En 2009, après avoir lu entièrement les saintes écritures la bible, je ne savais plus dans quelle religion me diriger pour servir et adorer Dieu, car j’étais témoins de Jéhovah de naissance et faisais le triste constat que certaines de leurs croyances étaient erronées et retreignaient et les principales vérités bibliques. En tant que chrétienne de base, j’étais en profonde hésitation entre l’église catholique, l’église protestante, église évangélique car en effet les fondements réels de leurs croyances n’étaient guères en contradictions avec ceux des saintes écritures mais très rapprochées. Toutefois je savais que la plupart des religions dans le monde portaient quelques méandres tout simplement parce que leurs gouvernances étaient victimes de l’imperfection humaine ce qui limitait de faite mon exigence.
Un soir, j’ai imploré Dieu dans la prière afin qu’il guide mon chemin vers la religion qui le servait selon ses attentes car d’après mes lectures le Dieu d’Abraham d’Isaac et de Jacob ne changeait pas d’âge en âge et intervenait encore de façon vivante sur la terre. J’avais la foi qu’il me répondrait en me réfèrent à divers écrits sacrées et par le témoignage de nombreuses personnes en accomplissement avec le livre biblique des Actes 2 ; 17-21. Et trois jours plus tard comme un prodige il me répondit. Pendant ma nuit de sommeil, je fis le rêve que voici :

‘‘ Mon esprit fut élevé dans le ciel. J’étais en compagnie d’un être très puissant donc je ne ressentais que la présence mais ne voyais point son image. Il me conduisit à un lieu et me montra du ciel une église catholique. Alors que je regardais l’église, je vis succinctement l’intérieur de l’église.
Dans ce lieu spirituel, il y avait des hommes et des femmes d’un nombre peu conséquent, qui s’attelaient sans grand engouements à disposer différemment les bancs et à faire toutes sortes de rangements pour la préparation d’un évènement.
Ensuite, mon esprit fut enlevé de ce lieu et je vis à présent, à une soixantaine de mètres de cette église au centre d’un bois verdoyant, une stèle sur laquelle était élevée une image, et à son pied une assemblée de personnes qui y rendaient un culte. Ce culte était fait d’encens donc la fumée blanche montait jusqu’au le ciel entre les arbres et se rependait tel un brouillard matinal.
Puis je vis l’assemblée qui vouait un culte à l’image de la stèle se sectionner en deux groupes. Tandis qu’un groupe continua la besogne des rites se définissant comme des païens, le second groupe prit le chemin de l’église catholique que j’avais vu au préalable et ceux-ci étaient des chrétiens.
Ma vison fut tourner à suivre les chrétiens. Alors qu’ils étaient à mis chemin, je vis au devant d’eux un homme grand tenir une cuve en verre transparente d’une hauteur d’environ un mètre et de grande contenance. Ensuite, je vis toute la fumée du culte de la stèle qui montait dans le ciel telle une nuée matinale, entrée dans tourbillon effroyable à l’intérieur de la cuve de verre que tenait l’homme et devint liquide. L’aspect de ce liquide était glutineux, sa couleur lugubre et sa goûte un poison mortel.

L’homme continua son chemin en basculant péniblement le lourd récipient, afin de le mener à l’intérieur de l’église et derrière lui ceux de son groupe qui le suivaient avec diligence. Arrivés près de l’église les portes furent grandement ouvertes par ceux qui préparaient l’enceinte et cette fois-ci, ils étaient allègres et enjoués, attendant vivement l’évènement, alignés de part et d’autre à l’aile gauche et l’aile droite des portes centrales.
De l’autre coté en face de l’église j’aperçu des hommes qui observaient la scène d’un air soucieux et inquiet comme s’ils étaient en désaccords avec cette orchestration manifeste. Certains de ceux-ci, regardaient les bras croisés, d’autres bouleversés, d’autres encore en émois, mais ils ne cessaient de s’interroger les uns les autres sur l’objet et la capacité de cet homme à faire entrer la cuve de verre contenant du poison dans l’église.
Soudain le ciel s’assombrit, je vis l’obscurité s’étendre dans tout l’horizon céleste. J’entendis mot pour mot une voix forte me dire:
« Voilà ce que Je n’aime pas chez les catholiques. »
Et cette voix, était celle du Dieu tout puissant. Je me suis réveillée en sursaut’’

Par ce témoignage, mon désir est d’affermir la foi de ceux qui douteraient encore de l’existence de Dieu et de sa présence au milieu de ses serviteurs. Ce rêve était en guise de réponse à ma prière et confirmait ainsi la loi de Moïse, issue des dix commandements du livre biblique d’Exode 20;4 qui demande de ne point se prosterner devant une quelconque image taillée. Et d’un point de vue objectif ceci est pour notre propre libération, une délivrance face aux contraintes que s’impose l’Homme lui-même.

Ce rêve m’a fait également comprendre qu’en dehors de l’idolâtrie, les autres enseignements des catholiques trouvaient faveurs aux yeux de Dieu car j’avais encore divers aprioris concernant l’église catholique hérités des croyances du canal familial. Dans le monde, il existe des milliers d’hommes, de femmes d’enfants de croyance catholique, qui œuvrent avec amours et sincérités en maintenant leur foi dans ces pratiques. Ceux-ci ne seront point condamnés pour ignorance d’après ce qui m’a été révélé par l’Archange Gabriel dans ce sens, seuls les bergers rendront des comptes, car ils portent la responsabilité de leurs enseignements.

Les bergers ce sont tous ceux qui enseignent l’ordre divin dans le monde. Ce sont les chefs religieux ou encore tous les dirigeants des groupements religieux qui conduisent les brebis ou serviteurs de Dieu sur le chemin de la piété divine ; c’est-à-dire les prêtres, les évêques, les Imans, les pasteurs, les anciens etc. En outre, contrairement à beaucoup ces bergers ce sont ceux qui ont fait vœux de leurs vies et ont choisis délibérément la tâche honorable d’acheminer l’évangile d’amour de Jésus Christ et de rester permanemment aux services de Dieu et de ses serviteurs et cette marque de dévotion est louable. Certes les faiblesses humaines ont conduis beaucoup à manquer à leur but originel et à commettre des erreurs dans l’histoire des religions et des croyances.
Mais qui est celui qui ne fait pas d’erreurs ? L’erreur fait partit du commun des mortels et nous portons tous des traces d’imperfections à différents degrés d’appréciations.

Nous sommes tous enfants de Dieu et l’heure est venue de cessez de nous condamner les uns les autres. Accordons nous mutuellement le pardon et cherchons à faire preuve nous même d’exemplarité en tout temps.

F.a Canalisation