Orgueil et humilité
19 septembre 2010 par Tomtom333
Dans Spiritualité | Ecouter
L'orgueil
L’orgueil est une impression d’importance qui va être colorée par différentes vibrations, dont celle principale du cœur.
Pour un cœur dur, l’orgueil sera vil. Il créera de la séparation et du mépris ; il jugera et jaugera du haut de sa suprématie. C’est l’orgueil pédant et agressif, et c’est de loin le plus dangereux pour soi et les autres.
Dans un cœur doux ou ouvert, l’orgueil sera gentil (orgueil caché, orgueil secret), est ne se révélera que par des sentiments de grandeur pouvant aller jusqu’à la mégalomanie. Il n’est pas méchant mais insidieux, car il transforme alors la réalité à sa grandeur.
L’un est l’autre est invisible pour celui qui ne s’étudie pas.
Mauvaise nouvelle :
L’illumination n’est pas la fin de l’orgueil.
Bonne nouvelle :
Cela nous laisse du temps pour nous y préparer. (pour ceux qui attende la lumière)
Un certain sage précisait que la vanité ne meurt jamais, et que de tous les travers Humains, il est celui qui guette le disciple et le maître tout au long de sa vie terrestre, et certainement au-delà.
L’humilité
L’humilité est la clef de voute de la spiritualité, c’est elle qui nous soutient dans la voie juste et pure de la dévotion du cœur à l’amour lumière. Elle nous protège et nous garde de ne pas nous faire grossir la tête par la puissance du cœur.
Nous sommes des Dieux oui, mais nous ne sommes pas UN Dieu.
Voici le risque le plus grand que l’âme bénit par la lumière court : se voir séduire par l’orgueil de sa puissance.
L’humilité est un travail de tout les jours, de chaque instant : non pas se dire, je suis petit, je suis laid ; au contraire ! Mais je suis grand(e), je suis beau(elle) et tout(e) puissant(e), mais cela ne fait pas de moi un Dieu.
La frontière est subtile, et la transformation du plomb en or se fait dans un travail sur soi délicat et technique.
Quelque pistes vers l'humilité :
JE SUIS, mais ne suis rien d'autre que ce qu'IL veut.
Je peux reprendre mes attributs divin, je serais alors égal au TOUT, mais jamais supérieur à rien de ce qui émane du tout, ni inférieur.
Je gagne jour après jour en pouvoirs, en puissance, je deviens de plus en plus grand (aura...), pourtant je ne suis RIEN de moi même, j'émane SA volonté et me rapproche tout simplement de LUI.
Tout m'est donné, je ne possède rien en propre.
Tout m'est prêté, je jouis de royaumes illimités si merveilleux que cela dépasse mon imagination.
Je peux exprimer toutes choses et tout pouvoir pour le bien des autres par la grâce de Dieu. Je suis humble et respectueux de toutes choses.
Le petit moi n'existe pas, c'est une merveille qui me permet de jouer à ne pas être MOI (le moi divin), mais c'est une illusion qui fait partie du jeu cosmique : et je vais la dépasser !
IL est MOI, moi est contrôlé par mon MOI, mais je ne le connais pas encore. Actuellement mon moi n'est qu'une illusion, un rêve de MOI.
Je ne suis rien, IL est tout. L'univers est moi, il me forme.
Amour pour tous.
Auteur
- Tomtom333
Mais non Slw, swadhisthana est juste le nom du chakra situé entre le nombril et les zones génitales : swa : le sien, dhisthana : demeure
Sa propre demeure, ou être soi même…
Beaucoup de blocages à ce niveau, je pense que Nagual confirmerait…
Amstramgram, le swadisthana, est Yesod, le fondement ,l’illusion du pouvoir, le seul pouvoir est Maitrise dans le coeur….
Swadisthana est Ancrage du Je, le Soi n’est pas là… quand tu dit c’est moi en te pointant avec le doigt, tu le met où le doigt? et bien sur le coeur..
Non tu pense pas?
Non non j’ai dit :le « je suis » prend sa Source dans le sacré et ensuite fait le tracé de la croix : ancré, centré en le cœur, et aligné (coronal)ça c’est la route du SOI et du PRESENT ICI ET MAINTENANT et pas un seul chakra c’est inexact .
L’interprétation erronée provient du fait qu’en parlant d’être dans le coeur, tout est mélangé et se réduit à ce seul chakra du coeur, non il y a un circuit énergétique et vibratoire.
La demeure du souffle, Che Menn et Xi menn en médecine chinoise, la porte de pierre (« tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirais mon église »)et l’Océan d’Energie… 5VC et 6VC, corespondant en arrière au Ming Menn, leVG; porte des reins, du mandat et de la destinée….
le SOI est anahata, ou 17vc LE Trann Chong, milieu de l’homme, et le 18VC , la chambre de Jade, le temple intérieur pour les chinois.
La demeure et le temple sont deux choses différentes. non?
Dans l’un est le souffle qui anime; ou Ruach, dans l’autre est Neshamah, l’âme….
Chacun y va de sa définition, c’est bien comme ça
Très intéressant à développer l’énergie déployée dans ce chakra, je vais vous dire une vérité que je n’ai jamais dîtes mais que je crois : c’est le chakra de toutes les horreurs, de toutes les bestialités, c’est ici que tout est neutralisé, et renvoyé en énergie pure.
Tout le mal peut être sublimer à partir de ce chakra… D’ailleurs n’avez-vous pas senti sa puissance dans des situations de tromperie/cocufiage, d’abus sexuel divers et variés ? non ? moi oui.
Ce n’est ni bien ni mal, c’est comme ça. Si vous avez des précisions à ce sujet, ça m’intéresse…
Là je te rejoins totalement, swadisthana est le siège de beaucoup de conflits….
l’émotion « Peur » y est contenue, les codages karmiques (pour ceux qui y croient encore)aussi.
C’est d’ailleurs le seul chakra en thérapie ayurvédique qui ne peut être guéri en s’adressant à lui=même, il faut soit se servir de Vishuda, avec le quel il est quasi sytèmatiquement couplé, soit d’anahata.
Le Pouvoir ne se traite pas avec le pouvoir, sinon il n’y a pas transcendance..
il me semble que je comprends peut être mieux tes mots sexuels…
C’est à dire ? Tu veux dire qu’avec la sexualité le pouvoir peut être transcendé ?
Pourtant c’est loin d’être le cas quand on regarde de ce coté là…
Par contre le travail tantrique est tout autre, et c’est bien l’énergie sexuelle qui en étant sublimé va ouvrir le corps et l’âme au divin ; c’est l’alchimie magique du sexe et de l’amour lumière.
Dans l’amour.
