L’HYPERSCIENCE APPLIQUEE A L’ENERGIE

Il est plus facile de faire de la bonne psychologie lorsqu’on sait ce que c’est que l’esprit. Il est même difficile d’imaginer qu’on puisse en faire sans cela. C’est pourtant généralement le cas puisque seule la Psychologie Holistique (©) tient compte de la découverte en 1985 de l’origine causale et donc de la nature essentielle de la conscience.

De même, il est plus facile de produire de l’énergie lorsqu’on sait ce que c’est. Et l’Hyperscience dit aussi quelle est l’origine et la nature réelle de l’énergie. Chose qu’évidemment on ne peut pas préciser en Physique puisque l’énergie n’est pas un processus physique. C’est purement métaphysique, et les manifestations physiques ne sont que des conséquences apparentes. Les étudier ne permet aucune compréhension.

La Métaphysique est la Science des CAUSES premières, la « Science du Pourquoi », et son but premier est précisément d’expliquer ce que c’est que l’énergie, puisque tout est énergie. L’univers est énergie. La matière est énergie. Quand on a dit cela on n’a fait qu’enfoncer une porte ouverte, par contre expliquer rationnellement pourquoi il y a ce phénomène de mouvement, de changement, d’évolution, qui répond de l’univers comme de nos vies, c’est une tout autre affaire. Et expliquer, cela devrait toujours être expliquer à partir de rien. A partir du néant. Sinon, si on explique à partir de quelque chose, on ne fait que décrire une transformation, et décrire n’est pas expliquer, même si cela peut être vrai.

L’origine de l’énergie a été découverte en même temps que l’origine de l’esprit, car l’énergie c’est tout simplement l’esprit « vu de l’extérieur ». Le centre s’oppose à l’infini. Et pour le centre, cet « infini » se dit « énergie ». Et lui seul, le « centre », où qu’il soit (partout), se considère comme esprit. C’est ce qui nous caractérise tous, chacun se situant au centre de son univers, unique conscience entourée de ce qu’on appelle « matière ». Les autres ne sont jamais esprit. L’esprit, c’est SOI.

La connaissance ne consiste pas à savoir des choses. Elle consiste à se connaître soi-même. L’ignorance ne consiste pas à ignorer des choses. Elle consiste en ne pas savoir ce que l’on est. Il n’y a que soi qui mérite d’être étudié, soi qui soit source de connaissance, soi qui soit source de paix et de bonheur. De la paix et du bonheur, on n’arrête pas de s’en souhaiter dans nos vœux de début d’année, autant dire « je vous souhaite de comprendre ce que vous êtes ». C’est la seule méthode efficace.

Remarquez bien que je ne dis pas « qui » vous êtes, mais « ce que » vous êtes. Car il n’y a pas de sujet. Nous ne sommes pas quelque chose ou quelqu’un. Nous sommes un processus éternel, tous le même et unique. Et ce SOI, on l’a déjà expliqué, c’est la manifestation d’un BUT inexorable et inaccessible, autrement dit une ENERGIE. Et par suite, chaque fois qu’on trouve de l’énergie quelque part dans l’univers, c’est en fait l’Etre qui exprime une plus grande liberté, et non pas de l’énergie qu’on arriverait à « extraire » de la matière. Quant on brûle du pétrole, on ne crée aucune énergie. L’énergie est toujours présente, elle est enfermée dans un contexte matériel que le feu élimine, ce qui « libère l’énergie ». Idem pour l’atome etc. L’Etre est chacune de ces particules atomiques qui provisoirement se croient figées dans une forme, mais la forme est de toute façon provisoire. Tôt ou tard l’énergie s’en libère pour se figer dans une autre forme. L’énergie s’incarne et se réincarne toujours, elle ne peut faire autrement sinon, si elle ne s’incarnait pas, cela voudrait dire que le BUT (inaccessible) serait atteint : l’amour (nécessité d’unité) serait sans limites. On sait que c’est impossible. On voit donc bien que c’est un processus purement métaphysique. Il n’y a rien de physique dans l’énergie.

Il en découle l’ « AIMANT » cette étrange créature qui attire autant qu’elle repousse, qui a deux pôles qui n’ont en fait aucune différence entre eux (car il n’y a pas un pôle attractif et un pôle répulsif, le même pôle attire et repousse tout autant, c’est juste un choix de l’instant dans la relation avec un autre aimant qui va définir qui s’attire et qui se repousse). L’aimant est le modèle premier de l’Etre, et on expliquera petit à petit dans nos chroniques comment cet être devient « matière » sous forme atomique et planétaire, inexorablement (cette création de l’atome, elle aussi est totalement inexplicable physiquement car le monde n’est pas physique, ce n’est que le résultat apparent de toute cette vie métaphysique – et ceci n’est pas une hypothèse mais une conclusion).

