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En voyant le tableau qu’elles ont tracé de leur divinité, j’ai réalisé combien ce n’était pas Dieu qui a fait de ses maquerelles spirituelles, son visage,
mais bien ces maquerelles spirituelles qui ont figuré Dieu sur le leurs.

Affectuant une humilité hypocrite de vierges notoires, ces maquerelles ont taxé d’impuissance leur raison et c’est ainsi que pensant être nommées des mystères de Dieu, elles en bavent les absurdités de son entendement :

Entendement qui sévit depuis des siècles menant les hommes dans ce genre d’aberrations qui désespèrent le genre humain ; calculant sa vertu perverse et infatigable à consommer le crime des croyances, oubliant qu’il ne juge pas les choses par leur nature mais bien par l’élan de sa passion..

Ces maquerelles sont incapables de scruter l’organisation de l’être sensible, pour déterminer avec précision si les mobiles qui le portent au bonheur sont plus faibles que ceux qui l’en repoussent, embrassant d’un coup d’oeil l’histoire de l’espèce et jugeant du futur par l’exemple du passé sans aucune créativité propre !

Ces impostrices qui se disent confidentes de Dieu et qui en docteurs des peuples ouvrent la voie du mensonge et de l’inéquité.

Et oui maquerelles spirituelles, pour être dans la prétention d’une perfection telle que la vôtre, il faudrait démentir le témoignage de vos faits et de vos raisons, ceux qui vous servent à manipuler, à contrôler, à diriger pour le seul but de votre personne.

Effet de vos états de faits passés, de bigotes tentant de démentir le fait subsistant de l’organisation de l’homme incapable de naître avec un usage suffisamment éclairé des sens pour se passer de vos répugantes manoeuvres pour le conserver dans un formol d’homme perdu !

Vous n’êtes qu’une rumeur et rien de plus !

Ds Ya