Ce message s’adresse à chacun, à moi, à toi, à tout le monde, à tout ce qui est.
Une grande majorité ne connaisse pas leur origine, pensant être né d’une relation entre l’homme et la femme. C’est ainsi que l’être humain perpétue l’histoire de l’humanité, errant ainsi dans l’illusion de dualité et de séparation. Pour satisfaire son besoin existentiel, le fait d’être né d’une relation humaine. il se dit être incarné, être une âme, une conscience afin de continuer à faire l’apprentissage et l’expérience de cette nouvelle vie. Tout être humain bas sa recherche sur ce qu’il considère comme étant la base, sur la forme humaine, le point central. Tous se considèrent très différents les uns aux autres, selon leurs origines stellaires, familiales ou autres croyances. Mais est-ce vraiment le cas ? Fondé son origine sur des suppositions, l’être humain croit être la descendance d’une famille stellaire, d’une constellation quelconque, d’une longue lignée familiale, même si cela est véridique, il reste identifié à la forme. L’être humain se base sur des suppositions pour se donner bonne conscience afin de suivre une ligne de conduite en se référant à son livre d’histoire, oubliant le vrai fondement de ce qui lui permet de faire l’apprentissage et l’expérience de cette vie.
Ce n’est pas évident pour celui qui s’accroche à son histoire de pouvoir en sortir et ainsi ne plus être victime de cet enfermement, de toutes histoires familiales et autres, Subissant une forte pression familiale d’être à la hauteur des attentes de ceux-ci, sans quoi, il est jugé, condamné pour ne pas suivre la lignée familiale, les conditionnements de leurs croyances. Pourquoi je vous parle de tout cela, simplement vous faire réaliser votre état d’enfermement, ne pas chercher la cause de votre mal-être, de votre inconfort à répondre aux attentes qui vous pourrissent la vie, tel un esclave enchaîné à suivre ce qu’on lui dicte de faire sans qu’il y ait son mot à dire, se référant au livre d’histoire. J’ai discuté dernièrement avec frère, cela aurait pu être une soeur, il me disait qu’une grande majorité ne comprenait pas les messages que je partageais, car lui-même ne les comprenait pas, toujours à se chercher sa place en ce monde, à haïr ce qu’il représente, à vouloir combler les attentes sans y arriver, être à la hauteur de ce que l’on attend de lui. Tout en sentant et ressentant une telle pression sur lui, qu’il ne peut répondre à toutes ces attentes. La seule façon qu’il a trouvée pour y échapper, c’est d’envoyer promener tout le monde, préférant fuir, mais se retrouvant face à lui-même, à vivre cette dualité permanente, à ne plus savoir quoi faire. Fuyant en prenant des substances ou en se perdant dans l’alcool. Il n’est pas si différent des autres humains, qui sont enchaînés à suivre aveuglement ce que l’on attend d’eux, où se rebellent car vivre une vie d’esclave sans échappatoire, il y a de quoi à tomber dans la dépression, dans des échappatoires illusoires comme la drogue et autres comportements abusifs, destructifs.
Alors comment faire pour y échapper, de sortir de l’enfermement, afin de ne plus sentir aucune pression familiale, ancestrale, stellaire ou autres appartenances. Pour une première étape, ne plus avoir aucune identification à quoi que ce soit, plus aucun attachement à aucune histoire, qu’elle soit familiale, ancestrale, stellaire ou autres, sortir de tout enfermement. Se sentir libre comme l’air, par la suite, comprendre que nous ne sommes jamais nés, que nous devons rien à personne, que la relation entre un homme et une femme, nous permet d’avoir une forme pour vivre une vie sans histoire, sans être enchaîné à un quelconque enfermement, croyance, que nous ne sommes pas là pour combler les attentes de quoi que ce soit. Si en cet instant vous êtes enchaînés à un enfermement quelconque, à des croyances, à une religion ou plusieurs, enlever vos chaînes, vous ne devez rien à personne, vous n’êtes pas là pour combler quelles que soient les attentes. Cela peut paraître égoïste, la seule chose qui incombe est votre paix intérieure comme à l’extérieur, pour y arriver, il n’y a qu’un seul chemin, celui de l’acceptation, celui de l’accueil et de l’amour, sans quoi il ne peut y avoir de liberté, de paix, de joie et d’amour. Pourquoi devrions-nous être libre de tout attachement, de toute croyance, de tout enfermement, de toute identification, que ce soit familiale, ancestrale, stellaire ou autres ? La raison c’est de ne plus avoir quoi que ce soit avec toutes ces histoires, ces enfermements, qui ne font qu’enchaîner, nous rendre esclaves de ces conditionnements, croyances.
