Qui est Stan Maillaud ?

Né le 7 janvier 1968 à Paris, il fut l’instigateur de « mai 68 ».

Puis, il grandit aux Antilles Françaises, en Martinique puis en Guadeloupe, jusqu’à l’âge de onze ans.

Il aimerait la mer, le soleil et les bananes ; notre enquête n’a pas encore révélé pourquoi.

Il finît sa scolarité à Montpellier, à l’âge de seize ans, pour devancer son service militaire un an plus tard – personne ne sait à quoi il employa l’année intermédiaire, mais nous supposons qu’il aurait tenté de repasser son BAC, après avoir refusé de se présenter à l’examen, un an plus tôt.

Il devait avoir une vie particulièrement trépidante ; il fut gendarme, parachutiste dans les forces spéciales – mais pas longtemps, à cause de sa peur du vide – garde du corps, portier de boîte de nuit et patron d’une agence de sécurité privée, sur l’Ile de la Réunion – où il aurait migré à la recherche de bananes…

Il finît sa course en prison, ayant été accusé d’être à lui tout seul un groupe de combat, et condamné trois ans plus tard pour avoir donc bien été un groupe de combat…

Il est aujourd’hui sans profession – mais si vous lui posez la question il vous dira que son nouveau métier c’est… … « Bandit d’Honneur », ou encore, « terroriste civique » ! – sans domicile fixe, – là encore il préfèrera vous dire qu’il habite partout où Mère Nature l’accueille…- et rejète en bloc le système sociétal criminel qui nous est imposé, et s’en porte à merveille – en fait, le rejeter lui paraît inepte, il s’est alors mis en tête de le détruire !…

Aujourd’hui âgé de 41 ans, il est athée, apolitique, végétarien, et hétérosexuel qui s’assume…

Peu conventionnel et ringard, il a les pédophiles en horreur, en particulier s’ils sont magistrat.

Autant dire qu’il est très remonté contre notre appareil judiciaire…
Depuis environ deux ans, il fait d’ailleurs l’objet d’un mandat d’arrêt pour avoir refusé de se soumettre à la prétendue autorité judiciaire, suite à son intervention citoyenne pour aider un enfant victime de terrorisme d’Etat ; Vincent.

Depuis le 5 mars 2009, son mandat d’arrêt est confirmé, et il a été condamné en délibéré à un an de prison ferme pour « soustraction de mineur », par des magistrats corrompus – pardonnez le pléonasme – et protégeant un réseau de criminels pédophiles, sur Perpignan.

Lors de cette audience publique du 5 mars au TGI de Perpignan, l’avocate générale demanda un an et demi de prison ferme pour Stan Maillaud, sans pour autant donner corps légal à l’infraction qui lui était reprochée, mais en présentant le prévenu – absent pour l’occasion, bien qu’il ait été prévenu… – comme « un chevalier blanc au grand cœur… …voire chevalier noir, si c’est lui Zorro »…

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La rumeur publique veut que l’avocate générale qui fit son surprenant réquisitoire serait en fait amoureuse du prévenu-pas-venu, et se serait vengée qu’il ne soit pas venu à l’audience…

Stan Maillaud ; après avoir été condamné en 2004 à subir une psychothérapie pour avoir trop bien protégé ses clients, vient d’être condamné à un an de prison ferme pour avoir un grand cœur…

Tout compte fait, il a raison de passer du côté terrorisme fusse-t-il civique, ou du banditisme, fusse-t-il d’Honneur…

Bref ; en cavale, le « Zorro blanc » à l’ego exaspérément envahissant nargue le pouvoir criminel en place, à commencer par l’appareil judiciaire, et Nicolas Sarkozy himself – alias Nicky l’américain – qu’il entend renverser lui-même à travers une action révolutionnaire, et attraper par une de ses oreilles – il ne veut pas dire laquelle mais les « grandes oreilles » sont sur le coup…

Il prétend juste monter un vrai groupe de combat – mais avec des participants, ce coup ci -pour saisir l’oreille qui l’intéresse, estimant, Dieu seul sait pourquoi, que l’Etat lui doit… …un groupe de combat, justement…
Affaire à suivre…

L’ancien gendarme.

« Rentré par idéal, sorti par dégoût » ; par ces quelques mots, il résume cette brève irruption dans le milieu des forces de l’ « Ordre ».
Il effectue son service militaire dans l’arme en 1986, et, après un interlude de deux ans où il travaille dans la sécurité privée, il rentre en école de sous officiers de gendarmerie, à Chatellereau.

