Video : Voyage Musical sur une Music de Vangelis…..Rachel’s song
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S’est complètement transformée avec l’apparition de la bipolarité , il y a 15 ans . Et, ou plutôt , la bipolarité est apparue pour révolutionner une conscience devenue insuffisante pour comprendre le monde . Je viens de rencontrer Choix-Réalité…
« La spiritualité n’existe pas; il n’y a que la vie dans le monde, le jeu des cinq éléments. La plus grande fraude, la plus grande escroquerie, c’est la spiritualité mais ne le répétez pas, vous vous ferez des ennemis. »Nisargadatta…
« La spiritualité n’existe pas; il n’y a que la vie dans le monde, le jeu des cinq éléments. La plus grande fraude, la plus grande escroquerie, c’est la spiritualité mais ne le répétez pas, vous vous ferez des ennemis. »Nisargadatta…
Je me permet de vous transmettre cette « Lettre Ouverte » parce qu’elle est très intéressante et qu’elle remet en question la popularité incroyable de la non dualité en occident, ainsi que certains faits dont personne ne voudrait causé.
Bonne lecture et bonne journée.
A
Lettre ouverte à l’usage de quelques chercheurs de vérité
Quand on pratique vraiment la spiritualité et que l’on considère ainsi avoir une vie spirituelle, sous-entendu que la vie spirituelle et la vie quotidienne ne se distinguent plus l’une de l’autre, on ne peut pas s’encombrer de toute une panoplie de disciplines, pratiques et techniques méditatives, de connaissances sacrées purement conceptuelles pour ne pas dire théoriques ou dogmatiques, de commentaires métaphysiques appartenant à différentes traditions, d’enseignements, de livres et de pensées, qui tôt ou tard vont inévitablement se contredire. Il faut être capable de revenir instantanément à l’essentiel et disposer de pratiques très simples, si ce n’est une seule, qui permettent au mental de s’apaiser rapidement pour finalement s’estomper en attendant la grande libération, c’est-à-dire la réalisation du Soi.
Pourquoi ? Parce que le mental est à l’origine de la souffrance et non l’ego comme l’enseignent la plupart des Néo Advaita gourous, qui ne sont même pas capables de comprendre les principes fondamentaux de l’Advaita Vedanta, ce qui ne va pourtant pas les empêcher d’enseigner cette connaissance sacrée comme s’ils étaient soudainement devenus d’honorables Gourous suite à une petite expérience spirituelle. Et ils omettront bien sûr le nom de cette connaissance afin d’éviter tout problème avec des experts en la matière. Cette expérience leur aurait apparemment montré monts et merveilles, et surtout la « non-dualité » de toute chose, du fait qu’ils ont tous lu comme par hasard et sans exception, avant ou après leur expérience, au moins un livre de Ramana Maharshi pour enrichir leur enseignement ou le créer tant bien que mal de toutes pièces, comme c’est le cas entre autres pour ce très cher Mooji, qui joue le rôle du gourou à la perfection dans toute sa splendeur, et qui n’a malheureusement rien compris au Vedanta ni ce que lui a enseigné son Gourou Papaji, ce qui semble à vrai dire le cadet de ses soucis. Mais ces Néo gourous ont tous une si bonne tête toujours souriante qu’on ne peut que leur pardonner et leur acheter au moins quelques CDs, DVDs et une photo de leur portrait après un Satsang en souvenir de leur performance digne d’un clown.
Qu’il soit dit en passant que fonder toute une spiritualité sur l’annihilation de l’ego comme le font ces Néo Advaita gourous est purement absurde et ne correspond en plus pas du tout aux enseignements du Vedanta. « Ahamkar », l’identité personnelle, c’est-à-dire le moi, la conscience de soi en tant que personne ou encore l’ego, n’a jamais été à l’origine de la souffrance ni même celle de l’ignorance qui cause tant d’illusions. Mais où ces Néo gourous ont-ils bien pu découvrir dans tout l’Advaita Vedanta et autres véritables enseignements traditionnels qu’il fallait se libérer d’une identité personnelle, qui est évidemment indispensable pour vivre normalement et communiquer intelligemment ? Imaginez simplement ce qui arriverait si soudainement vous ne pouviez plus vous référer à vous-même et perdiez la conscience de propre existence en tant qu’individu séparé des autres pour simplement exprimer vos propres pensées, qui ne seraient évidemment alors plus les vôtres. Ou qu’arriverait-il si vous aviez envie de vous gratter les fesses et ne fassiez pas la différence entre vous-même et les autres ? Même un vrai libéré deviendrait totalement fou et s’attirerait de sérieux problèmes. La libération que ces Néo gourous préconisent ressemble plutôt à une espèce de lobotomie insensée et aussi folle que leur sagesse, qui n’a aucun rapport avec la vraie spiritualité.