JE DIS EXACTEMENT L’ inverse….Tomtom, il est impossible de guérir ou d’avoir une relation tantrique quand le swadisthana est atteint…
Juste !moi dit idem
Dans le yoga le swadistana est le chakra sur le quel on place une grande attention.
le nettoyage y est constant,bain de pieds, mantra, citron, nourriture adapté ect…
par contre c’est lui qui apporte la connaissance,
l’importance, de prendre conscience de ses émotions et de les confier à brahma qui se charge de les purifier n’est pas inutile si l’on désir la connaissance et ouvrir les portes du troisième c la maîtrise.
Claude
Le bain de pieds permet l’ouverture du plexus solaire et non le sacré G.C
Yam, [la retenue, la maîtrise] est un pont entre vous et les autres; la retenue veut dire: retenir votre comportement. Yamest un phénomène entre vous et les autres, entre vous et la société. C’est un comportement plus conscient; vous ne réagissez pas inconsciemment, vous ne réagissez pas mécaniquement, comme un robot. Vous devenez plus conscient; vous devenez plus vigilant. Vous réagissez uniquement lorsqu’il y a nécessité absolue. Là aussi, vous essayez que ce soit une réponse et non une réaction.
Une réponse diffère d’une réaction. La première différence est qu’une réaction est automatique alors qu’une réponse est consciente. Quelqu’un vous insulte, immédiatement vous réagissez; vous l’insultez. Il n’y a pas eu un seul instant d’espace pour comprendre, c’est une réaction. Un homme de retenue attendra, écoutera son insulte et y pensera.
Gurdjieff avait l’habitude de dire que sa vie entière a changé parce que lorsque son grand-père était mourant, Gurdjieff avait tout juste neuf ans, son grand-père l’a appelé et lui a dit: « je suis un homme pauvre et je n’ai rien a te donner, mais je voudrais donner quelque chose. La seule chose que j’ai portée comme un trésor est ceci; cela m’a été donné par mon propre père…. Tu es très jeune, mais tu t’en souviendras, un jour tu comprendras; rappelle-toi simplement et un jour tu comprendras. Pour l’instant je n’espère pas que tu comprennes, mais si tu n’oublies pas, un jour tu comprendras ». Voici ce qu’il a dit à Gurdjieff: « si quelqu’un t’insulte, ne lui réponds qu’après que vingt-quatre heures se soient écoulées ».
C’est devenu une transformation, parce que comment pouvez-vous réagir après vingt-quatre heures ? La réaction a besoin de l’urgence. Gurdjieff dit: « Quelqu’un m’insultait ou quelqu’un disait quelque chose mal et je devais dire: « je viendrai demain, il m’est seulement permis de répondre après vingt-quatre heures. J’ai donné une promesse à mon grand-père; il est mort et la promesse ne peut pas être cassée; mais je viendrai ».
L’homme devait être déconcerté, il n’était pas capable de comprendre le sens de tout cela. Gurdjieff y pensait et plus il y pensait, plus cela semblait inutile. Parfois il avait le sentiment que l’homme avait raison; que tout ce qu’il avait dit était vrai. Alors Gurdjieff allait et remerciait l’homme; « vous avez mis en lumière quelque chose dont j’étais inconscient ». Parfois il en arrivait à la conclusion que l’homme avait eu absolument tort et lorsque l’homme a absolument tort, pourquoi se donner la peine ? Personne n’accorde d’importance aux mensonges. Lorsque vous vous sentez blessé, il doit y avoir une certaine vérité dans cela; autrement vous ne vous sentiriez pas blessé. Même là, il n’y aurait aucune raison d’y aller.
Gurdjieff disait: « Cela s’est produit de nombreuses fois où j’ai essayé la formule de mon grand-père et peu à peu la colère a disparue ». Non seulement la colère, mais peu à peu il a prit conscience que la même technique peut être utilisée pour d’autres émotions et tout a disparu.
Gurdjieff était l’un des sommets les plus hauts qui a été atteint en cet âge, un Bouddha. Et tout le voyage a commencé avec un très petit pas, une promesse donnée à un vieil homme mourant; cela a changé sa vie entière.
Yam est le pont entre vous et les autres. Vivez consciemment; soyez consciemment en relation avec les gens.
Puis les deux suivants, niyamet asan [observance et posture] concernent votre corps. Le troisième, pranayam [la régulation du souffle] est de nouveau un pont. Tout comme le premier, Yam est un pont entre vous et les autres, les deux suivants sont une préparation pour un autre pont; votre corps est préparé par niyam et asan et pranayam est le pont entre le corps et le mental. Ainsi pratyahar [l'abstraction] et dharana [la concentration] sont la préparation du mental. De nouveau, dhyan [l'état sans pensée] est un pont entre le mental et l’âme. Samadhi [la conscience ultime] est l’accomplissement. Tous sont liés; une chaîne et c’est votre vie entière.
Votre relation aux autres doit être changée, la façon dont vous êtes en relation doit être transformée. Si vous continuez à être en relation avec les autres de la façon dont vous l’avez toujours fait, il n’y a aucune possibilité de changer. Vous devez changer votre façon d’être en relation. Observez comment vous vous comportez avec votre femme ou avec votre ami ou avec vos enfants. Changez cela, il y a mille et une choses à être changé dans votre façon d’être en relation. C’est Yam, la retenue; mais une maîtrise, pas une répression. Par la compréhension vient la maîtrise, par l’ignorance l’on en vient à la contrainte et à la répression. Faites toujours tout avec une compréhension et vous ne nuirez jamais ni à vous-même ni à personne d’autre.
Yam doit créer un environnement agréable autour de vous, si vous êtes hostile envers les autres, haineux, en colère, comment pouvez-vous vous tourner vers l’intérieur ? Toutes ces choses ne vous permettront pas de vous tourner vers l’intérieur; vous serez si dérangé en surface que ce voyage intérieur ne sera pas possible. Créer une atmosphère agréable, amicale, autour de vous c’est: Yam. Lorsque vous êtes harmonieusement, consciemment en relation, avec les autres, ils ne vous créent pas de difficultés dans votre voyage intérieur, ils deviennent des aides; ils ne vous font pas obstacle.
Si vous aimez votre enfant, alors, lorsque vous méditez il ne vous dérangera pas, il dira aux autres: « Tenez-vous tranquille; papa médite ». Mais si vous n’aimez pas votre enfant, que vous êtes simplement en colère alors, lorsque vous méditerez, il créera toute sortes d’ennuis, inconsciemment il veut se venger. Si vous aimez profondément votre femme elle vous soutiendra; autrement elle ne vous permettra pas de prier, elle ne vous permettra pas de méditer, vous dépassez le champ de son contrôle.
