C’est devenu un lieu commun de dire que le temps s’accélère, que le monde est en train de vivre des bouleversements inédits. Mais certainement pas inattendus. Cela fait des années qu’on sent bien que l’Ere des Révélations (l’Apocalypse) est en route, et qu’elle ne laissera pas le monde indemne. Dans notre article « Now We Can », nous disions que depuis 1998 tout devenait possible à ceux qui vont dans le sens de l’évolution universelle, et que ceux qui voulaient résister au tsunami vibratoire venu du fond du cosmos (en fait du centre de notre galaxie) seraient obligés de partir.

2012, c’est, pour ceux qui acceptent cette grille de lecture, la fin du monde reptilien, pas la fin du monde humain. Son début au contraire. Les prêtres mayas qui ont établi ce calendrier étaient des purs représentants de la « Reptilerie ». La fin du monde qu’ils prévoyaient était, nous l’avons annoncé en nous contentant de l’espérer, le moment de leur départ de la Terre, devenus incapables de supporter les hautes vibrations qui se manifestent de plus en plus à notre époque.

En fait, les personnes qui savent accompagner cette élévation vibratoire seront les humains qui parviendront à construire la Nouvelle Civilisation à laquelle l’humanité, pour une bonne part, aspire.

« Il y a quelque chose dans l’Etre qui recherche inexorablement la liberté », nous a dit l’Homme Nouveau Obama le jour du départ du Général Moubarak. Ce « quelque chose », il y a belle lurette que l’Hyperscience l’a défini et démontré et c’est à chacun de s’interroger. Car si on ne le comprend pas, il est plus difficile d’intégrer les hautes vibrations et d’effectuer le passage qui s’imposera sans doute bientôt à nous. On ne peut comprendre l’univers que si on comprend l’esprit d’abord.

Les Révolutions qui se multiplient en ce moment sont la manifestation inévitable de cette élévation vibratoire. Il n’est plus possible, à un certain niveau, d’accepter les compromissions, les mensonges, les corruptions, et l’aspiration à la liberté et à l’unité est de plus en plus forte.

On a pu dire que c’est la misère, les inégalités, l’exploitation de tout un peuple par quelques uns qui conduisent à ces mouvements en dominos. Certes, lorsque tout va bien, on a peu envie de se révolter. On a pu dire aussi que 30 ou 40 ans de pouvoir prédateur, c’était trop. Mais vingt ans, dix ans aussi, c’est trop, et la misère était déjà là, et pourtant le point de rupture n’était pas atteint. Chaque chose en son temps. C’est la conscience qui décide, et quand la conscience s’élève et que rien ne bouge, un point de rupture est inexorable. On a dit aussi que les technologies de communication, Internet, Facebook etc., en étaient responsables, créant de liens entre les individus et entre les peuples comme jamais, et aujourd’hui la Révolution devient un kit standard prêt à être transposé partout où les conditions en manifestent le besoin.

Les manipulateurs mondialistes qui ont mené le jeu jusqu’à présent ont voulu que la globalisation réduise les salaires et les droits en mettant tous les travailleurs eu monde en concurrence directe (et aussi établir des monopoles privés dans tous les secteurs vitaux de service public pour en tirer un profit maximum), elle se retourne contre eux. C’est la Révolution humaine qui se mondialise, et leur monopole de la communication censé permettre de surveiller tout ce qui se dit et s’organise dans le monde est devenu l’arme absolue qui fait tomber les marionnettes dirigeantes les unes après les autres.

Ceux qui se prétendent chefs d’états démocrates ne sont d’ailleurs pas rassurés car ils savent que leurs méthodes, bien que plus discrètes (si on n’a pas un canal de Suez comme fond de commerce personnel, on peut avoir des centrales électriques nucléaires), sont les mêmes, organisées autour du principe de la marchandisation de tous les services publics et l’appropriation par quelques uns de toutes les richesses naturelles ou économiques, et que dans la situation actuelle où plus aucun mensonge ne prend, où « tout ce qui se marmonnait dans le secret des alcôves est désormais crié sur les toits », toute leur construction manipulatoire se retourne contre eux. Ils ne peuvent même plus dire en privé ce qu’ils pensent sans que quelqu’un les filme avec son portable et le publie sur internet. Voilà le résultat de la tentative de mise en dépendance des populations via les téléphones pucés. Ce n’est qu’un début et ils le savent. Les Mayas le savaient. Ils savaient que toute cette machination ne pourrait guère tenir au-delà de 2011 si la population augmentait, et qu’il faudrait partir.