Alors que sont ces pratiques essentielles et principes fondamentaux de cette spiritualité ? Vous les connaissez déjà sans le moindre doute, mais probablement noyés dans une masse de faux enseignements et connaissances beaucoup trop sophistiquées pour être applicables dans les faits et gestes de la vie quotidienne que nous vivons tous, y compris les superstars de la nouvelle vague spirituelle très populaire de nos jours.
Ramana Maharshi a toujours et seulement à vrai dire enseigné le Dharma et Vichara qu’il a développé en une simple question pour que cette technique soit plus compréhensible au commun des mortels, cette question étant « Qui suis-je ? ». Comme le démontrent Shankaracharya, Gaudapada, Yajnavalkya ou Vashishta, cette pratique est au centre de tous leurs commentaires sur la spiritualité et du Vedanta Advaita dans sa totalité. La vérité se découvre et se réalise en pratiquant une introspection méditative et bien sûr en demeurant pleinement conscient de ce qui se passe à l’intérieur de soi. « Chit » en Sanskrit, la conscience et faculté d’être purement conscient, est évidemment le principe fondamental de la spiritualité. C’est si évident dans toutes les traditions orientales ou occidentales que l’on pourrait se demander ce que serait une libération ou une révélation aussi sublime soit-elle si l’on n’en était pas conscient.
Si la conscience n’était pas le principe fondamental de toute existence, découverte, expérience et connaissance, qu’est-ce que cela pourrait bien être ?
A quoi se résume donc cette recherche du Soi ou introspection (du Latin introspicere : regarder à l’intérieur) ? Vichara se pratique assis, comme la plupart des autres techniques méditatives, de manière à bien comprendre et expérimenter le pourquoi et comment de cette pratique en fait extrêmement simple où il n’y a rien à « faire », mais seulement « être et en demeurer pleinement conscient ». Et Vichara se pratique bien sûr aussi dans la vie courante, à tout instant et à chaque fois que l’on s’en souvient. Certains appellent cela la méditation dynamique, « mindfulness » en Anglais, Sati, l’attention vigilante… Peu importe le nom qu’on lui donne, l’essentiel est de comprendre que cette pratique consiste à tout simplement demeurer conscient et ainsi exister pleinement ou en d’autres termes « découvrir la plénitude de l’être » partout et tout le temps. C’est tout ! Et c’est plus que suffisant pour une vie entière de recherche spirituelle. Et cela évitera aussi de se disperser dans une multitude d’autres pratiques, qui ne sont pas inutiles, mais qui conduiront tôt ou tard à cette introspection et la question « Qui suis-je ? ». C’est bien de pratiquer différents exercices spirituels et en changer régulièrement pour mieux en apprécier leur qualité, encore faut-il savoir qui est celui qui les pratique pour en découvrir sa vraie nature ? Cela semble évident. Dans l’Advaita et le sacré toujours concernés par l’origine et la vraie nature de toutes choses, il y a avant tout beaucoup d’évidences et de bon sens.
Ce type d’introspection que l’on nomme Vichara se résume à accepter les manifestations de la vie intérieure ou du monde extérieur avec un état d’esprit paisible et parfaitement attentif, qui n’oublie surtout pas la présence de la faculté d’être conscient à l’origine même de cette recherche. On n’essaie pas d’empêcher les pensées de se manifester ni les actes de la vie quotidienne de s’exécuter naturellement ou les sensations et émotions d’apparaître à l’intérieur de soi. Toute manifestation est acceptée telle quelle, mais avec une attention et un état d’esprit pour ainsi dire conscient de lui-même. Voilà pour la pratique, qui est très simple, facile et à laquelle on peut toujours revenir en toutes circonstances, ce qui est le facteur le plus important pour spiritualiser entièrement la vie intérieure, ainsi que la réalité spatiale et temporelle dans laquelle nous nous trouvons en permanence. Ce que l’on vit à chaque instant est le terrain le plus parfait qui puisse exister pour pratiquer la spiritualité et la recherche de libération, et aussi pour tester si cette spiritualité sert vraiment à quelque chose parce qu’elle s’adresse à un être vivant, qui en général souffre ou pour le moins éprouve de profondes insatisfactions dans sa propre vie, et non pas à Brahman, le Soi ou la conscience universelle, qui eux incarnent une félicité infinie et éternelle et qui n’ont évidemment pas besoin d’être aidés ou libérés. Aucun vrai Gourou n’enseigne à vrai dire comment entrer en transe ou vivre des expériences plus ou moins mystiques ou franchement psychédéliques. Ce n’est pas du tout le but de la recherche de réalisation du Soi, de l’expérience de la non-dualité, de Sahaja Samadhi ou Turya, un état d’esprit que l’on considère libéré. Un vrai Gourou est censé apporter la lumière de la connaissance, qui dissipe les ténèbres de l’ignorance. Cela n’a aucun rapport avec Nirvikalpa Samadhi et autres extases mystiques de ce genre.
