Que ne voyez-vous pas ces marchands impassibles Organiser le flot, méthodique et sensible, Des vagues de bestiaux qu’ils mènent à l’abattoir Hurlant parce qu’ils sentent la fin de leur histoire…

C’est d’un point de vue humaniste que je veux vous parler des animaux, n’ayant pas l’intention d’aborder ce problème d’un point de vue détaillé et zoologique, dans la mesure où votre science est suffisamment avancée en ce domaine, grâce notamment à une activité que nous réprouvons partiellement (parce que nous comprenons vos motivations lorsqu’elles sont issues d’une pensée altruiste), j’ai nommé la vivisection.

Oui, nous comprenons à la rigueur que vous fassiez, à titre exceptionnel, des expériences traumatisantes, voire mortelles et cruelles sur les animaux, qui sont vos cousins inférieurs, parce qu’il vous faut absolument connaître telle ou telle réaction avant de le prescrire à des organismes humains; mais ce massacre permanent et à grande échelle, gigantesque échelle si on y rajoute tous les mammifères, volatiles et poissons qui passent dans votre casserole… Ce n’est plus raisonnable !

Ce n’est pas parce que des animaux tuent pour vivre et par voie de conséquence en forcent d’autres à se défendre pour survivre, que l’homme doit adopter ces comportements bestiaux en se prenant pour LE super prédateur, même si son cerveau truffé de neurones, du fait de son habilité à parler grâce à un système de pharynx et de larynx unique au monde, lui donne un avantage stratégique énorme sur les autres espèces de la planète. En vérité, nous sommes scandalisés par le peu de cas que vous faites de la VIE que nous sommes chargés de protéger, ne l’oubliez pas.

Bien que vous soyez les plus importants acteurs de cette pièce universelle, vous n’êtes pas les seuls à disposer d’anges gardiens et il ne faut pas qu’il y ait conflit d’intérêt entre les anges gardiens chargés de protéger telle ou telle espèce et ceux qui veillent sur vous-autres.

Vous devez tous apprendre à vivre respectueusement ensemble, trouver et maintenir l’équilibre parfait entre tous les paramètres conçus par vos créateurs, la relation dominant-soumis demeurant le dernier système tolérable, puisque la mort violente et la destruction doivent être autant que faire se peut écartées. Est-ce donc si difficile à comprendre ? Qui vous a dit que vous aviez le droit de vie ou de mort sur tout ce qui bouge ? La Bible ? Le Coran ?

En vérité, votre seul droit est celui d’aider et de soutenir les plus faibles, quels qu’ils soient et d’où qu’ils viennent, animaux compris. De temps en temps, une baleine ou un dauphin en mauvaise posture bénéficient de ce genre de comportement, mais les millions de bêtes tuées pour un animal sauvé contribuent à perpétuer le problème global.

Dans ce domaine bien particulier du respect de la vie, les préceptes bouddhistes sont ceux qui se rapprochent le plus de la vérité par rapport en tout cas à la position universelle que je suis chargé de vous préciser. Le reste n’est qu’une question de logique. La logique bouddhiste, comme celle des végétariens et à l’instar des enseignements de Jésus, dit que nul être humain n’a le droit de vie ou de mort sur quelqu’un d’autre. Ses seuls droits sont ceux de se servir de la vie et servir le Plan divin en remerciement de ce beau cadeau qu’est la vie (même si certains ne s’en aperçoivent pas au début), puis protéger les êtres vivants inférieurs et inoffensifs, développer et améliorer éventuellement ce qui boite et enfin le droit de défendre sa vie s’il est attaqué. Les chasseurs d’animaux sont donc en porte-à-faux avec cette réalité et leurs explications vaseuses, consistant à essayer de prouver à qui veut les entendre que c’est pour leur bien qu’ils tuent toutes ces braves bêtes, nous est particulièrement odieux.

Il y a, en effet, plusieurs méthodes permettant de limiter la naissance des espèces au lieu de s’amuser à massacrer cruellement et violemment les soi-disant surplus. La vérité, c’est qu’ils aiment traquer et tuer à cause de l’atavisme, car il fut un temps où la chasse servait vraiment à se nourrir, et les chromosomes-mémoires de leurs aïeux font le reste.

