Pendant quarante ans, comme tout le monde, je me suis prise pour mes pensées, pour mon corps : je me prenais pour une personne. Et puis il y a eu ce basculement. En un instant, spontanément, ce silence dans ma tête. Plus de pensées : le silence, une stupeur, un étonnement profond qui ne laissait place à rien d’autre.
Alors je me suis mise à observer. Mon fonctionnement avait changé. Il y avait « cette chose », ce silence… et tout le reste. Le reste, ce que j’appelle le je suis, c’est-à-dire le contenu de l’instant : j’ai vu que tout apparaissait dans cette chose, d’instant en instant. Que tout y disparaissait.
Ton fonctionnement avait changé, dis-tu ?
Il y avait une légèreté, un bien-être. Je me sentais en phase avec moi-même, en phase comme je ne l’avais jamais été. Les choses se présentaient, les situations, les événements, même ceux qui auparavant m’auraient dérangée… je ne trouvais rien à y redire. Je ne réagissais plus, en fait. Et lorsque, deux mois plus tard, mon fils est mort dans un accident… même chose. Ce silence, cette tranquillité m’empêchait de réagir, m’empêchait d’être une mère détruite par la mort de son fils. J’ai vu que la souffrance n’existait pas.
La souffrance n’existe pas !?
Ce n’est pas la situation qui fait souffrir. Pour moi, il y a le silence. La situation ne fait pas souffrir quand le silence, quand cette chose est là.
Cette chose, qui la voit ? Yolande ?
C’est cette chose qui voit. En elle apparaît la vision, la clarté qui voit tout ce qui apparaît. En fait, c’est simultané : à l’avant-plan il y a cette chose et… le reste, tout ce qui apparaît, toute l’existence, au second plan.
Cette chose est l’espace qui est avant toute chose, toute pensée, tout événement. On ne peut pas la comprendre : c’est elle qui comprend tout, qui englobe tout. Cette chose – appelons-la Silence, Présence, Puissance, Amour ou Ultime Réalité, de toute façon aucun mot ne peut en rendre compte – cette chose, on peut seulement la vivre. Au début, je croyais qu’elle était au fond de moi. Maintenant je vois qu’elle est partout. Elle est tout. Il n’y a rien d’autre, rien qui ne soit elle. Il n’y a plus à s’inquiéter, à s’accrocher à rien.
Cette chose est au fond de toi et partout… Et Yolande, où est-elle ?
Yolande apparaît toujours, mais dans le second plan, comme le reste. Elle existe sans exister. Elle n’existe plus mais elle est là. Elle n’a plus de pouvoir. C’est ce silence, cette puissance qui a pris le pouvoir sur tout.
Elle a tout de même des pensées, des émotions…
Bien sûr des pensées, des émotions peuvent surgir. Mais cette puissance les balaye instantanément, elle les laisse au second plan. Donc tu n’as aucune possibilité de t’identifier à elles. Et cette chose est si puissante que tu ne peux revenir en arrière, tu ne peux revenir à ton ancien mode de fonctionnement, t’identifier à… tout ce que tu n’es pas.
Ça m’est arrivé parfois, au début, d’essayer de penser comme avant, de faire des projets comme avant. Impossible. Tout comme, autrefois, si j’avais voulu arrêter de penser je n’aurais pas pu, aujourd’hui, si je veux penser, eh bien je ne peux pas. C’est aussi simple que ça.
Et les émotions, toutes ces réactions automatiques qui nous viennent?
C’est pareil. La peur, la tristesse, c’est comme le reste : un mouvement qui passe en toi et qui repart. S’il n’y a personne pour se l’approprier, il n’y a pas de peur, pas de tristesse. Il n’y a pas de réaction.
D’où viennent, selon toi, les réactions ? Y a-t-il moyen de s’en libérer ?
Elles viennent de la pensée. De la croyance en l’idée d’être une personne. Quand cette croyance tombe – et cela se fait en un instant, pas besoin de vingt ans de pratique pour ça – il n’y a plus que ce silence, cette intensité, alors tu te laisses faire. Il y a ce point de vue neuf qui est toujours là, ce vide plein, ce silence tantôt très intense et tantôt doux mais toujours présent. C’est une sensation, comme un toucher, une présence qui ne te lâche pas, même au milieu de l’action, de la concentration. Ce toucher omniprésent qui t’englobe, qui englobe tout le contenu de l’instant, t’empêche de t’identifier à la pensée, à l’émotion qui surgit. C’est lui qui te donne le sentiment profond que la personne n’est pas. Et c’est lui, c’est cette sensation qui devient vision, action… parce que cette spontanéité, cette sensation constante ne te permet pas d’être dans ta tête. C’est la sensation qui voit, directement. Et la vision, c’est l’action.