Comprendre que tout enfermement, est en fait que des expériences, que des apprentissages, qui gardent enchaîner, qui n’a pas de possibilité de sortie, que l’on soit bon ou pas. En suivant cette voie, nous nous condamnons à rester des esclaves de ce que nous considérons comme étant la vérité, la réalité. Sommes-nous nés à être des esclaves à suivre aveuglément des croyances, des histoires, des suppositions, que l’on nous fait avaler comme étant la voie à suivre. Sans vouloir juger ce monde, suivant aveuglement cette voie des croyances et des histoires, où la grande majorité cherche des échappatoires pour ne plus subir cette pression infernale, de cette réalité illusoire. Nous ne sommes ni la forme, ni l’expérience, ni l’apprentissage de quoi ou de qui que ce soit. Nous ne sommes jamais nés comme nous ne sommes jamais mort, puisque nous sommes ce qui permet à la forme de vivre et par le fait même, en faire l’apprentissage de la vie et en faire l’expérience. Sommes-nous que des croyances à suivre aveuglément l’histoire de ce monde, de cette humanité ? En suivant cette voie, c’est le chemin de la perdition, de l’enfermement, de l’enfer, en s’enchaînant à des suppositions, en croyant appartenir à des lignées familiales et autres. On a voulu nous intégrer, nous manipuler à faire comme tous les êtres humains à être des esclaves pour ainsi nous voiler de notre vérité primordiale, originelle, au détriment des mensonges, qui sont le reflet de ce monde assouvi par l’ignorance, par l’enfermement des croyances, qui ne font qu’alimenter l’illusion de dualité et de séparation. Revenons à ce que nous sommes de toute éternité, libre de toute appartenance, libre de toute croyance, de tout enferment, qui nous fait aimer tout d’un même amour, dans un même accueil et acceptation, sans que l’on soit enchaîné à quoi ou à qui que ce soit.
Dans l’histoire du monde, de cette humanité, nous faisons appel à Dieu, selon les religions, il y a toute une doctrine à suivre, se conformant à ce qui est révéler et dévoiler comme étant la démarche à suivre, mais qu’en fait ne fait qu’enchaîner l’homme, à être dans un enfermement, à suivre un enseignement qui le garde dans l’ignorance totale de ce qu’il est, faisant de lui un être indigne à se présenter devant son créateur.
Il est vrai qu’il y a une force divine qui orchestre tout, qui se trouve en toute chose, qui est à l’origine de tout, vivant toute expérience, tout apprentissage, quelle qu’en soit la création, l’espace, le temps, le lieu, la dimension. Cette force créatrice, cette essence éternelle, cette intelligence de la lumière, n’a pas besoin de forme, ni de quoi que ce soit pour être de toute éternité. C’est à travers la forme, à travers toute manifestation de la vie, en toute création, en tout espace, en tout lieu, en tout temps, en toute dimension qu’elle se manifeste pour se révéler et se dévoiler en vivant toutes les expériences inimaginables pour en faire l’apprentissage. En fait, c’est ce que nous sommes, issue de cette force créatrice, de cette essence éternelle, de cette intelligence de la lumière qui vit tout, qui orchestre tout et cela avant même d’être manifesté. Libre à chacun de le croire ou pas, cela n’a aucune importance, si votre vie vous convient comme elle se présente c’est que vous en faites l’expérience et apprentissage, mais pour ceux qui ne sont pas bien dans ce qu’ils représentent et cherchent le moyen d’en sortir, ce message est pour vous. Il est dur de pouvoir s’aimer lorsque l’on est enchaîné à des concepts, croyances, conditionnements, à répondre aux attentes de qui où de quoi que ce soit, On n’a pas de compte à rendre à personne, nous ne sommes pas là pour répondre aux attentes, ni à suivre aveuglément des croyances, des attentes, que ce soit d’ordre familial, ancestral, stellaires ou autres enfermements.
