DROIT DE RÉPONSE DE MAITRE Tony Gilbert MOUDILOU AUX INTRIGUES DE Mr BIENVENU MABILEMONO SUR P. KOLELAS. .

Vendredi, 28 Octobre 2016 08:50 Maître Tony Gilbert MOUDILOU. News – Politique

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PRÉALABLE : DEPUIS QUE LE NORDISTE A REFUSE SCIEMMENT A NE PAS RECONNAÎTRE QUE C’EST LUI QUI AVAIT ASSASSINE SON PARENT LE PRESIDENT MARIEN NGOUABI LE 18 MARS 1977, C’EST LA QUE J’AVAIS COMPRIS, QUE TOUS LES CONGOLAIS AVAIENT COMPRIS QUE NOUS AURIONS AFFAIRE A DES VÉRITABLES « BIMPOUMBOULOUS », DES MALADES, DES FOUS, DES PARANOS, DES SCHIZOPHRÈNES, DES DÉLINQUANTS PRIMAIRES : UNE RACE JAMAIS VUE SUR CETTE TERRE, SANS LOI NI ÂME : DES VÉRITABLES CRAPULES. ET AUJOURD’HUI, TOUT EST DÉMONTRÉ : CLAIR ET NET. QUE NOUS AVONS AFFAIRE A DES MONSTRES FROIDS ET TOUJOURS CRIMINELS ET VOLEURS. . . . .

On donne l’information : fausse ou pas et on va se mettre au coin de la rue, de son village pour attendre les retombées. Cette pratique, cette manière de faire a tué beaucoup pour ne pas dire des milliers de congolais, victimes de cette paranoïa, pratique machiavélique, mensongère, ignominieuse et dégoutante. Je pouvais m’en foutre et dire : « ce n’est pas mon problème ». Mais un homme politique ne peut pas fermer ses oreilles et ses yeux, biaiser avec les mots, les propos, les prises de position ; surtout sur le terrain Congo quand la vie de la nation est en jeu. Ce sont les mêmes. Moi-même n’étais-je pas victime de leur paranoïa, de cette cabale meurtrière, de cette turpitude, de cette prise de position ô combien dévastatrice, scabreuse, qui par la passé a déjà fait beaucoup de dégâts. Et depuis, rien n’a changé, l’eau continue de couler sous le Pont.

Le 26 février, je venais d’arriver à Brazzaville. Alors commença la campagne d’intoxication. Marion Mandzimba sort de sa léthargie, et comme il l’a appris au PCT, il prend ma photo, l’étiquette et la placarde sur Facebook en me faisant passer pour « JUDAS LE TRAITRE » qui avait certainement trahi sa maman. Le même jour, un fou du Pool qui a dû militer aussi à l’UGEC, Brice Nkeoua, fait le lien et enfonce le clou, en déclarant : « La présence de Maître Tony Gilbert MOUDILOU au Congo, est pour aller contredire le Général MOKOKO dans la procédure qui a été engagée». Dès que ces deux voyous ont dit cela, la machine à broyer et dévastatrice était lancée et plus personne ne pouvait l’arrêter et ceci, jusqu’à présent. L’honnête personnalité qu’est Tony Gilbert Moudilou passait pour le pire des voyous, vilipendé sur la Place publique, traînée dans la boue. Et c’est comme ça que le PCT et ses affiliés ont toujours procédé depuis le 31 décembre 1969.

Maintenant qu’ils avaient posé ces actes, qu’ils m’avaient exposé, vilipendé, traîné dans la boue comme un criminel notoire, tout était consommé et on ne pouvait plus rien. C’est comme ça à l’Ecole du PCT, c’est comme ça qu’on a assassiné des pauvres citoyens qui n’avaient rien à avoir avec la réalité. En tout cas, j’ai toujours pensé les traîner devant les tribunaux pour diffamation, excitation. L’honnête congolais que je suis et que je reste car je mets quiconque au défi me dire le contraire et me le prouver scientifiquement. Je n’ai jamais transgressé les lois de mon pays, les règles élémentaires de ma nation, du savoir vivre en communauté. Je suis de l’École du Président Alphonse Massamba-Débat, où le respect de la chose publique est de rigueur. Jamais on y vole, jamais on ne participe à une quelconque filouterie, à de la corruption. Ni de près, ni de loin on est assujetti à une quelconque malhonnêteté.

Que Mandzimba me démontre en quoi je suis « Judas le traître». Cependant lui qui était Directeur de Cabinet de Lékoundzou Ossétoumba, l’assassin du Président Marien Ngouabi, retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel ne pourra pas se défausser. Oui, c’est dans la chambre de son Patron qu’on retrouva le corps du Président M. Ngouabi. Pourquoi est-il devenu légume, n’est-ce pas parce qu’il paye le prix de sa traitrise ? Qui avaient trahi la République devant le peuple congolais, n’est-ce pas lui et son patron ?

