Malgré mes occupations extérieures, je prends le temps de vous traduire cette série de deux articles dont le lien a été posté en commentaire par un lecteur (lectrice?) que je remercie encore et qui me semble important pour la compréhension des événements actuels. Ils complètent le récapitulatif en 8 points d’Yves Rasir précédemment publié.

C’est très sensé.

Ces articles (rédigés par Ilsedora Laker) sont tirés du site anglophone sur la Médecine Nouvelle Germanique (MNG), développée par le Dr Hamer
(décédé en juillet 2017). Pour ceux qui n’auraient pas connaissance des travaux du Dr Hamer, je vous renvoie à cet article du BBB, qu’il est bon de lire avant.

En passant, voici comment « l’objectif » site Wikipédia anglophone décrit la Médecine Nouvelle Germanique : « imposture médicale pseudo-scientifique, basée sur l’anthroposophie ». Bon, ils peuvent revoir leur copie de fond en comble. Ce qu’ils ne feront pas…

Source des articles, cliquer ici-même

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Introduction ci-dessus, puis traduction en français ci-dessous par la grande générosité d’Apolline – 21 mars 2020

Texte originel d’Ilsedora Laker

Source présent article, photo – delta de la Lyre – 24 mars 2020

COVID-19, partie I

Au cours du dernier mois, j’ai reçu un nombre incalculable d’emails me demandant de quoi il retournait avec la « pandémie » COVID-19, j’ai donc pensé que ce serait une bonne idée de faire un article sur le sujet plutôt que d’expliquer à chacun le point de vue de la MNG.

Fort heureusement, un ami m’a envoyé début février des liens sur ce qui s’est passé à Wuhan, cité de plus de 11 millions d’habitants, ce qui m’a aidée à comprendre le climat politique de cette région qui a pu être responsable d’une « peur d’agression » qui a affecté des milliers de gens et qui s’est résolue à peu près à la même période.

Pour ceux qui ont découvert récemment les travaux du Dr Hamer mais savent que certains troubles se produisent dans la phase de guérison d’un conflit, nous en avons l’exemple ici.

Le conflit

Pour simplifier, quand un individu éprouve la peur d’une agression contre lui ou contre ses proches, il se met en « alerte optimale », en situation de lutte ou de fuite [« fight or flight »]. Chez les hommes, nous parlons d’un conflit « de peur sur le territoire », qui implique une agression de l’extérieur et chez les femmes, cela concernera davantage leur « nid », leur territoire intime. Le Dr Hamer décrit cette réaction du monde masculin comme une réponse pour tenter de protéger son environnement de forces extérieures alors que la réaction féminine sera de s’assurer que le nid est protégé.

C’est durant cette situation de lutte ou fuite que les parois bronchiques en particulier commencent à s’ulcérer. C’est biologiquement important, car ce processus permet à l’oxygène de parvenir en grande quantité aux poumons grâce à cet élargissement ulcératif du tissu, facilitant la réponse lutte ou fuite.

Que se passe-t-il concrètement ?

Cette « peur d’une agression » peut durer des semaines ou des mois, voire des années dans certains cas, et quand le conflit se résout ensuite, le tissu bronchique ulcéré commence à se réparer en entrainant une inflammation des bronches et des symptômes de type grippal commencent à se manifester.

Dans la plupart des cas, nous observons de la fièvre, mais dans ce cas la fièvre ne provient pas d’une activité microbienne, car les bronches sont « branchées » sur le cortex sensoriel du téléencéphale où la fièvre fait partie du processus de guérison dans la majorité des situations contrôlées par cette région du cerveau.

Accompagnant la fièvre, la fatigue fait aussi partie de la phase de guérison dans la plupart des cas. Nous avons ensuite bien entendu des douleurs musculaires et des malaises que la MNG attribue à la réponse lutte/fuite, « nous devons partir pour nous sauver », ce qui était impossible au moment du choc conflictuel.

En d’autres mots, les douleurs musculaires et malaises résultent d’un aspect « d’auto-dévaluation » dans le scénario du conflit. Puis nous avons bien sûr la toux, ce qui signifie que la phase de guérison/réparation est en cours dans les bronches.

La première semaine est en général la pire mais selon les individus, il peut se passer une deuxième semaine avant que la fièvre, les douleurs musculaires et les malaises ne s’atténuent.

