Des lois immuables régissent l’univers créé par Dieu et en assurent le fonctionnement. C’est pourquoi l’être humain, qui fait aussi partie de cet univers, doit chercher à toujours mieux étudier, comprendre et respecter ces lois.
Les difficultés qu’il rencontre sur son chemin le font souffrir ; mais parce qu’elles l’obligent à se dépasser, ces souffrances sont pour lui une source de richesse.
On se demande souvent pourquoi le Seigneur n’épargne pas les justes.
Parce qu’Il les aime. C’est son amour qui veut leur croissance et leur épanouissement ; ils doivent donc seulement se demander comment utiliser leurs souffrances pour leur perfectionnement.
On ne doit évidemment pas rechercher la souffrance, mais quand elle se présente, il ne faut pas non plus s’efforcer de la fuir, car souffrir oblige à progresser. Et il y a toujours des progrès à faire pour aller plus loin, monter plus haut.
Merci pour ces partages oh combien enrichissants
Oui tu as raison, Dieu fait souffrir les humains parce qu’il les aime !!!
sublime !!! tu as raison FM
Ce n’est pas Dieu qui fait souffrir les humains.
Si Dieu nous épargnait tout mal à chaque fois qu’on fait une ânerie, où serait le progrès ? Sa loi est celle du libre arbitre pour les humains. Il tient sa promesse.
Si j’agrippe éternellement le petit enfant pour qu’il ne tombe pas, il ne marchera jamais. Si je lui donne éternellement un tricycle, il ne fera jamais de velo. Si je lui donne éternellement une bouée, il ne saura nagera jamais nager.
L’apprentissage de la vie sur terre est prise de risque. Et qui dit risque dit prendre des bûches, des gnons, des bleus, des bosses, des sueurs froides…
Mais le parent du petit enfant ne le laisse pas se dépatouiller seul. Il est là, tout près, attentif, prêt à relever, consoler, soigner, conseiller, encourager.
C’est comme ça que je vois Dieu : comme un père bienveillant, toujours présent, toujours prêt à soutenir en toutes circonstances si on fait appel à Lui. Enfin, c’est un aspect de Dieu… car il y en a d’autres, jusqu’à la transcendance !
Il paraît que Dieu accepte toutes les images qu’on se fait de Lui, pourvu qu’on le recherche sincèrement et non par intérêt.
Chaque religion donne une image différente de Dieu. On peut l’adopter mais chaque individu peut avoir une relation personnelle avec Lui ou Elle, la Mère divine. C’est intime, chaleureux, vivant. On ne se sent jamais seul, il y a cette sensation de présence et d’accompagnement constant. Sans parler des anges qui agissent vraiment sur la matière et les circonstances quand on fait appel à eux. Et quelle gratitude on ressent quand ils nous tirent d’un mauvais pas !
Selon la loi du libre arbitre, on peut de croire ou non, demander ou non, pas seulement demander de l’aide en cas de difficulté mais des conseils, des inspirations afin d’éviter de faire des bêtises, ou tout simplement se laisser guider pour faire au mieux dans telle ou telle circonstance. Alors, ça devient comme une évidence. On y va sans plus se poser des questions.
Chaque fois que l’hésitation ou le doute me gagne, je sais ce qu’il me reste à faire !
» Message de L’Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron le 15-4-18
Qu’est-ce que la justice divine ?
Qu’est-ce que la justice divine ? La justice divine est l’infini de l’amour. Le divin ne connaît pas le jugement. Le divin n’est que l’infini de l’ouverture, l’infinie miséricorde, l’infinie compassion, l’infini de la joie. Il n’est que cela.
Indépendamment de cela, inhérente à l’incarnation est la loi du libre arbitre. Chaque être crée sa réalité et chaque être récolte selon les graines qu’il sème. Cela n’appartient pas tant à la justice divine qu’à la loi de l’incarnation. Chacun crée sa réalité. Celui qui sème des graines d’iniquité va récolter des fruits d’iniquité. Celui qui sème des graines de malheur va récolter des fruits de malheur.
Ce n’est pas qu’une main divine juge et donne à chacun selon ce qu’il a semé, car la main divine n’est qu’offerte à la pleine félicité d’être l’infini de l’amour. C’est la loi inhérente à l’incarnation, la loi inhérente au plan de l’action et de la réaction au sein de l’incarnation. Celui qui sème des graines de malheur récolte des fruits de malheur.
Cela se passe dans cette chaîne qui semble créée par l’incarnation, cette chaîne du temps. Il se peut que l’être qui dans une vie sème des graines de malheur ait l’air de ne récolter que de fruits de bonheur. Pourtant les graines semées irrémédiablement, de façon irrévocable, devront lui retourner, non qu’il y ait une main ou une justice divine qui lui rend, c’est lui qui se le rend car c’est lui le créateur de sa réalité et la création a des lois.
L’on peut dire que ces lois, au niveau le plus ultime, sont régies par la justice divine. On peut dire que cette loi qui fait que chaque être est créateur de sa réalité et se donne lui-même les fruits qu’il a semés, quelle que soit la façon dont il se les donne, peut-être dans une incarnation suivante, peut-être sous une forme cachée, on peut dire que cette loi est un fragment de la justice divine.
Ce que nous nommons la justice divine est l’impartialité totale. De par le libre arbitre, chaque être choisit et reçoit. Nulle autorité suprême n’intervient dans ce choix. Chaque être sème et reçoit. Ce que l’on pourrait appeler l’autorité suprême, le tout, la vie, offre la corne d’abondance, l’infini de l’amour, l’infini de la beauté, l’infini de la plénitude, la jubilation d’être le vivant. Les lois de l’action, de la réaction sont inhérentes à cette offrande.
Erronée l’image d’un dieu qui juge et qui pèse. Le créateur pèse le fruit de ses propres actes. Cela est irrémédiable, irrévocable. Cela fait partie de la loi de la création.