Joël STERNHEIMER, puis rejoint par Jean-Marie BAUMIER, étudient empiriquement les effets de la diffusion de morceaux ou chaînes de notes musicales sur les protéines des organismes vivants.


(Photo : Jean-Marie Baumier)

Les découvertes démarrèrent dans le laboratoire d’une universitaire française, sur des levures de bière soumises à des morceaux musicaux.

Suivant les notes choisies l’effet pourra être favorable ou défavorable sur la production de protéines.

Au fil des ans quelques enregistrements identifiés pour soigner ou parfois calmer tel ou tel mal sur des individus ont pu voir le jour.

Le demandeur, ou le patient, écoute rapidement tel ou tel enregistrement de façon très brève (car ceci a une incidence extrêmement rapide sur l’organisme), et choisi lui-même celui avec lequel il se sent le plus en affinité pile à ce moment là.

Le morceau qui serait susceptible de lui convenir n’est pas automatiquement, n’est pas forcément celui que retiendra le patient. C’est réellement la personne en demande qui teste plusieurs morceaux jusqu’à retenir uniquement celui avec lequel il se sent vraiment en résonance.

Alors le morceau choisi, qui souvent est relativement court comme par exemple 27 secondes, est réécouté 3 ou 4 fois d’affilé, en fait jusqu’à l’instant où le patient estime que cela est suffisant, et se sent mieux bien souvent tout juste après, ou bien réitère l’expérience le lendemain et le surlendemain et le voilà guéri.

Un exemple parmi d’autres, le cas d’une fracture au pied guérie en 3 jours à chaque fois par l’écoute relativement courte de l’un des enregistrements, au lieu d’avoir attendu 3 mois de rétablissement comme cela est le cas ordinairement.

(Une particulière a diffusé l’un des morceaux en protéodie durant 4 minutes quotidiennement, pour constater que son pêcher qui avait la cloque, certes l’avait toujours mais ne perdait plus ses feuilles au terme d’une semaine de diffusion)

Au niveau des parasites affectant les produits agricoles, le champ des découvertes à effectuer est grand ouvert afin d’apporter des solutions plus saines que celles des pesticides et du transgénique, et d’apporter des solutions là où pour l’instant il n’y en a pas. Il ne s’agit pas de diffuser dans les cultures de la musique classique comme cela se pratique parfois, mais bien de diffuser pendant quelques minutes par jour des morceaux de Protéodie qui ne sont pas forcément mélodieux à l’oreille humaine mais dont le but est l’action directe sur les protéines des végétaux.

Source : Delta de la Lyre

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Joël Sternheimer

Le physicien Joël Sternheimer estime que la science moderne violente la nature quand, pour tenter de la comprendre, elle la casse en morceaux.

Abordant le monde d’une façon à la fois plus synthétique et plus esthétique, le savant, qui est aussi un artiste, a découvert des lois révolutionnaires au cœur de la matière et de la vie. Des lois de résonance harmonique, qui prouvent – scientifiquement – que la musique peut influencer l’épanouissement des êtres vivants. De l’expression de notre ADN découlent des successions d’ondes spécifiques lors de la synthèse des protéines.

Les transpositions de ces ondes dans la zone des fréquences audibles ont des propriétés particulières, tant mélodiques qu’harmoniques et rythmiques. Issues des recherches de Joël Sternheimer en physique théorique, ces transpositions d’ondes sont nommées Protéodies. Elles découlent de la nécessaire réintégration du sujet dans la science.

Face aux enjeux auxquels notre civilisation se trouve confrontée, un changement de paradigme apparaît nécessaire et les protéodies illustrent de manière concrète un tel changement dans la manière dont nous concevons nos relations et dont nous les vivons. Relations avec l’autre, relations avec soi, relations avec nos cellules et molécules, relations avec la matière.

Jean-Marie Baumier, élève de Joël Sternheimer et formateur en Génodique, propose une explication originale, à la croisée des sciences physiques, biologiques et musicales, et montre comment le dialogue avec nos molécules peut permettre de répondre à des problématiques de vie comme peuvent l’être les syndromes dépressifs.

La réaction subjective à l’écoute d’une protéodie est une notion essentielle, qui devient un critère de choix, de diagnostic et de résolution.

Source : Marion Kaplan

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Article scientifique plus approfondi : La musique de l’ADN et des protéines

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Article connexe :
Sons Esséniens – La Guérison par la Voix – Conférence sur l’Internet d’Anne Givaudan

Delta De La Lyre. Marion Kaplan