La faiblesse, la vulnérabilité sont des dangers qui guettent les adeptes d’un enseignement spirituel. Parce qu’ils ont choisi le chemin de la lumière, ils ont trop souvent tendance à s’imaginer qu’ils vont avancer sous la protection de puissantes entités, à l’abri des accidents, des maladies, des attaques de gens malveillants.
Cela les rend vulnérables, et quand ils ont à affronter des épreuves auxquelles ils ne s’attendaient pas, ils ne savent pas comment faire face et ils s’effondrent.
Désormais, chacun doit être conscient qu’un enseignement spirituel ne lui prépare pas un refuge où il sera à l’abri des accidents de la vie ; mais en lui donnant une lumière, des méthodes, il fait tellement plus ! Quoi qu’il arrive, éclairez-vous à cette lumière, pratiquez ces méthodes, et vous resterez ferme et inébranlable au milieu des épreuves.
La grâce de Dieu ne tombe pas au hasard sur les êtres, mais seulement sur ceux qui ne quittent jamais le chemin de la lumière et qui ont entrepris le vrai travail.
Travail sur soi. Encore et toujours…!
Quoi d autre marie Christine? C’est la voie de ô m a que veux tu… une voie spirituelle peut même fragiliser pendant un temps en rapport au karma qui s accélère, et à l action des forces maléfiques sur l être. La jalousie.
C’est la voie des initiés, des mages, de ceux qui souhaitent être proactif dans la création. C’est ma voie, elle n’est pas facile mais offre une grande liberté d’action et de destinées une fois accomplie. .
Eh oui, Tomtom, une sorte de spiritualité dynamique !
On parle d « loi du karma » ou loi de cause à effet mais nous avons un pouvoir dessus. Rien n’est inexorable.
« Le monde, dans l’état où il est actuellement, est encore en grande partie sous l’influence des forces adverses, c’est-à-dire des forces qui aiment à faire le mal, à détruire, à abîmer, à enlaidir.[…] C’est la haine de ce qui est pur, de ce qui est bon, de ce qui est vrai. C’est la haine de la Présence divine. Un pas de plus et c’est la volonté de faire souffrir.[…]. C’est seulement la conscience lumineuse et pure qui peut s’opposer à cela et l’empêcher d’agir. Mais l’état du monde est tel que c’est une bataille constante. Il y a très peu de gens qui peuvent échapper à cette emprise. Chacun a généralement un tout petit coin de soi -quelquefois tout petit, quelquefois plus grand, quelquefois tout à fait inconscient- qui aime détruire, abîmer. Et quand on se laisse aller à cela, on est aidé par une ruée de forces qui attendent l’occasion, qui attendent la minute de pouvoir se manifester, qui ont besoin de la collaboration humaine pour pouvoir se manifester, qui la cherchent. Dès que l’occasion se présente, elles se précipitent, projettent une quantité formidable d’énergie. Et alors on se sent plus fort dès que l’on commence à faire le mal.[…] Le monde est dans un tel état que pour ne jamais être mû par les forces adverses -les forces de d’obscurité, de destruction, de méchanceté et de haine- il faut être un héros, un vrai héros, qui n’a pas peur des coups et qui ne craint rien, qui ne fait jamais de retour sur soi, et qui n’a pas cette espèce de pitié pour soi qui est une chose avilissante. C’est pour cela. Pour ne pas faire le mal, pour ne pas penser le mal, pour ne pas vouloir le mal, jamais, dans aucune circonstance, il faut être un héros… Ce n’est pas toujours facile d’être un héros. Les jours où l’on est fatigué, les jours où l’on a envie de se reposer, de ne plus faire d’effort, on glisse, tout glisse. C’est terriblement glissant. C’est plus glissant que le toboggan des enfants. On descend, on descend comme cela, on descend dans un tourbillon. Et c’est seulement quand on est tout en bas que l’on s’aperçoit qu’on est descendu. Alors il faut regrimper. Ce n’est pas toujours commode.