Comprendre que nous sommes l’essence éternelle qui fait l’expérience de cette vie, en l’accompagnant, à vivre cette liberté à tout accueillir, à tout accepter d’un même amour. En acceptant, en accueillant et en aimant toutes les expériences, ainsi que tous les apprentissages de ce que nous sommes de toute éternité, l’essence éternelle qui donne vie, qui se manifeste en tout. Le fait de tout accepter, de tout accueillir et d’aimer tout d’un même amour nous libère de nos chaînes afin de ne plus être l’esclave de quiconque, mais être ce que nous sommes de toute éternité, cette liberté d’être. Cela regarde que la personne qui veut suivre aveuglement ce qu’elle a choisi de vivre qu’elle en soit consciente ou pas, cela ne change rien à ce qu’elle est à l’origine, l’essence éternelle vivant cette expérience pour en faire l’apprentissage. Pour ceux qui réalisent qu’ils ne sont pas que la forme humaine mais bien l’essence éternelle retrouve cette liberté et tout ce qui se présente sur le grand écran de la vie est accepté, accueilli et aimé du même amour. Tout en s’accompagnant dans cette forme humaine, en se donnant le même amour, tout en étant tout à la fois. À chacun de vivre ce qu’il pense et croit être, tout en croyant être l’expérience et l’apprentissage, cela ne change rien à ce qu’il est. Pour ceux qui en ont pris connaissance, n’a que cet amour incommensurable, reconnaissant que tout est l’essence éternelle et que le reste n’est que création illusoire. Accompagnons, acceptons et aimons tout d’un même amour car au-delà des apparences, nous sommes la même source originelle, la même essence éternelle et la même intelligence de lumière qui se révèle et se dévoile en apportant la lumière appropriée pour tout ce qui est. Voilà ce que j’ai à répondre à ce frère tourmenté, qu’il puisse trouver en ce message, la paix, la joie et cet amour incommensurable et sa liberté d’être, tout en aimant tout d’un même amour, se libérant de toutes ces échappatoires illusoires.
Il n’y a aucune échappatoire possible, seule la reconnaissance en ce que nous sommes de toute éternité apporte cette libration de tout enfermement par le pouvoir de notre essence éternelle, l’amour. Pour celui qui pense le contraire, fera face à son propre enfermement.
Par Régis Raphaël Violette
Publié par Lumière qui aime tout d’un même amour (Profil & Articles associés)
Ah oui Raphaël… Mais la souffrance de cet homme que tu as rencontré n’est pas lié à cela forcément.
Par exemple quelqu’un qui trouve un lien à des familles de lumière et de bien peut en être très heureux.
Par contre si c’est le contraire, effectivement, c’est plus difficile.
Je respecte ta croyance Tomtom, ainsi ce que tu es venu accomplir vivre en qu’expérience et apprentissage, comme je le fais pour tous. Je ne demande pas de me croire, faites en l’expérience si c’est votre choix de vie. J’accueille, j’accepte et j’aime tout d’un même amour, même si je partage n’est pas compris de tous. En fait comme tout est un, je m’adresse qu’à moi-même, tout en est la même essence éternelle, Dieu, le sans nom, qu’importe le non qu’on lui donne. Il y aura toujours à redire pour ceux et celles qui ne vivent pas la même expérience de la vie, le même apprentissage. Quelle que soit l’expérience, l’apprentissage tout aboutit à une seule vérité, que tout est un, l’un en tout, tout en un.
J’oubliais le tant, dans cette phrase ce que tu es venu vivre en tant qu’expérience et apprentissage
Oui…
Je vais aller y travailler justement Raphaël.
Tout le bien.
Je repartage le message en commentaire après avoir relu le message, je me suis aperçu de plusieurs fautes d’orthographe, prendre en considération que lorsque j’écris, je le fais d’une traite.
✨Ce message s’adresse à chacun, à moi, à toi, à tout le monde, à tout ce qui est.
Une grande majorité ne connait pas son origine, pensant être né d’une relation entre l’homme et la femme. C’est ainsi que l’être humain perpétue l’histoire de l’humanité, errant ainsi dans l’illusion de dualité et de séparation. Pour satisfaire son besoin existentiel, le fait d’être né d’une relation humaine. il se dit être incarné, être une âme, une conscience afin de continuer à faire l’apprentissage et l’expérience de cette nouvelle vie. Tout être humain base sa recherche sur ce qu’il considère comme étant les fondements de ce qu’il croit et pense être, sur la forme humaine, le point central. Tous se considèrent très différents les uns aux autres, selon leurs origines stellaires, familiales ou autres croyances. Mais est-ce vraiment le cas ? Fondé son origine sur des suppositions, l’être humain croit être la descendance d’une famille stellaire, d’une constellation quelconque, d’une longue lignée familiale, même si cela est véridique, il reste identifié à la forme. L’être humain se base sur des suppositions pour se donner bonne conscience afin de suivre une ligne de conduite en se référant à son livre d’histoire, oubliant le vrai fondement de ce qui lui permet de faire l’apprentissage et l’expérience de cette vie.