Il sera gendarme mobile moins de trois ans, et choisira de démissionner pour effectuer une mutation inter-armée et rentrer au 1e RPIMa de Bayonne ; une unité spéciale.

La raison de cette reconversion si rapide ?

Une carrière en gendarmerie devenue invivable, depuis qu’il s’était rebellé contre les actes de violences sur les autochtones par ses collègues départementaux, à l’occasion d’un déplacement en Guyane française :

Envoyé en renfort à la brigade de gendarmerie de Kourou, en 1992, il fut le témoin d’exactions particulièrement graves de la part des militaires de cette unité, entre les descentes sauvages dans les quartiers pauvres de Kourou, suivies de passages à tabac de pauvres bougres ; les trafics de drogue et d’armes organisés au sein même de la brigade, et les viols de prostituées, thème principal des patrouilles de nuit.

Passablement perturbé par ce qu’il découvrait de l’arme, il fut un beau jour le témoin de violences sur un Surinamien de quinze ans, qui échappa pour l’occasion au viol collectif proposé par les membres du détachement qui devait le raccompagner jusqu’à une brigade frontalière avec le Surinam ; détachement de gendarmes dont il faisait partie.

Mauvaise plaisanterie, ou tentative de compromission avec réelle volonté de passer à l’acte sur le pauvre gosse ?… Il n’en saura jamais rien, ayant cassé l’ambiance sans permettre que la situation ne dégénère.

Il perdit son sang froid, générant son renvoie immédiat de ladite brigade de ripoux, vers son unité d’origine.

Au retour en métropole, tentant de s’expliquer sur les raisons pour lesquelles il avait été renvoyé de ladite brigade départementale, il était décrété mythomane par sa hiérarchie ; il fut même l’objet d’une expertise psychiatrique, qui, fort heureusement, devait, au lieu de le faire plonger, le déclarer « P1 » (psychologiquement irréprochable).

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Mais, son rêve d’une carrière au service de son prochaine fut brisé à jamais, et il ne fut plus jamais perdu de vue par la rancunière vieille gardienne de la république.

Durant le temps qu’il resta dans l’arme jusqu’à sa démission, il essuya de sérieux coups tordus dont un, particulièrement bas ; son arme de tir personnelle – étant membre de la FFT à titre purement privé – disparut dans des conditions troubles.

Il fut immédiatement accusé de s’être volé lui-même son arme de poing, et bien que celle-ci fut un bien personnel sans aucun rapport direct avec ses fonctions, l’opportun incident déclencha les feux de l’enfer, avec toute les disgrâces possibles, de la part de sa hiérarchie, et même de l’autorité judiciaire de Montélimar.

Dans la foulée, ce furent certains de ses effets de dotation, cette fois, qui devaient disparaître, apportant de l’eau au moulin des accusateurs acharnés ; il était temps d’anticiper sur ce qui devait suivre, et de démissionner pour une mutation inter-armée.

Son bref passage dans la maréchaussée, qu’il qualifie d’erreur de jeunesse, lui permit de constater, au passage, la volonté profonde de sa hiérarchie à pousser les jeunes gendarmes à la haine raciale, en particulier, ainsi que d’apprécier que la paix sociale primait sur la sécurité de ses concitoyens.

Ce fut la révélation d’une société gangrenée, à ses premiers pas dans ce qu’il est coutume d’appeler la « vie active ».

Si vous l’interrogez sur le recul qu’il a par rapport à cette expérience, il vous répondra qu’il est toujours gendarme, que son idéal est intact, au point que se soit toujours ce qui l’anime contre vents et marées ; protéger son prochain, et par extension, toute forme de Vie sur Terre.

« Para un jour ; para toujours ! »

Sa carrière au 1er Régiment Parachutiste d’Infanterie de marine, reprise pratiquement au bas de l’échelle, s’annonçait plutôt bien – malgré la répugnance des paras vis à vis de l’arme dont il venait.

Pourtant elle tourna court également, au bout d’à peine deux ans ; une disparition de matériel sensible – deux postes émetteur-récepteur radio – au sein de la cellule qu’il avait intégré récemment – « l’Instruction Spécialisée » -, lui fut attribuée.