Mais pour celui qui a la foi en la Grâce divine, le retour à la Lumière devient facile. » (la Mère)
Hé bien, Tomtom, y a plus qu’à éviter les toboggans !
Joli !!!
La grâce t accompagne .
Oui… ça donne une idée du travail que la mère a dû faire sur elle pour être devenue ce qu elle est. Au fait ta remarque était critique ou positive ?
Tomtom, ma remarque était évidemment positive et générale.
Combien de fois j’ai vécu ces glissades ! Maintenant, je m’efforce d’être plus vigilante. J’espère bien arriver à les éviter à temps !
Et le combat ne se termine pas quand on est conscient, quand on sait d’où vient la méchanceté. Il y a des pervers narcissiques manipulateurs dans mon entourage qui font beaucoup de dégâts sur des gens que j’aime. Il s’agit même très sûrement de magie noire. C’est douloureux à vivre de voir ça et je ne veux pas tomber dans la colère ou la rancune, même si mon âme est révoltée par cette laideur. Je ne veux éprouver aucune haine dans mon coeur (ça, ça va) mais je ne lâche pas le morceau. J’en appellerai à la Lumière divine et je sais qu’elle vaincra !
Pour les fidèles de Douce Mère ( La Mère )
» Message de Douce Mère reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-16
Le collectif de la conscience humaine ouvre la possibilité d’une autre réalité.
Om Namo Bhagavate Narayana. Le chant des cellules, chant de dévotion. La Douce Mère exulte. Ramener ses cellules au chant de dévotion. Ramener son incarnation à cet ultime lâcher-prise qu’est l’ouverture.
Si l’on veut parler en termes de l’histoire linéaire, l’incarnation de la Douce Mère a préparé cette actualisation de cet autre paradigme inscrit dans les cellules.
Le rêve commun, la passion commune, ne pouvait alors qu’être un idéal vers lequel on tend. Le collectif de la conscience humaine, dans ce qui semble le passé linéaire, n’a mené qu’à cela. Le collectif de la conscience humaine dans ce qu’est ce présent de maintenant, ouvre la possibilité d’une autre réalité. La Douce Mère exulte.
Encore faut-il avoir l’audace de s’offrir pleinement à cette possibilité. Encore faut-il avoir l’audace de tout donner inconditionnellement. Dans ce qui semble le passé linéaire, cette incarnation de Douce Mère, l’impératif était déjà de se donner pleinement. Le laboratoire de la conscience impliquait cela.
On ne pouvait s’approcher de ce laboratoire tout en continuant des voies de tiédeur. Certains qui ont cru pouvoir le faire, ne se sont jamais approchés. Maintenant la possibilité concrète de transmutation cellulaire, non seulement l’abstrait de la conscience mais la transmutation cellulaire. Cela implique un don total, une offrande totale. S’offrir à sa propre perfection, n’est-ce pas cela l’incarnation ? La Douce Mère exulte.
Reconnaître le chant dans la structure des cellules, reconnaître la dévotion dans la structure de la matière, le son alors est nectar, une autre physiologie, un autre paradigme.
Maintenant la porte s’ouvre. Avoir l’audace de l’ouvrir pleinement et de franchir le seuil. Avoir l’audace de tout poser. On ne peut garder à la fois l’ancien paradigme et le nouveau. On doit trancher avec le fil d’amour, de discernement, de discrimination, trancher encore et toujours pour quitter les voies anciennes et s’ouvrir au nouveau. »…
Désolée, mais encore une fois, pour moi, cela ne mène nul part
paroles paroles seulement
Excellent Marie-Christine, merci !
« Glisser à tout moments » c’est justement sur ce phénomène récurrent, et touchant tous les domaines de l’existence, que je suis actuellement encore plus focalisé que jamais. Serait-ce dans l’air du temps ?…
Delta, mille excuses ! Ma réponse t’était destinée.
Je dirais même que plus on s’élève plus il faut avoir les pieds bien enracinés sur terre sinon on risque de s’égarer dans les plans intermédiaires qui savent si bien nous faire prendre les vessies pour des lanternes.