Ce n’est pas évident pour celui qui s’accroche à son histoire de pouvoir en sortir et ainsi ne plus être victime de cet enfermement, de toutes histoires familiales et autres. Subissant une forte pression familiale d’être à la hauteur des attentes de ceux-ci, sans quoi, il est jugé, condamné pour ne pas suivre la lignée familiale, les conditionnements de leurs croyances. Pourquoi je vous parle de tout cela, simplement pour vous faire réaliser votre état d’enfermement, ne pas chercher la cause de votre mal-être, de votre inconfort à répondre aux attentes qui vous pourrissent la vie, tel un esclave enchaîné à suivre ce qu’on lui dicte de faire sans qu’il y ait son mot à dire, se référant au livre d’histoire. J’ai discuté dernièrement avec un frère, cela aurait pu être une soeur, il me disait qu’une grande majorité ne comprenait pas les messages que je partageais, car lui-même ne les comprenait pas, toujours à chercher sa place en ce monde, à haïr ce qu’il représente, à vouloir combler les attentes sans y arriver, être à la hauteur de ce que l’on attend de lui. Tout en sentant et ressentant une telle pression sur lui, qu’il ne peut répondre à toutes ces attentes. La seule façon qu’il a trouvée pour y échapper, c’est d’envoyer promener tout le monde, préférant fuir, mais se retrouvant face à lui-même, à vivre cette dualité permanente, à ne plus savoir quoi faire. Fuyant en prenant des substances ou en se perdant dans l’alcool. Il n’est pas si différent des autres humains, qui sont enchaînés à suivre aveuglement ce que l’on attend d’eux, où se rebellent car vivre une vie d’esclave sans échappatoire, il y a de quoi à tomber dans la dépression, dans des échappatoires illusoires comme la drogue et autres comportements abusifs et destructifs.
Alors comment faire pour y échapper, de sortir de l’enfermement, afin de ne plus sentir aucune pression familiale, ancestrale, stellaire ou autres appartenances. Pour une première étape, ne plus avoir aucune identification à quoi que ce soit, plus aucun attachement à aucune histoire, qu’elle soit familiale, ancestrale, stellaire ou autres, sortir de tout enfermement. Se sentir libre comme l’air, par la suite, comprendre que nous ne sommes jamais nés, que nous devons rien à personne, que la relation entre un homme et une femme, nous permet d’avoir une forme pour vivre une vie sans histoire, sans être enchaîné à un quelconque enfermement, croyance, que nous ne sommes pas là pour combler les attentes de quoi que ce soit. Si en cet instant vous êtes enchaînés à un enfermement quelconque, à des croyances, à une religion ou plusieurs, enlever vos chaînes, vous ne devez rien à personne, vous n’êtes pas là pour combler quelles que soient les attentes. Cela peut paraître égoïste, la seule chose qui incombe est votre paix intérieure comme à l’extérieur, pour y arriver, il n’y a qu’un seul chemin, celui de l’acceptation, celui de l’accueil et de l’amour, sans quoi il ne peut y avoir de liberté, de paix, de joie et d’amour. Pourquoi devrions-nous être libre de tout attachement, de toute croyance, de tout enfermement, de toute identification, que ce soit familiale, ancestrale, stellaire ou autres ? La raison c’est de ne plus avoir quoi que ce soit avec toutes ces histoires, ces enfermements, qui ne font qu’enchaîner, nous rendre esclaves de ces conditionnements, croyances.
