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Influence sur l’individualité très forte en cette saison d’été qui se décalle et décomporte notre structure mentale ; ainsi notre regard sur le monde se dédouble face à des situations qui très simples deviennent compliquées.
Nous n’arrivons plus à rester centrer et à relativiser les tensions qui découlent de ces mouvements personnels qui raisonnent comme une agression.
Cette dissonance cognitive s’applique en vague sucessive et si nous ne la conscientisons pas très rapidement, elle nous embarque sur le radeau de la Méduse.
Pour mieux la calculer, la contrôler et au lieu de ramer, il vaut mieux laisser filer doucement…
Pour cela, et en cette rentrée voulue bien « merdique » pour exploiter davantage cet état de dissonance, il faut prendre du repos et orienter son esprit et son corps vers ce que l’on aime le plus et que vous savez pouvoir engendrer chez vous de bien être.
Si vous n’y arrivez pas, penser à écouter la musique que vous aimez.
Elle est un puissant moyen de désenclaver les implants programmés pour manipuler.
Implants qui ne peuvent être effectifs que si vous le voulez !
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« Il y a entre le l’imagination, la mémoire, et la réminiscence, un progrès qui est la seule chose qui les distingue. La première réveille les perceptions mêmes ; la seconde n’en rappelle que les signes et les circonstances ; et la dernière fait reconnaitre celles qu’on a déjà eues »
Condillac
J’ai rien compris…mais merci m’sieur condillac
J’ai mentionné le radeau de la méduse dans mon texte..et hier soir j’ai revu un vieux film qui m’avait marqué enfant « la cité de la joie »
Le tableau de la méduse y est sans cesse montré car la cité de la joie est un ville radeau où s’entassent les pauvres et les malades et surtout les lépreux !
C’est un très beau film qui nous permet de comprendre que là où il y a la vie, il y a toujours de l’espoir..
« J’ai rien compris…mais merci m’sieur condillac »
Condillac est celui qui a imaginé une statue qui n’aurait ni bras, ni jambes afin de démontrer que ce n’est pas au sens du toucher que nous devons la connaissance des corps mais dans la faculté de nous mouvoir »
Il m’a permis d’intégrer la notion de mouvement. Et cette notion de mouvement m’a permis de comprendre pourquoi il n’y a pas de limites ; ces limites qui nous sont si chères pour ne pas perdre de vue, nos petites affaires…
Rentrer dans la tête de Yaris c’est comme rentrer… dans le bas astral! mdr! « dissonance cognitive??!!! » pitié retourne à tes poèmes qui n’émeuvent que toi et épargnes-nous tes talents de journalistes nouillageuse… mdr!