Comme en 1977, quand ils ont tué leur propre parent, qui ont-ils accusé : leurs boucs émissaires du Pool et l’ensemble des Kongo. Voila aujourd’hui, Bienvenu Mabilembolo veut remettre ça. Les voleurs, les pilleurs, les assassins du Congo ne sont plus les nordistes qui sont reconnus comme tels.

Ce sont maintenant :

MOUDIOLU, KOLELAS, NTSATY Mabiala, Victor Tamba-Tamba, Moukouéké, KIGNOUIMBI et comme par hasard et scientifiquement entretenu, les barbares innés sont exemptés, ils ne sont plus là. Mabilémono affirme que le mal du Congo, c’est Parfait Kolélas. Et ceci n’est pas de la provocation, comment va-t-on appelé cela ? Sauf si Mabilémono soit brusquement atteint d’amnésie, ce qui ne m’étonnerait pas vu que dans leur contrée, ils ont toujours eu du mal à se rappeler des dates qui ont endeuillé et maqué à jamais notre histoire.

Quant à l’autre idiot Brice NKEWA, il est un peu fêlé, je lui accorde le bénéfice du doute. C’est un aveugle dans la nuit. C’est un idiot qui ne savait pas ce qu’il disait car n’est-ce pas lui qui ventait chaque fois me faire des éloges ? Au point où je me demandais de fois s’il était normal ou pas. Et qu’est-ce qu’il me voulait ? S’il était sérieux ou comme je l’ai dit plus haut, qu’il était fêlé ?

Il aimait louer mes prouesses, mon courage. Que j’étais la personnalité même que le Pool aimait : courageux, entreprenant, vivace, très alerte etc… Que j’étais le meilleur des meilleurs. Bon je le laissais se masturber seul surtout que ce n’était pas public. Mais malgré sa petite folie, je lui accordais tout de même le bénéfice du doute, jusqu’à ce matin du 27 février dernier où il s’est découvert lui-même qu’il n’était qu’un piètre ennemi de MOUDILOU.

« La présence à Brazzaville de Tony Gilbert MOUDILOU répond du dossiers dont les deux acteurs sont accusés. MOUDILOU est donc à Brazzaville pour aller contredire le Général MOKOKO. Mais aller le contredire sur quoi et pour quoi ? Machiavel n’avait pas besoin qu’on contredise MOKOKO qui était déjà sur l’œil du cyclone, de son judas. MOKOKO, dès lors qu’il avait enclenché la machine à trahir, dès lors qu’il avait tourné le dos au Pacte qui unit tous les nordistes qui dit que, dès lors où MACHIAVEL est encore debout, donc candidat, personne du NORD ne peut plus être candidat. Et je dis et je répète à qui veut m’entendre que si MOKOKO croupit aujourd’hui en prison, ce n’est pas pour notre vidéo mais parce qu’en tant que Nordiste, il avait trahi le Serment, le Pacte du Nord. Il ne devrait pas se présenter contre celui qui l’avait fait Roi, qui lui avait tout donné : les galons et les Fonctions. Tous les Nordistes à commencer par Bienvenu Mabilemono le savent. Que c’est ainsi et que ça n’a pas changé. Personne ne devait transgresser cette règle cardinale : se présenter contre Machiavel, sauf si on y allait pour faire semblant.

Hors MOKOKO, dès lors qu’il avait pris goût, soutenu par 96 % de la population, se crut au zénith et oublia un instant le machiavélisme de son parent MACHIAVEL. Il voulut foncer comme quelqu’un qui n’était pas lié à un Pacte. Ce qui mit Machiavel dans un état de colère irrémissible, irrépressible, irrémédiable, indomptable qui ne s’est estompa que quand il l’a pris et mit en prison ; faisant de lui, son propre prisonnier comme il y a vingt cinq en arrière, il en fit la même chose, pendant onze ans, à Jacques Joachim Yhombi Opango, son prisonnier personnel. Avec Machiavel, on sait exactement ce que cela veut dire. Pour être le prisonnier personnel, Yhombi passa 11 années à l’ombre sans avoir rencontré un seul juge d’instruction. Avec Machiavel, c’est cela le prisonnier personnel. Avec Yhombi, il a fallu l’arrivée de la démocratie pour que le prisonnier sorte de sa séquestration. Qu’en sera-t-il de MOKOKO ? Mokoko fut soutenu par les Sudistes contre lesquels Machiavel soupçonnait beaucoup d’arrières pensées, notamment prendre leur farouche revanche si celui-ci gagnait. Et rien que pour ça, Machiavel ne pouvait ni manger, ni boire tant qu’il n’avait pas capturé celui qui voulut le livrer aux chiens enragés du Sud. Il ne pouvait pas accepter cette logique. Il y en avait deux. MOKOKO persistant et tenant à aller jusqu’au bout de sa logique d’où cette abnégation car il savait que ça le couterait cher si jamais il ratait les débuts.