Comprendre que tout enfermement, est en fait que des expériences, que des apprentissages, qui gardent enchaîné, qui n’a pas de possibilité de sortie, que l’on soit bon ou pas. En suivant cette voie, nous nous condamnons à rester des esclaves de ce que nous considérons comme étant la vérité, la réalité. Sommes-nous nés à être des esclaves à suivre aveuglément des croyances, des histoires, des suppositions, que l’on nous fait avaler comme étant la voie à suivre. Sans vouloir juger ce monde, suivant aveuglement cette voie des croyances et des histoires, où la grande majorité cherche des échappatoires pour ne plus subir cette pression infernale, de cette réalité illusoire. Nous ne sommes ni la forme, ni l’expérience, ni l’apprentissage de quoi ou de qui que ce soit. Nous ne sommes jamais nés comme nous ne sommes jamais mort, puisque nous sommes ce qui permet à la forme de vivre et par le fait même, en faire l’apprentissage de la vie et en faire l’expérience. Sommes-nous que des croyances à suivre aveuglément l’histoire de ce monde, de cette humanité ? En suivant cette voie, c’est le chemin de la perdition, de l’enfermement, de l’enfer, en s’enchaînant à des suppositions, en croyant appartenir à des lignées familiales et autres. On a voulu nous intégrer, nous manipuler à faire comme tous les êtres humains à être des esclaves pour ainsi nous voiler de notre vérité primordiale, originelle, au détriment des mensonges, qui sont le reflet de ce monde assouvi par l’ignorance, par l’enfermement des croyances, qui ne font qu’alimenter l’illusion de dualité et de séparation. Revenons à ce que nous sommes de toute éternité, libre de toute appartenance, libre de toute croyance, de tout enferment, qui nous fait aimer tout d’un même amour, dans un même accueil et acceptation, sans que l’on soit enchaîné à quoi ou à qui que ce soit.
Dans l’histoire du monde, de cette humanité, nous faisons appel à Dieu, selon les religions, il y a toute une doctrine à suivre, se conformant à ce qui est révélé et dévoilé comme étant la démarche à suivre, mais qu’en fait ne fait qu’enchaîner l’homme, à être dans un enfermement, à suivre un enseignement qui le garde dans l’ignorance totale de ce qu’il est, faisant de lui un être indigne à se présenter devant son créateur.
Il est vrai qu’il y a une force divine qui orchestre tout, qui se trouve en toute chose, qui est à l’origine de tout, vivant toute expérience, tout apprentissage, quelle qu’en soit la création, l’espace, le temps, le lieu, la dimension. Cette force créatrice, cette essence éternelle, cette intelligence de la lumière, n’a pas besoin de forme, ni de quoi que ce soit pour être de toute éternité. C’est à travers la forme, à travers toute manifestation de la vie, en toute création, en tout espace, en tout lieu, en tout temps, en toute dimension qu’elle se manifeste pour se révéler et se dévoiler en vivant toutes les expériences inimaginables pour en faire l’apprentissage. En fait, c’est ce que nous sommes, issue de cette force créatrice, de cette essence éternelle, de cette intelligence de la lumière qui vit tout, qui orchestre tout et cela avant même d’être manifesté. Libre à chacun de le croire ou pas, cela n’a aucune importance, si votre vie vous convient comme elle se présente c’est que vous en faites l’expérience et l’apprentissage, mais pour ceux qui ne sont pas bien dans ce qu’ils représentent et cherchent le moyen d’en sortir, ce message est pour vous. Il est dur de pouvoir s’aimer lorsque l’on est enchaîné à des concepts, croyances, conditionnements, à répondre aux attentes de qui où de quoi que ce soit, On n’a pas de compte à rendre à personne, nous ne sommes pas là pour répondre aux attentes, ni à suivre aveuglément des croyances, que ce soit d’ordre familial, ancestral, stellaires ou autres enfermements.
Comprendre que nous sommes l’essence éternelle qui fait l’expérience de cette vie, en l’accompagnant, à vivre cette liberté à tout accueillir, à tout accepter d’un même amour. En acceptant, en accueillant et en aimant toutes les expériences, ainsi que tous les apprentissages de ce que nous sommes de toute éternité, l’essence éternelle qui donne vie, qui se manifeste en tout. Le f... [message tronqué - 10000 caractères max]
comme un zombie ?
Juste fait fi de l’incarnation , il ( comme certains maîtres ) n’a pas encore vu que la chair devenue consciente est le summum de la création humaine ; que tout ce qu’il dit, aussi vrai que cela soit dans l’absolu, n’est pas audible pour les êtres incarnés en recherche de leurs profondes identités , c’est comme si, quitter la proie ( la personne ) pour l’ombre … ou la lumière .