Et cette brique de base de l’existence qu’est l’aimant constitue toute chose. Toutes les particules de l’univers ne sont que des aimants complets munis de leur double polarité. En aucun cas il n’y a de particules « positives » et de particules « négatives », de protons ou d’électrons. Cette invention de Maxwell au XIXe siècle n’a jamais été remise en cause car elle est très pratique « matérialistement » parlant.

Cette « particule » unique, mais toutes différentes car aucune n’a la même taille ou la même « densité » qu’une autre, n’est que le moyen de concilier le « paradoxe de l’Etre » dont on parlait précédemment. Il n’y a d’ailleurs pas d’autre moyen de délimiter un être dualiste (conscience qui sépare, amour qui réunit) qui a vocation à être infini mais ne le peut pas, que sous forme atomique.

Donc nous tous, et cet ordinateur sur lequel je tape, et la planète, et ces papillons qui folâtrent deux par deux quand ils sont plus romantiques qu’affamés, tout cela ce ne sont que des aimants, des aimants complets, constitués d’autres aimants complets, constitués d’autres aimants complets etc., de façon « fractale ».

Je suis constitué d’aimants et je suis donc un aimant car des aimants associés en forment toujours un autre, plus gros. J’ai un pôle « Nord » et un pôle « Sud », une tendance innée et ontologique à attirer et à repousser (j’aime d’un côté, j’ai « conscience » de l’autre, ce qui s’appelle aussi Yang et Yin, avec deux polarités physiquement situées (un dos une face, un haut un bas, un dedans un dehors etc.) que je le veuille ou non et que je l’accepte ou non. Il y a moi et il y a tout le reste que je crois ne pas être moi : les autres, l’univers. Je donne et je reçois. Je ne peux faire autrement. Si je donne plus que je ne reçois, je ne suis plus un aimant équilibré, je finis par tomber malade après mainte difficulté psychologique. Si je reçois plus que je ne donne, idem. Le seul modèle vraiment viable c’est l’aimant parfait, image physicalisée de l’Absolu.

Et l’énergie dans tout ça ? Elle est la RELATION elle-même, plus ou moins équilibrée, d’attraction et de répulsion, de recevoir et de donner. Elle n’est pas « contenue » dans l’aimant. Elle « manifeste » les deux aimants en relation qui sont deux apparences. Seule la relation est réalité.

De même, lorsque je suis en relation avec quelqu’un, en fait ni moi ni la personne ne sommes des réalités. Ce qui est une réalité, c’est la relation qui engendre les deux pôles. Le physicien David Bohm, collaborateur d’Einstein, disait un peu la même chose sans comprendre le pourquoi : « la relation est mutuellement constitutive ». Il avait mille fois raison.

Pas facile à intégrer pour tout un chacun.

Car comprendre suppose par conséquent de renoncer à l’ego.

C’est pourquoi ce questionnement métaphysique auquel personne n’échappe est une invitation à la réalisation spirituelle. Tôt ou tard il faut y passer.

Et tôt ou tard, notre civilisation devra s’en remettre au magnétisme des aimants pour toutes ses technologies. Aujourd’hui on les utilise très peu, mais un jour, comme c’est le cas sur toutes la planètes avancées, le magnétisme est l’énergie unique utilisée dans tous les domaines, que ce soit pour la production d’énergie, les transports, les communications ou la médecine. Parce que c’est la plus simple, la plus fondamentale, la plus universelle. Tout le reste ce sont des technologies provisoires.

Sur nos sites, vous pourrez voir la description des appareils de démonstration de Léon Raoul Hatem qui mettent en évidence la création d’énergie dans l’univers, dans l’atome, comment le magnétisme engendre la gravitation, et comment on peut utiliser ces principes fondamentaux pour faire de l’électricité (il y a de nombreuses videos disponibles à ce sujet). On pourrait faire bien d’autres choses aussi, mais jusqu’à présent, notre monde a souffert énormément des approches matérialistes et spéculatives de l’énergie, avec le nucléaire et les énergies fossiles, il y a donc une priorité à changer cet état de fait. Même si ce n’est pas forcément pour tout de suite.