Un homme Yam a un contrôle de lui-même, pas sur les autres. Aux autres il donne la liberté. Vous essayez de contrôler l’autre et jamais vous-même. Un homme Yam a un contrôle de lui-même, il donne la liberté aux autres, il aime tant qu’il peut donner la liberté et il s’aime tellement qu’il a une maîtrise de lui-même. Cela doit être bien compris, il s’aime tellement qu’il ne peut pas dissiper ses énergies; il doit leur donner une direction.
Alors, niyam et asan sont pour le corps. Une vie régulière est très saine pour le corps parce que le corps est un mécanisme. Vous mettez le corps dans la confusion si vous menez une vie irrégulière. Aujourd’hui vous avez pris votre repas à treize heure, demain vous le prenez à onze heures, après-demain vous le prenez à dix heures, vous mettez le corps dans la confusion. Le corps a une horloge biologique interne; elle se déplace selon une certaine structure. Si vous prenez votre repas chaque jour à exactement à la même heure, le corps est toujours dans une situation où il comprend ce qui arrive et il est prêt pour l’événement; les sucs gastriques coulent dans l’estomac au bon moment. Autrement, chaque fois que vous voulez prendre votre repas, vous le pouvez, mais les sucs gastriques ne couleront pas et si vous prenez votre repas et que les sucs gastriques ne coulent pas, alors la nourriture devient froide; alors la digestion est difficile.
Les sucs gastriques doivent être prêts dans l’estomac pour recevoir la nourriture pendant qu’elle est chaude; alors la digestion commence immédiatement. La nourriture peut être absorbée en six heures si les sucs gastriques sont prêts, en attente. Si les sucs gastriques n’attendent pas, alors cela prend douze à dix-huit heures, alors vous vous sentez lourd, léthargique. De ce fait, la nourriture vous apporte la vie, mais ne vous donne pas la vie pure. C’est une sensation de poids sur votre poitrine; d’une façon ou d’une autre vous le portez, le traînez. La nourriture peut devenir une énergie tellement pure mais pour cela une vie régulière est nécessaire.
Si vous allez vous coucher chaque jour à dix heures, le corps le sait; exactement à dix heures, le corps vous donne un signal. Je ne parle pas de devenir obsessionnel; et que si votre mère est mourante, de continuer à allez vous coucher à dix heures. Je ne dis pas cela. Parce que les gens peuvent devenir obsessionnel… Aucun besoin de devenir obsessionnel, tout doit être fait avec compréhension.
Niyam et asan, régularité et posture, sont pour le corps. Un corps maîtrisé est un beau phénomène; une énergie maîtrisée, rayonnante, toujours plus que nécessaire et toujours vivante…jamais terne ni morte. Alors le corps devient lui aussi intelligent; le corps devient lui aussi sage. Le corps rayonne d’une nouvelle vigilance.
Ensuite, pranayam est un pont, la respiration profonde est le pont du mental au corps. Vous pouvez changer le corps par la respiration; vous pouvez changer le mental par la respiration. Pratyahar et dharana, rentrer à la maison et la concentration, appartiennent à la transformation du mental. Puis dhyan est de nouveau un pont du mental au soi, ou au non soi; selon ce que vous choisissez de l’appeler. Il est les deux. Dhyan est le pont du samadhi... [message tronqué - 10000 caractères max]
Que vous êtes compliqués avec vos théories de 30000 km …
moi je l’explique autrement : la sexualité a ceci de sain qu’elle permet de contacter sa polarité manquante, l’orgasme et sa jouissance est un aperçu de l’unité à atteindre.
Quand on est en Unité spirituelle,le JE SUIS total intégré et assimilé on n’a plus besoin de cela,plus de pulsion, car l’unité est partout et la pulsion sexuelle ni meme tantrique n’a plus aucun sens.Cette jouissance fusion énergétique est ressentie partout dans chaque moment présent.
Évidemment , ceci est de la maîtrise et n’a rien à voir avec ceux ou celles qui sont dans le contrôle ou le manque sexuel pour d’autres raisons personnelles , dans la pulsion refoulée.
Amstragram; on est entièrement d’accord sur les processus observés en pathologie, là où je diffère, le Coeur est tout, de lui tout rayonne et tout est transcendé, voilà pourquoi peu d’êtres perçoivent en Vérité le chakra du coeur tourner vraiment, encore moins la couronne radiante….
La porte et la clé, est le coeur.
chercher ailleurs ou autrement conduit à des illusions et désillusions… après vingt cinq années de médecine énergétique voilà où j’en suis arrivé. Bien sur ce n’est que mon expérience, et celle d’autres de plus en plus nombreux qui rentrent en leur Unité.
coeurdialement
Je pratique le JE SUIS en exercice énergétique avec Saint-Germain en adombrement total depuis juillet et je te dis ma Verité. Par ailleurs, Pierre L. le disait de la même façon que moi. A croire qu’il y a deux écoles..peut être.
LA PORTE EST LE SACRE CAR PORTE DE L ELAN VITAL, énergie féminine orange
Là GC je trouve que tu deviens compliqué
Je pourrais plus mais<<… je préfère rejoindre la simplicité de l'ami par son yoga d'une efficacité sans précédent
Claude
Ben oui, il suffit de… c’est simple, hein Tomtom?
bisous
Amstramgram : of course!
GC;oui le Yoga de l’Unité de Un Ami c’est l’aboutissement du Kriya yoga, que même Patanjali n’avais jamais dévoilé…
merci Un Ami….
Amstramgram; il y a effectivement plusieurs écoles…. toutes revendiquent le même but… bien sur…
à chacun de faire SON expérience…
Gc; t’en pense quoi? toi qui pratique le Yoga de l’Unité?
Très bel enseignement sur la maîtrise, simplement 24 heures
oui chérie je te répondrai dans 24 heures, quand on repeuple la terre???dans 24 heures si on ne change pas d’avis.
vois tu Arrabelle à force de rencontrer des dysfonctionnement du au excès de sexe ou simplement au valeur apporté face à cette problématique dans notre société. Je peux t’affirmer que c’est par ce créneaux que le pouvoir est le plus efficace.
je conçois qu’a l’origine c’est un magnifique outil de partage, mais je ne suis pas certain qu’il est utilisé dans ce sens actuellement.
Je peux t’assurer que le peux que j’ai vécu du coeur n’a aucune comparaison avec l’amour, la jouissance physique.
Je te souhaite de vivre en simplicité ces merveilleux moments de plénitudes du coeur et de venir nous reparler de ses moments qui ne peuvent trouver de mots pour expliquer ce que l’on vit.
la clé ne serait -elle pas la simplicité de l’instant
claude
Pense que je parle de jouissance physique comme tu l’exprimes est ta perception erronée , je parle de perception d’unité , c’est la même , mais nous ne pouvons être surs de pouvoir le partager car très peu sont en unité sur la terre très très peu oins de deux mains.
