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Corps plus mort qu’un désert et plus nu…

Les pistes que je suis sur ton visage ont d’étranges méandres..
La trace y brûle encore d’un meurtrier inconnu…

Mais moi je sais….
Et je fuis le culte affreux que ta piété ose encore me vouer…

Je t’en prie :

Epargne-moi ton œil, trouble océan, qui ronge mon âme…

Mon enfant, mon enfant…
Ne me regarde pas !

Mais bon Dieu, jetez-moi un drap sur la tête !

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Ds Ya