D’ailleurs, il n’y aura probablement plus de progrès écologique et économique tant que la production d’énergie restera centralisée. Que les grandes unités soient nucléaires, thermiques, solaires ou éoliennes, elles sont souvent dangereuses ou dénaturent l’environnement. Le magnétique est seul à être individualisable facilement, sans danger, et permet un rendement bien plus grand que le solaire ou l’éolien. La centralisation ne se justifie que pour une volonté de pouvoir et de domination sur la population.

LE PRINCIPE GENERAL POUR CREER SON ENERGIE SOI-MEME

exposé par Léon Raoul Hatem :

L’univers ne consomme aucune énergie. Il ne s’use pas. Il produit en permanence le mouvement dont il a besoin pour évoluer vers son but. Cela aujourd’hui se démontre aisément, même si l’on enseigne encore l’absurde théorie du « Big Bang ».

Pour comprendre le principe producteur d’électricité, il faut connaître le Principe de la Mécanique Universelle qui produit sa propre Energie Cinétique en permanence pour l’Eternité, tant au niveau des particules atomiques qu’au niveau planétaire, sachant que toute masse quelle qu’elle soit, est un AIMANT possédant sa double polarité magnétique, et non une « masse » de « matière » faites de particules à « charge unique », qui s’attireraient par exemple par « gravitation » newtonienne ou équivalent.

Dans la réalité, toutes les masses sont des aimants complets qui se mettent eux-mêmes en rotations synchronisées des pôles magnétiques lorsque les conditions le permettent. Nous le démontrons avec des appareils qu’on peut voir fonctionner sur demande. Deux aimants en présence l’un de l’autre se mettent en mouvement, créant ainsi de l’énergie cinétique sans aucune consommation. L’idée qu’il faut consommer pour produire un travail est fausse. Les aimants montrent chaque jour le contraire. L’univers montre chaque jour le contraire. Il ne puise pas son énergie dans un « stock » pour faire tourner les étoiles jusqu’à une éventuelle « panne sèche ».

Il y a un autre phénomène très important inconnu des physiciens : lorsque deux pôles se rapprochent mutuellement l’un de l’autre, ils produisent plus que lorsqu’un seul pôle se rapproche d’un pôle fixe. Et lorsqu’ils s’éloignent l’un de l’autre, ils ne se freinent pas, bien qu’ils continuent à s’attirer, contrairement à ce qui se passe si un seul aimant s’éloigne d’un autre qui, lui, serait fixe. C’est la DEGRAVITATION ou DEFREINAGE MAGNETIQUE, découverte qui permet de comprendre l’énergie de l’univers pour la première fois : comment un atome ou un système planétaire se met en route, s’accélère puis se stabilise. C’est une révolution scientifique qui, pour le moment, a été tenue à l’écart par la Communauté scientifique..

LE SYSTÊME PRODUCTEUR D’ELECTRICITE

Il ne s’agit pas ici de « mouvement perpétuel », c’est-à-dire de chercher à ce que les mouvements se mettent en route tout seuls, même si dans l’univers c’est le cas.

PRINCIPE MECANIQUE : un moteur alimenté par une source très limitée (solaire, batterie ou courant du réseau etc.) muni d’un disque magnétique entraîne en synchronisme (à distance et sans frottement) un premier alternateur muni aussi d’un disque magnétique à « polarités contraires » au premier. Cet alternateur produit alors son électricité, continue ou alternative selon le cas. Il ne consomme rien (c’est le moteur primaire qui consomme). Cela n’est possible que grâce à la Dégravitation. Jusque là, donc on ne gagne rien. Mais ce premier alternateur peut être en relation avec autant d’autres alternateurs que l’on veut, dans le mêmes conditions magnétiques. Ainsi, chaque alternateur produit sa quantité d’électricité. Mais seul le moteur primaire consomme, et toujours, à très peu de chose près, de la même façon.

On peut donc multiplier la production par des modules ajoutés à volonté, sans augmenter la consommation. Ce n’est pas une hypothèse, même si les physiciens considèrent que ce n’est pas possible. A certaines époques ils considéraient aussi qu’un plus lourd que l’air ne peut voler.

Le système fonctionne, même si cela dérange évidemment, et chacun peut le voir.

La reproduction industrielle pour que chacun puisse l’utiliser chez soi ou dans les entreprises n’est plus qu’une question de moyens financiers et techniques. Alors une partie importante de l’électricité centralisée deviendrait inutile. On pourrait fermer la moitié au moins, sinon les neuf dixièmes, des centrales nucléaires. Un jour ce sera le cas. Il dépend de chacun que ce jour soit proche ou lointain, et si vous voulez y contribuer, il suffit de nous contacter.