Ps par ailleurs tes expériences dans le domaine physique ne sont peut être pas parlantes pour comprendre l’analogie que je fais….
Je ne te suis pas, je ne vois pas de comparaison possible
vivre l’autre en unité n’appelle pas le sexe,
je ne peux comparer jouissance divine et jouissance sexuelle.
et quand bien même tu ai pus passer dans le coeur par l’acte sexuel, la différence reste réel et la possibilité de vivre l’autre en vérité est activé en totalité.
et cela avec qui que se soit de réaliser.
je veux juste dire qu’il est bien de transcender les vécus et la totalité des domaines terrestres.
Claude
Merci pour la colle
je n’en pense rien je suis sur que chacun et chacune son sur la voie qu’il on choisi.
sahaja yoga m’ouvrait les portes du yoga de l’unité, et comme dirait Nagual « tu es trop simpliste » normal que je choisisses un enseignement simple, qui part sur le ressenti de soi.
je pense qu’il y a plusieurs écoles, et aussi plusieurs choix, actuellement je rencontres des gents qui vive l’ouverture du coeur ainsi que le ressenti du souffle divin. par contre d’autre qui ne s’en soucie nullement et qui je crois vont continuer un bout de chemin dans un corps carboné.
Ce qui m’interpelle le plus c’est ce besoin de rentrer le plus fréquemment en soi et d’aller y trouver la paix.
vivre une fois la joie ne s’oublie pas et appelle à l’abandon.
le problème c’est qu’il faut accepter de poser les valises,
c’est qu’il est important, d’observer l’observateur,
de vivre en simplicité,d’accepter l’autre dans ses délires, dans son entièreté.
oh oh, mais que dis-je ce n’est plus la vie comme elle est perçue par la société,
c’est tellement simple que la société le refuse
Claude
Magnifique témoignage Claude qui va certainement te valoir les foudres des justiciers de la raison ici; lol
En les citant, tu les génères.
Ah? quelqu’un se sent visé? donc il en fait une affaire personnelle!
Le trantrisme est bien plus que la sexualité; encore des déformations occidentales pour justifier certains travers ; le sexe ayant été longtemps comprimé a besoin d’être reconnu et se libère de façon extrême, voire perverse. La sexualité n’est qu’une partie du tantrisme dont le but est la quête du Soi. C’est une voie parmi d’autre qui va dans la simplicité. C’est donc un très pur enseignement.
La voie du coeur est la porte du Soi. la voie du coeur est équilibre, la porte étroite. La voie du coeur est abandon.
Ci-dessous un interview d’un éveillé tantrique Daniel Odier qui a été initié dans cette voie et dont je recommande par ailleurs l’excellente lecture de son ouvrage « Désir, passion et spiritualité ».
Nouvelles Clés : Tradition indienne d’origine lointaine, voie spirituelle toujours d’actualité, système de pratiques énergétiques et sexuelles : dès que l’on parle de tantrisme, en Occident, la confusion règne… À la lumière de votre expérience, qu’est-ce que le tantrisme ?
Daniel Odier : Le tantra est, pour moi, une voie millénaire et absolue en laquelle chacun est « reconnu » comme ayant en son propre cœur les attributs de la divinité (« Reconnaissance spontanée » : c’est le sens du mot Pratyabhijnâ, l’école dont j’ai reçu la transmission de mon maître cachemirien, la yogini Devî). Le Soi est Shiva, la conscience porte en elle l’essence du divin. La voie consiste à reconnaître cette essence en soi, par l’enseignement ou de manière spontanée.
N. C. : Rien à voir, donc, avec les pratiques ou thérapies sexuelles qui ne cessent de se multiplier sous le nom de « Tantra » ?
D. O. : Pour moi, il n’y a pas de tantra sans transmission et sans lignée qui remonte à la source, et toute la confusion vient de là. Les lignées du « néo-tantra » ne remontent pas en deçà de leurs initiateurs, elles ont une trentaine d’années. Depuis toujours, le mot « tantra » a fasciné, et les écoles les plus étranges s’en sont réclamées. Il y a eu des sectes qui promulguaient le meurtre rituel, comme les fameux Thugs, dont l’origine remonte au Moyen-Âge et qui se transformèrent en guerilleros contre les colons anglais, mais aussi d’autres sectes pour lesquelles le cannibalisme ou la violence contre les brahmanes faisaient acquérir des mérites spirituels… La force du tantra, c’est qu’il balaye toutes les déviances apparues depuis un ou deux millénaires. Les déviances contemporaines sont très « soft » et mineures, en importance si ce n’est en nombre, et si naïves qu’elles se sont toutes accrochées à la sexualité, qui est vraiment le miroir aux alouettes contemporain. Mais on peut comprendre ce désir de transformer une voie millénaire d’une profondeur et d’une subtilité incomparables en « prêt à jouir » spirituel : c’est notre tendance générale actuelle. Elle vient simplement de l’ignorance et de l’absence de filiation. Ceux qui prétendent l’enseigner n’ont même pas eu accès à la partie « sexuelle » des enseignements auxquels ils se croient rattachés, et qui dans la tradition n’est enseignée que de manière exceptionnelle. Elle n’est d’ailleurs absolument pas indispensable, et on peut parcourir toute la voie traditionnelle sans qu’elle ait lieu.Il y a donc un leurre total. Les thérapies sexuelles telles qu’elles sont apparues dans les années soixante ont leur valeur propre, leurs connaissances profondes des mécanismes sexuels et de leurs techniques. Elles n’ont pas besoin du passeport mystique. Pourquoi leur accoler le mot « tantra » ?
N. C. : D’où vient, pourtant, que le tantrisme véhicule une image à ce point associée à la sexualité ?
D. O. : La sexualité du tantrika, c’est le rapport de toute la sensorialité avec le monde. C’est le frémissement (spanda) qui naît lorsque le désir se satisfait de sa propre incandescence en ayant abandonné toute idée d’atteindre un être ou un objet. Il y a alors complétude. Un être qui a besoin de l’autre pour masquer son incomplétude, ou pour la nourrir, ne connaît que des « rapports sexuels », une tentative illusoire d’achèvement qui tient du cannibalisme mutuel et porte en lui de la violence, du désespoir et une certaine forme de désillusion, de beauté tragique, qui est d’ailleurs l’une des matières premières de l’art. Pour celui qui est sur la voie tantrique, l’union sexuelle peut être une manière de jeu merveilleux qui commence à être vécu, par instants de grâce, comme une expérience directe, sans que la pensée différenciatrice s’impose. C’est un jeu passionné sur un terrain accidenté où l’aspirant touche aux limites de son abandon, au surgissement de la pensée, au blocage de la spontanéité, au manque de confiance qu’il peut avoir quant à la sagesse de son propre corps. Lorsque cela peut être vécu de cette manière, c’est une ascèse, car on s’aperçoit très vite de nos limitations, de nos projections, de notre solitude que nous cherchons à masquer au lieu de la vivre. Aller au fond de sa solitude, c’est voir qu’elle est une construction mentale et la faire éclore dans l’expérience non-duelle. Ces jeux nous aident à frôler l’essence des choses et, lorsque la paix profonde de la yogini accomplie touche la paix profonde du yogin, se révèle la puissance de la Shakti qu’on appelle Kundalini. À cet instant, il n’y a pas de dualité, pas de début, pas de fin, pas de « rapport », mais un frémissement qui, comme l’amour, ne saurait naître, atteindre son acmé puis disparaître. Lorsqu’il y a sexualité, il n’y a plus d’espace-temps. Il ne s’agit pas de transcender le désir mais, au contraire, de le porter à une telle incandescence qu’il inclut « l’autre » dans son propre frémissement.
