Les cartes disent beaucoup de choses, du passé, du présent, du futur parfois. Plutôt des probabilités.
Cet art sacré comme tous les arts sacrés repose sur le don, la nature de l’officiant, car à travers lui, passe toute sorte d’énergie. En pratiquant le tarot, l’officiant se relie à certains égrégores à certaines parties de son passé karmique, à son histoire sacrée ou magique.

Au cours d’un soin, je voyais une femme qui avait eu un passé de tireuse de cartes, genre bohémienne dans les foires et marchés de l’époque. Je voyais qu’à chaque fois qu’elle pratiquait elle se reliait au bas astral, et elle attirait ainsi des entités malveillantes qui s’amusaient à son insu. Certaines prédictions tenaient la route, mais d’autres personnes étaient verrouillées, « plombées ».

La justice karmique étant ce qu’elle est, elle prenait sur elle le karma des ces personnes. Le mal qu’elle avait fait.

Dans cette vie, elle découvrit le jeu de carte et se mit à pratiquer à nouveau cet art. Peu à peu elle tomba dans une profonde dépression, voyant tout en noir, incapable de faire les bons choix dans sa vie, toujours attirées par les plus nocifs pour elle.
Après hospitalisation, elle se fit suivre par un énergéticien, et il vit que sa maison était remplie d’entités.

Il nettoya la maison, et elle cessa de pratiquer les cartes car à chaque fois elle se rattachait à son passé et rouvrait une porte qu’il valait mieux laisser fermée.

Peut-être qu’une fois guérie de ce passé de tireuse de cartes, elle aurait pu reprendre la lecture des cartes, mais elle n’avait plus vraiment envie de tenter le diable.

Ma chérie aussi me faisait les cartes au début de notre liaison, et elle tirait toujours l’ermite. Elle me reprochait d’être l’ermite, celui qui se plait à vivre seul. Je ne voulais pas vivre seul, mais c’était plus fort qu’elle, fallait qu’elle projette ses peurs sur les autres.

Je lui disais que je n’étais pas un ermite, je travaillais, je préparais un master 2, je faisais des soins, j’écrivais des poèmes, j’avais ma fille, je faisais du sport, et bien sur je sortais avec ma bien-aimée. Elle ne le savait pas, mais une autre femme était attirée par moi à ce moment là et le manifestait. Étant fidèle, je ne répondais pas à ses sollicitations, mais je ne le disais pas à ma chérie.

C’est après notre séparation, que je compris par une vision et un nettoyage, qu’à chaque fois qu’elle se reliait à cette carte d’ermite, les entités qui s’accrochaient à elle, l’aidaient à travers je ne sais quel sortilège à m’isoler des autres femmes.
Sa jalousie excessive devait être le moteur de cet emprisonnement.

Mais alors, ma fidélité … (rires)

Gab