Marie Christine dit :
« Je dirais même que plus on s’élève plus il faut avoir les pieds bien enracinés sur terre sinon on risque de s’égarer dans les plans intermédiaires qui savent si bien nous faire prendre les vessies pour des lanternes. »
Absolument !
Un bon moyen d’ancrage est de porter son attention, sa conscience sur la respiration et de la faire circuler de la tête aux pieds .
« Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 23-2-18
La structure corporelle est reliée à tous les points de l’espace.
Nous l’avons dit, nous ramenons les dons. Heureux ceux et celles qui les reçoivent dans l’ouverture sans jamais plaquer ce que l’on croit savoir et ce que l’on croit connaître…
A celui, à celle qui offre son attention avec une ardeur éternellement nouvelle – et non le laxisme de ceux et celles qui croient avoir compris, qui croient savoir – avec une ardeur éternellement nouvelle, rassembler l’énergie, retrouver le centre, le point d’équilibre, le point neutre, point d’infini, à celui-là, à celle-là, sont offerts naturellement les flots d’énergie du ciel et de la terre s’unissant dans le centre du cœur. Par le simple fait de l’union, sont nourris tous les centres. Illuminer les cellules par le simple fait de l’union résultant de l’attention éternellement nouvelle.
Dans ces flots d’énergie, coulant du ciel, émergeant de la terre, sont offerts tous les courants de toutes les traditions. Le dévot, la dévote, reste l’adorateur non identifié à aucun courant ou aucune tradition, et pourtant les embrassant tous avec infini respect et révérence car les voies si multiples ne sont que la voie du un, de l’innommable.
Cela implique concrètement que la structure corporelle est infiniment reliée à tous les points de l’espace, les planètes, les étoiles reliées à tous les points du cerveau. La physiologie humaine est cosmique, les organes reliés aux planètes, le corps cosmique, corps d’adoration.
Car l’attention reste sur rassembler l’énergie avec toujours plus de dévotion, car telle est la nature de l’offrande. Au temple, sont offerts des courants d’énergie simplement. De là, émerge la configuration énergétique de l’être humain cosmique, infiniment relié, infiniment offert. Comprenez-le, cela est la configuration énergétique de chaque être. S’il est vrai que chacun est unique, la divinité est le propre de tous.
Vous le savez, l’attention donne vie. A quoi les être humains donnent-ils leur attention ? L’attention bien placée est celle qui accepte d’être ouvert toujours plus, offert toujours plus, sans s’accrocher à aucune croyance, aucun savoir.
Le corps humain infiniment relié est donc infiniment nourri, éternellement régénéré. Là aussi, la structure même du corps implique l’éternel autodépassement. Aucun concept de ce que devrait être le corps cosmique, la réalité s’autodécouvre. Au cœur de l’union, l’attention reste sur rassembler l’énergie.
Lorsqu’ainsi l’on retrouve les planètes et tous les points du cosmos reliés et même inhérents à son propre corps, l’on reconnaît tout point du cosmos dans sa nature d’être. La matière n’est pas inerte, la matière est être. Chaque pierre, chaque poussière, chaque grain de création est le chant vivant de l’amour, de la dévotion… La relation alors au sein du cœur est d’être à être. Rien n’est inerte ni figé. Chaque corps alors se reconnaît dans sa valeur cosmique.
L’attention reste sur rassembler l’énergie et naturellement, de l’énergie rassemblée, coulent les flots de dévotion. L’on ne voudrait conceptualiser le corps cosmique, bien moins encore croire le connaître. L’on ne peut connaître l’innommable. L’on peut tendre vers lui, vers elle, en flot de dévotion, en flot d’adoration. Cela implique rassembler l’énergie, car là est l’offrande. L’on ne peut entendre cela avec la tête. L’on ne peut l’agripper, en faire un concept ou l’enfermer dans un cadre. L’on ne peut que s’incliner, se taire et s’émerveiller. L’infinie découverte de l’inconnaissable…
Namur, si c’est dans l’air du temps, c’est une bonne chose. Et ça me semble bien être le cas. On voit de plus en plus de scandales apparaître, de sales affaires émerger. Et dans nos vies personnelles, je pense que ceux qui ne sont pas décidés à travailler sur eux-mêmes ont la vie de plus en plus difficile.