N. C. : On parle souvent de « voie de la main droite » et « voie de la main gauche ». Qu’en est-il de cette distinction ?
D. O. : Dans les réunions tantriques, au Cachemire, les adeptes qui pratiquent le rituel sexuel sont placés à la gauche du maître, les autres à sa droite. Comme ils sont assis en cercle, il y a un moment où la gauche n’est plus différente de la droite… Par extension, ceux qui pratiquent les trois M, c’est à dire consomment de la viande (mâmsa) à l’occasion, de l’alcool (madya) ou des substances hallucinogènes, et pratiquent l’union sexuelle (maithuna) sont considérés comme pratiquants de la main gauche. Mais, plus généralement, on peut dire qu’un maître authentique pratique avec l’intégralité de ce qui est, et que, même sans avoir reçu de transmission sexuelle, on peut être considéré comme pratiquant de la main gauche lorsque les sentiments violents sont intégrés à la voie. Même le maître le plus doux sera, à l’occasion, un maître de la main gauche, lorsqu’il faudra que le disciple affronte sa peur fondamentale. Fondamentalement, ce sont des divisions d’universitaires puritains qui se servent de cette dualité pour condamner la voie de la main gauche. Ces divisions ne correspondent pas à la réalité.
N. C. : Vous-même, vous avez reçu cette initiation à maithuna. Vous l’évoquez dans votre livre. La transmettez-vous ?
D. O. : Je ne me sens pas encore la capacité de la transmettre, car je sais ce qu’elle est en réalité. Les vrais chercheurs n’aspirent pas à l’union sexuelle avec celui qu’ils suivent, mais à la conscience du Soi. Je les respecte. Lorsqu’il n’y a ni tabous, ni puritanisme, ni soif de pouvoir, ni prétention à être un maître, ni limite, il n’y a pas de passage à l’acte, tout n’est qu’harmonie, grâce et spontanéité.
N. C. : Quel est le rôle du maître, dans la tradition tantrique ?
D. O. : Dans un sens profond, le maître n’est que le miroir de notre propre liberté fondamentale. Il n’est jamais un intercesseur, il n’a rien à nous donner, nous avons tout en nous. On dit qu’une sadhana commence lorsque le disciple comprend qu’il n’est pas différent du maître. Il n’y a donc jamais d’allégeance. On peut dire que les maîtres tantriques sont là pour faire éclater le syndrome de soumission. Un maître nous pousse à l’examen, à la critique, à la vigilance, à l’irrespect, au non-conformisme, d’autant plus qu’il accepte et montre que le travail est incessant, même pour lui. Aucun maître tantrique ne devrait d’ailleurs se présenter comme un maître, puisqu’il n’a rien à transmettre. Tout est déjà présent chez le disciple. Ce qui se manifeste dans ce rapport, c’est de l’amour sans objet qui dissipe simplement les brumes et les opacités qui nous faisaient croire que quelqu’un allait nous libérer. On se met à l’écho de la spontanéité de celui qui nous accompagne dans cette reconnaissance, pour nous faire goûter à la liberté d’être.
N. C. : Quelles sont les qualités requises pour suivre cette voie ?
D. O. : L’incandescence, la passion, l’acceptation intégrale de ce qui constitue l’être humain, l’ombre et la lumière. L’allergie aux groupes, aux préceptes, à l’obéissance, à la purification, aux croyances de toutes sortes, à tout attrait New Age. Le doute par rapport au maître, l’absence de doute par rapport à ses propres capacités. Le simple désir de ne rien être d’autre qu’un être ordinaire jouissant de l’intégralité de ses capacités au sein d’une société telle qu’elle est. Il n’y a pas de place, dans le tantrisme, pour le surhomme détenteur de secrets et de pouvoirs extraordinaires ; donc pas de place pour le rêve romantique du sacré. Rien que la réalité intégrale.
N. C. : Pas de place, non plus, pour cet autre rêve romantique d’une relation amoureuse « épanouie », « sacralis�... [message tronqué - 10000 caractères max]
(Suite)
N. C. : Pas de place, non plus, pour cet autre rêve romantique d’une relation amoureuse « épanouie », « sacralisée » par la pratique tantrique ?
D. O. : Encore une fois, nous avons affaire à un fantasme d’Occidental. La sexualité est, dans l’égalité avec toute autre manifestation de la sensorialité, un lieu de Conscience. D’ailleurs, dans les pratiques du Vijnânabhairava tantra, sur cent-vingt ou cent-trente pratiques, il n’y en a que trois qui concernent maithuna. C’est dire à quel point la sexualité, dans le sens où nous l’entendons habituellement, est intégrée au tout. Pratiquement, il y a un abandon au souffle profond, qui fait qu’il n’y a plus de différence entre maître et disciple. À ce point, l’identité se fête par la Grande Union. Alors, l’orgasme n’a plus besoin de la détente de l’éjaculation, car le tantrika a intégré l’énergie féminine. L’idéal tantrique est celui de l’intégration de la dualité homme-femme dans la plénitude. Shiva est souvent représenté comme un hermaphrodite. Il est capital de bien comprendre qu’on ne dévoile pas la Conscience à coups d’exercices énergétiques, d’agitation, de gesticulations, de danses pseudo-chamaniques et autres friandises du « faire », mais par la lente et douce émergence de l’amour sans objet, qui attend paisiblement que nous cessions de poursuivre l’inatteignable.