Le commandant REFFALO – chef de cette cellule, membre de la société secrète de l’Ordre de Malte d’après ses propres vantardises, et pour la petite histoire – n’hésita pas à désigner l’ex-gendarme comme coupable certifié, aux enquêteur de la brigade de Bayonne, accourus sans délais pour l’occasion, et dont les consignes semblaient avoir été données par avance.

Le plongeon du jeune para fut magistral.

Deux mois de brimades en tous genres plus tard, les fameux postes-radio manquant furent retrouvés sur les lieux où ils avaient été… …oubliés par un de ses principaux accusateurs, le lieutenant ROSSINI, membre de la même cellule « Instruction Spécialisée ».

Entre temps, sa « réputation de mythomane » l’avait rattrapé, s’associant avec sa paranoïa déclarée pour l’occasion ; en effet, il n’arrivait pas à appréhender ce curieux incident comme étant le fruit du hasard…

Le jeune parachutiste avait été tellement roulé dans la boue au sein de sa nouvelle unité, suite à ce coup monté, qu’il préféra ne pas insister quand il apprît, sur ces entre-faits, que son père était mourrant ; il posa sa démission, cette fois, pour aucune réorientation en milieu militaire.

Aux prises avec la mafia maçonnique de l’Ile de la Réunion :

En 1994, Stan Maillaud se rendit sur l’Iles de La Réunion pour accompagner son père Ian dans son « dernier voyage ».
Ses parents étant partis vivre sur l’Ile, il y resta après la mort de son père.

Il y fut portier de boîte de nuit ; puis il monta une entreprise de protection des biens et des personnes ; aux vues d’un climat d’insécurité préoccupant, et de l’inefficacité caractérisée des pouvoirs publics, il créa une équipe privée d’intervention pour pallier ladite inefficacité.

Une épopée particulièrement épique de plusieurs années, entre les coups fourrés des pouvoirs publics et la délinquance, le conduisit finalement à la ruine, à la prison et à la disgrâce publique, à l’âge de 33 ans, en 2001.

Entre temps, il avait « fait régner la terreur » chez les voyous qui rentraient dans le périmètre de Saint-Gilles les Bains, avec son équipe privée d’intervention – dûment agrémentée ! – au service d’un regroupement de commerçants et de résidents qu’il avait initié, et servit sans faillire.

Son initiative originale faisant de l’ombre aux pouvoirs publics, et courrouçant la franc-maçonnerie locale, il fut accusé d’escroqueries diverses et « d’organisation de groupe de combat ».

Après une liquidation de sa première entreprise, organisée frauduleusement par le tribunal de commerce local et sa clique de voyous – dont le rosicrucien PIEC, liquidateur judiciaire – il fut reproché à Stan Maillaud d’être – à lui tout seul ! – ledit « groupe de combat », sans aucun autre élément à sa charge qu’une récolte de faux témoignages.

La brigade de recherche de Saint-Paul, avec le gendarme véreux du nom de Emmanuel PRISSETTE, sous les ordres du capitaine BON, avait arrangé le tout, pour la forme…

L’agrément de Stan Maillaud ne lui fut d’ailleurs supprimé qu’après son inculpation…

Bref ; après deux mois de prison, il entreprit une défense impossible, englué dans les fils de la franc-maçonnerie locale, véritable ramassis de petits parvenus corrompus et pourris.

Il fut condamné en première instance, grâce à la complicité d’un voyous notoire, un certain auxiliaire de justice du nom de Gilbert Collard. – Voir article Stan Maillaud, le retour –

Mauvais perdant, et à cours d’argent, il réitéra son « crime », remontant avec sa mère la copie conforme de son « groupe de combat » Saint-Gillois, cette fois dans le sud de l’île.

Il fit affaire principalement avec la communauté musulmane – malgré une fracassante campagne de diffamation organisée par les médias – assurant même la sécurité de la Mosquée de Saint-Pierre ; insigne honneur, selon lui.

Evidemment, il fit appel entre-temps, changeant de voyous pour sa défense.

De nouvelles aventures – voir Paris-Match : « Kidnapping au nom de l’amour » et « Stan Maillaud, échappé de l’enfer » – le stimulèrent jusqu’en 2005, jusqu’à ce qu’il soit contraint de se rendre chez un « frère maçon », psychothérapeute expert près la cour d’appel de son état.

Abandonné par son deuxième traître d’avocat – le franc-maçon Patrick Rizzo, de Nice – et redoutant l’internement qui lui pendait au bout du nez, il quitta la Réunion en catastrophe, ignorant l’invitation du frère psy.

