Certaines lectures du medium EDGAR CAYCE, avaient toujours mentionnés l’existence de tout un réseau de galeries souterraines qui abriteraient les restes d’une ancienne civilisation.

Et tout ce monde souterrain ne serait accessible qu’a partir de la patte droite du sphinx d’où descendrait une sorte d’escalier en profondeur.
Or voilà que depuis peu, les autorités égyptiennes semblent avoir sécurisé tout un secteur autour du sphinx et d’après l’éloignement des barrières de sécurités, la plate forme souterraine semble s’étaler jusqu’au maison avoisinant le plateau de Guizeh.

J’ai trouver cette nouvelle documentation sur le forum ASTRAL SIGHT.
« Au XIXe siècle, les égyptologues étaient nombreux à penser qu’il existait plusieurs salles sous le Sphinx. (…) En 1926, à l’initiative d’Emile Baraize, un égyptologue français, on pratiquera des fouilles à l’intérieur même de l’édifice, puis de l’enceinte. Réalisés à la hâte et avec des moyens rudimentaires, ces travaux laissent penser que notre homme cherche quelque chose, et qu’il ne se contente pas de creuser pour le plaisir, en respectant les précautions d’usage. Il atteindra en partie son objectif, puisqu’il découvrira un tunnel auquel on accède par la croupe du Sphinx ». (La porte des étoiles, page 95)

De même, les trois entrées (cachées) qui permettent d’accéder aux salles situées sous le Sphinx sont interdites…

« On fera ensuite courir le bruit que l’on a découvert non pas une, mais neuf chambres sous le Sphinx, dont certaines renfermaient des objets en métal. Le responsable de la fuite n’est autre que Graham Hancock (…). A l’époque, Robert Bauval raconte la même chose dans ses conférences » (Idem, page 101)

« On ne saura peut-être jamais ce qui se passe exactement sur le site de Gizeh, depuis une trentaine d’années. La présence d’organismes aussi différents que l’ARE [Association for Research and Enlightenment] et le SRI [Stanford Research Institute], qui opèrent un singulier amalgame entre recherche scientifique et technologie de pointe d’un côté, et parapsychologie de l’autre, ainsi que celle de la Fondation Schoch, laisse penser que l’on poursuit là-bas des objectifs individuels, voire strictement personnels. Mais à y regarder de plus près, on s’aperçoit que les militaires et les services de renseignements sont directement impliqués ». (Idem, p. 123)

« Si les services de renseignements veulent mettre la main sur un appareil, ou bien sur des documents, cela signifie qu’ils pensent que la civilisation de l’Egypte ancienne était, dans certains domaines, beaucoup plus avancée que la nôtre. On en revient à l’idée d’un peuple disparu, mais qui avait jadis atteint un niveau de développement très avancé, à moins qu’il ne s’agisse d’extraterrestres, comme l’explique Robert Temple dans The Sirius Mystery. N’oublions pas, en effet, que cela intéresse aussi bien les francs-maçons que la CIA et le MI5″. (p. 124)

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