Et Machiavel, pour rien au monde et si cette opération allait provoquer une troisième guerre mondiale qui partirait du Congo, Machiavel s’en foutait éperdument. Il lui fallait la tête de son ennemi bien aimé. Il lui fallait la tête du Général quel qu’en soit le prix à payer au Nord. Toutes les façons disait-il c’est MOKOKO qui avait commencé. Ils savent tous au Nord qu’ils étaient liés par un Pacte tacite qu’ils ont tous signé là-bas. Que ce soient BOWAO, OKOMBI SALISSA, MABILEMONO, OTTA William, Luc MALEKA ; tous savaient que les choses en sont à ce point de vue, nettes, irrémédiable et absolutoire.

Petit Frère Bienvenu, tu dois bien savoir que ton grand Frère Tony Gilbert MOUDILOU a aussi des amis au Pouvoir, dans les SERVICES SPÉCIAUX, à la Police, à la Gendarmerie, dans l’Armée, à l’Assemblée Nationale, au Sénat, autour de Sassou Nguesso. Donc tu n’es pas le seul à savoir ce qui pouvait se tramer à Mpila.

MAINTENANT VENONS-EN AUX DECLARATIONS DE MON PETIT FRÈRE BIENVENU MABILEMONO CONTRE PARFAIT KOLELAS DONC CONTRE LE POOL.

La solidarité devient le socle, l’élément le plus important quand la vie d’une Nation, d’un groupe, d’une région, d’une ethnie est en jeu. Je pouvais rester stoïque, regarder les choses se faire comme l’ont fait la plupart de ceux qui se passaient pour mes amis, ceux qui venaient manger, boire et qui ont bénéficié de mes largesses en leur distribuant mon argent que j’ai toujours gagné à la hauteur de mon intelligence.

Aujourd’hui, je les compte du bout de mes doigts et c’est tant mieux pour moi. En dehors du fait que Parfait Kolélas avait travaillé avec moi pour empêcher à nos parents du Pool de « reconnaitre le gout du sang » puisque Machiavel l’avait décidé ainsi. Comme ils devraient se blesser de nouveau, si jamais ils étaient sortis dans les rues au moment où MACHIAVEL tricherait. Ils reconnaîtraient le goût du sang puisqu’ils se seraient de nouveau blessés sur leurs langues.

Parfait est d’une arrogance sublimable, ne m’a jamais défendu, quand même nous soyons liés par pas mal des choses. Il sait et savait que j’étais la fourmi ouvrière, la plus outillée sur laquelle comptais son Père, il ne s’était pas gêné de nous foutre tous dehors (tous, tous les anciens collaborateurs de son Père au moment où il était parti se donner corps et pieds liés à MACHIAVEL.

Et quand ils sont rentrés au pays à la suite du décès de mama Ngoudi, les premières personnes que lui Parfait limogeât, avec son équipe composée de Mampouya Hellot, Tchibambéléla, Bouétoubassa et de moindre importance Landry : c’étaient nous. Comme l’avait fait Ali Bongo. Ce qui est et reste un sacrilège et toutes ses souffrances sont nés de ce comportement égocentrique et malsain.

QUAND ON ATTAQUE PARFAIT KOLELAS, C’EST LE CŒUR DU POOL QU’ON ATTAQUE ET MOUDILOU FILS DE DIAMBAKA ET DE NKATOUKOULOU NE PEUT RESTER LES BRAS CROISES ET REGARDER SON PETIT FRÈRE SE FAIRE MASSACRER PAR UN NÉBULEUX PERSONNAGE.

Et pour ça, et pour rien au monde, moi Moudilou quels que soient les milliers de malentendus que je puisse avoir avec mon petit Frère, je ne laisserais jamais un fils du Pool se faire déchirer par des loups en manque de chair fraîche, des chiens enragés et des ennemis du POOL.

Ils nous l’ont déjà fait, ils l’ont toujours fait et cette fois-ci, ça ne passera pas et on se laissera pas marcher sur nos pieds. Vous avez dû observer que quand les lions attaquent un troupeau, ils s’arrangent pour isoler le plus petit ou le plus vulnérable. Cherchant à éloigner les durs et c’est à ce moment-là, qu’ils peuvent, sans trop d’efforts s’en prendre à leur victime choisie comme telle, sans coup férir. Non KOLELAS ne sera pas sacrifié, ne sera pas votre victime. Vous en avez faites assez. Non Bienvenu, je ne laisserai pas me déchiqueter Parfait. Si comme tu dis tu as des entrées au Palais d’Oyo, à son entourage, même si je ne parle pas votre patois. J’en ai aussi.

