L’espace selon les cosmologues d’Ummo

En premier lieu nos frères spécialisés en Cosmologie savent depuis longtemps que l’espace n’est pas simplement un espace continu de quatre dimensions (les trois dimensions plus le temps). L’espace réel est un complexe pluridimensionnel, dont nous ne connaissons que dix dimensions.

Bien que vous puissiez imaginer que nos sens ont seulement accès à trois de ces dimensions (espace psychologique) et au temps, ceci obéit à une simple évaluation faussée du concept psychologique de perception.

Le monde extérieur que nous connaissons est une illusion élaborée par notre cerveau. Quand une fréquence électromagnétique nous apparaît comme une belle odeur, si sa valeur baisse (exprimé en cycles/secondes), elle est alors captée par nos organes nerveux en reproduisant une sensation totalement différente : « la chaleur ».

Les différentes dimensions de la nature apparaissent camouflées avec des perceptions différentes. Ce que nous appelons « masse » est en réalité la perception illusoire d’un autre groupe de dimensions.

Les particules élémentaires dans la physique d’Ummo

En étudiant la véritable nature des corpuscules ou entités que vous appelez protons, mésons neutrons, électrons, nos scientifiques ont découvert qu’en réalité il s’agissait de petites déformations de l’espace appelé à tort tridimensionnel dans l’axe d’autres dimensions. Imaginez un drap étendu : ceci serait la comparaison de l’Éspace tridimensionnel que nous appellerions « vide ». Si maintenant nous faisons un petit creux ou déformation dans le drap, ce creux pourra représenter la masse du proton ou parfois du muon en fonction de l’axe dans lequel s’est exercé la déformation, comme la grandeur ou profondeur du creux.

Ainsi, si vous vous situez en regardant le drap par une face, vous verrez une concavité (proton) mais si vous le regardez à l’envers, vous l’interpréterez comme une convexité ou protubérance (anti-proton).

De plus si vous situez vos axes à partir de différentes perspectives, cette déformation peut vous paraître plus ou moins oblique, c’est-à-dire exercée en différents axes ou dimensions, vous semblant être telle fois un « neutron » et telle autre fois ce que vous appelez Particules élémentaires.

En un mot l’interprétation d’une telle particule dépendra du système de référence dans lequel se situe l’observateur.

Ceci est la raison pour laquelle les physiciens de la Terre sont si perplexes en découvrant des centaines de corpuscules atomiques dont la série ne semble pas avoir de fin. En réalité vous êtes en train de poursuivre des fantasmes. Quelque chose comme si vous essayiez de chasser les multiples reflets projetés sur les murs par un simple cristal de polyèdre frappé par la lumière du soleil.

Ceci n’est pas une critique de la recherche terrestre dans le domaine de la Physique Quantique et Nucléaire quand vous analysez les différentes caractéristiques de ces corpuscules, mais tout simplement du fait que vous les considérez comme des entités différentes.

Changement de dimension ou changement d’axe tridimensionnel

C’est bien la permutation d’un corpuscule en un autre, chose que vous avez déjà observée selon nos nouvelles, mais que vous ne savez pas encore contrôler. Ce n’est ni plus ni moins qu’un « changement d’axe » c’est-à-dire un changement de dimension.

Quand la masse d’un proton disparaît devant vous pour se convertir en Energie, ce qui est arrivé en réalité c’est que son axe a subi un tour de 90 degrés axialement à une dimension classique de l’Espace. Mais ceci est valable pour vous et votre système de référence car pour un autre observateur situé dans la perspective de la quatrième, cinquième ou sixième dimension, ce qu’il observera est précisément le phénomène contraire, que l’Energie se concentre pour former une particule qu’il appellera aussi « Proton ».

En réalité vous êtes en train de vivre dans vos laboratoires de Physique ce qui a tant été rêvé aussi bien par les physiciens terrestres que par les auteurs de science-fiction : c’est-à-dire le « passage à la quatrième dimension ». Un peu comme cette phrase que vous utilisez si judicieusement : parler en prose sans le savoir.