La pneumonie

La majorité de ces phases de guérison respiratoire dure normalement 3 ou 4 semaines au maximum avant la disparition des symptômes. Si malgré tout nous avons un autre conflit actif touchant les canaux collecteurs des reins, mécanisme de survie impliquant une rétention des fluides, les poumons commencent à se remplir de liquide dans cette phase particulière de guérison des bronches qui assurent le transport de l’oxygène dans les poumons. C’est ce qui cause une pneumonie.

Les canaux collecteurs des reins garderont les fluides du corps dans une réaction à la « menace sur l’existence ». Cette réaction est un mécanisme de survie parce que nous avons besoin d’eau pour survivre. Nous pouvons rester sans manger pendant deux semaines mais sans eau nous nous déshydratons très vite, alors dans une telle situation notre corps conserve ce qui est déjà là.

Dans la MNG les canaux collecteurs des reins réagissent aux conflits d’abandon/isolement, conflits des réfugiés et conflits d’existence, il est donc toujours primordial de comprendre le conflit rénal pour empêcher ce facteur de complication de créer une phase de guérison plus hasardeuse.

Ce conflit peut pré-exister ou il peut démarrer au moment du diagnostic d’une maladie « mettant la vie en danger », et dans le cas présent il donne la possibilité d’un coronavirus.

Le signe de canaux collecteurs des reins en « mode survie », c’est une bouche sèche, la soif et le besoin de boire autant que possible.

Le problème ici est qu’au cours d’une phase de guérison le liquide en excès ira à l’endroit exact du corps qui expérimente la guérison. Dans une phase de guérison respiratoire, les poumons se rempliront de liquide. C’est ce qu’on nomme pneumonie.

Je réalise que ma description peut sembler complexe mais c’est en fait très simple. Il n’en reste pas moins que toute inflammation respiratoire compromise par une activité conflictuelle des canaux collecteurs du rein va se présenter comme une pneumonie.

Toutefois la médecine traditionnelle [= pasteurienne] parlera d’épidémie dès que 10 personnes d’une communauté en présentent des signes et accusera un virus, responsable, selon cette médecine, de ces manifestations respiratoires.

Quand elles apparaissent chez des centaines de gens, que ce soit dans un seul pays ou mondialement, on parlera de pandémie.

Comment diagnostique-t-on un virus ?

En préambule, je dois expliquer qu’on n’a jamais réellement vu de virus sous un microscope électronique, qu’ils n’ont jamais été isolés ni photographiés.

Comme ce « système de croyance » est très difficile à battre en brèche et n’est jamais remis en question par ceux qui étudient la médecine, qu’elle soit allopathique ou alternative, je dois me référer au travail du Dr Stefan Lanka, virologue et biologiste allemand qui a en fait découvert le seul et unique virus visualisé avec succès sous un microscope. Il a cependant été vu sur une algue marine et non chez l’humain ou l’animal. Plus important, il a découvert que l’algue et le virus avaient une relation « saine » et qu’il n’y avait aucune réaction destructrice ou toxique entre les deux entités.

Le Dr Lanka a gagné il y a 4 ans une bataille d’avant-garde dans un tribunal fédéral d’Allemagne, où le juge a déclaré, après avoir constaté toutes les preuves scientifiques existantes fournies par le Dr Lanka, que l’existence du virus de la rougeole n’avait jamais été prouvée.

En tant que scientifique, le Dr Lanka était si sûr de la non-existence du virus de la rougeole, qu’il offrait 100.000 € à quiconque pourrait prouver le contraire. Il a par la suite été traduit en justice par un étudiant en médecine qui prétendait que le Dr Lanka n’avait aucune preuve de ce qu’il avançait et qu’il lui devait les 100.000 €. Le dossier est allé bien entendu au tribunal et le Dr Lanka a gagné.

Ce qui nous laisse avec la question de ce à quoi se réfèrent ces images si ce ne sont pas des virus. La majorité des photos des livres de médecine et sur internet sont des images de synthèses [CGI], ce qui s’avère particulièrement vrai si elles sont en couleur. La technologie actuelle a pourtant découvert un moyen de permettre aux couleurs d’être capturées à partir d’une photo prise avec un microscope électronique. Néanmoins, ce n’est pas censé représenter un virus, que ce soit en couleur ou en noir et blanc.

Ces images sont très convaincantes, entre autres si elles sont intitulées hépatite, polio, rougeole ou HIV, etc. mais après un examen plus poussé, on n’a jamais constaté que les photos montrées étaient en fait des virus même si on les nomme ainsi pour nous faire croire qu’ils sont responsables d’une « maladie » résultant d’un hypothétique virus.

Que voient-ils sous microscope électronique ?

