais cette couleur « peau » caractéristique puis l’observation minutieuse de la bête m’ont vite fait comprendre de quoi il s’agissait !
Ne pouvant vraiment pas garder cet animal qui à tout moment peut s’agripper à priori lorsque la présence (animale ou humaine) se présentant non loin de lui est en adéquation énergétique : je pris la décision de mettre fin à ses jours.
Comme toi je me suis bien posé des questions avant de réaliser l’acte.
Et en fait, j’ai demandé à Dieu, ou à la Source, de me pardonner si je me trompais, mais qu’au fond de moi je ne peux pas laisser plus longtemps ce type d’animal causer prochainement préjudice à l’homme ou à un autre animal passant par là. J’ai dis que je m’excusais si toutefois je faisais une erreur.
Si cette bête doit réellement son existence aux méfaits expérimentaux des hommes du passé alors il n’y a rien à se reprocher.
On ne va pas entrer dans ce sujet vaste et un peu autre, qu’est la sélection animale, cependant juste au passage, pour dire, en aquariophilie par exemple bon nombre de sélections réalisées par l’homme, pas toutes néanmoins, sont néfastes : soit qu’elles rendent la nouvelle espèce créée moins résistante soit que les sujets ainsi sélectionnés ont un comportement vraiment agressif en comparaison de leur famille d’origine.
Encore merci pour ton témoignage.
Attention et Observation
Bonheur et Sourire
Voici un indice qui pourrait nous intéresser…
Hier je m’assis non loin du rayon spiritualité à la bibliothèque de bordeaux Mériadeck et je tombe sur un livre qui semblait posé là à propos. Toujours à l’affût de synchronicités utiles et positives, je l’ouvre et y jette un œil torve. Il s’agissait d’un ouvrage de tantrisme indien (sur l’érotique mystique indienne, de Mircea Eliade), et devait m’ouvrir ou me rafraîchir la mémoire sur divers sujets, mais celui qui va nous intéresser ici fut principalement cette citation attribuée à Krishna dans la Baghavad Gita (XVIII, 17) :
»Celui que n’égare pas l’égoïsme, dont l’intelligence n’est pas troublée, tua-t-il toutes les créatures ne tue pas, il ne se charge d’aucune chaîne. »
Plus loin j’y trouvais une autre citation que je n’ai pas noté, mais qui disait approximativement ceci (je pourrais la retrouver pour la préciser si vous voulez) :
« Les mêmes gestes de l’acte de l’union sexuelle, sont ceux-là même qui envoient certaines âmes en enfer pour des millions d’années, et d’autres directement au paradis céleste. »
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Donc voilà, d’après moi c’est clair, ce qui a donné le résultat de l’acte sur la tique que j’ai tuée, ne fut pas le fait d’enfoncer un couteau au travers, mais bien mon mauvais état d’esprit en le faisant. C’est lui et lui seul qui a favorisé le karma que ma famille est en train de purger – j’ai d’ailleurs oublié à ce propos de préciser que ma mère à attraper Lyme elle aussi il y a peu -.
L’on pourrait donc tout faire tant que notre cœur est pur, et notre âme en paix et en union avec l’univers entier…
Beaucoup de paix, d’amour, et de simplicité pour nous tous…
Bonjour Tomtom333 et toutes et tous,
C’est donc la qualité de l’Intention qui compte.
Merci pour ce très beau témoignage Tomtom même s’il est constitué de situations sans doute difficiles.
Je ne pense pas qu’il faille que tu te sentes responsable de quoique ce soit dans cette situation ici décrites.
Si jamais tu avais éventuellement cette impression d’être coupable, cela ne serait pas pour arranger les choses car alors tu attires le négatif davantage. Dis-toi que tu n’es pas responsable de cette situation.
Avant tout tu es Observateur.
Tu as sans doute pressentis une gamme d’événements susceptible d’arriver à tes proches parce que justement tu sentais ce qu’ils pouvaient attirer à eux.
Tout existe et souvent nous l’avons en nous. C’est le terrain qui compte c’est-à-dire que si nous avons telle ou telle défaillance alors la chose a davantage le champ libre pour se développer en nous. C’est l’hygiène de vie, hygiène alimentaire, hygiène mentale, psychologique, et les rythmes de vie qui sont essentiels à prendre en compte. Ci ces derniers sont de moins en moins bons alors le terrain est fragilisé et certains maux peuvent alors se développer. La tique a certes son importance mais elle n’est pas la Responsable unique.
Suis obligé d’utiliser des mots moins précis, voir codés, puisque je vais aborder un sujet sensible : des remèdes très naturels selon toute vraisemblance étaient efficaces contre la maladie de Lyme cependant les sociétés les ayant élaborés n’existent plus … ainsi, et d’autre part, on peut par là deviner quels seront les soi-disant antidotes chimiques peut-être prochainement proposés au public… surtout lorsqu’on sait que cette maladie ne fait que croître surtout je crois sur l’hémisphère Nord de la Terre.
Dans la joie du cœur, positionné sur la corde du funambule, entre le soi-disant « mal » et le soi-disant « bien » : l’Attention et l’Observation.
Bonheur et sourire.
Bonjour Delta aimé, bon je vais répondre directement en suivant mon ressenti du moment, alors au sujet de me sentir coupable… Si tu savais par quelles vies je suis passées… dur dur. Vraiment je ne suis pas trop le genre à ressentir de la culpabilité, elle se transforme très vite… Bon enfin peu importe en quoi elle se transformait, simplement je ne me sens que très rarement coupable (du moins dans cette vie ci).
Et puis de quoi veux-tu que je me sentes coupable, c’est un événement guidant, mais en rien le seul événement qui a amené à ces faits. Si je n’avais pas fait ça, leurs karmas auraient été payés d’une autre façon, c’est tout ^_^.
Oui ce que tu dis est vrai pour la nourriture, mais c’est tellement moins important que l’état d’esprit ! Oh je t’assure Delta, en une pensée (agissante sur la causalité) je peux retourner ma digestion, et même un aliment : c’est à dire que je peux changer la vibration d’un aliment ou d’un liquide… Mais enfin, ce n’est pas une raison pour se nourrir n’importe comment, au contraire, mais enfin pour moi, bio pas bio, ça ne fait pas de différence
Oui, c’est sûr, c’est dommage qu’ils se soient perdus ces médicaments…
Oh beaucoup d’amour pour toi Delta, et merci pour ton message vraiment très gentil…
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