N. C. : En quoi la sâdhana du tantrisme peut-elle convenir aux Occidentaux ?
D. O. : Le tantrikâ considère qu’entrer dans la voie, c’est accepter son corps, sa sensorialité, ses émotions et ses pensées comme le lieu même de l’éveil. Mais il considère également que ce noyau de conscience incandescent est sous-jacent à toute manifestation de l’univers. Tout n’est que conscience, pour lui. Sa pratique est donc de laisser affleurer la conscience dans tous les mouvements de la vie, afin que la conscience intérieure et la conscience extérieure s’unifient dans leur réalité commune, et que cesse la perception fallacieuse de la dualité. Cette non-séparation du tantrikâ et de l’univers me paraît merveilleusement adaptée à tous ceux qui sont insatisfaits par les dogmes, les croyances et l’assujettissement à une autorité religieuse. Pourtant, c’est une voie difficile, car elle passe par l’abandon de tous les points d’ancrage et nous, les Occidentaux, en avons beaucoup. Ce n’est surtout pas une voie de facilité, et nous aimons la facilité ; nous aimons tout ce qui nous détourne de notre solitude. C’est une voie théoriquement simple mais pratiquement ardue, parce que non fantasmatique, fondée uniquement sur la Réalité au sein de la société, sans aucune échappatoire, sans possibilité de fuite dans le merveilleux, le rituel, la magie, les vies antérieures, les autres mondes, la métaphysique.
N. C. : Nombre de ceux qui cherchent une voie spirituelle sont motivés par un manque, un vide qu’ils disent ressentir dans leur vie. Ils espèrent un soulagement.
D. O. : La vie est insupportable tant qu’on ne la vit pas. La pratique n’est rien d’autre que la présence à la réalité. Lorsqu’on est présent, la lumière et la joie se dégagent de la banalité même, donc n’importe quelle perception, n’importe quelle émotion, n’importe quelle pensée, n’importe quelle action nous réveille à notre propre plénitude. C’est ce que nous appelons « l’inversion du support ». La vie ne change pas : c’est notre regard qui se modifie.
N. C. : Qu’est-ce que la pratique tantrique a changé dans votre vie ?
D. O. : Je suis passé de l’absence et de l’automatisme généralisé à la présence progressive, donc à la sensibilité toujours plus profonde de ce qui est là, spatial, étincelant, entrecoupé de moments d’absence qui sont considérés comme des préludes au rejaillissement de la Conscience. La culpabilité s’est graduellement éteinte et la spontanéité s’est accrue. Lorsqu’il y a ouverture, je peux accepter mon trouble ou mon absence.
L’émerveillement devant la réalité croît de jour en jour, les contacts sensoriels sont de plus en plus fins, si bien que tout fait entrer en frémissement. Les émotions ne sont plus antagonistes à la voie mais, libérées, elles deviennent au contraire son véhicule. La libre circulation des choses est de moins en moins bloquée par le mental, et la joie jaillit spontanément. L’action est plus immédiate, plus limpide. Il y a plus de lenteur, de grâce, de non-réactivité. La conscience des blocages est rapide, et l’auto-libération des phénomènes plus habituelle.
N. C. : Et dans la relation amoureuse ?
D. O. : Dans la relation amoureuse, ou dans la relation à « l’autre », cet « autre » disparaît en nous comme nous disparaissons en lui, dans le même mouvement. Il n’y a donc plus de projections. Reste l’amour, non de quelque chose ou de quelqu’un, mais l’amour tout court. Disons, plus simplement, qu’il y a une reconnaissance presque constante d’être en vie.
Maithuna, le rituel d’union sexuelle
L’initiation telle que je l’ai reçue est celle du frémissement de tous les sens, qui retournent ainsi à leur demeure qu’est la Conscience. Pour le tantrika, il n’y a pas de différence entre un rapport sexuel génital et le rapport sensoriel que nous entretenons avec la réalité qui nous entoure. Pour lui, l’activité ne mène pas à la Conscience : elle en procède, et y retourne, après s’être unie à l’objet. Rien ne vient de l’extérieur. La Conscience coule telle une source vers le monde, le touche profondément, en son noyau incandescent et frémissant, et revient à la Conscience dans une circulation continue. Maithuna est la reconnaissance que cette liberté est déjà atteinte par l’aspirant, et que le fruit du yoga est mûr. En aucun cas ce n’est un rituel dans le sens d’un acte magique qui permettrait de goûter à un état de plénitude qui nous ferait défaut. Pour prétendre à l’initiation, il faut avoir réalisé que le désir ne saurait se satisfaire d’un objet, et que l’incandescence est ce qui demeure quand le désir de quelque chose est consumé. Le samâdhi frémissant et continu est la porte étroite d’accès à maithuna, car l’union symbolise l’union préalable du tantrika et de l’univers. Beaucoup de maîtres la donnent d’ailleurs par le regard, le rêve lucide, le contact non génital, la voix ou l’esprit.
Vous pourrez toujours tenter de donner le change dans tes phrasés qui n’ont d’intérêtS que cette mensongère attitude qui vous caractérise dans ce qui est le paraitre et ce qui est réellement.
Parce qu’avec toutes vos connaissances étalées et expériences, je trouve tout à fait surprenant que vous soyez pire que ceux qui n’ont jamais abordés tout ce qu’à priori vous étalez.
C’est une raison qui démontre que vous êtes totalement faux et malhonnêtes ; cela se justifiant dans les nombreuses interventions de la brèle qui pète bien trop souvent un cable et devient hystérique dès qu’on la titille faute de travail sur soi et d’équilibre émotionnel. Elle ne réfléchit plus loin que le bout de son nez et se laisse emporter par la vague comme une vulgaire algue sans accroche.
Je pense que la pitié pourrait venir expliquer le comportement de Nagual si ce n’est la honte de te voir ainsi agir et mettre en doute toutes ses capacités de maitre énergétique.
Parce que au fil de vos interventions plus celles de Sabrina qui sont tout à fait éloquentes de vos disfonctionnements énergétiques, vous passez pour des comiques.
T’es grillé, Nagual, je te l’ai dit. Non seulement tu ne pouvais gérer la brèle mais en plus tu ne gères pas tes ex.
C’est pas là ce que je pourrais appeler la maitrise d’un être qui vient sans arret moraliser et donner des enseignements qu’il ne sait mettre à profit..
Lorsqu’on voit l’état de chiffonières avancé dans lesquelles se tortillent en public les compagnes de Nagual, cela démontre combien, ces faux enseignants ne sont que dans les apparences et surtout l’ignorance de se rendre compte que ceux qui les écoutent encore ne sont plus du tout dupes et n’avaleront plus ce lot de de sornettes sorties de la bouche de ces sacripans.
De suite nous voyons, Jean Luc Ayoun sauté sur l’occasion pour venir placer ses enseignements à deux ballles digne de débiles de premier niveau cela même qui suivent ses conférences…
C’est trop tard mon vieux t’es grillé aussi !
On a compris que tu n’avais rien d’autre dans le ventre que cette envie d’argent et de pouvoir.
Caractéristiques communes qui font ton alliance avec le couple de bouffon qui s’enfonce de minute en minute dans un tourbillon de bêtises.