Comme un virus n’a jamais été visualisé sous microscope électronique, il a fallu échafauder une méthodologie pour « extraire » des substances supposées provenir d’une activité virale.

Prenons l’exemple de la polio qui aurait été le premier virus identifié puis photographié sous microscope électronique. Ce qu’on nous montre, ce sont en fait des « particules artificielles », ce qui implique un processus complexe d’aspiration sous vide d’une masse quelconque à travers un filtre très fin qu’on photographie ensuite. Ce n’est pas ce qu’on voit en réalité dans le sang ou dans un échantillon de tissu !

Cette forme de recherche est largement contaminée et elle est pourtant acceptée et publiée dans la communauté scientifique. La question est, pourquoi ? Existerait-il un agenda ?

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COVID-19, partie II – Le test des virus

Connaissant bien sûr tout ceci avant « l’épidémie » du supposé coronavirus, je devais examiner le genre de méthode de test utilisé pour confirmer la présence du virus chez un individu.

Je n’ai pas été surprise de découvrir au cours de mes recherches que la FDA [Administration des denrées alimentaires et des médicaments aux US] possédait déjà des kits de test disponibles pour ce supposé virus dès le milieu de l’année 2019.

Hum, cette « épidémie » était-elle anticipée ? On flaire ici la même théorie conspirationniste que celle autour de l’épidémie du Sida dans les années 1980 avec un autre virus impossible à identifier sous microscope électronique… mais c’est l’objet d’un autre article.

Il va sans dire que la Chine n’était pas préparée à ça et n’avait rien sur place pour « diagnostiquer » ce qui causait cette crise sanitaire massive. Mais comme la FDA possédait déjà des kits de test pour un tel événement, ils purent en fournir à la Chine.

Encore une fois, comme aucun virus n’a jamais été isolé, il leur fallait inventer différents modes de test qui dans le cas actuel exigèrent de se servir d’une séquence d’ADN dans des échantillons de sang ou de salive des individus touchés.

Ma question est : s’ils n’ont jamais identifié aucun virus sous microscope, comment se fait-il qu’ils avaient une séquence d’ADN à cet effet ?

Qu’est-ce que cela indique ? En substance ils disent que ce qu’ils sont capables de déterminer, ce sont des « marqueurs » mais alors nous devons nous demander des « marqueurs pour quoi », surtout si rien n’a été isolé relatif aux virus !

De nouveau, nous sommes face à une autre hypothèse qui ne fait rien pour aider l’individu malade, mais par la suite, je suis sûr qu’ils mettront au point un vaccin contre quelque chose qu’ils n’ont pas été capables d’isoler.

Test non fiable

Là où cette méthode de test a été utilisée, elle s’est avérée en fait extrêmement peu fiable. Il y a eu de nombreux faux positifs. Ils ont donc dû trouver un autre moyen de diagnostiquer le coronavirus chez tous ceux qui présentaient des symptômes de grippe ou même juste de la toux, ils se sont donc tournés vers des technologies existante, radio thoracique et scanner.

Bref, cela voulait dire que tous ceux qui avaient du liquide dans les poumons étaient catalogués comme des porteurs possibles du virus et ils étaient mis aussitôt en quarantaine.

Ce fut aussi le moment où le nombre d’individus « touchés » s’éleva dramatiquement en l’espace de quelques jours. La question est, avaient-ils tous le soi-disant virus ou certaines de ces personnes faisaient-elles l’expérience d’une pneumonie bactérienne ou d’une insuffisance cardiaque, où ces conditions impliquent aussi du liquide dans les poumons ?

Taux de mortalité

Comme je vis à Toronto et y ai vécu la plus grande partie de ma vie, j’ai été témoin d’un autre genre d’épidémie supposée à coronavirus qu’on désignait du nom de SRAS [syndrome respiratoire aigu sévère]. C’était un autre supposé virus chinois et il arriva avec un avion rempli de gens qui rentraient au Canada via Toronto, retour de Chine.

Familière depuis 10 ans de la NMG, j’ai commencé à prêter attention à ce qui se disait, à la réaction générale du public, à la manière dont les médias diffusaient et j’ai ensuite regardé les statistiques du taux de mortalité. Déjà, ils n’avaient jamais isolé un coronavirus qui était responsable du SRAS.

En passant, le coronavirus est supposé dériver d’un « virus félin », une autre hypothèse jamais prouvée.