J’ai été alerté par mes Services que tu venais de faire une cassette, et on m’a prié de l’écouter ; t’écouter. J’ai pris tout mon temps. Je l’ai écoutée trois fois pour mieux te comprendre et bien circonscrire les enjeux. Mon bien Cher Cadet, tu commences ton récit en annonçant tes couleurs. Tu parles de Mokoko comme quoi tu étais très proche de lui pendant les élections. Que tu l’appelais. Tu travaillais avec son Equipe. Et c’est là où le bas blesse, c’est là où l’homme du Nord est mystérieux, hypocrite et terriblement mauvais pour notre pays, pour notre vie en communauté.

J’espère bien que tu vas te rappeler que je t’ai appelé plus d’une fois quand-moi ton grand Frère faisait le porte à porte des Nordistes pour demander les coordonnées du Général. Que nous le sud et plus singulièrement le Pool, avions choisi le Général pour être notre candidat du Nord au Sud ; de l’Est à l’Ouest. Nous étions l’année dernière. Que je t’avais même invité chez moi pour qu’on en parle à l’abri de tout soupçon. Tu m’avais dit que tu n’avais aucune relation particulière avec le Général. Mais pourtant le doyen d’âge des Nordistes ; politicien de la Place, mon grand Frère William Otta avait insisté en me recommandant après de toi, que tu étais le seul qui pouvait avoir ses coordonnées.

Je t’avais dit en passant que je connaissais l’homme, qu’il était même un ami donc tu n’avais pas à t’en faire. Mais tu étais resté catégorique. Tu n’avais aucune coordonnée de l’homme. Cependant sache que je ne t’avais pas cru. Mais j’ai dû me résoudre à la réalité des hommes surtout quand on ne partage pas la même culture. J’ai dû me débrouiller autrement pour enfin mettre la main sur le Général.

Mais le pire c’est que vous tous Nordistes, ne vouliez pas ou jamais contribuer à ce que le Général soit le candidat de toute l’Opposition. En fait vous aviez peur que si le Sud se l’approprie, il risque de ne pas faire, votre jeu. La preuve, c’est que dès que nous l’avions sorti de l’obscurantisme, du flou et de la nuit nuire, tout le monde a cherché à se l’approprier. Vous l’aviez ceinturé au point de l’éloigner de tous ceux qui l’avaient fabriqué dont moi-même, son géniteur. Je pourrais un jour écrire tous les propos que vous avez tenus à son encontre. On vous avait laissé un Congo prospère. Vous n’avez pas réussi à le gérer. Vous l’avez détruit et appauvri l’ensemble de son peuple. On vous a laissé Mokoko, vous avez réussi à le faire mettre en prison. Mais vous devriez avoir honte !
Isaac Sengha Djoumali mon bien cher ami, ancien représentant du PCT en Europe au moment où Charles Bowao brillait des mille feux au Pouvoir, refusa de me donner ses coordonnées. Il m’envoya auprès de son patron Charles Bowao qui lui fit pire : « je vais t’envoyer les références » jusqu’à aujourd’hui.

Je l’appelais nuitamment. Et chaque fois, il me disait : « je suis en réunion, je suis en réunion….. Qu’il m’appellerait le lendemain ». Nous étions au mois de Juillet de l’année dernière.
Luc Maléka me fit tourner en bourrique également et refusa de me les donner. Il y a même un Haut officier du Nord dont je tais le nom qui me dira : « Mais pourquoi tu tiens tant à ce monsieur qui n’est même pas brillant militairement, que c’est un nul. Si vraiment tu tiens à avoir un officier Nordiste pour contrer Sassou, je vais t’en fournir des noms, d’Officiers qui sont les meilleurs. J’ai dit non. Nous voulions seulement Mokoko.

En fait nous avions tous compris au Sud que personne n’aime cet officier, personne la preuve est que ; jusqu’à ce jour, nous ne comprenons pas, depuis ses tracasseries que pour un ancien Chef d’Etat-major Général, qu’il n’y ait pas eu aucun petit régiment, une colonne ou même un militaire pour protester et chercher à aller le libérer comme ce qui s’était passé le 31 juillet 1968 quand le capitaine Marien Ngouabi fut emprisonné et que les Commandants MOUZABAKANI et autres Sudistes ainsi que l’Aspirant Sassou Nguesso qui croyaient en l’homme, leur chef, allèrent le libérer. Ils firent le baroud’ honneur au Pouvoir du Président Massamba-Débat pour le sortir. C’est le premier coup d’Etat du 31 juillet 1968.
ON VOUS CONNAIT ! (PATIENCE DABANI EX BONGO ONDIMBA.