Et oui, entre obèses on se comprend.
Quant à Nagual, de ces attaques que tu dis ne pas en être, je te dis que tu es comme ces personnes lamentables dont tu t’entoures et qui te desservent sans nul doute, que tu es un être tellement en prise à tes égotiques élucubrations que tu n’es plus fichu de te remettre en question et de voir que tu te fous une honte comme jamais je crois, un membre de choix ne l’a fait !
Quantà vouloir projetter tes cacas sur moi, tu devrais savoir que qu’énergétiquement, je suis hors de ta juridiction. On ne joue pas dans le meme square.
Tu es obligé de remettre tes pouvoirs au pendule. Les miens sont en moi et non monnayables.
La brèle, bientot tu seras sur le banc avec Sabrina !
et la on pourra parler de Nagual et de ses tempéramments de coq égotique !
Personne n’est dupe Yaris : Haine et mépris sont des maîtres mots et le désir de nuisance est plus fort en toi que tout autre but. Et surtout tu te fais un film basé simplement sur tes propres projections en interprétant ce qui n’existe pas : quelle inconscience et quelle méchanceté tu affiches devant tous !
Est-ce cela ton soi-disant discernement ?
Jouer au bourreau avec ma personne à l’air de te plaire beaucoup tout comme victime qui se sent attaquée ou projette sur les autres ces éternels films de bourreau-victime qui nourrissent l’ombre et la noirceur de ce monde.
Un minimum de discernement te serait utile pour comprendre que les mots que tu exprimes te reviendront au centuple tant ils vibrent dans le DENI de l’autre.
C’est ton choix. Mais vois-tu on a deux choix en chaque instant : le choix de l’Amour ou le choix de la Souffrance. Le tien est clair.
Nagual
Oui Oui sabrina, tout est possible..
Plusieurs voies….
Plusieurs buts…
AUSSI….
Chacun son but…
C’est la liberté, la responsabilité…
Et aucun n’est supérieur à l’autre
certains voient leur point de vue comme supérieur, il n’en est rien, le point de vue de chacun, est son point de vue, qu’il vit à un stade de conscience qui lui est propre.
Peut être que certaines voies conduisent à vivre sa vie, tout à fait autrement que ce que l’on envisage pour Soi-même.
tes échanges avec Amstramgram, en sont un preuve.
la question est; pour chaque UN; « ou es ton royaume? »
l’un n’a jamais tort ou raison au détriment de l’autre, jamais. seul l’ego voit comme cela, pas le SOI
Aumnamasivaya : Sabrina & Aapm est Alice ….
Tu m’éclaire là Amstramgram?
L’agression appelle l’agression dans l’ego…
Bon Tomtom tu vas quand voir yaya??? (il y a urgence!) lol
Ce n’est plus à moi d’en décider…
♥
Oui Alice, c’est bien de parler de tantrisme, à l’heure actuelle combien existe t’il de vrai maître en ce domaine.
je doute de recevoir un témoignage d’expérience vécue sur ce site.
serais-tu prête à vivre cette expérience à l’époque actuel en vivant la vérité.
Le tantrisme à été un enseignement d’une grande qualité utilisé à une époque donné.
Je préfère cent fois vivre en vérité que suivre de multiple conditionnement dans le simple but d’espérer vivre un bref instant le samadhi.
la simplicité reste mon outil de prédilection
Claude
Mon cher Claude, je ne parle pas de tantrisme, Daniel Odier en parle. A plusieurs reprises j’ai entendu ici des gens évoquer cet enseignement. Il est bon de faire parler ceux qui pratiquent.
Le tantrisme est un enseignement d’une grande qualité qui est toujours d’actualité. C’est une voie d’éveil parmi tant d’autres. C’est une voie très simple (ancrée dans la vie de tous les jours, l’observation à chaque instant) mais la pratique est ardue. Elle est ardue face à nos résistances. C’est toujours la même chose. Si tu n’as pas de résistance Alleluia, soit heureux et distribue ta joie.
Belle journée !
Tu as tellement raison Claude…je te suis et mon objectif est la réalisation de Dieu et le dépassement des désirs dans l’amour inconditionnel. Le reste est jugement et peut être même un peu de jalousie secrète parfois.
Et bien si tu veux Alice, je suis sur Bordeaux et de bonne volonté.
Mais est-ce que cette voie te plait ?
♥
Ah je viens de lire ce qu’il y a au dessus…et bien, ah toi de voir si le déplacement te semblerait utile ou pas…
Bises.
♥
Oui Tomtom33 cette voie est belle.
Je te trouve très rigolo et spontané. Parfois agaçant. Ta bonne volonté me fait doucement sourire …
… Mais j’aime le parler franc et direct dans le respect d’autrui.
Tu sembles passioné et la voie tantrique pourrait te correspondre. Va trouver des maîtres à la valeur de ta quête car je ne suis pas un maître.
La présence est fondamentale il me semble…
Belle journée !
Oui bien sur je sais que tu n’es pas un maître Alice… Belle journée à toi aussi.
♥
Bon je vais m’absenter quelques jours et permettra de poser tout ça.
A certain et tout spécialement Yaya :
Ces prises de becs récurrentes sont finalement ce qu’il faut éviter, et réussir à les éteindre est l’objectif. Cibler les (mauvaises) vibrations et les transformer n’est pas chose facile il est vrai, et pourtant…c’est essentiel.
Bonne suite à tous, et surtout de l’amour.
« il est bon de faire parler ceux qui pratique »
sérieusement, je ne vois pas ce que l’enseignement d’un autre non vécu personnellement apporte à mon moulin.
Affirmer que cette voie est belle sans l’avoir vécue ne serait-il pas brûler les étapes et guider d’autre vers des chemins plus que douteux?
vivre la vérité, c’est vivre sa vérité.
Claude
Si cela ne t’apporte rien, ce n’est pas grave gc, passe ta route, de toute façon, ce texte ne t’était pas destiné.
Je ne guide personne. Tomtom33 que je considère comme mon égal comme toi et tout autre ici, a plusieurs fois évoqué l’expérience du tantrisme. Il est attiré par cela et au fond de lui il sait pourquoi. Tout revient toujours à soi.
Le tantrisme est un excellent enseignement pour ceux qui ont la passion dans le corps. Dans beaucoup d’enseignements, la passion est à réprimer, or le tantrisme est une voie qui aide à transcender la passion et non à la réprimer.
La passion est un feu dévorant. J’ai perçu ce feu en Tomtom33 parce que moi même je suis aussi ce feu. Peut-être que je me trompe, auquel cas aucune importance.
Oui vivre sa vérité. La vérité n’est ni dans les sens, ni dans les mots, ni dans les pratiques. Elle est dans l’expérience du Soi.