Je ressens personnellement le besoin de tout étaler au grand jour, y compris mes erreurs supposées ou avérées. Supprimer les non-dits qui font souffrir inutilement à force de tourner autour du pot, pathologiquement, par peur de jouer cartes sur table. Marre des jeux de rôles, des insinuations, des faux-semblants pour se donner une image.
Oui, je pense que ce besoin que j’éprouve est dans l’air du temps, au sens propre du terme, comme une énergie qui se balade dans l’atmosphère et qui saisit tous ceux qui y sont un peu réceptifs.
Je veux qu’on s’explique tous en famille quand nous serons réunis, qu’on parle franchement, sincèrement et avec tout l’amour que nous avons les uns pour les autres, sans craindre d’éventuels reproches car ils seront toujours faits avec bienveillance, avec l’idée que c’est pour se libérer et avancer. J’apprendrai peut-être plus de choses sur ce que j’ai raté dans l’éducation de mes enfants, ce que j’ai réussi aussi, tout ça inconsciemment. Ca va m’apporter une lumière sur mes actes inconscients et leurs conséquences. Je vais aussi pouvoir expliquer certains de mes comportements qui ont pu être mal interprétés. Chacun va pouvoir exprimer ses sentiments, ses doutes, ses impressions, ses craintes, ses joies… Tout deviendra plus clair. Tout sera plus facile à réparer. Et toute personne perverse qui chercherait à insinuer le mensonge et le conflit sera neutralisée puisque l’atmosphère sera nettoyée. Des certitudes seront installées dans les coeurs et il ne sera plus possible de les déloger, donc les manipulateurs n’auront plus de prise possible.
Pour le moment, je garde en tête l’image du toboggan comme un talisman. On va dire que c’est la protection divine en moi qui est là en permanence pour m’avertir et me protéger de la glissade !
Moi, je dirais qu’on peut encore s’arrêter au milieu du toboggan si on a des bonnes semelles en caoutchouc. Mais à l’heure actuelle, beaucoup de politiques et de medias s’amusent à savonner la piste. Facile de s’énerver et de pester contre eux. Alors, je redouble de vigilance !
Non, je ne suis pas dans l’amour inconditionnel. Ca m’est égal. Je trouve déjà très bien de ne détester personne. On peut considérer ça comme de l’amour, d’une certaine façon.
Namur
» Aide toi le ciel t’aidera »
C’est encore des mots , mais,si toi tu ne fais pas un pas rien ne bougera . Chacun est responsable de sa vie qu’il en soit conscient ou pas . Bien sûr on peut très bien ne rien faire et attendre que l’incarnation se passe , il n’y a obligation en rien ; tout dépend de tes intentions de vie avant de venir jouer sur le sol terrestre .
Drole de jeu !!!
Tant que l’homme croit être une personne il n’est que l’ombre de sa propre lumière, une illusion.
Qu’est-ce que la faiblesse et la vulnérabilité qui guettent les adeptes d’un enseignement spirituel ou non ? Qu’est-ce qu’un chemin de lumière ? Tout est lumière et cela quel qu’en soit le chemin. à vrai dire chacun est son propre chemin. La faiblesse et la vulnérabilité ne sont que des occasions à surmonter, cela ne fait que démontrer que l’être fait face à ses propres peurs, croyances et autres enfermements. Certains croient être sous la protection de puissantes entités de lumière, permettant ainsi d’avancer sur le chemin et faire face à toute possibilité. Alimenter les peurs, peur d’être attaqué, peur d’être sous l’influence d’entités de basses vibrations, quelle que soit la peur, cela est une porte sur votre propre regard envers vous-même, envers ce que vous considérez comme étant la réalité. En fait, il n’y a rien de compliquer, il y a notre présence et tout ce qui gravite autour d’elle, que ce soit à l’intérieur comme à l’extérieur, qu’importe le temps, l’espace et dimension, tout se trouve être le même chemin de lumière. Quelles que soient les peurs, elles ne font que refléter ce que vous croyez être vrai, en fait ce sont vos propres peurs qui alimentent votre vulnérabilité, ce que vous appelez faiblesse n’est que l’expression de votre propre regard sur vous-même.