En aucun cas je n’ai été surprise de découvrir que le taux de mortalité n’était pas plus élevé que pour n’importe quelle autre grippe saisonnière. Quand j’ai fait les calculs, il y avait 2,1 % de gens diagnostiqués avec le SRAS, ce qui était exactement la même chose que pour toutes les autres grippes saisonnières.

Il va sans dire que ce fut l’exact taux de mortalité au début de l’épidémie de COVID-19. Mais quand la méthode de test « nouvelle et améliorée » avec les scanners thoraciques fut mise en œuvre, le taux de mortalité s’accrut aussi parce qu’il n’y avait maintenant plus seulement des gens avec la grippe, il y avait aussi d’autres maladies « soupçonnées » être en lien avec le virus.

Toutefois, ceux qui ont succombé au supposé virus ou plutôt ceux qui vont probablement succomber aux symptômes grippaux, sont des gens âgés, ceux qui sont fragilisés par d’autres prédispositions telles que des maladies cardiaques, rénales ou la malnutrition. C’est aussi un fait connu que les gens prenant des opioïdes pour des douleurs chroniques ont le risque d’une éventuelle insuffisance respiratoire car les opioïdes affaiblissent le système respiratoire.

Quel groupe n’a pas été affecté ?

À la lecture de cette info, je dois dire que je n’ai pas été surprise. Les nouvelles de Chine la semaine dernière disaient que le seul groupe de gens non malades de cette épidémie virale étaient les enfants. Comment est-ce possible étant donné que personne n’était « immunisé » contre ce virus qui s’est « transmis » mondialement aux individus ?

Dans le contexte de la MNG, ce n’est pas surprenant car les enfants sont protégés des problèmes « politiques », ainsi ils n’ont naturellement pas le même type de peur sur le territoire.

Le conflit à Wuhan

Comme Wuhan est une zone si vaste, il n’a pas été facile de l’identifier, sans parler du contrôle des informations venant de la Chine. L’information que j’ai reçue a été difficile à trouver. Les Chinois sont après tout très soucieux de protéger le genre de nouvelles autorisées dans le domaine public.

Cela dit, après réception de divers articles, cela a commencé à paraître sensé.

Ce qui suit est extrait du « Rapport Bloomberg » en date du 23 janvier 2020 :

Quand le premier ministre Li Kequiang a déclaré une « guerre contre la pollution » en 2014, quelques centaines de résidents de la cité de Wuhan en Chine centrale le prirent au mot.

Ils imprimèrent la déclaration de Li Kequiang sur un panneau de 6 mètres et manifestèrent devant l’usine d’incinération à l’odeur nauséabonde, craignant qu’elle entraine des maladies dans la communauté. Soutenus par la conviction qu’ils répondaient à l’appel du ministre, les résidents furent au contraire victimes de persécution par les officiers de police qui démontèrent le panneau et le piétinèrent.

« Nous étions inquiets et en colère en réalisant ce qui causait la puanteur et rendait nos enfants malades, » a dit Zhang Xijiao, 44 ans, qui a été mis en détention pendant une semaine pour avoir fabriqué le panneau. « Mais nous sommes comme des fourmis, le gouvernement local peut nous écraser comme il leur plait. »

L’épisode donna le coup d’envoi de 6 ans de bataille qui a vu Zhang persécutée et surveillée par les autorités locales, sans signe de plans du gouvernement pour déplacer l’incinérateur malgré des pétitions répétées et des messages sur les médias sociaux concernant la pollution.

Le fait que le problème est défendu par le dirigeant chinois le plus puissant depuis Mao rend les choses plus délicates, incitant les officiels locaux à tenter de réduire au silence des activistes qui pourraient exposer une dégradation de l’environnement se produisant sous leurs yeux.

En septembre de l’année dernière, un groupe de cinq résidents sont allés à Pékin pour déposer une requête auprès des officiels – pour seulement découvrir qu’on avait eu vent de leur voyage. Une douzaine de jeunes gens habillés de noir les attendait à la gare, disant qu’ils leur avaient arrangé une rencontre avec les officiels pour discuter du problème et ils les firent monter dans trois voitures. Au lieu de les emmener au bâtiment du gouvernement dans la capitale, ils furent ramenés à Wuhan, un voyage de plus de dix heures.

Comme l’expérimentèrent les résidents de Wuhan à leur propres dépens, se dresser contre les autorités est une affaire sérieuse. Ils changèrent plus récemment de tactique en essayant d’attirer l’attention du gouvernement central sur leur détresse. Mais selon Zhang, les officiels de Wuhan bloquèrent leur tentative d’atteindre Pékin, en surveillant les réservations de billets de train vers la capitale.