Mais cette explication serait déjà trop difficile à comprendre pour la plupart d’entre eux. Laissons les avec leurs illusions d’être utiles, puisque c’est une question génétique, donc incurable à l’heure actuelle. Il n’en est pas moins choquant pour ma sensibilité d’ange de voir qu’en 1999, cent quarante mille personnes (moins les passagers des dix-sept autocars qui se sont tamponnés en y allant), n’ont pas hésité à monter à Paris faire une manifestation pour protester contre une directive européenne raccourcissant simplement d’un mois le permis de tuer des petits oiseaux migrateurs qui leur est chaque année octroyé. Ces mêmes personnes, si promptement mobilisables pour défendre la mort, sont-elles aussi mobilisables pour défendre la vie, par exemple lorsque l’atoll de Mururoa était régulièrement transformé en chaudron du diable ?

Et cette loi française appelée du nom d’un député chasseur nommé « Verdheil”, qui vient juste d’être abrogée, autorisant des chasseurs à venir chasser sur les terres d’autrui, même si le propriétaire desdites terres n’est pas d’accord, n’était-elle pas une véritable tache sur la propriété privée ? On n’a pas en France la liberté de laisser vivre tranquille des animaux sur ses propres terres ! Le pouvoir de ce lobby des chasseurs est d’ailleurs absolument incroyable : il va jusqu’à s’autoexempter d’être soumis, comme les automobilistes ou même les passants, à une limitation de consommation de breuvage alcoolisé pendant l’exercice funeste de leur passe-temps favori ! Et pourtant, il y a aussi des morts accidentelles chaque week-end chez les chasseurs. Pas plus de problème pour un ivrogne invétéré voulant aller chasser avec son fusil, donc. Sans parler de l’utilisation de fusils à lunette dignes des “snipers” Serbes qui opéraient à Sarajevo, où le gibier n’apas plus de chances de survivre que les pauvres passants yougoslaves n’en avaient lorsqu’ils passaient dans la ligne de mire de ces assassins nationalistes avides de sang bosniaquemusulman et munis d’instruments à la précision “diabolique”. Par contre, si la survie humaine dépend de la chasse sans qu’il n’existe aucune autre alternative, il est alors normal et même logique, l’instinct de survie obligeant, que le chasseur prélève ce dont lui et sa famille auront besoin, mais là est la limite karmique du chasseur, des Tibétains aux Peaux-Rouges, tout le monde l’a compris sauf les « Blancs » !

Nulle part dans vos textes laïcs ou religieux il n’est écrit que l’Homme est autorisé à gaspiller, massacrer, torturer, piller, violer et découper impunément toutes ces pauvres bêtes, souvent pour des expériences futiles, voire totalement inutiles.

L’Homme peut prendre ce dont il a besoin, mais à cette échelle industrielle, ses besoins sont archisatisfaits.

Par exemple dans les pays du Nord, des tonnes de nourritures animale ou végétale pourrissent ou sont détruites, leurs patrimoine génétique ayant été tellement modifié artificiellement pour encore plus de profits qu’ils deviennent de plus en plus dangereux à manger, comme le montrent amplement les épidémies successives partant à chaque fois de Grande Bretagne et se répandant dans toute l’Europe, épidémies touchant toutes sortes d’espèces et provoquant de véritables massacres de bêtes infectées ou soupçonnées de l’être, ruinant bon nombre d’exploitations.

Et l’on trouve dans les pays du Sud plusieurs milliards de gens qui n’ont pas leur ration vitale de calories quotidienne ! Vos ordinateurs seraient mieux que vous à même d’aider à organiser la répartition des aliments pour tous en fonction du nombre d’habitants par pays. Si les créateurs ont commencé par le règne animal, (et quel monde, si foisonnant et multiple), c’est qu’ils sont obligés d’agir ainsi. Il vous faut savoir que l’atome de base servant à bâtir les univers est lui-même composé de douze éléments intelligents et créatifs, Dieu étant présent en toutes choses et étant le principe même de la créativité.