Je me rappelle, durant de nombreuses années , avoir cherché , étudié , compris ce que la plupart des Maîtres reconnus enseignaient mais ce qui manquait c’était la relation corps-conscience, souvent c’était soit l’un soit l’autre, sauf peut-être le yoga mais , 24 formes de yoga sans oublier le plus important celui du souffle .
Rester dans l’affirmation d’être ceci ou ne pas être cela , si ce n’est pas profondément enraciné dans les cellules du corps peut vite virer à l’autosuggestion tout en étant parfaitement sincère avec soi même et les autres .
Ramana Maharshi, le 14-4-12
Le positionnement de cette branche de l’Advaita Vedanta, par rapport à l’individualisation et à l’incarnation, le positionnement est à plusieurs niveaux, ou plusieurs positionnements selon plusieurs niveaux d’ouverture au sein de cet enseignement.
Il est regrettable – si regrettable peut être – que ceux qui cherchent à suivre l’enseignement de Ramana Maharshi s’arrêtent à l’enseignement tel que je l’ai formulé dans l’enveloppe corporelle. Là, une expression de positionnement dont je perçois maintenant la limite. Il serait beau que les chelas, depuis la plénitude du cœur ouvert, s’ouvrent au positionnement de Ramana Maharshi sans les limites de l’enveloppe corporelle de l’époque.
Il est vrai, la question posée par ce frère fait référence à une limite d’expression qui semblait nier la plénitude de la présence à l’individualisation, de la plénitude de l’incarnation. Le un vécu dans l’abstraction, une étape. Le un honoré à travers l’individualisation et l’enveloppe corporelle, une étape ultérieure, une réalisation suprême. Honorer l’individualisation, honorer l’incarnation comme temple du un, comme le Divin. Tel est le message de Ramana Maharshi dans l’éternel maintenant.
Trouves-tu là ta réponse ?
Cher Jacques :heart:, je respecte ta vérité qui est à l’image de tes croyances.
Je respecte le temple de chacun, de toute forme de vie, car tous ont la même essence éternelle, l’un. Il n’y a rien à juger, ni à condamner, comme je le dis, j’accueille et j’accepte et aime tout d’un même amour, qu’il s’agit de mon temple ou de tous les temples. Je n’ai pas à juger notre essence éternelle qui vit tout expérience et tout apprentissage. Tout en partageant ce qui est pour moi, la vérité. Si cette vérité n’est pas à l’image des autres vérités, cela n’a aucune importance, chacun trouve en sa vérité son besoin de connaissances, qui correspond à ce qu’il croit et pense être.
Cher Juste je n’ai pas de croyances , ce qui été le moteur de ma vie c’est la justice pour être juste autant se faire que peut , à été pour moi d’étayer mon aspiration par toutes les branches du savoir ce qui fait que je ne digère pas les couleuvres de quelques espèces que ce soient .
Quand au terme vérité je ne l’emploie pas car » à chacun sa vérité » et préfère le terme réalité bien plus sélectif et contraignant bien qu’il y ait plusieurs niveaux de réalité selon notre propre niveau de conscience qui évolue sans cesse .
Avec toute ma sympathie
✨
CEUX LÀ AUSSI(LES PETITS GRIS) ILS FAUT LES AIMER TOUS D’UN MEME AMOUR ?
Témoignage exclusif, Par Hubert Herrick
De tous temps, en tous lieux de la Terre, parmi toutes les cultures et peuples, des contacts ont été rapportés avec des êtres venant d’un monde différent de la Terre, et il ne s’agit aucunement de mythes ou de fictions.
Dans les temps modernes, et notamment depuis la seconde guerre mondiale, il y a eu une très forte recrudescence de survols, visites au sol, contacts rapprochés, voire même enlèvements à visées positives («ravissements») ou négatives («abductions»).
Dans la plupart des cas, ces contacts sont positifs. Mais il est n’est pas possible de passer sous silence d’évidents contacts et enlèvements négatifs qui ont d’ailleurs été à la fois couverts (dissimulés) et permis par plusieurs puissances en place. Il vient cependant d’être normalement mis fin à ces pratiques, d’une part, et d’autre part, la divulgation globale, ainsi que des procès de très très grande ampleur, auront prochainement lieu (avant l’été 2019), moment où le grand public commencera à en être informé…
À l’Automne 1995, il m’a été donné de vivre une expérience assez édifiante et profondément transformatrice, au contact des Petits Gris… Et je vais vous en donner le récit le plus fidèle et détaillé que possible.