La vision c’est l’action ?
Quand tu es dans la fluidité, il y a action, sans filtre, sans pensée. Tu vois, tu sens; l’action, le geste, la parole se présentent spontanément, sans que tu aies eu à les penser.
Comme si la réalité de l’instant te dictait le geste juste ?
Tu vois que les choses se font toutes seules, sans besoin de les penser… La vie n’a pas besoin d’être pensée. Juste besoin d’être vue. Le reste se fait tout seul.
Le simple fait de voir…
… fait. Tu vois cette fluidité qui agit.
Et l’amour, dans tout ça ? Tu dis que cette chose c’est l’amour… Qu’en est-il de l’amour entre deux personnes ?
C’est la non-relation qui permet la relation.
La non-relation ?
La non-relation avec la personne que tu croyais être. La non-séparation. Et c’est cette chose au dedans qui permet ça. C’est elle qui permet l’amour, qui est amour.
Dans la fusion amoureuse, on entre en relation avec la non-relation à l’intérieur de soi. C’est dans cette non-relation, cette chose, que réside l’amour. Et c’est parce qu’on entre en contact avec elle que l’on dit, que l’on sent « je suis amoureux ». L’autre n’y est pour rien. Ni soi-même. Ni la relation entre les deux… C’est l’écoute de cette chose, en nous, qui permet l’amour. C’est elle qui te fait découvrir que l’amour n’est pas à l’extérieur, qu’il ne dépend de rien, d’aucun objet, d’aucun état : c’est quelque chose qui est là, à l’intérieur. Plus besoin de chercher le bonheur à l’extérieur : cette chose qui te rend vivante, aimante, aimée… elle est avant tout, elle est là. Et c’est de cette chose, de cette non-relation, que l’on tombe amoureux. Un amour qui ne peut être détrôné par quoi que ce soit.
C’est vrai aussi que dans la relation amoureuse il y a des instants d’oubli de soi-même, des instants d’intimité qui sont cette fusion, cette non-séparation. Le problème, c’est que quand il y a « tomber amoureux de » l’objet ou la personne, tu rentres dans une relation avec toi-même et tu ne vas plus penser qu’à ça, qu’à cette personne. Donc tu te coupes de l’essentiel. Cette même passion devrait être pour cette chose invisible qui te permet d’être dans la non-relation avec toi-même, donc aussi avec l’autre, et te permet de sentir l’intensité de l’instant présent plutôt que l’intensité de la seule relation avec cette personne.
Cela signifie-t-il que tu ne peux plus tomber amoureuse de quelqu’un?
Tu es tombée amoureuse de cette chose invisible, ça, c’est sûr. Mais tu peux quand même tomber amoureuse de quelqu’un, puisque c’est ce que je vis. C’est beau de voir que, dans l’instant, tu es aussi amoureuse de cette personne. Mais si elle n’est plus là, ou si elle s’absente, rien ne manque. Cette chose est toujours là et elle te permet de vivre, même sans cette personne, dans un bien-être total.
Donc, Yolande peut tomber amoureuse… Ce n’est pas une émotion, ça ?
C’est l’intensité qui guide. Auprès de telle personne elle est plus forte qu’auprès de telle autre. L’intensité est là : tu la suis. C’est elle qui te fait être ici, ou là, avec celui-ci ou avec celle-là. Tu ne décides pas : tu y vas, tu y es. La tête n’intervient pas. L’émotion non plus.
Dans cette intensité, comment perçois-tu l’autre, tous les autres ?
Je les perçois comme moi, comme les arbres, la montagne, mes pensées : au second plan. J’en reviens toujours là. Ils sont là sans être là. Ils sont passés au second plan au même titre que moi, que mon corps, que tout ce que je croyais être.
Oui, mais comment perçois-tu chacun ? Il y a des différences de l’un à l’autre, tout de même… même au second plan!
