La jalousie ou envie est une souffrance mentale ressentie quand on s’aperçoit de la joie d’une autre personne. Une personne connu ou inconnu. On peut voir le sentiment de jalousie chez un être envers un autre ; parce qu’il ne possède pas une belle maison, n’a pas d’amour, a des problèmes d’argent etc.
La jalousie est notamment liée au fait que quelqu’un d’autre convoite la présence de l’être ou de l’objet ou de la situation désiré …. alors que la personne jalouse n’en profite pas, cette frustration étant accompagnée d’un autre sentiment la peur. Et cela entraine bien des changements dans nos corps ….
Les Spirits me donnent quelques informations sur les raisons de la souffrance de l’homme. Ils démontrent, à condition de se donner la peine de le voir, que l’esprit qui anime notre individualité a une perpétuelle action sur le corps comme un outil nécessaire. Cependant il y a un point intéressant et instructif que l’humanité néglige de considérer : c’est que nos maux et les maladies qui s’abattent sur notre corps charnel périssable ne sont jamais dues au fait du hasard comme on les attribue souvent faute de connaissances.
On m’enseigne que le hasard ne joue aucun rôle dans ce que nous ne pouvons pas expliquer dés l’abord d’un problème existentiel. Le hasard n’existe pas non plus dans tous les imprévus de la vie. Certains savants matérialistes prisonniers des concepts étriqués que prend parfois la science officielle, partent du principe erroné « que ce qui ne s’explique, pas n’existe pas ».
La jalousie qui est une souffrance existe bien dans notre monde.
Le corps n’est pas seulement un instrument d’action au service de l’esprit, mais il est aussi le siège récepteur des impressions que la douleur inflige à l’être physique ou moral par ses écarts. Les petits maux que nous semblons capter au passage sans pouvoir nous les expliquer, ne sont absolument que des tâches à assumer en raison des fautes commises le long du parcours de notre immortalité. Les Etres de lumière nous disent que les malades ne sont pas les victimes de maux ambiants, mais les provocateurs ou victimes de ceux qui s’agrippent à eux. Par exemple : une fatigue prolongé non expliqué peux se régler en nettoyant et en coupant les liens, les énergies de jalousies ou d’envie que l’on reçoit. L’éveil de sa conscience joue un rôle primordial. Ainsi plus l’être s’élève au-dessus de lui-même et se spiritualise, moins les maux physiques auront de prise sur lui.
Les accidents, les maladies, nos biens, parfois nos ressources vitales sont menacées par tous les imprévus de la vie : ruine, incendie, guerres, vols, agressions de toutes sortes et pire encore viennent s’asseoir à notre foyer sans frapper à la porte…
Si les moyens d’édification sont laborieux, les moyens de destructions sont multiples et si abondants, que pour une majeure partie de notre humanité, on n’est jamais sûr de posséder le lendemain ce qui était à soi la veille.
C’est nous qui tenons les fils de notre vie et qui, à notre insu provoquons, par les vibrations de nos erreurs des situations. Nous ne faisons que subir des épreuves que nous avons nous-mêmes provoquées. Donc à nous de maintenir une harmonie et un fil conducteur lumineux.
Les uns meurent pauvres, les autres riches, après avoir travaillé toute une vie qui , semblerait-il, devrait se terminer dans une aisance assurée. C’est le point de vue humain. Mais il y en a un autre qui dit : « N’est pas riche qui meurt les mains vides. Celui-là est riche qui meurt les mains pures. »
Si nous laissons de côté le point de vue humain qui n’intéresse que notre côté matériel, et que nous nous plaçons au point de vue spirituel, nous voyons que tous les biens moraux restent intangibles, à l’abri de tous les cataclysmes et de toutes les conspirations humaines, et n’ont besoin d’aucune garde pour les protéger.
Le malhonnête homme, quand il est dépossédé de ses biens, ne possède plus rien ; l’honnête travailleur peut perdre les siens, il n’a pas tout perdu, car il a édifié une fortune morale que rien ne peut lui enlever et qui représente dans le monde des esprits, une valeur infiniment plus grande. Si au lieu de perdre ce qu’il avait, il l’a donné, c’est mieux encore car les donner, c’est les doubler.
J’ai retrouvé une citation de Victor Hugo : « la mort est la banque du pauvre. Il se dépouille en bas et se rhabille en haut. Dieu lui donne un vêtement d’azur et prend mesure sur ses haillons. » Tout est dit.
Les épreuves, les souffrances, les tribulations, les afflictions qui sont produites par des causes graves, revers de fortune, catastrophes, perte d’un être cher, ont-elles un sens ?
On entend souvent dire que chacun d’entre nous porte sa croix, et que se sont des peines que Dieu envoie aux hommes pour exercer et les rendre dignes des récompenses qui leur sont destinées, mais que veut dire en clair tout cela ?
Sommes-nous entourés par un cercle qui nous limite et que nous ne pouvons franchir ?
La misère provoque une révolte contre la Providence, la richesse excite tous les excès. Dieu éprouve le pauvre par la résignation et le riche par l’usage qu’il fait de ses biens et de sa puissance. La richesse et le pouvoir font naître toutes les passions qui nous attachent à la matière et nous éloignent de la spiritualité. Galilée a dit :  » Je vous le dis en vérité, il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume des cieux. »
Lorsque nous envions les jouissances de ceux qui nous paraissent les heureux du monde connaissons-nous pour autant leur parcours ?
Comment dès lors, mieux comprendre les extases de ces âmes d’élites qui exposent leur vie pour se consacrer à leurs frères que le mal accable ? Comment comprendre le dévouement, l’abnégation, le sacrifice de beaucoup d’entre-nous, sinon par cette victoire dont parlait le Christ ?
La réalisation du problème mystérieux de notre destinée qui doit nous faire avancer dans le chemin de la perfection, et nous faire gravir de nouveaux échelons symbolisés par l’échelle de Jacob… Il a eu eut en rêve la vision de cette échelle qui symbolise l’évolution et les vies successives….
Toutes les passions sont des tortures de l’âme, particulièrement l’envie et la jalousie ces deux vers rongeurs. Avec l’envie et la jalousie point de calme, point de repos paisible pour l’homme, les objets de sa convoitise, de sa haine, de son dépit se dressent devant lui comme des fantômes qui ne lui laissent aucune trêve et se poursuivent jusque dans son sommeil. Avec ses passions, l’homme se crée des supplices volontaires, et ainsi la terre devient pour lui un véritable enfer…
Levons donc nos regards vers l’avenir sans limite, en nous rappelant que cet avenir nous appartient : notre tâche est de le conquérir par la bonté, la charité et l’Amour du prochain… Donner du bonheur et faire du bien, voilà notre loi. Vous ne serez donc heureux que dans la mesure où vous reconnaîtrez ce principe divin qui fait que tous les hommes sont les habitants d’une même planète, ont un même destin parce que frères dans la joie et dans la tristesse.
Comprenez tout cela et vous croirez ensuite …. Le Bouddha ne disait-il pas : « Le secret des misères humaines, c’est l’ignorance ? »
Belle & agréable journée
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Lila