Grâce à cette intelligence créatrice présente dans le microcosme, les atomes tentent toutes les combinaisons possibles et retiennent toutes celles qui s’avèrent viables, quelle que soit l’organisation électrochimique de la planète, tout en poussant toujours plus loin la lignée la plus viable de chaque unité organique lentement élaborée et mille fois rectifiée et qui aboutit un jour à l’homo sapiens sapiens, l’espèce humaine de ces derniers millénaires.

C’est ce qui explique pourquoi la plupart des humains évoquent tous un type d’animal différent; les uns sont simiesques, musclés, trapus et poilus, les autres évoquent des échassiers imberbes aux longues jambes et au long cou, d’autres encore de petits mammifères de type renards ou porcs, sans oublier ceux qui ressemblent à des poissons; bref, une infinité de variations de visages et de silhouettes humaines, contrairement aux espèces animales dont les variations apparentes entre mêmes espèces sont plus limitées. Tous les animaux et non les singes seuls, sont bel et bien présents physiquement dans votre hérédité humaine. Il y a en outre deux principales branches, avec d’un côté les ouistitis et autres petits singes à longues queues et les hominidés sans queue (arrière) comme les chimpanzés, les gorilles et les orangs-outangs. Le cousinage est officiel, encore plus profond que Darwin l’avait entrevu, puisqu’il ne se limite pas aux singes mais s’étend à l’ensemble de la chaîne évolutionnaire. Tous les animaux utilisent des pensées représentant des images pour communiquer. C’est ainsi que vous pouvez communiquer avec eux et recevoir des pensées imagées prouvant que la plupart d’entre eux savent exactement ce qui se passe autour d’eux et savent estimer la différence entre un humain gentil et un méchant.

À propos de ce cousinage, quelques explorateurs traversant le Kenya et la Tanzanie découvrirent, peu après ma venue sur Terre et presqu’au même moment qu’un vieux squelette humanoïde vieux de plusieurs millions d’années qu’on appela « Lucie », une espèce de singes non encore répertoriée, d’apparence nettement située entre le chimpanzé et l’australopithèque; ces singes ont la colonne vertébrale plus droite grâce à une position du bassin plus évoluée et n’utilisent que leurs deux jambes pour marcher, libérant leurs mains et leurs doigts dont le pouce est devenu presque humain, mains qui de ce fait sont plus agiles que celles de leurs cousins; leur cerveau est en outre plus développé vers le haut et sa capacité supérieure à celle d’un chimpanzé, qui pourtant est à 99% porteur du même génome que le génome humain, toujours du fait de cette station debout humanoïde.

Ils s’avèrent de plus amicaux, serviables, aussi communicateurs que les dauphins et au moins aussi intelligents, car plusieurs de ces singes firent l’objet d’expériences éducatives poussées qui mirent à jour une intelligence quasi humaine, puisque supérieure à celle d’un enfant de cinq ans.

Ces « singes » apprirent plus de mille mots, comprennent plus de 650 phrases composées, savent jouer aux jeux vidéo et en comprennent les règles, peuvent exécuter des ordres donnés par téléphone et tous les zoologistes qui travaillent avec Kanzi, (nom de la bête qui fut testée la première et qui signifie « trésor caché » en swahili) et ses semblables sont d’accord pour dire qu’il ne leur manque vraiment que la parole.

Autre particularité absolument unique dans le monde animal : ils font l’amour… Autrement dit, ils pratiquent entre eux le sexe pour le plaisir, pour l’apaisement des tensions entre les membres de cette véritable communauté, et non seulement pour leur reproduction, comme tous les autres animaux.

Malheureusement, leur cavité buccale et la forme de leur langue ne leur permettent pas de s’exprimer autrement que par des cris modulés, un peu comme les dauphins. L’être humain, membre de l’espèce arrivée au sommet de cette évolution mammiférienne, est le seul à posséder l’outil intérieur permettant la parole, donc les mots, donc des pensées de plus en plus sophistiquées. Comprenez enfin que la conscience scientifiquement établie de tous ces animaux illustre bien que la frontière de cette conscience n’a pas à être calculée d’après la faculté de dire des mots mais de les comprendre. Le langage des signes est à ce point de vue un parfait révélateur et a permis de s’apercevoir que les sourds ne sont pas plus stupides que les autres, au contraire…