Ce que je sens, surtout, c’est ce qu’il y a de plus proche en moi, c’est-à-dire mon corps, les sensations de mon corps qui se sont amplifiées à l’infini. Dans ce second plan, le plan du je suis, c’est le plus proche. C’est sensation, intensité, mouvement. Cette intensité varie avec ce qui se présente dans le contenu de l’instant, proximité de telle ou telle personne incluse. Mais il n’y a pas la pensée pour dire « parce que je sens tel mouvement dans mon corps, cette personne est comme ci », ou « je dois faire comme ça ». Ce qui va se faire dans l’instant se fera… mais ce ne sera pas le résultat d’un savoir, d’une compréhension : c’est le silence qui agit.
Tu ne peux rien t’approprier ?
Non.
Mais perçois-tu mon psychisme, mes états d’âme ?
Tu es là, tu sens, tu te laisses traverser par ce qui se passe, par un mouvement que tu sens dans ton corps, fusionné avec tout le reste. Mais tu n’interviens pas, tu n’as pas de réaction, d’opinion, de commentaire. Quand quelqu’un entre dans la pièce, tu peux sentir un mouvement plus inconfortable, ou sentir au contraire l’intensité qui se déploie, mais tu n’en déduis rien. Tu ne cherches pas à comprendre pourquoi, comment, ni s’il y a quelque chose à résoudre et comment. Tu sens, point.
Et quand quelqu’un se confie à toi, te demande conseil ?
Tu ne fais qu’être écoute. Il n’y a pas de mouvement de Yolande qui pense ceci ou cela. Mon je suis est partagé avec tout ce contenu de l’instant, et je laisse toute la place à cette chose à l’avant-plan, cette chose avant le je suis, pour agir si elle doit agir. Donc si un geste vient, il vient du silence. C’est lui qui sait. C’est lui qui fait.
Que faire pour vivre ce silence ?
Je fais une totale confiance à cette présence dans l’invisible. Donc la seule chose qui peut être dite, il me semble, c’est d’être ce que l’on est dans l’instant, de le vivre pleinement, simplement… et de laisser la spontanéité faire ce qu’elle a à faire.
C’est quelque chose qu’on ne peut pas comprendre, pas apprendre, ni vouloir, ni savoir. Alors : se laisser faire – quoi d’autre ?
Vivre l’instant pleinement, simplement… ce n’est pas si simple!
Il y a des tas de moments dans la vie où l’idée de la personne disparaît, où il n’y a plus que cette chose qui voit. Les moments de joie, d’étonnement, d’émerveillement devant un paysage ou une belle musique. Les chocs aussi, une peur violente… Mais le plus souvent on ne les remarque pas, parce qu’aussitôt après la pensée se les approprie… Rester là, plutôt. Avant la pensée : sentir. Rester simplement avec cette sensation, sans vouloir comprendre ni résoudre rien. Avoir toute son attention portée sur cette sensation, et l’accepter surtout, l’accepter silencieusement, pas mentalement. Vraiment l’accepter totalement, en étant… simplement.
Beaucoup de gens croient qu’il faut qu’il y ait une lumière, une grande lumière, des choses extraordinaires… Et si simplement c’était ça ?… Quand le silence est là : rester avec ce silence, cette tranquillité, découvrir au fur et à mesure ce que ça te procure comme légèreté de voir que tout est là, OK, mais c’est au second plan – pas besoin d’en faire un monde. Et quand c’est l’inconfort : rester avec cet inconfort, totalement, se laisser engloutir par lui, se laisser mourir – une mort psychologique – pour pouvoir laisser place à ce silence, le laisser prendre le dessus une bonne fois pour toutes…
Rester là, avec cette sensation de l’instant, cette intimité… Rien que d’être là, tu n’es déjà plus là. Parce que tu sens tout le contenu de l’instant présent, sans interférer. Donc tu n’as plus l’idée d’être une personne : tu n’es que sensation. Tu sens cette conscience, peut-être encore un petit peu individuelle, que « ton » corps est inconfortable avec cette tristesse, ce malaise où tu es : déjà c’est un cadeau, parce que tu te rends compte que l’instant, l’intensité, la vérité n’est pas dans ta tête… C’est merveilleux de pouvoir sentir ça, déjà! Déjà accepter cette simplicité de sentir que la vie c’est ça, ce n’est pas voir des lumières ou entrer en extase : c’est ça, aussi. C’est la simplicité de ne pas être cette personne qui ressent. C’est sensation, point.
