Forcé contraint à restreindre nos vie , plus de course efreiné ni de compte à rendre.Mais la solitude qui touche le coeur fermé de l’être refusant de faire face à la vérité. Des mensonges qu’il ce raconte et de ceux qu’on lui raconte. Forcé à s’insurger car la sensation étriquée de la privation des libertés individuelles lui coupe littéralement le soufle, forcer de faire le menage de printemps? De laisser place libre aux risque de devenir fou. De faire des choix celui de la liberté ou d la promiscuité ?

Car là est là question à un niveau symbolique et au combien réel:
Qui j’autorise à mes privé de la liberté, comme composante intîme de l’être. C’est un viol oui mesdames et monsieur un viole littéral.