N’importe quel chimpanzé ou gorille élevé comme un enfant humain sourd est parfaitement capable d’en apprendre une bonne part et s’en servir à bon escient. Mieux, le chimpanzé est le seul animal capable de comprendre qu’il se regarde dans le miroir et éventuellement de l’utiliser comme un humain. C’est aussi une espèce connue pour son extrême violence envers un clan différent de leurs propres congénères, allant parfois jusqu’à l’éradication de tous les mâles d’un clan et le kidnappingde toutes les femelles. Ce comportement ressemble à s’y méprendre aux comportements humains scandaleux pratiqués depuis toujours et encore de vos jours en Europe. Il est un fait certain : beaucoup de bêtes mises à mort pour telles ou telles « bonnes » raisons souffrent et ressentent la peur de la mort presqu’autant que vous. Certains ne savent pas crier comme vous leur effroi, mais cela prouve-t-il qu’ils ne souffrent pas atrocement ?

Alors, de grâce, s’il n’est pas possible de vous convaincre de ne pas tuer autant d’animaux, au moins ménagez-les un peu. Chaque animal possède spécifiquement un trait de caractère pédagogique pour l’Homme, l’ensemble de tous les caractères animaux pouvant se retrouver dans chaque homme, comme Esope et La Fontaine, pour ne citer que les plus célèbres, l’ont mis en épigraphe. Donc, en l’Homme réside la somme de tous les défauts et qualités réunies du caractère animal. Une des grandes différences entre les bêtes et vous, c’est que vous avez la liberté de choisir et de sélectionner entre toutes ces gammes de défauts et qualités pour singulariser votre personnalité, alors qu’eux n’ont aucun choix.

Bien que l’Homme soit issu des animaux, un élément déterminant vous sépare d’eux : les créateurs ont implanté dans le patrimoine génétique de chacun des différents animaux des traits de caractères innés, à la différence de vous, quasiment vierges de tout autre programme que le legs génétique de vos parents. Un bébé humain va naître avec seulement deux programmes automatiques : le réflexe de serrer avec son poing, en souvenir du temps où l’Homme vivait accroché aux branches, et le réflexe de sucer, qu’il acquiert pendant son confinement dans l’utérus maternel…

La plupart des animaux acquerront une certaine autonomie très tôt alors que les parents d’enfants se verront avoir une tâche protectrice vitale beaucoup plus importante en ce qui concerne le laps de temps. Par contre, l’animal atteindra très tôt une stagnation de son développement, alors que l’Homme va évoluer jusqu’à la mort et au-delà, sans jamais s’arrêter tant qu’il continue de désirer vivre et faire la volonté du Créateur infiniment sage qui décida de lui donner la vie. Si je vous parle du rôle irremplaçable de l’animal, c’est qu’il semble que vous ne l’ayez pas encore bien réalisé dans l’ensemble !

Le chien, par exemple, le plus inconditionnellement fidèle de vos compagnons à quatre pattes, n’a pas fini de vous étonner quant à ses facultés extra sensorielles. Je ne parle évidemment pas ici de la catégorie pitbull et autres chiens d’attaque au lignage artificiellement créé par des croisements révélant, de la part de leurs auteurs, de sombres arrière-pensées. L’énorme majorité des chiens de race naturelle sont détenteur du programme d’amour inconditionnel pour l’espèce humaine, bébés compris. Ce sont véritablement vos meilleurs alliés, et ce n’est nullement le fruit du hasard mais bien la volonté créatrice de vos concepteurs célestes. Sans leur active collaboration auprès de votre espèce, cette dernière n’aurait probablement pas pu survivre dans le monde ultra dangereux des temps reculés où vos ancêtres vivaient dans des arbres ou des grottes, menacés par une infinité de dangers divers.