Et la vie continue bien sûr quoi qu’il arrive…, avec ou sans expériences spirituelles libératrices. C’est pourquoi cette pratique de Vichara a toujours et obligatoirement lieu dans « le cadre du Dharma », comme toutes autres disciplines spirituelles d’ailleurs, autrement dit sur une voie juste et correcte où l’on accepte la réalité telle qu’elle est sans se mentir sur soi, les autres et le monde dans lequel on vit réellement, mais surtout sur soi pour une raison si évidente qu’il n’est pas nécess... [message tronqué - 10000 caractères max]
(Auteur d’un blog intitulé « Le Grand Réveil » qui traite d’eschatologie)
« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous délivrera. » (Jean 8, 32)
« Le premier prérequis lorsqu’on veut connaître une vérité biblique est d’établir un point de départ, une prémisse sûre. Toute argumentation forte, si elle est basée sur une proposition de départ fausse, est une erreur, peu importe à quel point elle paraît logique ou plaisante. Même si elle a pour résultat l’extraordinaire explosion de croissance d’une église, si cette argumentation est basée sur un point de départ faux, c’est quand même une erreur et elle sera jugée comme telle par Dieu. » (Source : la-mort-nous-separe.over-blog.org
« Mais pourquoi ne jugez-vous pas par vous-mêmes de ce qui est juste ? » (Luc 12, 57)
« Dans n’importe quelle question, il ne s’agit pas de savoir ce que les hommes ont pensé mais où se tient la vérité des choses. » (Saint Thomas d’Aquin)
« Dans la vie, dès lors qu’on se trompe de route il n’y a qu’une solution : reprendre le bon chemin sinon, on va aggraver très rapidement les effets pervers de l’erreur. » (Pierre Gevaert, « Alerte aux vivants », 2006)
« L’erreur est la cause de la misère des hommes ; c’est le mauvais principe qui a produit le mal dans le monde ; c’est elle qui fait naître et qui entretient dans notre âme tous les maux qui nous affligent, et nous ne devons point espérer de bonheur solide et véritable qu’en travaillant sérieusement à l’éviter. » (Nicolas Malebranche, « De la recherche de la vérité », 1675)
Nous rêvons d’un monde meilleur mais nous oublions un détail : il faut des hommes meilleurs, qui aiment la vérité et la laissent inspirer leur vie, pour avoir un monde meilleur… Chacun est appelé à faire son autocritique, il faut s’y plier sans dérobade et en tirer les conséquences existentielles, avant de songer à faire la leçon aux autres. C’est indubitablement ainsi qu’on évolue et qu’on devient un homme meilleur. Et qu’on devient un homme qui mérite le nom d’homme. Un homme qui se sent personnellement responsable du destin de tous. Avant qu’il ne soit trop tard, pour arrêter notre marche vers l’abîme et éviter notre suicide collectif, devenons enfin des hommes. Des hommes qui acceptent la vérité, si dérangeante et amère qu’elle soit, et peu importe qui nous dit la vérité… À cet égard je me rappelle avoir lu dans un de vos textes que faire acte de foi, c’est accepter tous les moyens choisis pour s’adresser aux hommes par Dieu : je souscris totalement et sans réserve à ce propos et j’avoue qu’Il a éclairé ma lanterne par le biais de certaines de vos réflexions. Et ma dette envers toutes sortes de gens, notamment des écrivains, d’horizons spirituels ou philosophiques fort divers, est trop grande. Je bénis et remercie inlassablement le Ciel pour les avoir placés sur ma route. Cela a élargi ma vision du monde, cela m’a fait grandir en humanité. Du moins je l’espère. Tout cela pour vous dire qu’il se pourrait qu’en cet instant même, Dieu soit en train de vous transmettre un message à travers moi… J’en viens à ce qui m’a amené et décidé à écrire cette lettre, qui demande votre attention, mais surtout une ouverture d’esprit, en vous priant humblement de croire à ma bonne foi. Dans votre article « La seconde rédemption du monde » j’ai lu ce qui suit : « Jésus était Dieu ; d’un seul mot, d’un seul geste, il pouvait confondre ses ennemis. » J’aimerais vous poser une question. Mais avant cela, j’avoue que personnellement j’aurais préféré que le premier miracle qu’on lui attribue ait été de changer le vin en eau, et non l’inverse ! Voici ma question : comment concilier votre allégation – « Jésus est Dieu » – avec cette parole émanant de Jésus : « Je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu » (Jean 20, 17). Dieu qui dit : « mon Dieu » ? Il ne devrait pas être si difficile de reconnaître loyalement, quand on est une personne d’une probité intellectuelle à toute épreuve, et un chérisseur de la vérité comme devrait l’être tout bon disciple du Christ, que sont inconciliables votre déclaration et la sienne… Il y a aussi sa propre profession de foi dans laquelle il accorde le statut de divinité exclusivement au Père : « La vie éternelle, c’est qu’ils Te connaissent, Toi, le seul vrai Dieu, et celui que Tu as envoyé, Jésus-Christ » (Jean 17, 3). Il affirme d’une manière nette et catégorique : « Le Père est le seul vrai Dieu », et cependant je lis et j’entends ici ou là ceci : « Le Christ est le seul vrai Dieu ». Or le verset que je