Au moment où vous réussirez à contrôler, comme nous l’avons fait, l’inversion homogène de toutes les particules élémentaires du corps humain ou d’un objet quelconque, ceci devra être interprété comme le passage d’un système référentiel de l’espace tridimensionnel à un autre également tridimensionnel mais distinct du premier.

En réalité c’est moins fantastique que ce que vous pouvez imaginer et à partir de là, différent de tout ce qui a été rêvé par les écrivains futuristes de la Planète Terre.

Conditions Isodynamiques de l’espace

(Isodynamique : d’une puissance ou d’une valeur égale. Dont la force est équilibrée par une force égale.)

Il faut vous expliquer un troisième concept pour que vous puissiez comprendre le principe de nos voyages à travers la Galaxie.

L’espace séparant les différentes accumulations galactiques de l’espace ne doit pas être interprété avec la comparaison simpliste d’un drap étendu et plat, mais plutôt avec ce même drap ondulant au vent, ondulations qui, si nous sommes logiques avec cette image didactique, se produisent dans une « Quatrième, cinquième, etc. dimension ».

L’origine de telles ondulations est extra-cosmologique, produite par un univers jumeau, mais ceci est le moins important dans cette explication. Ce qui est sûr, c’est qu’elles se produisent et qu’elles facilitent les voyages Extra Planétaires, même si cela peut vous paraître étonnant.

Imaginez deux taches d’encre situées sur le drap à 10 cm de distance : ceci serait la trajectoire que devrait suivre un astronef, ou la lumière, qui partirait de la première tâche jusqu’à la seconde.

Si maintenant je plie le drap suivant un axe coupant perpendiculairement (angle droit d’une équerre) le plan médian (= à la moitié) de la distance qui sépare les deux taches, il est certain qu’en plus de cette distance (celle que les mathématiciens appellent Géodésique) il en existera une autre plus courte qui, en sortant de la surface du drap, traverse l’espace aérien qui sépare ces deux points.

De plus vous pouvez observer qu’une telle distance est axiale par rapport à une distance qui tombe en dehors de l’Espace Tridimensionnel représenté par le tissu du drap. L’unique voie pour réussir à nous situer dans un cadre tridimensionnel de référence qui ne soit pas celui de la propre toile du drap qui nous sert d’exemple, sera d’orienter nos propres particules élémentaires vers un axe différent ; Exprimé en langage physique de la Terre : permuter les particules subatomiques avec un contrôle homogène et rigoureux.

Pour des raisons évidentes, nous ne pouvons vous expliquer aucun aspect technique de ce procédé, que d’autre part vous n’êtes pas loin d’atteindre bien que nous souhaitions ardemment qu’il soit appliqué beaucoup plus raisonnablement que l’énergie nucléaire.

Possibilités du voyage interstellaire, ses conditions

Dans ces conditions un voyage interstellaire n’est pas quelque chose que nous puissions faire à notre guise ; Il dépend, comme vous avez pu le comprendre, de ce que nous appelons les « conditions isodynamiques de l’espace » (exprimé sous une forme compréhensible pour vous). En un mot les plis de l’espace permettent le rapprochement de deux astres de manière telle que le voyage soit possible.

Mais ces ondulations ou plis de l’espace sont « apériodiques », ils ne subissent pas une loi déterminée. On peut les prévoir à court terme mais avec de grandes marges d’erreur. Par exemple en ce moment (janvier 1967) nous savons que l’un de ces intervalles favorables approche, la marge d’erreur s’étend de décembre à mars des deux années 1966-1967. Les prédictions et leur technique sont plus difficiles que ce que peuvent être pour vous celles du temps météorologique ou bien des taches et des tempêtes solaires car de telles perturbations n’obéissent à aucune loi connue et malheureusement leur source est l’univers jumeau et elle ne nous est absolument pas accessible.

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Extrait de la Lettre Ummite D57 issue du livre « Ummo un Dieu venu d’ailleurs » de Christel Seval

Sélection, dactylographie, annotations en italique, rectifications orthographiques, mise en page, photos n°2, 3, 7 et composition de la 8ème : Delta de la Lyre

Source images et photos
1ère : TravelPrint Galaxy par Peter Cui
5ème & 6 ème : astrosurf.com
7ème : Croquis ummite : 57-f1

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Christel Seval