Qu’est-ce qui fait que, pour la plupart, ces instants ne durent pas ? Que l’agitation revient ?
C’est un problème d’identification. Le mental revient, redevient le plus fort et te piège. Piégé, tu y crois fermement, tu oublies le silence et cette chose puissante qui est là.
Vivre ces moments quand il se présentent.
Les vivre avant la pensée…
La pensée aussi, il faut l’accepter. Elle reste au second plan. Laisser cette attention, cette sensation, cette chose au premier plan, dans cette simplicité totale, avant d’être cette personne qui dit « c’est à moi que ça arrive » ou « ça va passer ». Peut-être tout simplement accepter cette simplicité du silence, cette simplicité de sentir, cette simplicité d’être avant qui que ce soit. Rester dans cette simplicité de sentir, tout simplement, sans pour autant avoir été chercher cette tristesse, sans chercher à sentir ton corps ni quoi que ce soit d’autre.
Se laisser saisir par ce qui est là, parce que c’est là… Quel est le sens de la recherche spirituelle, alors, puisqu’elle vise toujours un savoir, un état, un progrès, quelque chose « devant » ?
Elle a encore un sens puisqu’elle est là, puisqu’elle se présente. Vouloir faire le contraire ce serait la même chose : ce serait refuser ce qui se présente… Je crois qu’il faut accepter tout ce qui se présente, que ce soit de méditer, de faire du yoga, d’avoir l’air d’être dans une recherche spirituelle – alors que ce qui entraîne dans tout ça, comme dans tout le reste de la vie d’ailleurs, c’est quand même et toujours cet état premier.
Donc continuer à se laisser faire, même s’il y a encore la personne qui est là, et qui veut, et qui espère. Sentir, plutôt que d’essayer toutes sortes de techniques… Mais il faut aussi accepter ces techniques : elles font partie du chemin qui se présente à soi…
Rester là, plutôt. Avant la pensée : sentir. Rester simplement avec cette sensation, sans vouloir comprendre ni résoudre rien.
On pourrait se demander parfois si elle ne s’est pas transformée en légume…
En tout cas, elle est éveillé à la mode bouddhiste, jpv et barbidou, suprêmes endormis :
« Déjà accepter cette simplicité de sentir que la vie c’est ça, ce n’est pas voir des lumières ou entrer en extase : c’est ça, aussi. C’est la simplicité de ne pas être cette personne qui ressent. C’est sensation, point. »
Et ça fait envie…
Merci infiniment l’internaute. Cette femme est étonnante car elle est véritablement éveillée à la vérité du silence. Elle a basculé dans une nouvelle réalité, celle de l’éternité libérée de la souffrance. C’est ce qui lui a permis de vivre le deuil de son fils unique peu de temps après son adombrement par la présence sans être déstabilisée.
Elle est déjà Sa lumière… C’est beau l’Etre
C est de la broderie mentale que tout cela..
Ce ne peut etre qu une façade..
Et bien crédule celui qui pense avoir tout compris ..
Je suis persuadée que cette femme fait une grave dépression ..
Le silence qui guerrit… Pas pour rien que tu es venue dans ce chapitre mettre ta gadoue. Elle a pourtant une clé pour toi cette femme et qui ne fait pas peur.
Tu es comme les hommes de la caverne de Platon, terrorisée par les ombres qui se dessinent sur les parois de ta caverne et tu cherches à tuer ceux qui voient la vraie lumière au-delà.
A chacun son truc pour masquer sa douleur !
Εγώ είμαι ο χρόνος της συνεδρίασης
Traduction de la phrase de verbrrrre
Etre fort comme un turc ne suffit pas il faut aussi avoir la tete …
Tu es en train de te créer tes propres peurs yaris…
Ce n’est pas le moment de te parler de tomtom, d’autre part, très souvent tu te sers des informations personnels pour ensuite enfoncer la personne dont tu les auras reçu… ce qui ne donne pas envie de te les donner.
Alice a raison sur bien des points, il faut savoir écouter aussi yaris. Mais intelligemment ^_^
–
Alice est venu sur choix-realité dans un but simple : devenir califesse à la place de la califesse…
Mais que nous promet-elle si ce n’est de la remplacer ?