« Par défaut », il fut condamné en appel à subir une psychothérapie, ainsi qu’à un an et demi de prison avec sursis, et une interdiction, à vie, de travailler dans la protection privée.

Le président de la cour d’appel de Saint-Denis – un caractériel notoire et pro-pédophile du nom de Salzmann – , frustré de n’avoir pu obtenir l’expertise qu’il avait ordonnée, s’était alors octroyé les compétences d’expert psychiatre pour juger de la dangerosité paranoïde de Stan Maillaud.

Courant 2005 ; dernières missions de protection rapprochée, pour le compte d’agences de la Côte d’Azur, où Stan Maillaud fut provisoirement réfugié.

Ayant engagé son dernier recours, la cassation, sa condamnation était suspendue le temps que n’intervienne cette ultime décision de « justice ».

Perdant le recours en question, sans plus de surprise, Stan Maillaud partit sur la trace de ses ancêtres Corses, et se reconvertit dans le coaching sportif.

L’origine du combat contre les réseaux de criminels pédophiles et sataniques :

C’est en septembre 2006 que Stan Maillaud revint sur le continent, pour rentrer en contact avec un certain Christian Cotten, président d’une association, prétendue de lutte contre les violences judiciaires ; Politique de Vie.

Stan Maillaud, toujours aussi mauvais perdant, entendait pousser son dossier à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, et espérait dans le même temps trouver l’aide nécessaire pour éviter l’internement, auprès du psychothérapeute Christian Cotten.

En fait d’aide pour son propre dossier, Stan Maillaud, bonne poire, se fit embrigadé dans la « bande à Cotten », ce dernier le réquisitionnant pour mettre en forme des rapports d’enquête de ses nombreux dossiers.
Christian Cotten, candidat aux présidentielles, attirait beaucoup de victimes de violences judiciaires, mais n’avait guerre de temps pour traiter sérieusement leurs dossiers.

Alors, l’ex-gendarme tomba des nus ; il découvrit des vérités insoupçonnées sur le système sociétal dans son ensemble, sur tous les thèmes possibles et imaginables.

Si il avait fait, par ses propres expériences, une brèche dans la chape d’illusion qui habille notre système sociétal, il parfit son éducation, accédant à des dossiers et des vérités épouvantables.

La révolte et le dégoût au ventre, Stan Maillaud s’acharna au travail, mais ne voyait rien publié pour autant sur le site de son nouvel « ami ».

Qu’à cela ne tienne ; il rédigea des rapports chronologiques sur des affaires de violences judiciaires qui touchaient des mamans victimes, avec leurs enfants, de réseaux de criminels pédophiles, impliquant les pouvoirs publics – voir « scandale judiciaire à Montpellier » – ; il accompagna Christian Cotten dans des audiences publiques, et intervint même au jugement en appel de l’affaire de l’Ordre du Temple Solaire, à Grenoble, suppléant à Christian Cotten partie civile dans le dossier, pour ses interventions à la barre.

Stan Maillaud fut également témoin de la complicité des magistrats dans le drame du village de Bourg-Fidèle, lors de l’audience publique des malheureux villageois empoisonnés, face au criminel impuni, le patron de l’usine de traitement de piles, « Métal Blanc ».

De retour au bureau, le bénévole redoubla d’effort, et continua à rédiger des rapports qui ne furent jamais publiés sur le site de « Politique de Vie », jusqu’au jour où un dossier atterrît sur son petit bureau ; celui d’un enfant de dix ans, un certain Vincent…

Malgré l’épée de Damoclès en suspend au dessus de sa tête dure – la condamnation à subir une psychothérapie -, Stan Maillaud accepta de descendre à Grenoble pour rencontrer l’enfant et sa mère venus, eux, de Perpignan pour rencontrer l’avocat de « Politique de Vie », Jean-Pierre JOSEPH.

Dans le bureau du sympathique auxiliaire de justice, l’ex gendarme fit connaissance de l’enfant, de sa mère, et découvrit le dossier, explicité par Jean-Pierre JOSEPH.

Celui-ci précisa, après avoir demandé à madame ROIG et à son fils Vincent de bien vouloir attendre dans la salle d’attente :

« – Si tu veux aider ce gosse – le tutoiement vient du fait que les deux hommes avaient « plaidé » côte à côte dans le dossier de l’OTS – il n’y a rien d’autre à faire que de les délocaliser ; c’est trop pourri, je ne peux rien faire, et le gosse court un sérieux danger ».
Le mot à mot n’y est pas ; mais presque.