Qu’est-ce que la faiblesse et la vulnérabilité qui guettent les adeptes d’un enseignement spirituel ou non ? Qu’est-ce qu’un chemin de lumière ? Tout est lumière et cela quel qu’en soit le chemin. à vrai dire chacun est son propre chemin. La faiblesse et la vulnérabilité ne sont que des occasions à surmonter, cela ne fait que démontrer que l’être fait face à ses propres peurs, croyances et autres enfermements. Certains croient être sous la protection de puissantes entités de lumière, permettant ainsi d’avancer sur le chemin et faire face à toute possibilité. Alimenter les peurs, peur d’être attaqué, peur d’être sous l’influence d’entités de basses vibrations, quelle que soit la peur, cela est une porte sur votre propre regard envers vous-même, envers ce que vous considérez comme étant la réalité. En fait, il n’y a rien de compliquer, il y a notre présence et tout ce qui gravite autour d’elle, que ce soit à l’intérieur comme à l’extérieur, qu’importe le temps, l’espace et dimension, tout se trouve être le même chemin de lumière. Quelle que soient les peurs, elles ne font que refléter ce que vous croyez être vrai, en fait ce sont vos propres peurs qui alimentent votre vulnérabilité, ce que vous appelez faiblesse n’est que l’expression de votre propre regard sur vous-même.
Ce que vous considérez comme étant séparé de vous, fait partie de vous, comme il en est pour toute manifestation, Point besoin d’être spirituel pour se rendre compte que ce monde, cet univers et autres, ne sont que le reflet de ce vous considérez comme étant la réalité. Tant que l’on reste plongé dans le regard de la conscience qui se croit être une forme humaine oubliant que tout est la même présence, se manifestant dans toute sa diversité. L’homme se laisse piéger par son propre miroir, oubliant qu’il fait face à ses propres peurs et c’est ce qui le rend vulnérable, en agissant ainsi il crée sa propre réalité. Un monde illusoire, un monde où il fait face à ses propres démons. Dieu, sa grâce n’appartient pas à ceux qui ont décidé de travailler sur eux-mêmes, quelle que soit la forme de vie, celle-ci fait face à sa propre création. La faiblesse vient du fait que l’être s’identifie à des croyances, à des concepts, à des enseignements, à des religions, à des pensées, qui ne font qu’alimenter sa vulnérabilité, pour la simple raison qu’il s’est laissé piéger par ses propres pensées. Lorsque l’être réalise que tout est la même présence, que seul le vrai amour apporte cette libération, de ne plus être dans aucune histoire, aucune peur, ne demandant plus l’être des puissantes entités de lumière ou d’être attaqué par de basses entités, apportant ainsi la maladie, accident ou autres souffrances. L’homme ne réalise pas qu’il est le créateur de sa réalité, qu’il en est le concepteur, le réalisateur, tout en étant tous les personnages, il a juste oublié qu’il est la lumière et que celle-ci n’a aucune faiblesse et vulnérabilité, qu’il est lui-même responsable de ses propres peurs.