Aujourd’hui, mon cadet, tu les éloges que tu fais à tes parents Mokoko, Bowao, Okombi Salissa, mais c’est le contraire qui nous aurait surpris. Si tu ne les faisais pas en tant que membre éminent du PCT, à ceux-là ; ce n’est aux Kolélas, Ntsati-Mabiala, Moukouéké, Victor Tamba-Tamba, Kignouimbi-Kia-mboungou que tu cites insidieusement que tu soutiendrais. On sait tous au Congo, chacun a ses fous. Vous êtes tellement ingrats que vous ne pourrez surprendre personne.

Mais ce qui est épatent, c’est que tu soutiens ceux qui ont mis notre pays à genoux. Aujourd’hui quand je vous entends vous nordistes, parler du mal de Sassou, qu’il a fait ceci, qu’il a fait cela, qu’il a mis le pays par terre. Mais c’est comme une guerre mondiale, on ne la fait tout seul. Il faut des alliés. Et tous ces Nordistes devenus milliardaires dont tes Okombi-Salissa et autres Ndzon, Bowao que tu oses défendre : ou tu les connais, ou tu ne les connais pas, auquel cas, tu dois apprendre à te taire.

L’état de notre pays que nous déplorons tous ensemble, lesquels qui l’ont fait ? N’est-ce que tes amis puisque tu l’affirmes en bombant ton torse qu’ils sont tes amis ; ce que nous ne savions pas ou nous le savions en fermant les yeux. Parce que toi- même, on ne sait même pas qui es-tu exactement ? Et quel rôle joues-tu en France et pour qui ? On vous connait vous les Nordistes. Il y a quelques jours on venait de découvrir que nous avions une nièce de Machiavel qui s’appelle Nessa Christa, se passant pour une journaliste de l’Opposition. Or cette dernière n’était qu’une nièce de Machiavel qui s’était infiltrée au niveau de l’Opposition et qui jouait son beau rôle de « niokosso » tu sais ce ver qui peut rentrer dans un fruit et le détruire de l’intérieur.

Nous, nous voulions Mokoko mais pas pour qu’il vienne remettre à l’étrier, en selle tous ces Nordistes voleurs, tous ces assassins, comme tes amis que tu as cités plus haut, revenir tranquillement comme s’ils n’avaient pas ruiné notre pays de mèche avec Machiavel. Ton ami Okombi Salissa, si tu le connais, tu devrais savoir qu’il a à lui seul la moitié des immeubles à Brazzaville. Comment se le sont-ils octroyés ?

Ce n’est pas en vidant notre patrimoine national, en vidant notre Trésor public que vous Nordistes aviez fait votre patrimoine régional ? Peux-tu nous dire en quoi et pourquoi les soutiens-tu si ce n’est que vous êtes tous soudés, liés par la fibre ethnique et régionale qui est et reste votre let-motiv. Ton ami Bowao, tu dois savoir que même s’il gesticule avec nous dans l’opposition. Il est comptable de tous les crimes et assassinats commis dans notre pays : économiquement comme par le sang depuis au moins 1997 et tu penses que nous avons oublié ?

Moi si j’étais à ta place, j’allais faire le profil bas, apprendre à me taire car tous ceux-là que tu dis être tes amis, sont justement tous dans notre collimateur, dans notre rétroviseur, qui demain répondront pour tout ce qu’ils ont fait contre leur propre pays. Surtout Okombi-Salissa. Tu le vois dans la cassette vidéo dans le Pool sur Facebook où avec sa Milice, il ratisse ; tuant tout ce qui bouge (notamment des chiens dont celui de mon oncle à Nganga Lingolo). Tu devrais te garder de faire trop de triomphalisme de tes amis pleins de casseroles, des dossiers les plus criminogènes du pays car la route de l’oubli n’est pas refermée et ne l’est pas, ne le sera pas de sitôt. Il y a trop de contentieux et toutes les plaies sont encore plus que béantes. Les larmes ne sont pas encore et jamais séchées.

Oui tu as dit que l’homme politique doit savoir s’adapter aux circonstances politiques du moment. C’est-à-dire, qu’il sache faire le jeu du caméléon : prendre les couleurs du milieu où il se trouve. Certes le philosophe et historien Hampate Bâ, dit que c’est signe de sagesse. Mais nous au Pool, on a toujours dit que :

« LE CAFARD A BEAU S’EN ROULER DANS DE LA FARINE, DANS DU KAKA, DANS DE LA BOUE : LA MERE POULE, NE L’IGNORE PAS. ELLE LE MANGE TOUJOURS ET SANS REGERTS, SANS ETAT D’AME».