viens de citer est clair comme le jour. Il est tellement limpide ! Jésus s’y adresse à autre que lui-même et atteste que cet autre que lui-même est le seul vrai Dieu. Le seul et unique vrai Dieu, oui, pas seulement un vrai Dieu. Il n’y a là aucune ambiguïté et c’est absolument univoque et infiniment plus clair, que tous les versets bibliques couramment avancés pour justifier votre assertion. Non seulement il ne proclame point être Dieu, mais au contraire il parle du Père qui l’a envoyé au monde, comme étant le seul et unique véritable Dieu. Il professe et enseigne un credo clair comme de l’eau de roche : pas de mystère abscons dans ce credo, nul défi au bon sens ni illogisme, aussi il n’est pas malaisé d’y ajouter foi. L’avoir allègrement renié dans un moment d’égarement déplorable, pour adopter le symbole dit d’Athanase que nul ne comprend, voilà donc la grande apostasie qu’il y a urgence à regarder en face… L’humanité n’a pas fini de payer les conséquences de cette distorsion du sens d’un message simple mais si profond. Au lieu de corriger l’erreur d’aiguillage initiale et ainsi aplanir le chemin conduisant à Dieu, tant de gens ne demandant qu’à croire mais quelque chose de croyable quand même car raisonnable, sont déclarés adversaires de la vraie foi tous ceux qui dénoncent cette tragique apostasie. L’être humain dont l’insigne dignité réside dans sa raison, serait donc tenu pour satisfaire Dieu et assurer son salut éternel, d’accepter sans rechigner un dogme qui révolte la raison. D’autant que ce dogme a – hélas ! – éclipsé le plus important : le message même du Christ. Gardons à l’esprit que rien de durable ne saurait être bâti sur le faux. Celui qui cherche à accomplir la volonté du Seigneur ne peut sciemment s’y complaire… Sachez bien que j’ai une très grande admiration pour votre travail, que vous accomplissez avec tant de persévérance et d’abnégation. Car je constate bien que vous apportez beaucoup à nombre de personnes, les aidant à donner une signification et une direction spirituelle à leur vie. Je me permets de souligner ici une chose : qui ambitionne de faire partie des apôtres des derniers temps, doit impérativement être un partisan inconditionnel de la vérité. Jamais il ne biaise avec la vérité, ni il ne triche avec sa conscience. Et sa liberté d’esprit fait qu’il veille à ce que réflexes mentaux innés ou acquis et autres préjugés n’altèrent la qualité de sa réflexion sur le sujet existentiel le plus important : celui de la religion. Chez lui la quête de la vérité ne connaît point de répit : il maintient allumée sa lampe intérieure, et toujours ouverte la porte de son cœur… Il sait bien évidemment résister à la tyrannie de l’ego, il parvient même à le transformer en ami et conseiller ! Avec un ego sous contrôle, il augmente et optimise ses chances d’éviter de tomber, bêtement et à pieds joints, dans les pièges subtils ou grossiers que lui tend Satan. Et comme il veille à ne jamais laisser son ego se gonfler au point de lui faire perdre la tête, il finit toujours par consentir de plein gré à ce qu’il sait dans son for intérieur être la vérité. C’est qu’il est incapable de persister dans l’erreur par pur orgueil. Car finalement les multiples et variés subterfuges de l’ego ne servent strictement à rien : de tout temps les grands instructeurs de l’humanité ne cessent d’assurer, qu’au bout du compte rien ne saurait prévaloir contre la force de la vérité. C’est une certitude pour qui croit en Dieu… Or aucun prophète biblique et assurément pas le Christ, n’a jamais prêché la croyance salvatrice en Dieu, dans un langage qui s’apparente au jargon Athanasien : « Nous vénérons un Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l’Unité, sans confondre les Personnes ni diviser la substance : autre est en effet la Personne du Père, autre celle du Fils, autre celle du Saint-Esprit ; mais une est la divinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit (…). Ainsi le Père est Dieu, le Fils est Dieu, le Saint-Esprit est Dieu ; et cependant ils ne sont pas trois Dieux, mais un Dieu. (…) Et dans cette Trinité il n’est rien qui soit avant ou après, rien qui soit plus grand ou plus petit, mais les Personnes sont toutes trois également éternelles et semblablement égales. (…) Qui donc veut être sauvé, qu’il croie cela de la Trinité. » Telle serait la seule vraie foi et l’unique voie conduisant au Ciel ! Vous trouvez que cela est marqué du sceau de la simplicité évangélique ? Il n’y a pas un seul passage dans les Saintes Écritures qui présente ainsi le Seigneur : l’inexistence d’au moins un passage scripturaire où notre Créateur Se d�... [message tronqué - 10000 caractères max]
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NormalY., vu vos propos Sa, devrais vous intéresser. Bonne Lecture. annamedia.org!monkey-17/cw3k
Bonjour,
Je me permet de vous transmettre cette « Lettre Ouverte » parce qu’elle est très intéressante et qu’elle remet en question la popularité incroyable de la non dualité en occident, ainsi que certains faits dont personne ne voudrait causé.
