Prier ne se limite pas à prononcer des paroles. D’où vient que très souvent, lorsqu’elles prient, les personnes joignent spontanément leurs deux mains ? Par ce geste, elles retrouvent instinctivement le sens profond de la prière : une main représente l’intellect et l’autre le cœur.
Pour qu’une prière soit puissante, il faut qu’elle vienne de l’intellect et du cœur, de la pensée et du sentiment, c’est-à-dire des deux principes masculin et féminin.
Cela ne signifie pas que, pour prier, il faut obligatoirement joindre les mains physiquement.
On peut prier en joignant ou non les mains… et on peut aussi prier, mains ouvertes à hauteur du visage, paumes en avant ; là, les bras forment avec la tête la lettre hébraïque Shin ש.
On peut prier dans n’importe quelle posture, ce n’est pas l’attitude physique qui compte, mais l’attitude intérieure, la participation de la pensée et du sentiment.
Dans la prière, l’essentiel n’est pas non plus les mots. Ils sont bien sûr importants, mais à condition que dans le plan psychique aussi, ils soient vivifiés par la pensée et le sentiment.
Très vrai, très fort.
Aujourd’hui l’on parle beaucoup en spiritualité de penser avec le cœur, mais n’est-ce pas plutôt d’allier la pensée avec le cœur ? Qu’ils se réunissent et fassent un.
La nuance est importante me semble-t-il parce qu’au niveau subtil le cœur a effectivement une indépendance de pensée.
On nous bourre le cerveau avec le soi-disant réchauffement climatique
pour ceux que celà intéresse, si vous regardez
sur le site du « journal Morpheus »,
un article sur l’arctique, un bateau pris dans les glaces et d’autres en septembre de cette année 2019
on va vers un refroidissement et les glaces ne fondent pas
amicalement
L’article sur le site Morpheus est
réchauffement climatique : qu’en est il de la masse de glace de l’arctique?
et un autre article – brutal refroidissement annoncé par des climatologues 3 septembre 2019