Les juristes disent qu’un contentieux n’est apuré que dès lors que la justice est passée par là. Donc si aujourd’hui, nous mangions, nous nous lavons , marchons, trinquons, jacassons ensemble, ce n’est pas signe de faiblesse ou de voir tes amis s’être adaptés avec nous, c’est parce que et tout simplement que nous sommes bien élevés et faisons montre de la hauteur et de la grandeur. C’est là la grande vertu de la sagesse nous jouons et parfois nous coûte cher. Nous sommes trop civilisés et les autres considèrent ce geste pour une faiblesse. Mais jamais, il ne faut pas croire que nous sommes des lâches, que vous nous avez eus, qu’on est des imbéciles. Nullement !

Nous sommes des chats qui nous battons avec des serpents venimeux. Que fait le chat quand il se bat avec le serpent, chaque fois, le serpent envoie son venin. Le chat tend sa patte qui elle est immunisée, inaccessible au venin. Le chat avale le venin. Et le jeu continue jusqu’à ce que le serpent n’ait plus de venin. Et c’est là que le chat bondit sur le serpent qui n’est plus dangereux et le mange. As-tu compris cette métaphore ?
Nous avons qui est qui, qui a fait quoi et qui ne l’a pas fait quand nous sommes ensemble. Le tigre ne montre sa tigridie que quand il est devant sa proie.

VENONS-EN AU CAS QUI M’A INTERPELLE : CELUI DE PARFAIT KOLELAS.

Mais pourquoi tu es obligé de déverser toute ta haine viscérale sur Parfait que tu daignes même ne pas accepter qu’on lui ait donné le prénom de « Parfait ». Car dis-tu, ça ne lui va pas. Mais qui es-tu ? Pour qui te prends-tu Cadet ? Attends, un peu de retenue, ça va te calmer un peu ? Mais c’est criminel ce que tu as comme attitude à l’égard de Parfait Kolélas ! Si toi tu n’aimes pas ton prénom Bienvenu, il faut t’en prendre à tes parents. Mais accepte que Kolélas se prénomme Parfait. En disant, ce que tu as dit sur son prénom, tu t’en es pris à son géniteur qui est Bernard Kolélas et là les fils du Pool que nous sommes ne pourraient te laisser faire ça. Un respect s’impose sur nos morts, quoi qu’ils aient fait, quoi qu’ils soient.

Nous sommes les seuls à les juger.
« MAIS DIT DONC VRAIMENT LE BOSSU N’A JAMAIS VU SA BOSSE »
Mais cherches-tu la guerre petit Frère ? Mais comment peux-tu prononcer, citer des noms comme ceux que tu as cités : KOLELAS, TSATY MABILA, MOUKOUEKE, TAMBA-TAMBA, KIGNOUIMBI KIA MBOUNGOU sans une fois citer un seul nom de tous nos criminels nationaux Nordistes de ton village, de ta région qui ont mis notre pays à genoux et à sac, qui volent en milliards, qui n’ont jamais sur élever ou soulever un brin de poussière durant toute leur existence de politicien ; si ce n’est que voler comme des malades, comme des kleptomanes.

Tout cela figurant dans votre ADN. Le nordiste est trop nul pour qu’il parle au Congo. On nous dit que vous avez pour la plupart les mêmes diplômes que nous. Mais prouvez-le ? Quand on a des diplômes, on élève son pays, au plus haut degré du développement.
Quand on a le taux de croissance comme celui que connait notre pays depuis 1997, on crée des boulots pour son peuple, pour sa jeunesse. C’est quand on est riche que les gens vivent bien, s’éduquent bien, se soignent bien. Chez nous, contrairement aux autres pays du continent, c’est le paradoxe, c’est le monde à l’envers.