Bonne lecture et bonne journée.
A
Lettre ouverte à l’usage de quelques chercheurs de vérité
Quand on pratique vraiment la spiritualité et que l’on considère ainsi avoir une vie spirituelle, sous-entendu que la vie spirituelle et la vie quotidienne ne se distinguent plus l’une de l’autre, on ne peut pas s’encombrer de toute une panoplie de disciplines, pratiques et techniques méditatives, de connaissances sacrées purement conceptuelles pour ne pas dire théoriques ou dogmatiques, de commentaires métaphysiques appartenant à différentes traditions, d’enseignements, de livres et de pensées, qui tôt ou tard vont inévitablement se contredire. Il faut être capable de revenir instantanément à l’essentiel et disposer de pratiques très simples, si ce n’est une seule, qui permettent au mental de s’apaiser rapidement pour finalement s’estomper en attendant la grande libération, c’est-à-dire la réalisation du Soi.
Pourquoi ? Parce que le mental est à l’origine de la souffrance et non l’ego comme l’enseignent la plupart des Néo Advaita gourous, qui ne sont même pas capables de comprendre les principes fondamentaux de l’Advaita Vedanta, ce qui ne va pourtant pas les empêcher d’enseigner cette connaissance sacrée comme s’ils étaient soudainement devenus d’honorables Gourous suite à une petite expérience spirituelle. Et ils omettront bien sûr le nom de cette connaissance afin d’éviter tout problème avec des experts en la matière. Cette expérience leur aurait apparemment montré monts et merveilles, et surtout la « non-dualité » de toute chose, du fait qu’ils ont tous lu comme par hasard et sans exception, avant ou après leur expérience, au moins un livre de Ramana Maharshi pour enrichir leur enseignement ou le créer tant bien que mal de toutes pièces, comme c’est le cas entre autres pour ce très cher Mooji, qui joue le rôle du gourou à la perfection dans toute sa splendeur, et qui n’a malheureusement rien compris au Vedanta ni ce que lui a enseigné son Gourou Papaji, ce qui semble à vrai dire le cadet de ses soucis. Mais ces Néo gourous ont tous une si bonne tête toujours souriante qu’on ne peut que leur pardonner et leur acheter au moins quelques CDs, DVDs et une photo de leur portrait après un Satsang en souvenir de leur performance digne d’un clown.
Qu’il soit dit en passant que fonder toute une spiritualité sur l’annihilation de l’ego comme le font ces Néo Advaita gourous est purement absurde et ne correspond en plus pas du tout aux enseignements du Vedanta. « Ahamkar », l’identité personnelle, c’est-à-dire le moi, la conscience de soi en tant que personne ou encore l’ego, n’a jamais été à l’origine de la souffrance ni même celle de l’ignorance qui cause tant d’illusions. Mais où ces Néo gourous ont-ils bien pu découvrir dans tout l’Advaita Vedanta et autres véritables enseignements traditionnels qu’il fallait se libérer d’une identité personnelle, qui est évidemment indispensable pour vivre normalement et communiquer intelligemment ? Imaginez simplement ce qui arriverait si soudainement vous ne pouviez plus vous référer à vous-même et perdiez la conscience de propre existence en tant qu’individu séparé des autres pour simplement exprimer vos propres pensées, qui ne seraient évidemment alors plus les vôtres. Ou qu’arriverait-il si vous aviez envie de vous gratter les fesses et ne fassiez pas la différence entre vous-même et les autres ? Même un vrai libéré deviendrait totalement fou et s’attirerait de sérieux problèmes. La libération que ces Néo gourous préconisent ressemble plutôt à une espèce de lobotomie insensée et aussi folle que leur sagesse, qui n’a aucun rapport avec la vraie spiritualité.
Alors que sont ces pratiques essentielles et principes fondamentaux de cette spiritualité ? Vous les connaissez déjà sans le moindre doute, mais probablement noyés dans une masse de faux enseignements et connaissances beaucoup trop sophistiquées pour être applicables dans les faits et gestes de la vie quotidienne que nous vivons tous, y compris les superstars de la nouvelle vague spirituelle très populaire de nos jours.
