Gary McKinnon confirme l’existence d’énergie gratuite, de technologie antigravité, d’OVNI

Gary McKinnon, né à Glasgow en 1966, également connu sous le nom Solo, est un hacker britannique accusé par les États-Unis d'avoir réussi le « plus grand piratage informatique militaire de tous les temps »[1].

Cet administrateur système au chômage est accusé d'avoir pénétré dans 97 ordinateurs appartenant à l'US Army et à la NASA, en 2001 et en 2002. Les réseaux informatiques américains qu'on l'accuse d'avoir pénétrés appartenaient à la NASA, à l'armée de terre, à la marine, au Ministère de la Défense, à l'armée de l'air, ainsi qu'au Pentagone.

Gary McKinnon l'ufologue pirate !

Les États-Unis estiment que les crimes dont il est accusé ont causé des dommages évalués à entre 700 000 et 800 000 USD[2].

McKinnon a protesté qu'il cherchait seulement à établir l'existence de vaisseaux spatiaux conduits par des extraterrestres et a dit être absolument certain que les Américains ont réussi à récupérer une technologie antigravité extra-terrestre. Le Figaro a décrit un homme qui « ne se lave plus, vit en peignoir dans son appartement, perd son travail et que sa petite amie quitte »[1]. Il passe ses journées et ses nuits à pirater les ordinateurs militaires américains, obsédé par la recherche d'informations sur les extra-terrestres et tout cela depuis sa chambre dans le nord de Londres.

Gary McKinnon, le hacker qui voulait connaître les secrets gouvernementaux sur les OVNIS

Procédure judiciaire

McKinnon a d'abord été poursuivi et arrêté sur la base du Computer Misuse Act (Loi concernant les délits informatiques) par la National Hi-Tech Crime Unit britannique en 2002, mais a été relâché sans être inculpé et sans supplément d'information.

Il a été à nouveau arrêté en juin 2005 et cette fois-ci relâché sous caution et sous conditions, entre autres qu'il n'aurait plus le droit d'accéder à Internet. S'il est extradé aux États-Unis et reconnu coupable, McKinnon risque jusqu'à 70 ans de détention. Il a fait savoir qu'il se battrait contre les procédures d'extradition et qu'il préférait passer devant un tribunal britannique puisqu'il n'a que peu confiance dans le système judiciaire américain.

Suite à la perte de son procès en appel en Grande-Bretagne contre son extradition le 30 juillet devant la Chambre des Lords, ses avocats avaient déposé une ultime requête auprès de la Cour européenne des droits de l'homme[3] évoquant les traitements inhumains ou dégradants qu'il subirait en détention s'il venait à être condamné aux États-Unis. Mais McKinnon a été débouté le 28 août 2008[4].

Il ne peut donc plus s'opposer à son extradition. Ses avocats ont cependant décidé de faire de nouveau appel en se basant sur le fait qu'un syndrome d'Asperger a été diagnostiqué chez leur client[5],[6]. Cet appel a été également rejeté mais selon ses avocats, McKinnon pourrait plaider coupable d'avoir enfreint la loi nationale encadrant les usages informatiques et être ainsi jugé sur le territoire britannique, ce qui suspendrait son extradition[7].

Le ministre de l'intérieur britannique a suspendu, le 27 octobre 2009, la procédure d'extradition et a annoncé qu'il examinerait avec beaucoup d'attention les nouveaux éléments versés au dossier médical de Gary McKinnon[8].

fr.wikipedia.org

Auteur

  • Gary Mckinnon

Source

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