Ce que vous considérez comme étant séparé de vous, fait partie de vous, comme il en est pour toute manifestation, Point besoin d’être spirituel pour se rendre compte que ce monde, cet univers et autres, ne sont que le reflet de ce vous considérez comme étant la réalité. Tant que l’on reste plongé dans le regard de la conscience qui se croit être une forme humaine oubliant que tout est la même présence, se manifestant dans toute sa diversité. L’homme se laisse piégé par son propre miroir, oubliant qu’il fait face à ses propres peurs et c’est ce qui le rend vulnérable, en agissant ainsi il crée sa propre réalité. Un monde illusoire, un monde où il fait face à ses propres démons. Dieu, sa grâce n’appartient pas à ceux qui ont décidé de travaillé sur eux-mêmes, quelles que soient la forme de vie, celle-ci fait face à sa propre création. La faiblesse vient du fait que l’être s’identifie à des croyances, à des concepts, à des enseignements, à des religions, à des pensées, qui ne font qu’alimenter sa vulnérabilité, pour la simple raison qu’il s’est laissé piégé par ses propres pensées. Lorsque l’être réalise que tout est la même présence, que seul le vrai amour apporte cette libération, de ne plus être dans aucune histoire, aucune peur, ne demandant plus l’être des puissantes entités de lumière ou d’être attaqué par de basses entités, apportant ainsi la maladie, accident ou autres souffrances. L’homme ne réalise pas qu’il est le créateur de sa réalité, qu’il en est le concepteur, le réalisateur, tout en étant tous l;es personnages, il a juste oublié qu’il est la lumière et que celle-ci n’a aucune faiblesse et vulnérabilité, qu’il est lui-même responsable de ses propres peurs.
Une seule solution, libérez-vous de vos peurs, de vos croyances, de ce que vous considérez comme étant réel qui n’êtes que le reflet ce que vous vivez en tant que réalité, ce qui façonne votre chemin. Que vous me croyez ou pas, na aucune importance, chacun est son propre chemin, est sa propre lumière, ne percevant pas que tout est la même présence éternelle. En fait, ce sont vos peurs, qui manifestent cette lumière appropriée à votre niveau de conscience, ce n’est rien d’autre que votre lumière. Ce que vous n’aimez pas n’est que l’expression de votre lumière. Nous sommes la même présence éternelle antérieure à toute expression, qui n’est que l’amour dénué de tout enfermement. Tant que l’homme croit être une personne il n’est que l’ombre de sa propre lumière, une illusion.
Régis Raphaël Violette
Le grand jeu de la vie, c’est JE SUIS devenant conscient de lui-même en tout et partout.
Souvent on nous dit que ce qui se passe sur terre est le symbole, la manifestation concrète de ce qui se passe dans l’invisible. je suis d’accord avec ça.
Un jour, j’ai entendu dire que les canals qui prônent l’amour inconditionnel sont souvent la proie d’une force adverse qui renvoie en miroir l’âme de ces personnes. Ceux-ci prennent pour un être de lumière ce qui n’est que leur propre soi. Ils sont ainsi hypnotisés par eux-mêmes, neutralisés, et la force peut les manipuler à sa guise.
J’aime découvrir les liens entre le concret et ce qui est derrière, ne pas rester sur des concepts abstraits. Ceci me ramène à une anecdote édifiante…
J’ai vécu il y a quelques années dans un pays assez « retardé ». J’habitais dans un village reculé. Les gens n’avaient pas l’eau courante ni l’assistance médicale ni salaire minimum ni retraite. Ils travaillaient sans relâche jusqu’à la fin de leurs jours, mouraient debout dans les champs et les femmes y accouchaient parfois. les paysans de ce village me racontaient beaucoup d’histoires incroyables pour moi mais presque normales pour eux. Une jeune femme, partie travailler avec son bébé, à un moment s’est assiste au pied d’un arbre pour l’allaiter. Puis, fatiguée, elle s’est endormie. Pendant ce temps, un serpent, par l’odeur alléché, s’est approché, a placé sa queue dans la bouche du bébé et s’est régalé à aspirer le doux liquide nourricier. Quand la jeune femme s’est réveillée, elle a été tellement horrifiée du spectacle qu’elle a poussé de grands cris. Le serpent s’est enfui mais elle est restée muette pendant plus de 6 mois.
Pour moi, cette histoire illustre bien la ruse utilisée par les forces adverses pour nous berner, tel le bébé qui n’y a vu que du feu. Parfois elles nous font souffrir mais parfois non.
Il paraît qu’elles se nourrissent de nos émotions négatives comme la colère, la peur, la haine, etc… Je pense qu’elles se nourrissent aussi d’un sentiment d’amour autiste, enfermé sur lui-même, qu’elles maintiennent cadenassé, peut-être pour le piéger et l’empêcher de se répandre.