Belle journée !
Merci pour l’article.
Je ne sais si c’est un bon enseignement, car je ne lis pas tes dires par l’expérience que tu en a retiré, donc je suis moins enclin à accepter un conseil qui ne s’appuie que sur de l’air.
Tu me dis que la vérité est dans l’expérience de soi,
je ne vis pas la vérité, je suis désolé.
tout comme le feu que vit tomtom lui est propre,
tout comme le nôtre aussi,
dans ces perspectives doit on le consumer ou le guider en son centre?
lire un article sur le tantrisme, puis le conseiller, sans en faire l’expérience, sans en connaître les particularités subtil et les pièges qu’il enferme, je suis désolé de ne point cautionner.
je suis toujours étonné qu’a l’origine seule les femmes connaissaient les secrets des tantras et pratiquaient cette art en maître. maintenant un nombre d’hommes biens intentionnés en parlent sans replacer la femme en son centre, en tant que femme ne croit tu pas que sa cache quelques choses de louche.
car de ce que j’ai pu comprendre de cet art pratiqué à deux, l’homme ne peux le pratiquer que si une femme expérimentée le guide.
comme tout enseignement, la barrière entre le coté sombre et la lumière est étroite.
de plus est ce vraiment utile de perdre son temps à des années de pratiques, alors que l’ami nous propose un yoga efficace qui nous ouvre les portes du samâdhi.la jouissance suprême.
excuse moi de jouer les rabats joie, je suis désolé de te contredire, j’aimes trop l’homme que pour ne pas être attentionné.
Pardonne moi pour cette intrusion qui je l’espère ouvrira plus grande les portes du partage.
Claude
Bonne nuit Gc
Ha j’oubliais, c’était dans le post mais je te le rappelle au cas où: « Désirs, passion et spiritualité », Daniel Odier livre de poche.
Cela te permettra de mieux comprendre aussi ce que j’appelle le feu de la passion, ce feu qui dévore et qui détruit avant de le canaliser et d’en faire quelquechose dans la vie.
Merci pour ce conseil
il m’aurait été utile il y a une bonne dizaine d’année
maintenant j’ai reçu le soutient et cela m’a permit un meilleur équilibre
je comprends mieux
passe une bonne nuit
dans les bras de la douceur divine
Claude
Super alors !
Bonne nuit dans la paix du soi
Nagual parle de mon manque de discernement.
Nous allons un peu te remettre le pendule à l’heure.
Ta liste d’adjectif n’est pas exhaustive puisque plus on te connait et plus on s’aperçoit qu’il en manque.
Rajoute : chimpanzé nagualien, décérébré, menteur, sans coeur…J’en laisse pour plus tard !
Ne vient pas confondre agressivité et honnêté quoiqu’il est difficile j’en conviens en ce qui te concerne de savoir ce que veut dire être honnête.
Si tu es toujours fourré derrière mes basques c’est que tu as besoin de prendre la leçon de la grande Ds.
Première question :
Explique-moi comment un être aussi avancé que toi dans le chemin spirituel s’encombrent de poules braillardent qui, je dois le dire, au vu de leurs échanges, mettent en évidence ta bêtise mais plus encore ton incapacité à être centrés et faire les bons choix.
Car de toute évidence, Labrèle et Sabrina sont toutes deux sur la même longueur d’onde à savoir le reflet égotique prétentieux de ce que tu cherches à cacher dans des blablas où tu t’enfonces un peu plus à chaque fois.
T’es meme plus grillé, t’es calciné.
Et dis toi bien, que ce que je dis tout est pensé tout bas par le grand nombre de lecteurs qui viennent lire choix.
Comme une maison qui se verrait entourer d’immeuble et perdrait 90 % de sa valeur, tes stages aussi !
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Les imposteurs se démasquent !
Bye, bye chimpanzé Nagualien…Ton arrêt spirituel de pacotille est décrété !
Poil au né !
OooooooooooooOOOOOOOOOOO
Gc revient à des propos moins hérétiques !
Prend-il des cachetons, où a-t-il simplement compris qu’il devenait un vrai mutant ???
Comment peux-tu parler ici de spiritualité alors que tu te déclares athée et refuse l’existence de Dieu ?
De plus en plus dans le délire Yaris. Madame ne supporte pas la critique et ce qui lui résiste ! Elle s’investit donc dans le CONTRE pour nourrir son MOI JE. Il est dur d’admettre que tu agis avec haine et mépris. Mais ce n’est qu’un constat et tu le prouves une fois de plus.
C’est ton choix de vivre BOURREAU de l’autre. Tes propos n’intéressent plus personne à par toi.
Ton avis n’a de valeur que pour l’ego que tu nourris en toi avec la méchanceté et le cynisme que tu exprimes de manière croissante.
Cela ne te fera pas avancer.
Continue de tourner en boucle comme les hamsters.
Nagual
Ah parce que ne pas etre sûr de l’existence de Dieu comme définit humainement et se déclarer athée empêche de parler de spiritualité ??
Tu vois cette phrase que tu as écrit sans réfléchir vient éclairer totalement l’être dépourvu de bon sens que tu es et qui plus est la mise en lumière des tous ces mensonges visant à nous faire croire que tu es un être avancé sur le chemin soit tolérant et dans l’amour.
Nous sommes tous en quête de l’être à travers un chemin spirituel, dans nos croyances propres…Tous !
Mais pour sûr, tu ne l’as pas encore compris !
Une vision très ancienne du cœur qui fait encore aujourd’hui beaucoup de ravage.
Cette vision suggère la possible perversion du cœur et incite l’individu à culpabilisé.
L’univers est relation, rien n’est séparer et cela même ci notre perception le suggère.
Le cœur est le centre par lequel nous entrons en relation consciente avec nous même, les autres, l’univers.
l’orgueil est une expression qui n’est pas celle du cœur mais plutôt une réaction émotionnel qui surgit en nous.
Une réaction qui nous nous fais sursauter lorsque nous réalisons au combien nous nous sommes éloigner ne nous même et des autres.
A cet instant l’orgueil exprime ce que nous sommes et les sentiments qui l’accompagnent sont tristesse isolement peur colère.
Quant aux croyances, elles sont semblable à une lanterne que l’on porte dans notre dos,elle n’éclaire que le chemin parcouru.
Les choix que nous faisons sont toujours le fruit d’un arbitrage et nous amènent immanquablement à la contradiction.
Le cœur est intègre, il l’a toujours été et le seras toujours.
Réalisant cela nous pouvons le réintègre ou bien continuer d’orbite
Mouais ! Tu peux dire ça alors que tu faisais des crises d’hystéries et que tu avais peur de la foule !
Arrête ton film et les paroles rose pompomes girl ici on est dans les énergies Audiard.
michelaudiard.com