Ramana Maharshi a toujours et seulement à vrai dire enseigné le Dharma et Vichara qu’il a développé en une simple question pour que cette technique soit plus compréhensible au commun des mortels, cette question étant « Qui suis-je ? ». Comme le démontrent Shankaracharya, Gaudapada, Yajnavalkya ou Vashishta, cette pratique est au centre de tous leurs commentaires sur la spiritualité et du Vedanta Advaita dans sa totalité. La vérité se découvre et se réalise en pratiquant une introspection méditative et bien sûr en demeurant pleinement conscient de ce qui se passe à l’intérieur de soi. « Chit » en Sanskrit, la conscience et faculté d’être purement conscient, est évidemment le principe fondamental de la spiritualité. C’est si évident dans toutes les traditions orientales ou occidentales que l’on pourrait se demander ce que serait une libération ou une révélation aussi sublime soit-elle si l’on n’en était pas conscient.
Si la conscience n’était pas le principe fondamental de toute existence, découverte, expérience et connaissance, qu’est-ce que cela pourrait bien être ?
A quoi se résume donc cette recherche du Soi ou introspection (du Latin introspicere : regarder à l’intérieur) ? Vichara se pratique assis, comme la plupart des autres techniques méditatives, de manière à bien comprendre et expérimenter le pourquoi et comment de cette pratique en fait extrêmement simple où il n’y a rien à « faire », mais seulement « être et en demeurer pleinement conscient ». Et Vichara se pratique bien sûr aussi dans la vie courante, à tout instant et à chaque fois que l’on s’en souvient. Certains appellent cela la méditation dynamique, « mindfulness » en Anglais, Sati, l’attention vigilante… Peu importe le nom qu’on lui donne, l’essentiel est de comprendre que cette pratique consiste à tout simplement demeurer conscient et ainsi exister pleinement ou en d’autres termes « découvrir la plénitude de l’être » partout et tout le temps. C’est tout ! Et c’est plus que suffisant pour une vie entière de recherche spirituelle. Et cela évitera aussi de se disperser dans une multitude d’autres pratiques, qui ne sont pas inutiles, mais qui conduiront tôt ou tard à cette introspection et la question « Qui suis-je ? ». C’est bien de pratiquer différents exercices spirituels et en changer régulièrement pour mieux en apprécier leur qualité, encore faut-il savoir qui est celui qui les pratique pour en découvrir sa vraie nature ? Cela semble évident. Dans l’Advaita et le sacré toujours concernés par l’origine et la vraie nature de toutes choses, il y a avant tout beaucoup d’évidences et de bon sens.
Ce type d’introspection que l’on nomme Vichara se résume à accepter les manifestations de la vie intérieure ou du monde extérieur avec un état d’esprit paisible et parfaitement attentif, qui n’oublie surtout pas la présence de la faculté d’être conscient à l’origine même de cette recherche. On n’essaie pas d’empêcher les pensées de se manifester ni les actes de la vie quotidienne de s’exécuter naturellement ou les sensations et émotions d’apparaître à l’intérieur de soi. Toute manifestation est acceptée telle quelle, mais avec une attention et un état d’esprit pour ainsi dire conscient de lui-même. Voilà pour la pratique, qui est très simple, facile et à laquelle on peut toujours revenir en toutes circonstances, ce qui est le facteur le plus important pour spiritualiser entièrement la vie intérieure, ainsi que la réalité spatiale et temporelle dans laquelle nous nous trouvons en permanence. Ce que l’on vit à chaque instant est le terrain le plus parfait qui puisse exister pour pratiquer la spiritualité et la recherche de libération, et aussi pour tester si cette spiritualité sert vraiment à quelque chose parce qu’elle s’adresse à un être vivant, qui en général souffre ou pour le moins éprouve de profondes insatisfactions dans sa propre vie, et non pas à Brahman, le Soi ou la conscience universelle, qui eux incarnent une félicité infinie et éternelle et qui n’ont évidemment pas besoin d’être aidés ou libérés. Aucun vrai Gourou n’enseigne à vrai dire comment entrer en transe ou vivre des expériences plus ou moins mystiques ou franchement psychédéliques. Ce n’est pas du tout le but de la recherche de réalisation du Soi, de l’expérience de la non-dualité, de Sahaja Samadhi ou Turya, un état d’esprit que l’on considère libéré. Un vrai Gourou est censé apporter la lumière de la connaissance, qui dissipe les ténèbres de l’ignorance. Cela n’a aucun rapport avec Nirvikalpa Samadhi et autres extases mystiques de ce genre.
Et la vie continue bien sûr quoi qu’il arrive…, avec ou sans expériences spirituelles libératrices. C’est pourquoi cette pratique de Vichara a toujours et obligatoirement lieu dans « le cadre du Dharma », comme toutes autres disciplines spirituelles d’ailleurs, autrement dit sur une voie juste et correcte où l’on accepte la réalité telle qu’elle est sans se mentir sur soi, les autres et le monde dans lequel on vit réellement, mais surtout sur soi pour une raison si évidente qu’il n’est pas nécess... [message tronqué - 10000 caractères max]
Bonjour ,
Je souhaite savoir si david Wilcock a donné une suite au dernier article que vous aviez publié sur Choix-Réalité.