Je venais de terminer une soirée bien ordinaire et j’allais me coucher. La nuit allait se passer normalement (sommeil profond), jusqu’à 4 H 15 du matin à peu près. Je me suis alors retrouvé dans ce qui RESSEMBLAIT tout d’abord à un état de rêve lucide ET une sorte d’état somnambulique MAIS LUCIDE, où il m’était suggéré de me lever pour aller dans la salle à manger, d’allumer la télévision et de commencer à la regarder. Je le faisais, mais les canaux étaient sans émissions, il n’y avait que de la «neige électronique» à regarder. C’est alors que deux mains APPAREMMENT familières se posaient sur mes deux épaules, me laissant croire qu’il s’agissait d’une personne de la famille. Mais lorsque je me retournais, il s’agissait d’un Petit Gris qui me tenait alors très fermement par les épaules. C’est à ce moment précis que le décor habituel de la salle à manger s’évanouissait pour devenir lui aussi semblable à l’énergie informe qui occupait l’écran de télé sans émission. J’étais alors instantanément transporté dans un bloc opératoire ressemblant à une cuisine de collectivité, entièrement faite d’aluminium (ou une matière d’apparence identique).
Je n’étais pas libre de mes mouvements. J’étais sanglé sur une table d’opération, et au moins 4 Petits Gris m’entouraient, s’affairant tout autour de moi. Derrière moi, un autre Gris plus trapu, d’un mètre 80 ou 90 supervisait la scène. On sentait que plus loin, derrière des verrières d’observation, d’autres activités étaient supervisées.
Très rapidement, une sonde de cœlioscopie était introduite par mon ombilic (nombril) et me causait une certaine douleur physique. J’étais sous l’emprise parapsychique du plus grand des Gris qui cherchait à altérer mes perceptions et ma volonté, mais ne parvenait pas à empêcher ma douleur de devenir plus grande. C’est grâce à cette dernière que je parvenais à me mettre en colère intérieurement et que je sentais le contrôle du Grand Gris sur moi commencer à totalement céder. Je reprenais et en extrayant cette sonde de manière inappropriée. Cela faisait plus de 20 secondes que les Petits Gris épouvantés par mon «réveil» avaient fui dans les salles de contrôle voisines, laissant seul le Grand Gris tenter de contrôler l’incontrôlable. Le plus stupéfiant est que je me suis senti comme tomber dans le vide et que je suis alors repassé à travers le toit et tous les planchers de l’immeuble où j’habitais à l’époque, pour atterrir assis sur mon lit, cœur battant.
Je me retrouvais «téléporté» dans mon lit, trempé de sueur, le nombril en sang et largement gonflé, également couvert du même gel bleu ciel que celui que l’on passe sur le corps des patients pour une échographie. Mais j’étais surpris de découvrir que ce gel pétillait un peu comme de l’eau pétillante, sa consistance plus épaisse mis à part. Et qu’il se dématérialisait rapidement. En moins de 3 minutes, plutôt à peine plus de 2, il n’y avait bientôt plus rien du tout.
Je restais avec une certaine douleur au nombril, et le ressenti que mes viscères avaient été malmenées. J’étais trempé de sueur, et les draps étaient largement mouillés. Quelques petites taches de sang marquaient les draps également. Mon cœur a mis près de 4 minutes à se calmer, lui qui n’avait cessé de battre à tout rompre depuis mon évasion de la table et du bloc opératoire, sous l’effet de la douleur et de ma colère (bien légitime). Je regardais l’heure après 2 minutes de stupeur, et il était 4 H 30 du matin…
J’étais épuisé et choqué, tombant rapidement dans un profond sommeil réparateur et libérateur, après m’être assuré que le cauchemar était pour le moment terminé.
Je me suis alors réveillé peu avant 8 heures. Mais je n’avais pas rêvé. Mes draps étaient tachés d’un peu de sang. De la poudre de sang séché était visible dans et autour de mon nombril qui était assez douloureux, ainsi que des traces d’essuyage de sang avec mes propres doigts eux aussi tachés. La région de mon ombilic était rouge, irritée et un peu dilatée. J’avais mal au ventre. Nous étions dans la dernière semaine de Septembre.