Briffé par le juriste, Stan Maillaud prit alors contact téléphoniquement avec le président de l’association qui l’avait mandaté pour effectuer un rapport d’enquête ; une vive discussion s’envenima rapidement.

Stan Maillaud prétendait aider l’enfant autrement qu’en rédigeant un rapport chronologique, et Christian Cotten lui ordonna de remonter au siège de l’association, à Boulogne Billancourt, et « d’arrêter ses délires ».

La suite, vous la connaissez ; si ça n’est pas le cas, vous la découvrirez dans le rapport chronologique que Stan Maillaud acheva… …à sa sortie de prison, suite à son inculpation pour « soustraction de mineur » ; « l’affaire Vincent ».

Suite à ce dramatique épisode, et à trois semaines d’incarcération – et de grève de la faim – Stan Maillaud décida de ne plus prêter sa voix à ce sinistre théâtre que constitue notre appareil judiciaire, et de ne pas risquer que les imposteurs de magistrats ne s’aperçoivent de son talon d’Achile pour l’exploiter ; sa condamnation à subir une psychothérapie, laquelle, par miracle, leur avait jusqu’ici échappée.

Il faut savoir également que, pendant qu’il abritait l’enfant et sa grand-mère, il tenta d’alerter toutes les autorités possibles de nos institutions politiques et judiciaires ; en vain.

Il savait depuis lors qu’il n’avait rien d’autre à attendre des pouvoirs publics, tout comme Vincent, que plus de mesures terroristes.

Il mit donc en ligne sur un site qu’il créa pour l’occasion, le témoignage vidéo qu’il avait pris la précaution de recueillir de l’enfant – le fameux « témoignage de Vincent » – ainsi que le rapport écrit accompagné de ses pièces jointes.

Il effectua également, sur la base de ce dossier, la saisine du président du conseil supérieur de la magistrature, rendue publique sur Internet par le biais d’une première vidéo lettre à Nicolas Sarkozy.

Puis, il se mit en quête de matière première pour répondre à l’argumentaire par lequel les magistrats corrompus prétendaient refuser toute justice et toute protection à l’enfant, à savoir :

*
qu’il ne pouvait que mentir en raison des horreurs qu’il prétend dénoncer
*
que les réseaux de criminels pédophiles n’existaient pas
*
que de toutes façon, tout le monde savait bien que depuis l’affaire d’Outreau, il ne fallait pas prendre en compte la parole des enfants.

Stan Maillaud, étant tombé sur le rapport de Juan Miguel PETIT, rapporteur spécial de l’ONU, entreprit une enquête concernant l’affaire citée par ce fonctionnaire ; l’affaire du CD ROM de Zandvoort.

C’est ainsi, que, s’étant rendu en Flandre pour interviewer l’activiste Marcel VERVLOESEM qui découvrit le dit CD ROM, il apprit qu’en fait ce dernier avait récupéré 21 CD ROMS, et que ceux-ci contenaient une quantité effarante de photos et de films de viols, tortures avec actes de barbarie d’enfant, de bébés, jusqu’à la mise à mort.

Stan Mailaud découvrit dans le détail la monstrueuse affaire, qui recoupait à la perfection les déclarations du petit Vincent, et apprit que celle-ci avait fait l’objet d’une campagne de terreur de la part des autorités Belges pour l’étouffer, avec la complicité des dirigeants européens concernés.

De retour en France, toujours en cavale, il effectua une nouvelle saisine du Chef de l’Etat français, sur ce sujet précis à travers sa deuxième vidéo lettre publique à Nicolas Sarkozy.

Puis, il dénonça toujours sur Internet, la monstrueuse affaire, ainsi que la complicité effective des dirigeants et institutions politiques et judiciaires de nombreux pays, dont le nôtre ; voir « opération panique chez les ignobles »

A ce jour, il n’eut aucune autre réponse que des tentatives pour faire taire ses accusations.

Stan Maillaud réalisa des mois d’enquête sur les réseaux de criminels pédophiles et/ou sataniques dans notre société. Ce qu’il découvrit est cauchemardesque, et fera l’objet de prochaines diffusions sur Internet.
Mais la prochaine programmée, c’est le reportage qu’il fit au printemps 2008, jusqu’à la veille de l’incarcération de l’enquêteur flamand, Marcel Vervloesem.