Je n’ai pas vu un seul message d’amour alice depuis que tu es arrivé… tu parles beaucoup du bien et de la lumière, mais nous en donne si peu.
–
Paix et amour pour nous tous
paix, et amour…
Bonjour Tomtom,
« Je n’ai pas vu un seul message d’amour alice depuis que tu es arrivé… tu parles beaucoup du bien et de la lumière, mais nous en donne si peu. »
Peut-être parce que tu ne m’aimes pas, qui sait ? lol, lol Et ça je n’y peux rien… Moi en tout cas je t’aime même si je vois maintenant tes failles plus clairement. J’ai quand même vu ton coeur blanc.
Tu suis comme moi la voie de l’amour inconditionnel. Et pour toi le bien est le passage alors que je parle d’intégrité avec soi. C’est cela ton problème avec moi depuis que tu es arrivé dans C-R. Tu cherches à rédempter et moi je te réponds l’enfer est pavé de bonnes intentions. Il y a juste à être. Si je m’emporte dans une saine colère je suis consciente que je suis toujours. Je m’aime telle que je suis dans cette peau, cette identité, cette forme d’expérience. Comment pourrais-je ne pas aimer la Vie ?
je ne suis pas du genre à me flageller. Je gère l’effet en l’observant sans porter la responsabilité sur quiconque.
Et pour en revenir au sujet central, tu n’es jamais parvenu à gérer la personnalité névrosée de Yaris. Je suis très vite partie d’ici quand tu es arrivé parce que je n’avais plus envie de dialoguer ici avec une femme aussi irrespectueuse. Je t’ai vu faire toutes tes tentatives puisque je revenais régulièrement ici pour lire les articles et commentaires des uns et des autres, le vote d’abord, puis le « allez on remet tout à zéro » poussé par une impulsion d’amour de yaris qui élevait un peu ses vibrations avec celui qu’elle a qualifié de « maitre », puis ton grand départ en méditation en claquant la porte après une colère.
De plus en plus névrosée ici, elle continue à pêter son câble sans que personne ne la stoppe. les gens partent.
Je te le répète, essaie de comprendre que je ne suis pas la voie du bonzai qui se dicte un chemin pour être. la vérité est qu’il n’y a pas de chemin pour aimer.
J’aime la Vie, les gens, la terre et le soleil. C’est assez chouette d’aimer la vie, crois moi.
Le sujet d’actualité depuis trois jours est L’eau rance. Et la solution est l’eau du silence qui guerrit.
« Alice a raison sur bien des points, il faut savoir écouter aussi yaris. Mais intelligemment ^_^ »
ah oui lesquels ?
C’est tout de même un sacré foutage de gueule de venir insulter l’autre et de finir avec paix et amour à la fin de son post de projections et d’enguelades..
Ca fait mielleux au possible..
Vous ai-je dit au fait qu’à ces heures Veda était un faux cul ?
C’est comme l’histoire des insultes proférées à l’encontre de GA par aapm qui n’ont pas été arrêtés par Veda…Qui dans son hypocrite attitude, à trouver son langage fruité lorsqu’elle l’a traité de couilles molles et de grand con…
C’est pas de la malhonnêteté revancharde….
à charge de revanche….
« C’est pas de la malhonnêteté revancharde…. »
Non, de l’intelligence. merci infiniment Véda. Et tu remarqueras que je ne lui demande jamais rien à Véda…
L’eau rance encore une fois dans toute sa splendeur. Encore tes jeux de manipulation.
Tu charges véda yaris en sciant la branche sur laquelle tu es assise et qui te porte.
De mon coté tu prétends que j’insulterais alors que je ne fais qu’essayer de faire le bien.
Bon dire que j’y arrive… non ça, je ne sais pas. Alice aussi essaie de faire le bien même si ça a la couleur de la gadoue et que ça sent pas bon…
Il est temps pour toi de changer d’attitude, c’est le moment.
Pourquoi ne pas prendre un moment de réflexion et de revenir pour nous aider pour un monde de lumière et de paix…
Ou alors tout de suite… ce serait formidable.
Pourquoi ne pas prendre un moment de réflexion et de revenir pour nous aider pour un monde de lumière et de paix…
Je suis d’accord !
Ou alors tout de suite… ce serait formidable.
