Le 6 avril 1722 qui était le lundi de Pâques, la flotte hollandaise commandée par l’amiral Jacob Roggeveen (1659-1729) apparut devant la grande île :

« … L’escadre vit arrivée vers elle une pirogue que guidait un naturel, homme de haute taille, d’un caractère jovial, d’une physionomie heureuse. Il monta à bord où on l’accueillit fort bien.

« Ces insulaires avaient l’air doux… Leur peau avait la couleur de celles des Espagnols ; quelques-uns étaient presque blancs.

« Plusieurs pirogues s’approchèrent des navires. L’une d’elles était commandée par un homme blanc de haute taille. Il monta à bord et se fit régaler par l’amiral qui lui présenta des cadeaux. Son caractère était enjoué, jovial et très communicatif. Au soir, lorsqu’il remonta sur sa pirogue, il cria aux marins néerlandais : “odoraga !” Il s’agissait d’une invitation à venir le rejoindre sur son île.

« L’invitation odoraga (odda-raga = inviter à terre) était prononcée en pur vieux norvégien du Xe siècle. En vieux norvégien, “oddi” signifie « pointe de terre triangulaire » et “raga” indique l’action de “se déplacer”. »

Cette surprenante rencontre ouvre sur une histoire de l’île de Pâques bien différente des balbutiements de l’histoire officielle. En 1722, ses habitants parlaient un norvégien du Moyen Age et certains étaient des hommes blancs de grande taille, jusqu’à 1,90 m selon certains explorateurs. L’île de Pâques fut-elle une colonie norvégienne ?

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Les fouilles de Thor Heyerdahl

En 1956, les fouilles de l’explorateur norvégien Thor Heyerdahl montrent que les statues étaient profondément enterrées et que seules émergeaient les têtes ou les épaules. Les excavations ont dégagé des statues-colonnes. Dans son livre « Aku-Aku – Le secret de l’île de Pâques » publié en français par Albin Michel en 1958, Heyerdahl raconte :

« Les têtes de pierre (…) étaient déjà bien grandes (…) mais en descendant le long du cou nous arrivions à la poitrine, et au-dessous l’énorme corps continuait vers les hanches, où de grands doigts minces aux ongles courbes gigantesques se joignaient sous un ventre rebondi (…).

« De grands corps en pierre apparurent quand les têtes furent déterrées. Le sable qui, poussé par le vent, glissait depuis des siècles le long de la pente, avait déposé une couche de plusieurs mètres sur les corps des vieux colosses.

« On se sent petit lorsqu’on creuse le long du corps d’une statue de l’île de Pâques.

« Un navigateur avec un bateau sur la poitrine. Une embarcation à trois mâts, avec une rangée de voiles, apparut quand Arne dégagea la poitrine d’un des colosses… ».

La gravure d’un 3 mâts sur un moaï, enterré depuis le XII-XIIIe siècle, démontre bien qu’au Moyen Age ce genre de navire, sans doute construit dans les chantiers navals islandais ou norvégiens, sillonnaient déjà les mers jusqu’aux antipodes. Pourquoi graver un trois mâts assez grossier sur le ventre d’un colosse ? Sans doute s’agissait-il d’une prière au Dieu Tyr, de survivants, après un cataclysme qui ravagea l’île et tous les navires.

La taille parfaite des colosses de l’île de Pâques démontre un art sculptural maîtrisé, tel qu’il fut pratiqué au Moyen Age, lors de la construction des cathédrales. Or, tous les moaï sont précisément datés de cette époque.

Les statues géantes de l’île de Pâques sont sans aucun doute l’œuvre de tailleurs de pierres norvégiens du Moyen Age tout simplement. Les professeurs Jacques de Mahieu et Hermann Munk de l’université de Buenos-Aires, ainsi que l’explorateur norvégien Thor Heyerdahl, sont arrivés aux mêmes conclusions. Il est vraisemblable que les moaï furent pour l’essentiel des colonnes stylisées à l’effigie du Dieu Tyr. Elles furent taillées dans le but d’édifier un grand temple à la gloire des Dieux au XIe siècle.

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Saemund Sigfusson construit le temple des dieux Vanes sur l’île de Pâques

Les deux grands volumes intitulés « Voyages pittoresques autour du Monde » publiés en 1834 sous la direction de Dumont d’Urville (1790-1841), capitaine de vaisseau, fournissent des détails bouleversants sur des ruines cyclopéennes et sur des indigènes blancs de Polynésie. Ces détails démontrent une colonisation protoviking de l’Océanie dès le premier siècle de notre ère et sans doute bien avant. Ils rapportent les traditions indigènes des Polynésiens.