On vole et on ne sait pas faire autre chose que cela. On assassine et on ne sait pas faire chose que cela. Où avez-vous eu vos diplômes ? Pas en tout cas dans les mêmes Facultés que nous. Ou vous aimez votre pays ou vous ne l’aimez pas et auquel cas, vous devez dégager le plancher. Dans d’autres pays du Continents, moins riches ou au même niveau que nous, tout marche bien. Sauf chez nous et ceci, depuis votre arrivée à la tête de notre pays. Les autres Présidents créent du bien-être et du bien vivre pour leur peuple. Chez nous les sauvageons que vous avez ramenés du bord de l’Alima, que font-ils : ils volent, assassinent ou tentent d’assassiner comme ce qu’ils ont voulu faire à ton ami KALAKALA Augustin et ceci sans état d’âme.
Comment peux-tu citer des noms de ces grands voleurs et avoir l’âme en paix et la conscience tranquille ? Et quand tu parles des Moukouéké et autres compatriotes, des noms de personnalités, certes qui, à un moment de notre histoire, sont ou ont été à vos côtés, venus vous donner un sacré coup de main, mais ils n’étaient jamais aux commandes. Ce sont les mbochis, les kouyous, les bomitaba et autres morpions nordistes qui, depuis 1969 sont aux leviers de notre administration, Militaire comme civil, c’est le cas de Mokoko où quand on massacrait au Sud, avait-il tenté de lever son nain petit doigt. Grand officier, mais nain partout, Conseiller très écouté. Mais mon Dieu, que conseillait-il à Machiavel ? Et tes Bowawo de Secrétaire Général du Gouvernement au Ministère de la Défense, n’a-t-il pas des choses à nous rendre, à nous devoir quand les congolais du Sud pleuraient et avaient du mal à sécher leurs larmes ? Où était-il et qu’avait-il fait pour tarir ces dites larmes ?

Et si notre pays a convulsé c’est à cause du Nordiste qu’on a ramené à la civilisation un peu trop tôt et qui n’a pas su s’adapter comme tout le monde. Et c’est dès qu’il est arrivé en ville, à Brazzaville, à Pointe-Noire, à Dolisie quand il a vu les gens manger avec des fourchettes, lui aussi voulait se presser à s’en servir mais c’était trop tôt. Il fallait encore apprendre. Tout s’apprend finalement : l’économie, la gestion, le savoir vivre en communauté, le respect de la chose publique, ne pas voler ce qui ne t’appartient pas etc….
Mais malheureusement nous avons compris et nous payons le prix fort. Tu vois c’est comme les indépendances, beaucoup disent qu’on a octroyé trop les indépendances aux Nègres, d’où toutes nos difficultés. Car il fallait d’abord nous apprendre les leçons de démocratie. il y a des races, il y a des peuples qui ne peuvent pas savoir apprendre. On peut beau leur faire des schémas, ils ne comprendront jamais rien. Ils sont : restent et resteront tels : primitifs.

Oui dis-tu : « L’homme politique doit savoir s’adapter aux circonstances du moment », Oui, j’en conviens, et c’est vrai. C’est pourquoi au Congo de Marien tous les Nordistes sont comme les chats, devenus tous gris. Ce n’est pas par hasard que notre Congo a convulsé, est devenu le seul pays en Afrique où : « tout le monde est comme : « au village des ananas : tout le monde porte une huppe » ou encore comme : « au village du maïs, tout le monde porte une barbe » Mais de grâce, épargnez-nous cette mixité exécrable, indigeste et ignominieuse. Il faut qu’au Congo comme chez tous les pays civilisés, on sache dissocier le vrai de l’ivraie, le chou de la carotte et retrouver nos lettres de noblesse !

D’OU VIENNENT TOUTES NOS DIFFICULTÉS AUJOURD’HUI AU CONGO ?

Mais curieusement avec l’homme du Nord plus on va vers le renouveau, plus il continue à s’agripper à sa civilisation primitive, rétrograde, désuète et hors d’usage. Sous Sassou I le Nordiste volait en Millions. Revenu au pouvoir par le sang en 1997, au lieu de tirer les leçons des nouvelles circonstances, il est revenu en volant cette fois-ci plus en hauteur : en MILLIARDS. Et si cela n’est pas une malédiction, comment peut-on appeler cela du Nordiste ? Là où il ne faut plus voler, lui double d’intensité et continue de voler comme s’il passait un examen.
Je souffre trop de cet état d’esprit de mes Frères et sœurs du Nord de chez moi, que j’ai décidé de faire une THESE DE DOCTORAT sur le comportement du NORDISTE CONGOLAIS.
VOIS-TU MON BIEN CHER PETIT FRÈRE BIENVENU : DANS MES HEURES PERDUES, EN DÉPIT DE MES DEUX DOCTORATS, JE M’AMUSE ENCORE A ECRIRE UNE AUTRE THESE DE DOCTORAT QUE JE VAIS SOUTENIR, (UNE TROISIÈME) DONT LE TITRE EST TRÈS ÉNIGMATIQUE, ENTREPRENANT, ENVOÛTANT ET FAIT COULER BEAUCOUP D’ENCRE CAR C’EST UN SUJET QUI PLAIT BEAUCOUP A MON DIRECTEUR DE THESE.
LES ETHNOLOGUES, LES ANTHROPOLOGUES, LES SOCIOLOGUES, LES CRIMINOLOGUES AVEC LESQUELS JE TRAVAILLE SUR CE SUJET notamment mon Directeur de Thèse sont très emportés car ils le trouvent très captivant, très envoûtant, pathétique. Je suis déjà à 789 pages et compte le terminer d’ici peu. J’inviterai des chefs d’Etat africains à ma soutenance dont notre MACHIAVEL à venir assister et écouter les leçons que je leur donne. Et tu y es convié d’office. Le sujet de ma Thèse est :