Merci de vos partages sur ce site!
Bien à vous
Virginie
Pour qu’un soleil de justice se lève sur ce monde
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Monsieur Louis d’Alencourt,
(Auteur d’un blog intitulé « Le Grand Réveil » qui traite d’eschatologie)
« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous délivrera. » (Jean 8, 32)
« Le premier prérequis lorsqu’on veut connaître une vérité biblique est d’établir un point de départ, une prémisse sûre. Toute argumentation forte, si elle est basée sur une proposition de départ fausse, est une erreur, peu importe à quel point elle paraît logique ou plaisante. Même si elle a pour résultat l’extraordinaire explosion de croissance d’une église, si cette argumentation est basée sur un point de départ faux, c’est quand même une erreur et elle sera jugée comme telle par Dieu. » (Source : la-mort-nous-separe.over-blog.org
« Mais pourquoi ne jugez-vous pas par vous-mêmes de ce qui est juste ? » (Luc 12, 57)
« Dans n’importe quelle question, il ne s’agit pas de savoir ce que les hommes ont pensé mais où se tient la vérité des choses. » (Saint Thomas d’Aquin)
« Dans la vie, dès lors qu’on se trompe de route il n’y a qu’une solution : reprendre le bon chemin sinon, on va aggraver très rapidement les effets pervers de l’erreur. » (Pierre Gevaert, « Alerte aux vivants », 2006)
« L’erreur est la cause de la misère des hommes ; c’est le mauvais principe qui a produit le mal dans le monde ; c’est elle qui fait naître et qui entretient dans notre âme tous les maux qui nous affligent, et nous ne devons point espérer de bonheur solide et véritable qu’en travaillant sérieusement à l’éviter. » (Nicolas Malebranche, « De la recherche de la vérité », 1675)
Nous rêvons d’un monde meilleur mais nous oublions un détail : il faut des hommes meilleurs, qui aiment la vérité et la laissent inspirer leur vie, pour avoir un monde meilleur… Chacun est appelé à faire son autocritique, il faut s’y plier sans dérobade et en tirer les conséquences existentielles, avant de songer à faire la leçon aux autres. C’est indubitablement ainsi qu’on évolue et qu’on devient un homme meilleur. Et qu’on devient un homme qui mérite le nom d’homme. Un homme qui se sent personnellement responsable du destin de tous. Avant qu’il ne soit trop tard, pour arrêter notre marche vers l’abîme et éviter notre suicide collectif, devenons enfin des hommes. Des hommes qui acceptent la vérité, si dérangeante et amère qu’elle soit, et peu importe qui nous dit la vérité… À cet égard je me rappelle avoir lu dans un de vos textes que faire acte de foi, c’est accepter tous les moyens choisis pour s’adresser aux hommes par Dieu : je souscris totalement et sans réserve à ce propos et j’avoue qu’Il a éclairé ma lanterne par le biais de certaines de vos réflexions. Et ma dette envers toutes sortes de gens, notamment des écrivains, d’horizons spirituels ou philosophiques fort divers, est trop grande. Je bénis et remercie inlassablement le Ciel pour les avoir placés sur ma route. Cela a élargi ma vision du monde, cela m’a fait grandir en humanité. Du moins je l’espère. Tout cela pour vous dire qu’il se pourrait qu’en cet instant même, Dieu soit en train de vous transmettre un message à travers moi… J’en viens à ce qui m’a amené et décidé à écrire cette lettre, qui demande votre attention, mais surtout une ouverture d’esprit, en vous priant humblement de croire à ma bonne foi. Dans votre article « La seconde rédemption du monde » j’ai lu ce qui suit : « Jésus était Dieu ; d’un seul mot, d’un seul geste, il pouvait confondre ses ennemis. » J’aimerais vous poser une question. Mais avant cela, j’avoue que personnellement j’aurais préféré que le premier miracle qu’on lui attribue ait été de changer le vin en eau, et non l’inverse ! Voici ma question : comment concilier votre allégation – « Jésus est Dieu » – avec cette parole émanant de Jésus : « Je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu » (Jean 20, 17). Dieu qui dit : « mon Dieu » ? Il ne devrait pas être si difficile de reconnaître loyalement, quand on est une personne d’une probité intellectuelle à toute épreuve, et un chérisseur de la vérité comme devrait l’être tout bon disciple du Christ, que sont inconciliables votre déclaration et la sienne… Il y a aussi sa propre profession de foi dans laquelle il accorde le statut de divinité exclusivement au Père : « La vie éternelle, c’est qu’ils Te connaissent, Toi, le seul vrai Dieu, et celui que Tu as envoyé, Jésus-Christ » (Jean 17, 3). Il affirme d’une manière nette et catégorique : « Le Père est le seul vrai Dieu », et cependant je lis et j’entends ici ou là ceci : « Le Christ est le seul vrai Dieu ». Or