15 jours se sont passés, peut-être même un peu moins. Comme j’avais toujours mal au ventre et dans la région du nombril, je me décidais à consulter un gastro-entérologue. Il fut très facilement diagnostiqué une double hernie étranglée qui nécessitait une opération la plus rapide possible. J’étais en risque d’une occlusion intestinale vraiment dangereuse. Le problème se situait au niveau du nombril et quelques centimètres au-dessus. J’ai donc dû être opéré, cette fois sur Terre, par une équipe médicale tout ce qu’il y a de plus conventionnel et ordinaire. Le chirurgien a dû «démonter» puis reconstituer mon nombril, et également m’inciser quelques centimètres au-dessus, pour remettre en place ce qui devait l’être. (Pour information, je dois dire que cette région précise de mon corps m’a ensuite fréquemment fait un peu souffrir pendant près de 25 ans… !)
source : unepetitelumierepourchacun.com
Quelle que soit l’expérience, tout fait partie d’un apprentissage, tout a sa raison d’être, il est vrai que lorsque nous n’avons pas les réponses, cela devient incompréhensible. Pourtant, est-ce que Jésus a voulu vivre cette expérience sur la croix et vivre autant de souffrance, venant de ses semblables. Comprendre que nous ne sommes pas juste la conscience qui fait l’expérience d’une seule vie. Tout à sa raison d’être que l’on soit d’accord ou pas. C’est à chacun de nous, de trouver la force pour tout pardonner et que la vie peu importe sa provenance, quelles que soient l’expérience et apprentissage. Aimons tout d’un même amour, qu’on le veuille ou non, tout est issu d’une même source de lumière, qui est à l’origine de tout ce qui est et de toute vie. Combien d’êtres humains ou venant d’autres plans d’existence vivent des expériences troublantes et douloureuses à tout point de vue. Nous ne sommes pas mieux, lorsque l’on fait des expériences sur les formes de vie de cette planète.
En questionnement de ce texte on se demande :que veulent ils nous voler par ces expérimentations? peut être « L ESSENCE ETERNELLE » dont parle Juste et qu’ils ont peut être perdue ?
on remarquera dans ce texte que c’est la douleur et la colère qui ont réveillé l’auteur et lui ont permit de s’échapper de l’emprise donc pas inutiles dans les moments très critiques.
Il apparaît qu’il est utile pour soi même d’aimer tout le monde et toute chose. Donc les petits gris aussi en leur souhaitant tout le bien.
Pour Jésus, les incarnations d’Avatar sont particulières et certainement très étudiées avant qu’elles ne se réalisent. Il s’agit dans de nombreux cas de tamponner, d’absorber une masse karmique, et certains égrégores négatifs.
Du travail profond et extraordinaire.
Ce n’est pas parce que l’on PARDONNE que celà ,c’est normal et parfait, cette souffrance cette horreur
l’Amour le véritable est de voir de reconnaitre les choses comme elles sont
Ça en fait partie Namur…
Tout juste , tous les protagonistes essentiels de l’événement savaient très bien de ce qu’il s’agissait , tout a été réalisé en pleine conscience dans l’amour et la dévotion de ce moment essentiel pour l’humanité .
De l’Ami ( 27/012019 )
…Le collectif, vous le savez, n’est fait que d’individus. A chaque individu de ne regarder que sa propre création. La réalité est simple pour ceux dont le regard est simple et l’attention simple.
Sortir des interprétations appartenant à ces histoires douloureuses qui peut-être, ont marqué les lignées ancestrales ou le collectif de l’humanité. Il est une nouvelle humanité qui ne connaît pas l’histoire de la souffrance. Cette humanité est parallèle à l’humanité dans l’addiction à l’histoire de la souffrance.
Souvenez-vous il n’est point de temps linéaire, il n’est point de devenir. L’humanité de lumière est parallèle aux apparences douloureuses. Il suffit de s’établir sur la bonne fréquence. La bonne fréquence est inévitable lorsque l’on sort de l’attention offerte au pesant, aux apparences douloureuses, aux addictions…
…Comprenez-le, il ne s’agit pas pour l’humanité d’une courbe de devenir mais de lignée parallèle. L’attention détermine la fréquence, la fréquence détermine la manifestation de la réalité.
Prenez tout légèrement. Ce qui semble être drame s’évapore par la vertu de l’attention offerte au simple, au bienveillant, à la bonté, à la lumière et à la joie. La joie, puisse l’humanité le comprendre, n’est point déterminée par des circonstances mais par la puissance de l’attention….