Maintenant que leur utilité à défendre un territoire donné n’est plus aussi importante que dans ces temps d’insécurité, telle que même Le Pen n’aurait eu aucune solution pour la combattre, leur utilité peut néanmoins trouver de nouveaux aspects : leur instinct est, un exemple parmi cent autres, capable de détecter jusqu’à une heure avant son arrivée, une crise d’épilepsie chez leur maître ou maîtresse et veiller sur eux jusqu’à la fin de la crise. D’autres maladies humaines très graves peuvent également être détectées par les chiens alors qu’elles n’en seraient qu’à leurs prémisses, donc à une phase plus facilement curable, mais à l’heure actuelle, la médecine scientifique n’a pas encore réalisé que ces bêtes leur seraient infiniment plus utiles bien vivantes et intactes pour travailler comme auxiliaires médicaux avec des malades, plutôt que les utiliser presqu’exclusivement comme des cobayes dépourvus de sensibilité.

Même si cette dernière ne peut pas toujours se manifester assez clairement pour qu’elle puisse être acceptée comme telle selon les références humaines, je vous garantis qu’elle est bien présente; il arrive même fréquemment qu’un chien manifeste plus de sensibilité et d’intelligence qu’un être humain. Ils sont également capables, après un dressage circonstancié, d’être de très utiles assistants pour des handicapés lourds de toutes sortes, allant du paraplégique à l’aveugle. Leur extraordinaire flair leur permet d’être d’impeccables gardiens et de vaillants alliés en cas de danger.

Leur amour de la compagnie des hommes, même pour de parfaits imbéciles qui profitent de cet amour pour assouvir sur eux leurs mauvais instincts ou leurs complexes d’infériorité, rend aussi plus astreignante la tâche d’être propriétaire d’un chien par rapport à un chat et, a fortiori, un poisson rouge.

Ce n’est pas la peine de vouloir posséder un chien si ce n’est pour l’aimer et être éventuellement capable de quelques sacrifices pour s’occuper convenablement de ses besoins. Ce que vous recevez en échange est, en général, très appréciable et vaut bien ces petites concessions. Le chat est intrinsèquement moins utile qu’un chien, sauf en cas d’invasion de petits rongeurs, toujours dangereux dans des habitations modernes à cause des gaines de fils électriques dont ils semblent se délecter. Par contre, il est en général plus intelligent, moins demandeur de soins et d’attention, et sa présence aussi bien que son apparence sont particulièrement anti-stressantes pour leurs propriétaires. Ceux d’entre vous qui aimez, respectez et soignez les animaux développent de manière satisfaisante leurs qualités humaines; les autres devraient plus penser au fait que certaines espèces comme les fourmis ont presque cent millions d’années d’expérience terrestre, alors qu’il n’y a que trois millions d’années que l’Homme a surgi des limbes. Elles ont donc une science de l’adaptation bien supérieure à la vôtre. Elles sont généreuses entre elles et solidaires, jusque dans le sacrifice de leur vie pour la communauté; chaque fourmi ayant une idée la communique immédiatement à toutes les autres au cas où cela en intéresserait certaines, et il n’y a pas de « chefs » à proprement parler…

En faisant le réseau Internet, vous avez inventé un système déjà mis en place par les fourmis avant même que vous n’émergiez en tant qu’espèce distincte. Sans devenir vous-mêmes des fourmis (votre ego vous l’empêcherait de toute façon), vous pourriez copier d’elles un certain nombre de valeurs utiles pour votre futur qui s’annonce surpeuplé, donc délicat à gérer au niveau de l’ego de chacun. Vous pourriez plus vous inspirer, en règle générale, de beaucoup d’espèces dotées de qualités utiles à acquérir, mais je ne peux vous en dire plus; à vous de faire attention à ce qui vous entoure. Les moeurs de tous vos animaux ont été étudiées par des savants qui ont tous fait des publications de leurs recherches et trouvailles. Vous bénéficiez d’un formidable nombre d’informations sur ce sujet. Encore faut-il que vous partiez en quête de la vérité. Quand cela aura été fait, comme cela a déjà commencé sur le continent Nord américain et depuis longtemps pratiqué sur les continents indiens et asiatiques, je gage et j’espère que le nombre de végétariens augmentera sensiblement.

Et si vous n’êtes toujours pas convaincu(e), je vous conseille de regarder le film ”Docteur Doolittle”, de Richard Fleischer qui, lui, semble avoir compris le point de vue ici énoncé depuis un certain nombre d’années et qui est peut-être responsable de quelques conversions alimentaires effectuées depuis sa sortie en 1967.

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Source : terrenouvelle.ca

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