Zhang – qui a parlé avant l’épidémie actuelle d’un autre virus à Wuhan – réserve son mépris pour les autorités locales et ce qu’elle considère comme un manque de volonté pour protéger la santé des gens. « Le kidnapping inattendu m’a fait de nouveau perdre foi envers le gouvernement local et sa déraison, » a-t-elle dit.

La résolution [du conflit]

La Chine avec ses 1,4 milliard de gens produit toujours plus de montagnes d’ordures qu’il est urgent de gérer. Selon le ministère du logement et du développement urbain-rural, le volume de déchets domestiques traité dans des zones urbaines a atteint 215 millions de tonnes en 2017. Les médias officiels citent, selon l’association de l’environnement urbain et sanitaire, un chiffre de presque un milliard de tonnes d’ordures chaque année.

Un programme pilote de recyclage a pris effet en juillet à Shanghai, il s’étendra aux 46 méga-cités à la fin de 2020. Les résultats ont jusqu’ici été mitigés car la loi sur le tri des ordures, avec des codes de couleur, a posé une colle aux résidents. En attendant le démarrage du recyclage, la décharge ou l’incinération demeurent les seules alternatives disponibles.

En décembre, le site était envahi de mauvaises herbes et le terrain au sol rougeâtre quasiment désert. Un ouvrier rassembla le peu de matériaux restants, disant qu’on lui avait dit de les enlever jusqu’à ce qu’une décision soit prise sur la manière de poursuivre le projet.

Il déclara s’être réjoui par les nouvelles de la suspension de l’usine, ajoutant qu’elle n’aurait jamais dû être construite si près des habitations.

En conclusion

C’est un fait connu que la Chine possède un long historique sur l’usage de puissantes armes tactiques pour contrôler la population. Comme vous venez de le lire, c’est appliqué non seulement à des visions politiques mais aussi à des questions d’environnement.

Dans ce cas particulier, les gens ont craint pour leur vie en raison de leurs manifestations contre l’existence d’un incinérateur causant une grave inquiétude de la population pour l’environnement.

Par là-dessus, fin juin 2019, il est apparu qu’un autre incinérateur devait être construit sur un terrain promis comme un parc pour les résidents de cette zone.

Ces types d’usine sont responsables de l’émission d’importantes quantités de dioxyde de carbone, de dioxyde d’azote et de dioxyde de soufre qui n’affectent pas seulement Wuhan mais peuvent flotter dans les courants aériens à travers le Pacifique et se propager jusqu’aux US.

La peur initiale a très bien pu démarrer avec les usines d’incinération toxiques mais se prolonger ensuite par une peur des représailles d’une nature plus physique quand les gens ont en fait commencé à manifester fin juin 2019.

La résolution est survenue avec la fermeture « jusqu’à nouvel ordre » du site de la région de Wuhan. Inutile de préciser que les résidents ont poussé un soupir de soulagement.

Pandémie mondiale

Je dois dire qu’au fil des années je suis devenue très cynique au sujet de ces événements et recherche toujours l’agenda qui se cache derrière. L’OMS est apparemment à la botte de Big Pharma et responsable d’un copieux alarmisme qu’accepte sans sourciller la population.

Si seulement les gens levaient le nez de leur téléphone et appareils et regardaient pour une fois ce qui se passe dans le monde, ils pourraient commencer à voir les choses plus clairement.

La plupart des gens sont dans un état d’hypnose induit par leurs appareils et quand ils sont constamment dans cet état, ils ne pensent plus par eux-mêmes ni ne remettent en question ce qui est en cours. Ils acquiescent docilement à ce qu’on leur dit. « Si c’est sur internet, ce doit être vrai. »

Il m’est apparu évident que la communauté scientifique ferme les yeux et ne remet pas en question la méthodologie utilisée pour déterminer la cause de ces soi-disant maladies infectieuses.

S’ils le font, on les traite de charlatans et de dissidents et on tente de les discréditer en détruisant leur réputation. Notre cher Dr Hamer a été la victime de la communauté scientifique pendant plus de 35 ans parce qu’il défiait le paradigme médical actuel.

Il est clair pour moi que nous sommes tous manipulés par une « élite » [the powers that be] et qu’ils ont leur propre agenda pour contrôler la population d’une manière ou d’une autre. Voilà la réelle pandémie et il est temps que les gens commencent à tout remettre en question.
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Je prendrai aussi le temps de traduire son tout dernier article sur le futur de cette affaire.

par Apolline

Publié par delta de la Lyre (Profil & Articles associés)