Tout ce qui se passe en ce moment n’aurait pu se faire sans le facteur décisif qu’est LA JEUNESSE. Comme par hasard, les pays en proie aux révolutions sont ceux où la jeunesse est largement majoritaire. Où on ne peut plus la contrôler. Où les idées viennent d’ailleurs et où les anciennes valeurs n’ont plus cours.

Mai 68 et tous les mouvements de jeunes, en Chine en 67, en Californie etc. de l’époque glorieuse où les « baby-boomers » vivaient l’adolescence ou en sortaient, n’était dus qu’à cela. Le décalage entre une jeunesse nombreuse et un ancien monde. Aujourd’hui c’est la même chose. Puissance dix car bien souvent, plus de la moitié de la population a moins de vingt ans, voire moins de quinze ans.

C’est CELA à quoi les anciens manipulateurs voulaient échapper : l’espèce humaine dominante, créée semble-t-il par manipulations génétiques, était censée au départ n’être reproduite que par clonages. Et puis, les gênes vivants étant plus fort que les laborantins aliens, la reproduction sexuée est revenue à la surface. C’est ce qu’ils ont appelé le « péché originel » dans les textes anciens, bibliques ou mésopotamiens. Et la suite était inexorable : les manipulateurs, pas assez nombreux, savaient qu’ils auraient du mal à contenir la population humaine malgré une organisation concentrationnaire et hiérarchique de la société.

Ils n’y ont pas échappé. Et c’est bien pire encore que ce qu’ils craignaient. Car les enfants qui sont nés ces vingt dernières années, et plus encore ceux qui naissent aujourd’hui, sont de plus en plus des enfants « INDIGO », « MAGENTA », « CRYSTAL », des enfants différents, qui n’ont presque rien à apprendre des adultes, qui connaissent la vie mieux qu’eux, qui ont la Connaissance infuse et comprennent la Métaphysique de l’univers ainsi que toutes ses implications psychologiques, sociales et politiques bien mieux que leurs parents qui souvent croient encore à la matière et aux mathématiques. C’est frappant. Aujourd’hui c’est un enfant sur deux qui naît avec ce niveau vibratoire exceptionnel inconnu chez les générations précédentes.

Et cela ne peut pas ne pas changer le monde. Quelles que soient les tentatives politiques, industrielles, médicales pour réduire les capacités intellectuelles des populations (avec des méthodes scolaires rendant illettré par exemple, une télévision débilisante toute-puissante mais que ces enfants n’écoutent plus qu’en riant, des informations émotionnelles destinées à augmenter la violence autodestructrice), ou pour diminuer le niveau de santé, voire diminuer drastiquement le nombre d’individus (par la chimie, les manipulations alimentaires ou médicamenteuses, vaccins et autres) ou leur capacité de reproduction, rien n’y fait. Jamais les jeunes n’ont été aussi nombreux, aussi intelligents, jamais ils n’ont eu autant soif de prendre leur destin en main, jamais ils n’ont été moins dupes du monde qu’on veut leur faire avaler. Et le résultat est ce qu’il est.

OK, en voilà assez, on s’organise, et on prend les commandes du vaisseau. En trois coups de cuiller à pot c’est fait. Et demain les multinationales qui détruisent la planète auront disparu comme les dinosaures grâce à cette nouvelle vibration de la jeunesse qui nous vient du cosmos et qui est là pour faire de la Terre un paradis. Ni plus ni moins.

La liberté n’est plus un droit, c’est un devoir.

Ankh