Tant que vous n’aurez pas appris à vous dominer, vos cellules ne vous obéiront pas. Pour qu’elles se soumettent à vos ordres, il faut qu’elles sentent en vous un chef.
Il a été souvent mentionné que, dans les forêts de l’Inde, des yogis peuvent méditer des heures sans que les fauves viennent leur faire du mal. Oui, parce que les animaux sentent que ces yogis sont des êtres qui se maîtrisent, et ils les respectent.
Dans toutes les créatures est inscrit un sens de la hiérarchie. Même les fauves sentent votre degré d’évolution.
Alors, à plus forte raison vos cellules qui sont comme de petits animaux intelligents.
Génial ce texte !!
Me suis souvent demandé pourquoi ça ne « marchait » pas, pensant que je ne savais pas faire !!! Voilà une belle explication …Alors j’ai encore du boulot !
Desolé Karen , mais ce texte est encore imprégné de la dualité dominant-dominé
Voici une autre approche de Douce Mère , experte s’il en fut des cellules
… »Considérer la structure de son corps, des millions ou milliards de cellules. Vénérer le Vénérable au cœur des cellules. Et de par la nature des cellules, voyez cet autre paradigme. L’on est si loin d’un corps que l’on connaît à peine. Dans le nouveau paradigme, le corps est chant de dévotion et Narayana se laisse connaître. Au sein même de la nature des cellules, être écoute. Un autre paradigme où le son est nectar, car tout est dévotion. La matière alors chante, la matière alors exulte, et la structure matérielle est nectar. Le sang est nectar, d’or est le sang. C’est cela le concret de la structure humaine, si l’on veut bien tout offrir, si l’on veut bien franchir le seuil.
La Douce Mère s’approchait de l’intense. On ne peut s’approcher de l’intense qu’avec ferveur et dévotion, avec passion même. Intense est le feu de l’amour. L’intense est l’éternel, l’infini. L’intense est l’absolu. On ne peut s’approcher de l’intense qu’avec ferveur et dévotion, mu par cet enthousiasme et cet émerveillement qu’est l’incarnation, qu’est la vie, bien loin des attachements à ces petitesses qui n’ont ni queue ni tête et qui épaississent la structure physique.
Loin de la stagnation, l’offrande à l’intense dans chaque moment d’infini dynamisme de la quête, tout en sachant que la quête n’est pas recherche et que la quête est l’éveil et l’éternelle découverte de cet être qui se reconnaît dans sa propre perfection, touchant sa nature d’absolu, touchant sans jamais atteindre, sans jamais enfermer.
La Douce Mère exulte. L’ouverture, tout offrir à cette réalité que les cellules sont chant de dévotion, non depuis l’abstrait d’une conscience ou d’un rêve mental, mais depuis le concret d’une relation de dévotion au cœur de la structure corporelle.
On ne peut rester sur l’ancienne berge et être hommage à la nouvelle. »…
Aaaah ! j’avoue que cela me va bien …merci !! je n’ai pas trop en moi la tendance d’un « chef » !!!
ça n’explique rien du tout !!!
très vague du bla bla bla pour moi
bien sur aucune méthode n’est donnée -ras le bol de ce genre de déclaration
mes excuses pour les inconditionnels