Le véritable christianisme est d’abord un travail de l’esprit : la prière, la méditation, la contemplation. Malheureusement, depuis longtemps, les chrétiens n’ont plus pour idéal celui de Jésus mais celui de l’Église.
Ils ont négligé les grandes vérités, les prescriptions les plus importantes et maintenant, lorsque quelqu’un veut se conformer au précepte de Jésus qui disait : « Soyez parfaits comme votre Père Céleste est parfait », l’Église, indignée, s’exclame : « Quel orgueil ! » Cela prouve qu’elle a abandonné l’esprit des Évangiles, car devenir parfait, c’était cela le véritable enseignement de Jésus. Mais non, on peut être médiocre pourvu qu’on aille à la messe prendre un peu d’eau bénite, marmonner quelques prières et recevoir l’hostie.
Que l’on rentre chez soi toujours aussi méchant ou malhonnête, cela n’a pas d’importance. Eh oui, malheureusement, la meilleure preuve de l’insuffisance de cette « morale » chrétienne, c’est que les humains ne se transforment pas.
C’est très juste d’en percevoir l’origine sans perdre de vue la finalité !
La religion devrait se dépasser de toute distinction pour ne plus alimenter la différence mais seulement la perfection de l’être dans l’accomplissement de son existence.
La division n’a pour but que de nourrir la souffrance et il ne pourra en être autrement sans contact avec d’autres entités ,l’acceptation que la Terre n’est pas le centre de l’univers mais une vie ordinaire dans un système ordinaire.
Le progrès social est la clé de toute réussite ,une vision objective de l’avenir à créer ,dans une expansion extra-planétaire car nous ne sommes que de simples voyageurs en manque de vision…
D’ici là ,l’humanité devra se retrousser les manches et converger vers une autre idée d’elle-même.
Pour dire ,que la « religion » est un frein ,c’est un vieux monde qui a créer lui même ,la dépendance à sa souffrance en ce monde ,un faux message que dénonçait Netzach en son temps pour l’avoir crucifié…Il a choisi de résister à la peur pour éclairer vos vies.
Aujourd’hui ,l’éveil est permis d’où sa propre obscurité alors qu’il faut simplement avancer pour le meilleur sans aucunes idées préconçues de l’Amour ,un mythe de l’après et pas de l’avant.
Vivons selon notre temps pour une fois…
Bien à tous
@ Un cercle
Message de l’Ami ( Jésus ) reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-3-20
… »Vous voyez la beauté et la grandeur, la puissance n’est qu’une illusion. Pour l’être qui fait le choix d’être présence d’amour, cela en soi est simple, n’est-ce pas ? Il suffit d’aimer. Le souffle dans sa réalité est l’amour. Faire le choix d’unir en conscience le souffle et l’amour.
En inspirant, j’inspire l’amour. En expirant, Je Suis l’amour. Et offrir cet amour inconditionnellement à tout être vivant sur la terre.
Ne jamais croire dans la possibilité d’impuissance. Ne pas attendre. Ne pas attendre que viennent des solutions, être le ferment de cette solution. Choisir de quitter les sentiers de la peur ou de l’inquiétude.
Il est vital que humanité se lève. Je l’ai dit, n’est-ce pas, et les paroles, vous le savez, sont éternelles « lève-toi, prends ton grabat et suis-moi ». Lève-toi, ton grabat est toutes ces apparences de poids, tous ces poids qui semblent traîner et reliés à des chaînes, des chaînes collectives peut-être ou des chaînes karmiques.
Voyez, celui qui me suit, celle qui me suit, quitte les sentiers battus pour prendre la route éternellement neuve et nouvelle. A chaque souffle Je Suis le feu de l’amour. Mettre le poids de l’offrande de son attention sur ce choix conscient. Cela est vital, vous comprenez. Quitter les sentiers de l’inquiétude ou de la soumission et surtout de l’attente, créant « Je Suis la fraternité du Vivant ». Et « Je Suis », vous le savez, est verbe de puissance.
Puisse chacun et chacune se lever et prendre son grabat, ce lit d’ignorance, d’habitudes, de croyances ou d’addiction à la soumission, pour se lever libre et joyeux, offrant le souffle de l’amour. Tendre la main à chaque être, chaque être humain, chaque être quel que soit son règne, pour que tous se sentent membres de la fraternité du vivant et se lèvent triomphants.
Les miracles, vous savez, sont la résultante de l’amour. Et l’amour, vous le savez, ne connaît pas le doute. La foi est la pleine confiance dans l’inévitable de l’amour. La guérison va bien au-delà de celle des symptômes. Elle est profonde.
A chaque souffle, embraser l’humanité du feu de l’amour pour que chacun se souvienne non seulement qu’il ou elle est infiniment aimé, mais surtout qu’il ou elle est l’amour et peut choisir d’embraser la terre maintenant.
Vous le savez, seul est le temps simultané. Maintenant, je foule la route des hommes pour y mettre l’empreinte du triomphe de l’amour, de l’infinie puissance de l’amour triomphant. La guérison, vous le savez, est la résultante de l’amour. »…