Il faut se le dire et ceci sans état d’âme. C’est parce que nous avons en notre sein des peuples qui n’ont jamais su s’adapter malgré le temps passé avec des gens civilisés. Voyez-vous : « une branche d’arbre a beau séjournée dans l’eau, jamais au grand jamais, elle n’est devenue, ni poisson, ni caïman ». Malgré le temps passé à l’Ecole. D’autres avaient vite quitté leur état et se sont tout suite adaptés comme tu le dis de l’homme politique : « s’adapter aux civilisations, aux nouvelles cultures, en un mot à la MONDIALISATION.

« L’ETHNIE OU LA REGION SONT-ELLES UN FREIN AU DÉVELOPPENT D’UN PAYS ? LE CAS DU CONGO BRAZZAVILLE ».

Non Petit frère, je ne te laisserai pas traîner Guy Parfait KOLELAS dans la boue. KOLELAS, même s’il était à Mpila ce 21 mars, et où est le problème ? Mais la politique, ce n’est pas la guerre, il faut que vous le sachiez. Moi j’étais attendu là-bas à cette date. Mais contrairement à ce que tu affirmes, ce n’est pas pour aller s’enrichir mais pour aller parler de la paix que lui, Machiavel menaçait. C’est lui qui a embarqué des milliers et des milliers de mercenaires dans notre pays, acheter des armes de tous calibres.

D’après toi, pourquoi a-t-il fait tout ça ? S’il ne faut pas discuter avec ce monsieur qui est prêt à nous enflammer le pays, avec qui alors, allons-nous discuter ? Machiavel ne donne jamais l’argent à quelqu’un qu’il redoute, surtout quand il comprend que celui-ci peut le renverser avec l’argent donné.

Pourquoi êtes-vous comme ça au Nord, et quel Pacte avez-vous signé avec la mythomanie ? Est-ce une culture pour vous ou un signe de noblesse d’une valeur cardinale ? Depuis quand Machiavel a-t-il donné des millions à un adversaire politique ? Chez lui un adversaire politique devient automatiquement un ennemi politique. Et tu penses qu’il peut donner de l’argent à un ennemi sous-entendu que celui-ci peut lui faire mal avec. Bienvenu, en hallucinant comme tu le fais, je sens que tu es imbu d’une vraie haine contre l’homme du SUD en général puisque tu ne t’attaques qu’aux fils du SUD et du Pool en particulier. Cependant tu restes intacte avec tes propres parents que tu bonifies même.
Tu parles de KALAKALA comme si c’était un saint. Il était du système. Ses anciens ont trouvé qu’il avait déconné.

Et comme dans toute Association mafieuse, quand on outrepasse les règles, quand on triche avec les concepts arrêtés, on vous coupe la carotide. C’est la réplique qu’utilisent tous les bandits dont Alcapone. On te tranche la tête. Mais ici, il faut remercier le bon Dieu que ses anciens amis l’aient laissé en vie. Cependant les mêmes, tuent impunément des innocents dans le Pool. Ces gens qui ne savent et n’ont jamais participé à quoi que ce soit de politique. On les tue tout simplement parce qu’ils sont du Pool. Kalakala que nous connaissons nous deux est des vôtres, il a travaillé avec vous, avec Okombi Sadissa donc dans la bande des tricheurs, des voleurs et des assassins. Et dans cette entreprise mafiosique, c’est le sang, Ou on te tranche la gorge ou tu t’alignes. Or notre Kalakala a eu la chance, il est vivant. Remercions Dieu pour l’avoir épargné mais pas pour les fils innocents du Pool et d’ailleurs. Et c’est ça qui n’émeut. Mais pas toi : on dirait.

En tout cas, si tu es sage, tu dois retirer tes propos, ta cassette contre Parfait KOLELAS car tu t’attaques là à un gros morceau qui risque de te coincer entre ta gorge car tu es trop nain pour affronter le Pool. Je te le conseille vivement. Contrairement à ce que tu affirmes, le mal du Congo, ce n’est ni P. KOLELAS, ni le POOL mais l’homme du Nord : et l’homme du l’homme seulement. C’est lui qui ramené notre beau Congo, hier grand et fort, fier d’y vivre et heureux d’être congolais, et vous l’avez ramené à l’âge de la pierre taillée.

J’ai parlé. Et maintenant débattons !

J’attends !

A Paris le 25 octobre 2016.

Le Premier ministre du Gouvernement congolais en exil,
Maître Tony Gilbert MOUDILOU.

Dac Presse