On utilise donc des alternateurs à choisir selon les besoins : petits alternateurs de voiture, gros alternateurs de chantiers ou autres, mais pour une industrialisation il sera nécessaire de produire des alternateurs spéciaux mieux adaptés. Ces alternateurs, générateurs ou autres systèmes, alignés en file indienne ou en cercle, sont munis sur leur axe de sortie de disques en plastique dur, aluminium ou autres (non ferreux), munis d’aimants sur la périphérie, disques qui tournent par synchronisme magnétique à l’aide des disques semblables des autres alternateurs, et cela en nombre indéfini.

Les amiants peuvent avoir toutes formes, et être fixés par tout moyen.

Tous les aimants d’un même disque doivent se présenter de même polarité, face à un disque présentant des polarités opposées, et alternativement. L’écartement d’un aimant à l’autre sur le disque peut atteindre la largeur d’un aimant ou plus.

La puissance d’entraînement magnétique doit être au minimum égale à la puissance produite par l’appareil entraîné.

LE MECANISME :

Lorsque le moteur tourne, entraînant son disque (ou des disques accouplés) à proximité d’un autre disque semblable fixé sur l’axe d’un alternateur, ce dernier se met à tourner en synchronisme avec les aimants du disque-moteur.

Et là, nous avons maintenant deux appareils de la même puissance au lieu d’un seul, qui produisent chacun la même énergie en dépensant à peine plus d’énergie du secteur que le seul moteur.

Si vous utilisez deux alternateurs ou même plus de deux, pourquoi pas DIX alternateurs (ou plus), vous produisez alors presque dix fois plus d’énergie que vous n’en dépensez (et mieux encore grâce à une formule tenue secrète pour le moment). Lorsque le moteur tourne, il entraîne toute la série d’alternateurs à la même vitesse de rotation, chacun produisant sa propre énergie qui s’ajoute à toutes les autres.

Les disques en matériaux amagnétiques garnis d’aimants doivent être fixés solidement sur les axes de rotation des divers éléments utilisés (moteur, alternateurs ou autres). Si possible, pour éviter le glissement des arbres sur les axes, il est préférable d’utiliser des alternateurs qui sont munis de clavettes d’entraînement sur les arbres de sortie.

Les applications sont innombrables. Un jour on utilisera ce système dans des trains ou des automobiles pour les rendre autonomes ou presque en énergie. Copier l’univers qui produit sa propre énergie plutôt que consommer une énergie limitée est la formule d’avenir. Evidemment, aujourd’hui, rien ne sera fait officiellement pour aider à cette mutation. Au contraire. Les « Sept Sœurs » (principales compagnies pétrolières) ont réitéré il y a quelques années leur accord secret pour que rien ne soit fait au profit des énergies alternatives tant qu’il resterait une goutte de pétrole dans le monde. Et avec les schistes, elles sont tranquilles (car elles ont le pouvoir d’en imposer l’exploitation). C’est probablement la même chose au niveau de l’uranium.

Le bénéfice de l’électricité libre magnétique pour la communauté sera très vite extrêmement sensible en termes de coût de l’énergie et en termes de respect de l’environnement. Les aimants ne sont pas des produits consommables (même si leur fabrication n’est ni facile ni anodine), ils ne perdent pas leur énergie même après des centaines d’années d’utilisation. Les disques sont donc toujours réutilisables même si les alternateurs finissent par s’user. Les techniques modernes permettent la fabrication d’aimants de plus en plus facilement et de toutes formes, et avec des puissances modulables. Un jour les Terriens résoudront eux aussi tous ces problèmes.

Certains pensent que comme l’Hyperscience n’est pas physique, elle n’est pas expérimentale. C’est l’inverse. On obtiendra beaucoup plus d’applications, et beaucoup plus judicieuses et justes, en s’appuyant sur des principes abstraits non physiques qu’en cherchant la rentabilité immédiate et le profit à court terme à partir de théories accrochées à des préjugés et apparences trompeurs. On remet en cause les théories d’Einstein comme la vitesse de la lumière etc., cela n’empêche pas que les bombes atomiques fonctionnent. Hélas, certes. Mais on n’a jamais cessé de produire des applications efficaces à partir de théories foncièrement fausses. Cela n’a rien à voir. Mais quand une théorie est juste, alors les applications sont foison, voire potentiellement infinies. A chacun de l’expérimenter.

Frank Hatem