le verset que je viens de citer est clair comme le jour. Il est tellement limpide ! Jésus s’y adresse à autre que lui-même et atteste que cet autre que lui-même est le seul vrai Dieu. Le seul et unique vrai Dieu, oui, pas seulement un vrai Dieu. Il n’y a là aucune ambiguïté et c’est absolument univoque et infiniment plus clair, que tous les versets bibliques couramment avancés pour justifier votre assertion. Non seulement il ne proclame point être Dieu, mais au contraire il parle du Père qui l’a envoyé au monde, comme étant le seul et unique véritable Dieu. Il professe et enseigne un credo clair comme de l’eau de roche : pas de mystère abscons dans ce credo, nul défi au bon sens ni illogisme, aussi il n’est pas malaisé d’y ajouter foi. L’avoir allègrement renié dans un moment d’égarement déplorable, pour adopter le symbole dit d’Athanase que nul ne comprend, voilà donc la grande apostasie qu’il y a urgence à regarder en face… L’humanité n’a pas fini de payer les conséquences de cette distorsion du sens d’un message simple mais si profond. Au lieu de corriger l’erreur d’aiguillage initiale et ainsi aplanir le chemin conduisant à Dieu, tant de gens ne demandant qu’à croire mais quelque chose de croyable quand même car raisonnable, sont déclarés adversaires de la vraie foi tous ceux qui dénoncent cette tragique apostasie. L’être humain dont l’insigne dignité réside dans sa raison, serait donc tenu pour satisfaire Dieu et assurer son salut éternel, d’accepter sans rechigner un dogme qui révolte la raison. D’autant que ce dogme a – hélas ! – éclipsé le plus important : le message même du Christ. Gardons à l’esprit que rien de durable ne saurait être bâti sur le faux. Celui qui cherche à accomplir la volonté du Seigneur ne peut sciemment s’y complaire… Sachez bien que j’ai une très grande admiration pour votre travail, que vous accomplissez avec tant de persévérance et d’abnégation. Car je constate bien que vous apportez beaucoup à nombre de personnes, les aidant à donner une signification et une direction spirituelle à leur vie. Je me permets de souligner ici une chose : qui ambitionne de faire partie des apôtres des derniers temps, doit impérativement être un partisan inconditionnel de la vérité. Jamais il ne biaise avec la vérité, ni il ne triche avec sa conscience. Et sa liberté d’esprit fait qu’il veille à ce que réflexes mentaux innés ou acquis et autres préjugés n’altèrent la qualité de sa réflexion sur le sujet existentiel le plus important : celui de la religion. Chez lui la quête de la vérité ne connaît point de répit : il maintient allumée sa lampe intérieure, et toujours ouverte la porte de son cœur… Il sait bien évidemment résister à la tyrannie de l’ego, il parvient même à le transformer en ami et conseiller ! Avec un ego sous contrôle, il augmente et optimise ses chances d’éviter de tomber, bêtement et à pieds joints, dans les pièges subtils ou grossiers que lui tend Satan. Et comme il veille à ne jamais laisser son ego se gonfler au point de lui faire perdre la tête, il finit toujours par consentir de plein gré à ce qu’il sait dans son for intérieur être la vérité. C’est qu’il est incapable de persister dans l’erreur par pur orgueil. Car finalement les multiples et variés subterfuges de l’ego ne servent strictement à rien : de tout temps les grands instructeurs de l’humanité ne cessent d’assurer, qu’au bout du compte rien ne saurait prévaloir contre la force de la vérité. C’est une certitude pour qui croit en Dieu… Or aucun prophète biblique et assurément pas le Christ, n’a jamais prêché la croyance salvatrice en Dieu, dans un langage qui s’apparente au jargon Athanasien : « Nous vénérons un Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l’Unité, sans confondre les Personnes ni diviser la substance : autre est en effet la Personne du Père, autre celle du Fils, autre celle du Saint-Esprit ; mais une est la divinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit (…). Ainsi le Père est Dieu, le Fils est Dieu, le Saint-Esprit est Dieu ; et cependant ils ne sont pas trois Dieux, mais un Dieu. (…) Et dans cette Trinité il n’est rien qui soit avant ou après, rien qui soit plus grand ou plus petit, mais les Personnes sont toutes trois également éternelles et semblablement égales. (…) Qui donc veut être sauvé, qu’il croie cela de la Trinité. » Telle serait la seule vraie foi et l’unique voie conduisant au Ciel ! Vous trouvez que cela est marqué du sceau de la simplicité évangélique ? Il n’y a pas un seul passage dans les Saintes Écritures qui présente ainsi le Seigneur : l’inexistence d’au moins un passage scripturaire où notre Créateur Se d�... [message tronqué - 10000 caractères max]