Ce reportage était encore au montage en mars 2009.
Stan Maillaud est arrivé à la conclusion que notre système sociétal dans son ensemble est un montage criminel, inclus dans une vaste organisation criminelle internationale, ce qui expliquerait toutes les horreurs et incohérences de notre société moderne.

Il affirme que l’on ne peut obtenir justice d’une organisation criminelle, et que c’est justement ce qui nous régit, à travers notre funeste imposture de démocratie.

Des gênes de Résistant :

Si d’aucun prétendent que la pédophilie ou le nazisme ont une origine génétique, que dire des antécédents familiaux de Christian Maillaud, alias Stan ?

Son grand-père maternel, le Basque Raymond Paluat, fut – épaulée par sa femme, la corse Berthe Rutily – un résistant plus qu’engagé durant la deuxième guerre mondiale.

Il commandait un réseau de renseignement en Afrique du Nord, avec lequel il procédait régulièrement à des exfiltrations de juifs.
Il fut enfermé deux ans par les nazis, mais en sortît vivant à la fin de la guerre.

Le grand oncle paternel de Stan Maillaud, Robert Maillaud, officier Hussard, mourut au front face à des chars nazis.

Il avait un grand frère, qui lui survécu plus longtemps :

Pierre Maillaud, alias Pierre Bourdan de son nom de guerre ; grand-père paternel de Stan Maillaud.

Journaliste à l’AFP, il rallia le général de Gaulle le lendemain même de son célèbre appel, bouleversé par la mort de son jeune frère.
Il participa à la création de l’émission « Les français parlent aux français » de la BBC, et l’anima durant les quatre années d’occupation, insufflant courage à une résistance désespérée, tout en renseignant les Résistants.

Malgré le rôle crucial que fut le sien, et les bombardements qui étaient le quotidien qu’il partageait avec les londoniens, il estima qu’il devait également partager le danger des soldats du Débarquement ; et le grand jour arriva en même temps que la « voix de Londres » se tut.

Pierre Bourdan débarqua avec ses galons de lieutenant, au sein de la Division Leclerc.

Parti en mission de renseignement, il fut capturé derrière les lignes ennemies, pour être déporté dans des fourgons à bestiaux.

Il s’évada, puis fut à nouveau intercepté et laissé pour mort sous les décombres d’une bâtisse pilonnée par une section d’artillerie ennemie, où il avait trouvé refuge dans sa cavale.

Miraculeusement indemne, comme les deux compagnons de cavale qui l’accompagnaient, il réintégra la Division Leclerc pour participer à la libération de Paris, puis poursuivre son offensive en territoire ennemi, et libérer les prisonniers des camps de concentration.

Pierre Maillaud était célèbre, et adulé par ses compatriotes au point qu’il entreprit, au lendemain de la guerre, une carrière politique.

Il fut ainsi député, puis ministre du gouvernement Ramadier avec trois portefeuilles ; celui de la Jeunesse et de la Culture, qui fut l’occasion pour lui d’inaugurer le Festival de Cannes et de créer le Festival d’Avignon ; celui de la Jeunesse et des Sports, qui fut l’occasion de promouvoir le scoutisme ; et celui de l’Information.

Là, il oeuvra pour la liberté de la presse, supprimant notamment la fameuse « autorisation préalable ».

Cette initiative ne lui porta pas chance ; quelques mois plus tard, il était « noyé » lors d’une balade en voilier, au large du Lavandou, en été 1948.

Son corps repêché plusieurs semaines plus tard permis tout de même aux experts de l’époque de conclure à… …une congestion pulmonaire !

Il eut droit à des funérailles nationales, après avoir été assassiné par son propre Etat à l’âge de 39 ans.

Des gênes d’indépendantistes et de… …Bandits d’Honneur ?!

L’épouse de Pierre Maillaud, Jeannette d’Albiez, la grand-mère maternelle de Stan Maillaud, était basque.

Tout comme le grand-père maternel de Stan Maillaud, Raymond Paluat.
Ce dernier était lui, mariée à une certaine Berthe Rutily, dont le père était l’un des derniers Bandits d’Honneur Corse ; Adolf Rutily.

Stan Maillaud, avec un bon pourcentage de sang basque, descend, par sa grand-mère maternelle, d’une famille de redoutables Bandits d’Honneur Corses.

Publié par Stan Maillaud

Stan Maillaud