Oui !
On ne peut faire le bien que en acceptant totalement cette vie et tout ce qui l’entoure … en se laissant porter par le courant et remettre totalement sa vie entre les mains de l’esprit … observer … sans jamais prendre parti … alors la légèreté s’installe puis l’amour pour toutes ces choses qui bougent et qui remuent mais tellement semblables au fond … , faire le bien tomtom … , c’est cesser de vouloir quelque chose et être libre de tout positionnement … ou volonté … , c’est répande l’amour de partout sans jamais s’attarder sur ce qui divise mais toujours sur ce qui unit … , c’est toi-même … , être en paix quand tu donnes de toi même en échangeant … sans jamais donner force et vigueur a une conscience qui n’a pas envie de s’abandonner à la totalité … , peace bro …
On ne peut faire le bien que en acceptant totalement cette vie et tout ce qui l’entoure … en se laissant porter par le courant et remettre totalement sa vie entre les mains de l’esprit … observer … sans jamais prendre parti … alors la légèreté s’installe puis l’amour pour toutes ces choses qui bougent et qui remuent mais tellement semblables au fond … , faire le bien tomtom … , c’est cesser de vouloir quelque chose et être libre de tout positionnement … ou volonté … , c’est répande l’amour de partout sans jamais s’attarder sur ce qui divise mais toujours sur ce qui unit … , c’est toi-même … , être en paix quand tu donnes de toi même en échangeant … sans jamais donner force et vigueur a une conscience qui n’a pas envie de s’abandonner à la totalité … , peace bro …
ca c’est très juste Bastien et très joliment dit, avec beaucoup de paix. Etre c’est observer sans jamais prendre partie
répande l’amour de partout sans jamais s’attarder sur ce qui divise mais toujours sur ce qui unit …
Merci infiniment !
youtube.com!
Ce rêve auquel tu crois,
Dis, qu’en restera t-il ?
Si tu ne bouges pas
Dis, qu’en restera t-il ?
Si tu traines chez toi dans l’angoisse inutile
Si tu ne chantes pas
Dis, qu’en restera t-il ?
De tes éclats de rire
Dis, qu’en restera t-il ?
Et tes si bons délires
Dis, qu’en restera t-il ?
À toujours te complaire dans ce qui est futile
Tout ce que tu espères
Dis qu’en restera t-il ?
[Refrain] (x2)
Allez danse
Danse ta vie danse
Allez danse
Danse avec moi
Danse ta vie danse
Allez danse
Et danse avec toi cette envie d’être libre
Dis, qu’en restera t-il ?
Tout ce pour quoi tu vibres
Dis qu’en restera t-il
Si tu dis j’abandonne comme font les imbéciles
La douceur parolesdeclip.fr qu’on se donne
Dis qu’en restera t-il
[Refrain] (x2)
Tous ces baisers brulants
Dis, qu’en restera t-il ?
Et nos yeux t’adorant
Dis, qu’en restera t-il ?
Si nos journées pourries nous rendent bien le signe de nos si belles nuits
Dis, qu’en restera t-il ?
[Refrain] (x2)
Si tu attends bêtement
Dis, qu’en restera t-il ?
A part perdre ton temps
Dis, qu’en restera t-il ?
Si tu ne comprends par que la vie se défile le jour où elle s’en va
Dis, qu’en restera t-il ?
[Refrain] (x2)
Tout comme aapm, vous ne vous aimez pas et vous avez beau réciter des psaumes, apprendre par coeur les récitations des bigottes qui une fois la prière accomplie, remettent en marche « leurs langues de pute » (langage fleuri en métaphore)
Le physique n’est qu’une enveloppe mais elle est d’une importance extrême dans notre monde humain qui joue de l’apparence pour se complaire…
Se complaire comme vous le faites dans l’amour à deux balles et une paix qui vaut toutes les guerres.
Trouvez vous donc quelqu’un qui vous aime pour ce que vous êtes et non pas pour ce que vous tentez bêtement de montrer;;;
Ceci est valable pour toi aussi le Bastien qui entre deux crises de nombrilismes, la prise en otage de divinités, osent demander du fric à ses ouialles parce qu’incapable de s’assumer et de se responsabiliser en quoique cela soit dans cette vie…
Sachez bien que ce qui vous est demandé n’est pas de jouer les victimes mais de trouver votre voix et d’acquérir la volonté propre qui est de vivre en harmonie avec le monde.