Selon Maurice Guignard, dès la plus haute antiquité, les navigateurs étrusques, lydiens, puis protovikings ont caboté le long des côtes sibériennes pour descendre ensuite dans l’Océan Pacifique. Les Norvégiens, les Danois du Schleswig et les marins saxons de la Hanse avaient colonisé toute l’Amazonie, le Pérou et l’Océanie. Les preuves sont innombrables. Elles se retrouvent dans les arts nautiques, la linguistique (toponymie, patronymie), l’anthropologie et l’archéologie, à travers l’étude des ruines cyclopéennes qui se découvrent dans tout le Pacifique… Aujourd’hui, de nombreuses runes sont découvertes, gravées sur les rochers de la Guyane, de l’Amazonie, du Pérou… Jacques de Mahieu, expose ces faits dans L’agonie du dieu-soleil – Les Vikings en Amérique du Sud, éd. R. Laffont, Paris, 1974 et dans Drakkars sur l’Amazone – Les Vikings en Amérique précolombienne, éd. Copernic, Paris, 1977.

Des liasses d’archives norvégiennes conservées dans d’anciennes familles, à Sées et chez les notaires chartrains Guygnard (1390-1600), démontrent sans conteste que, dès le IXe siècle, les voyages étaient très fréquents entre la Scandinavie, l’Angleterre et la Normandie d’une part, et l’Amérique du Sud, d’autre part. Les Vikings d’Amérique du Sud conservaient un contact annuel et même mensuel, par bateau, avec leurs familles restées en Europe (Islande, Norvège, Normandie, Schleswig).

Selon une tradition bien établie prouvée par un texte laconique, lorsque le savant islandais Saemund Sigfusson (concepteur de l’art gothique au XIe siècle) eut achevé les plans de la première cathédrale gothique à Chartres, et avant même qu’elle soit inaugurée, il partit pour l’Amérique du Sud.

Il passa par le détroit abusivement baptisé « de Magellan » vers une île lointaine du Grand Océan Pacifique, située au-delà de la grande île Amuriki (royaume des géants : l’Amérique du Sud). Il était invité par le stôr-godi (grand prêtre) de Tiahuanaco (dans l’actuelle Bolivie) pour construire un temple odinique colossal dédié aux dieux Vanes sur une grande Île du Pacifique. Sa superficie égalait celles de la Corse et de la Sardaigne réunies. Nommée alors Vanahôlm « île des Vanes » en vieux norvégien, elle fut aussi appelée Waïhou par contraction du terme (vanir-houlm = vanes-île). Aujourd’hui nous la nommons « île de Pâques ».

A son arrivée sur l’île, au 11ème siècle, Saemund Sigfusson retrouva les descendants des constructeurs des palais de Tiahuanaco. Il disposait d’un grand nombre de tailleurs de pierres, dont certains norvégiens autrefois établis à Chartres. Certains l’avaient suivi dans ses pérégrinations, jusqu’aux antipodes.

Il prit la direction technique de cette équipe et, en l’espace de six ans, grâce à cinq milles tailleurs de pierres, maçons et sculpteurs, Saemund Sigfusson put construire le temple. Ils sculptèrent et dressèrent les fameuses statues colonnes géantes destinées au temple. Certains moaï étaient munis d’une pointe de fer captant l’électricité atmosphérique et servant de paratonnerre. D’autres, ont des bonnets ronds sur la tête. Ils reproduisent les toques en peau d’ours qui étaient les coiffures des Groenlandais.

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Un centre d’étude géomagnétique

Les archives islandaises et chartraines expliquent que Saemund Sigfusson était un expert en électricité statique et géomagnétisme. Il savait exploiter l’énergie magnétique considérable produite par la rotation terrestre. Or, à cette époque, Vanahôlm (l’île de Pâques) se trouvait sur une singularité magnétique qui permettait d’y installer un immense laboratoire consacré à l’étude des sciences odiniques. Ce grand temple avait donc une double fonction : sacerdotale pour le culte des dieux Vanes et scientifique pour l’étude du ciel et des ondes cosmo-telluriques. Il constituait une centrale magnétique semblable à celles des Bermudes.

Après qu’il eut construit le temple, Saemund Sigfusson retourna à Chartres visiter ses petits et arrière-petits-enfants, puis il retourna en Islande pour y mourir.

Pour lire la suite de notre dossier « Ile de Pâques », achetez ici le journal Morphéus n° 84.

6 novembre 2017

Source originelle – MORPHÉUS

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Source présent article – Delta de la Lyre

Journal Morphéus N° 84