QU’ON SE LE DISE NOUS SOMMES DANS UNE GUERRE MEDIATIQUE ET LA VERITE FERA PERDRE LE CONTRÔLE DES FAUSSAIRES
L’esclavagisme mondial ne s’écroulera pas tout seul:allez un coup de pouce, AIDONS-LE! et ACCUEILLONS LE NOUVEAU : signons pour lever les mensonges et pour préparer les bouleversements et la fin de la machination du contrôle mondial
VU DANS thomassankara.net

Pétition en bas de la page de ce lien:
thomassankara.net
CETTE VIDEO EST TRES CELEBRE TANT ELLE A MARQUE L’ENSEMBLE DES AUDITEURS,DIFFICILE DE NE PAS RIRE FACE à L’HUMOUR ET AU BON SENS DE CE VISIONNAIRE

petition /
FIN AVRIL 2011 commission parlementaire en France
article vu dans thomassankara.net
Douze députés Burkinabè demandent aux parlementaires français une commission d’enquête parlementaire pour élucider l’assassinat de Thomas Sankara.

Depuis octobre 2007, soit depuis plus de 13 ans, des procédures judiciaires ont été lancées au Burkina Faso pour que soit élucidé l’assassinat de Thomas Sankara à travers le comité International Justice pour Thomas Sankara. Devant les tergiversations de la justice burkinabé, une procédure avait été lancée auprès du comité des droits de l’homme de l’ONU.
En avril 2006, le Comité des Droits de l’Homme de l’ONU, saisi par le Collectif Juridique de la Campagne internationale Justice pour Thomas Sankara (CIJS) au nom de la famille, donnait raison aux plaignants et, demandait à l’Etat burkinabé d’élucider l’assassinat de Thomas Sankara, de fournir à la famille les moyens d’une justice impartiale, de rectifier son certificat de décès, de prouver le lieu de son enterrement, de compenser la famille pour le traumatisme subi, et de divulguer publiquement la décision du comité.

Le 21 avril 2008, le comité des droits de l’homme de l’ONU, en contradiction totale avec la décision précédente a clos le dossier sans qu’une enquête n’ait été diligentée.

Une nouvelle procédure a été lancée en octobre 2009 pour demander le relevé des empreintes génétiques du corps présumé de la tombe présumée de Thomas Sankara. L’Etat en a rejeté la demande.

Parallèlement à ces procédures lancées devant la justice burkinabé, des documentaires, des articles de presse et des témoignages évoquent la responsabilité de la France dans cet assassinat.

En décembre un collectif d’associations lance une nouvelle campagne intitulé « Justice pour Thomas Sankara Justice pour l’Afrique » appuyée par un appel (voir à l’adresse qui réclame notamment l’ouverture des archives de plusieurs pays dont la France.

Cet appel a été signé par 6600 personnes et a déjà reçu le soutien de nombreuses personnalités, associations en provenance de différents pays. On note en France la signature des partis NPA, Les Verts Europe Ecologie, PCF et Parti de Gauche aux côtés de très nombreuses associations et personnalités.
…etc. voir suite sur : thomassankara.net

Plus de 22 ans après son assassinat, Sankara, personnage historique, leader africain de premier plan, représente de plus en plus une référence, comme leader intègre, déterminé, créatif et courageux, précurseur de la lutte pour la défense de l’environnement et la révolution burkinabé est devenu un modèle de développement.
Sankara a été assassiné parce qu’il dénonçait la dette odieuse et le diktat des puissances occidentales, mais aussi parce qu’il engageait une politique décidée dans son pays, orientée vers les besoins de son pays, pour la satisfaction des populations de son pays, tout en œuvrant pour le panafricanisme.

C’est pourquoi nous soutenons et appelons à soutenir les initiatives du collectif juridique du la CIJS qui inlassablement, depuis plus de 12 ans, intente, des actions juridiques aux côtés de la famille Sankara.

Nous demandons l’ouverture des archives des pays que les témoignages désignent comme impliqués à savoir principalement la France, les USA, mais aussi la Côte d’Ivoire, le Togo et la Libye.

Nous demandons que s’engage sans tarder, une enquête indépendante sur l’assassinat de Thomas Sankara. Ceci est un devoir pour la communauté internationale, un droit pour la famille Sankara, une exigence pour la jeunesse d’Afrique, une nécessité pour l’avenir de ce continent qui ne saurait se construire avec une histoire amputée de la vérité sur un des épisodes majeurs de la fin du 20eme siècle. Nous appelons la jeunesse, les partis démocratiques, le mouvement social en Afrique et au-delà dans les pays du monde à continuer à se mobiliser pour que cette enquête fasse toute la lumière sur cet assassinat et pour que justice soit faite, ce qui serait un grand pas pour mettre fin à l’impunité en Afrique.

Epervierblanc