Si un seul rêve
est l’étrave du monde
Et la nuit
son atour éblouï
et sourd
Un instant
qui étonne l’esprit
La chair du reptile
de l’araignée
la vache et le veau
le cochon
et les substituts
Si un seul
Rêve
(Si un seul rêve
est l’étrave du monde
Et la nuit
son atour éblouï
et sourd
Un instant
qui étonne l’esprit
La chair du reptile
de l’araignée
la vache et le veau
le cochon
et les substituts
Si un seul
Rêve)
Yes je me commente à moi, hi hi !
Le preums.
Libères ton esprit (au cas où)..
Dites ce ce que vous en pensez ((au cas où)…
dailymotion.com
C’est pas mal verbre, mais tu pourrais la pousser plus loin je pense : quel est ce seul rêve, d’où vient-il, où va-t-il ? et cetera
Par contre il y a une rubrique poésie sur le forum qui est peut être plus adapté que la rubrique générale du site
Libère ton esprit…
héhéhé
Oui alors « libère ton esprit », les choses ne sont pas si simples que cela même si l’on aimerait qu’elle le soit parfois.
C’est à dire qu’il semble que tu confondes ici esprit et mental :
Un exemple de fausse liberté : éviter de se « prendre la tête » à classer, à ordonner et à ranger…
Mais il ne s’agit pas ici de libération de l’esprit donc, mais d’un manque de disciple et de volonté d’ordre. Bien… Ce n’est pas évident à expliquer tout ça parce que ce n’est pas populaire, pas attirant, mais pourtant il faut bien en passer par là :
Le mental doit être assujetti à l’esprit, et lui laisser justement la « liberté » de faire n’importe quoi n’est pas du tout une bonne tactique pour aller vers le meilleur. La raison en est qu’en lui donnant un peu, il en voudra plus ; et que de toute manière il ne s’en satisfera jamais. C’est ainsi que le mental personnalité réagit.
Ce qui permet d’obtenir la véritable liberté, c’est de pouvoir justement soumettre le mental à ce qu’il a de meilleur, sans se laisser influencer par ses facéties. L’égo est plutôt fainéant, égoïste (par nature), déglingueur ; d’où la difficulté des fortes personnalités égotiques.
Alors comment faire pour libérer son esprit… Et bien donc d’abord en obtenant un mental obéissant, c’est à dire en lui apprenant
> dans la douceur et l’amour <
à obéir à celui qui est en fait le vrai nous : l'esprit.
Une fois que le mental est mis en sourdine, qu'il n'impose pas ses quatre volontés aux quatre vents, derrière, commence à apparaître la paix, le subtil, l'expansion de conscience.
Il ne faut pas se laisser berner par un mental paresseux, parce que l'on se soumet à lui inutilement.
…
Alors là oui, libérons notre esprit.
Par l'amour, la paix, la sagesse et la domination du mental et des sens.
Attention cela ne veut pas dire de les étouffer, mais de les diriger, de les orienter.
Tu as oublié Tomtom d’indiquer les pages de Aivanhov que tu as plagié dans le post précédent… mais sans doute est ce un simple oubli.. ce que tu peux être tête de linotte parfois …
Non c’est de moi mais c’est vrai qu’à force d’écouter et de lire du Aïvanhov je finis par être influencé…
Et bien tu sais quoi ? Tant mieux…
Paix et tranquillité, maîtrise de l’agitation de l’esprit :
En fait pour rester dans la lexicologie utilisée, il faudrait mieux parler de mental…
Qu’est-ce que le plagiat ? Un youn qui canalise serait-il un plagieur en puissance ?