C’est ça la présence !
youtube.com
« Tu charges véda yaris en sciant la branche sur laquelle tu es assise et qui te porte »
C’est ça prend Veda pour un con…
Chose que je ne me permettrai pas de faire, quoiqu’un peu de temps en temps quand il joue le faux cul et qu’il vient faire du lèchage de pompes express…
De plus, mettez-vous bien dans la tête que le divin paradoxe n’a pas besoin d’internet pour être ce qui n’est pas votre cas…
Tout à une fin…Pour un début…
Prout !
Tout à une fin…Pour un début…
Absolument ! Oust le divin paradoxe, oust tes prout et ta gadoue, oust ton irrespect !
Tes écrits sans arts et languissants
semblent être formés en dépit du bon sens ;
mais ils trouvent pourtant,quoi qu’on puisse en dire
un marchand pour les vendre et des sots pour les lire…
Hihihihihihi !
Oui, oui L’eau rance, Art t(r)iste. C’est cela que crée la gadoue…
Quant à toi Yaris, maudite soir ta verve insensée
qui dans les bornes d’un vers osent libéra la pensée,
en donnant à chacun de tes mots une immense liberté
– poil au nez – voulut avec la rime déchainer les raisons…
poil aux….
Oust les délires « parisianistes » avec ces parfums alambiqués qui colmatent les mauvaises odeurs.
Où qui les libèrent
Dit l’internaute, j’ai remarqué que tout comme Pap, quand tu postes bien souvent, il y a comme une émulsion qui se crée dans l’échange…
nettoyage…
AHAHAHAHAHA §
Pétage de plomb !
Pétage de plomb !
Oui L’eau rance pêtée tu es, une pêtée qui a perdu son innocence cela fait une manipulatrice, menteuse et vicieuse. Tous tes vices éclatent à la lumière depuis trois jours. Quasiment à chaque post.
Mis en lumière ne signifie pas éclairé. Pour cela, va te laver ! C’est incroyable comme tu te respectes si peu … Une sacrée capacité de nuisance
Yaris va prendre le relais. Ds ya ayant des obligations ailleurs !
Alors qu’est-ce qui ne va pas ?
Tu fais ton gros caca…
Tu sais, cela me rappelle le pétage de plomb d’arabrel
l’avait la meme façon de dérailler, elle déraille encore d’ailleurs.
Ce qu’elle devient..Pas grand chose. Ayant asservi le pauvre Nagual, je crois qu’elle doit chercher une nouvelle proie.
Ce que tu fais pour assouvir une lueur de pouvoir que tu as du mal à maintenir car tu t’es toujours senti, plus bas que terre..
Il faut que tu arrives à créer ton propre divin paradoxe et que tu cesses d’alimenter ta jalousie en te projetant dans celle ou celui que tu envies.
Tes énergies sexuelles sont très présentes. Il faut que tu en fasses quelques choses sinon tu vas exploser ; que dis-je, tu exploses…
Le prince charmant te fait défaut..
Pourquoi parce que tu es instable, incohérente..
Sois gentille, rabaisse un peu ton caquet, sois plus féminine..Et tu verras que les regards masculins se tourneront vers toi.
Le charme est plus fort que tout…
Ya quand meme un homme dans ton entourage qui te donne du fil à retordre…
« Je crevais mes yeux pour mieux te voir flamber ta lumière noire et j’embaumais en moi ta présence pour me rappeler… »
Ca c’est du divin paradoxe lol, lol. Une création de L’eau rance. Tu comprends pourquoi le divin paradoxe est mort ?
Voilà ici un autre de tes vices: le rôle de Madame Irma avec sa boule de cristal et ses voix. Se présenter à ses heures comme une voyante pour être intrusive. Pauvre petit laurier dessêché… Tu comprends pourquoi l’eau de la lumière est importante pour toi avec tes jeux pas clairs du tout. Oust !
Et puis responsabilise toi !
Je ne peux pas faire le boulot à ta place !
je crois que da ya t’a suffisamment torché les fesses !
Victor Hugo a vu cette lumière noire avant de mourir…
S’il était là, il pourrait le confirmer..
Hein Victor !
C’était le monsieur en noir qui venait te chercher…