Une fée est un être extraordinaire qui enflamme l’imagination et berce nos cœurs. Si proches de nos pensées et si loin de notre réalité, les fées ainsi que tous les esprits de la nature sont pourtant une réalité tangible.

L’approche dans le plan de l’écliptique de la constellation du Serpentaire est dans mon vécu une période favorable de reconnexion avec les êtres de la nature. Cette 13ème constellation de l’hémisphère nord est traversée par le Soleil du 29 novembre au 18 décembre.

Le Serpentaire, également connu sous le nom d’Ophiuchus, est le symbole de la Connaissance cachée. Constellation zodiacale occultée, elle est l’archétype des mondes invisibles et des mémoires oubliées.

Par le serpentaire, le sens réel des choses est caché.

Associé au Serpentaire, le Serpent est le symbole de la Connaissance. Ce signe du zodiaque possède une force et une énergie particulière. Elle permet de changer de plan de conscience, de changer de dimension. Peu à peu, le Serpentaire retrouve sa place de treizième signe astrologique, à l’image de la réintroduction du monde élémental dans notre réalité concrète.

Être adopté par une fée

L’aveuglement de notre orgueil nous laisse croire que nous pouvons attirer ou adopter une fée. Il n’y a pas à rechercher par le mental comment voir une fée. Selon notre ouverture du Cœur, ce sont elles qui nous choisissent. Elles nous invitent alors à traverser ce voile invisible qui sépare nos mondes.

Il m’a été offert en novembre 2013 l’une de mes plus belles rencontres, celle avec une fée. Elle représente un tournant majeur dans la foi que je place en moi, en mes perceptions et en mes ressentis.

J’ai compris que je recevais des guidances sous différentes formes et j’ai accepté d’avoir la FOI en ce que je perçois, d’accepter que je peux me tromper et de quand même poursuivre. J’essaye d’être en état de recevoir, et quand une grâce me parvient, je remercie le grand tout et je prends l’engagement de redoubler d’efforts sur mon chemin.

Avant ce matin de novembre, un ami m’avait recommandé de me rendre dans un marais à l’extérieur de la ville. Il me disait qu’avec un peu de chance nous pourrions y voir des fées. J’y avais ressenti des présences, j’avais appris à leurs laisser une place intérieure, mais je n’avais pas VU. Certes le matin de cette sortie, encore dans mon lit avec mes deux esprits dragons , s’était présentée à moi une vision d’un lutin. Mais ce n’était pas VOIR, voir et ressentir avec mes sens physiques et non pas avec mon esprit.

Mais depuis ce matin de novembre, une dizaine de jours après la visite du marais, j’ai VU.

J’étais encore dans le lit, seul, les yeux fermés mais réveillé. Mes mains se mirent tout d’abord à vibrer. Les vibrations s’accrurent très fortement. Des vibrations similaires se manifestèrent ensuite dans mes pieds, puis dans mon visage. Finalement, mon chakra coronal se mit à chauffer intensément et tout mon corps vibrait dorénavant.

J’ai commencé à entendre des choses, notamment des intonations des échanges des derniers jours dans ma maison (comme si l’égrégore de ce qui s’était passé était encore présent), des bruits de pas, des murmures.

J’ouvre les yeux et je vois un point de lumière qui se déplace aléatoirement devant mes yeux. La lumière s’intensifie. La lumière abandonne sa forme sphérique. Se profilent les contours d’un petit être de lumière avec des ailes. J’observe cette silhouette sans trait mais bien découpée, volant sous mon regard, comme un tout petit ange de lumière. Les vibrations continuent de s’accélérer. Elles deviennent fortes et rapides avec un bourdonnement indistinct de quelque chose qui vibre de plus en plus vite. Et subitement, cet être commence à apparaître au-delà de la simple lumière, c’est une fée avec une robe verte deux tons, de fines ailes, un visage rond et quelque chose dans la main pointée dans ma direction.

J’ai interprété l’expérience comme si la fée était allée me chercher dans ma fréquence pour me tirer jusqu’à la sienne. Je pense comprendre qu’elle m’a fait passer par l’égrégore de nos pensées et de nos émotions (le plan astral contenant les résidus émotionnels) pour rejoindre un plan vibratoire plus harmonieux.

Les fées choisissent d’apparaître avec leurs formes réelles ou en fonction de la manière dont nous nous les représentons. La mienne était toute petite, 3 ou 4 cm seulement, tellement fragile en apparence mais recelant énormément d’énergie. J’ai fait un montage le plus proche possible de ma vision de cette fée. Elle ressemblait à l’image que l’on peut se faire d’une fée marraine (fée gardienne), chère aux contes de Walt Disney. Ce dernier aimait glisser des messages cachés tirés de ses propres expériences mystiques.

Le chapeau de ma fée verte était plus simple et la robe davantage comme une cloche :

Représentation dessinée de la fée verte apparue auprès de moi
Et plus je montais en fréquence, plus je me rendais compte qu’il y avait du monde à la maison, beaucoup de présences, des êtres que je ne voyais pas. Je n’ai pu investiguer, je suis redescendu assez vite. C’était fini.

J’ai eu l’impression que cette fée était venue avec moi depuis ma sortie. Cette fée souhaitait entrer en contact comme si elle m’avait en quelque sorte adopté. Comme les humains sont inconscients du mal qu’ils font aux élémentaux, je savais que les êtres de la nature fuyaient notre présence et se méfiaient au plus haut point de nous. Apparemment, certains d’entre eux sont prêts à prendre le risque de nous approcher, soyons en honorés.

Le plus grand défi d’une fée

Pour découvrir la suite sur les fées de la nature…

Samuel