Karma planétaire

Je crois qu’il est aussi possible qu’à travers ses leelas, Saï Baba prenne le karma sexuel, non seulement de quelques disciples, mais aussi de la planète entière, en en brulant une large proportion par la crucifixion des calomnies et des accusations. Avec sa puissance infinie, Il supporte une partie de la souffrance karmique de l’humanité, qui sans cela aurait été un poids de plus pour un monde qui en est tellement chargé.
Pour quelle autre raison une incarnation Divine omnisciente se mettrait dans de pareilles difficultés ? Cela ne peut être uniquement pour le bénéfice de l’humanité, et comme partie intégrante de sa mission divine.

C’est ce qu’Il a créé, cette mission tempête et toutes ces controverses ; et pourtant Il reste comme toujours à danser en extase sur les vagues produites, profitant avec joie de chaque moment de cette rumba-globe miraculeuse, et que cela est certainement un autre signe de sa Divinité.

De la manière dont je le vois, il n’y a rien de moins outrageant dans l’œuvre de Krishna.

Suicide karmique

Bien sûr, beaucoup de personnes qui entendent ces rumeurs jugent et condamnent instantanément Baba. (Ce n’est certainement pas la première fois qu’un avatar fut calomnié ! Faisant face aux trahisons et aux fausses accusations semble faire partie du scénario de vie de la plupart des incarnations Divines.) Comme ceux qui ont condamné Jésus et opposés à Rama, Bouddha et Krishna, quand les gens jugent Saï Baba ils ne blessent vraiment qu’eux-mêmes — à moins que dans le processus de la rumeur, ils réussissent à éloigner d’autres dévots de Lui.

Dans de tels cas (largement confirmés aujourd’hui), cela ne parait être rien de moins que du suicide karmique, un pas tragique vers une longue chute cosmique, un glissement dans un toboggan vers l’enfer. (Je n’utilise pas le mot légèrement) Je, comme un seul homme, ne voudrais définitivement pas du karma toboggan ou n’importe quoi d’autre, qui interférerait avec une incarnation divine. Comme Neem Karoli Baba disait, au sujet d’un homme qui avait utilisé son nom pour faire de l’argent, « Je ne ferais rien contre lui. Mais pour ce qu’il a fait, il tournera autour de l’univers pour des éons. » [5]

La trahison d’un Gourou n’est pas un pêché ordinaire.

Pour les anciens dévots qui se joignent actuellement à la condamnation, j’ai des questions en hypothèse pour vous :

Si Baba apparaissait miraculeusement devant vous aujourd’hui en chair et en os (comme Il l’a souvent fait dans de nombreux endroits du globe) et se révélait à vous sous sa forme universelle, comme Krishna l’a fait pour Arjuna, sentiriez-vous encore approprié de juger et de condamner Ses actes ? Avez-vous été tellement berné par sa maya pour oublier qu’Il est une incarnation de Dieu ? Croyez vous vraiment qu’un Poornavatar, une incarnation du Seigneur de l’Univers, doit se conformer à vos règles et à vos concepts étroits ?

Vraiment, c’est risible !

Cependant nous ne devrions pas être trop durs avec ceux qui critiquent Baba, ces rumeurs sont un test difficile même pour des exigences solides. Bien qu’Il soit une incarnation Divine d’amour, Il est néanmoins un « enseignant particulièrement strict » — Je n’ai pas rencontré un seul ancien dévot de Baba qui n’ait pas été testé à un moment ou à un autre par le Seigneur. Je crois qu’Il fait intentionnellement ses mises à l’épreuve ardues, douloureuses, et élargissant notre concept de ce que devrait être Dieu, étirant nos limites de l’amour vers l’extérieur encore et encore ; car le privilège de l’union avec un Avatar n’est pas facile à atteindre, et même quand c’est réalisé, facile à perdre.

Dieu en tant qu’Auteur cosmique, Producteur et Directeur

Élargissons maintenant notre vision des choses en essayant de trouver les raisons profondes pour lesquelles Dieu s’est incarné à notre époque. Une idée sur laquelle j’ai méditée de plusieurs années, et que « Dieu est l’auteur, producteur et directeur du Film universel ». Son omniscience garantie qu’à chaque moment du film, avec sa caméra cinématographie instantanée, Il embrasse la totalité de Sa création. Du fait qu’Il est le témoin de l’entière histoire, du début à la fin, et que c’est Lui même qui initie son départ, chaque moment est déjà filmé, et se joue par Sa grâce. Maintenant, quel est le type de Film dans lequel nous jouons ?

Faisons-y face — c’est plein de sexe et de violence de tous types, 24 heures par jour ! C’est classé X par Dieu lui-même !!! Et cependant, c’est une romance qui s’élève vers une harmonie supérieure, débordante d’amour véritable, de douceur et d’extraordinaires beautés. De plus, c’est un Film sacré, avec les personnages qui grandissent graduellement vers plus de conscience spirituelle, et où chaque âme pourrait éventuellement atteindre l’illumination.

Donc — c’est un Film magnifique, sacré, violent et classé X ! Une « tout-en-un » divine comédie, écrite par le plus merveilleux Krishna (ou si vous préférez Kali, ou encore Allah, Dieu le père, Parashakti, le Seigneur Brahma — ou n’importe quel nom qui vous ira !) le Créateur, la Suprême Source d’extase et de souffrance, d’attachement et de libération, de vie, de mort et d’Illumination.

Le premier Role

Maintenant, avec la descente d’un Avatar comme Baba, le suprême Créateur prend littéralement naissance dans le monde, pour jouer le premier rôle dans son propre Film. Il y vient pour de nombreuses raisons : pour semer la foi et la dévotion dans le cœur de millions d’incroyants, pour élever l’ensemble de la planète ; pour enseigner l’unité se cachant dans toutes les religions ; et pour guider ceux qui le souhaitent vers l’Illumination.

ET — Il est aussi celui qui danse la part la plus outrageante de Sa Création ! Quand le Seigneur Suprême prend corps, Il fait de très grosses vagues : Il donne les lois et les casse en même temps, comme Jésus, Moïse, Krishna et Padmasambhava firent aussi. (Ça ne devrait pas être une surprise que quand Mère Kali s’incarne dans un corps humain, Elle ne prenne pas l’apparence d’un enfant de chœur.) Le Dieu unique et malicieux qui créa le Cosmos nous exhausse de le voir apparaître comme nous voudrions qu’Il soit, mais aussi secoue cette image sans pitié. Il personnifie le Dharma merveilleusement, et cependant se comporte aussi d’une certaine façon qui peut choquer et offenser certaines personnes. Il incarne — et même détruit — nos concepts de ce que Dieu devrait être, car les concepts humains seront toujours trop rigides, trop petits et par nature faussés. Par ses actes, Il nous défit de voir que Tout est Dieu et que Tout est de la volonté de Dieu, même ce qui pourrait être considéré comme « faux ». Il nous montre que le véritable amour de Dieu embrasse tout et non pas seulement le bien, que Tout est Cela, puisque le monde entier n’est fait que par un et unique Dieu !

Il me semble assez naturel que l’Auteur de ce film divin, qui est si plein d’expression de la sexualité de toutes sortes, puisse avoir quelques une de ces expressions en tant qu’Avatar. Et c’est seulement nos idées rigides de ce qui est saint et de ce qui ne l’est pas qui créent le problème (certainement que Dieu lui-même sait que la moindre des parcelles de sa création est sacrée). En agissant occasionnellement d’une façon que le monde considère comme mauvaise, Baba nous pousse à revoir nos idées préconçues, et à voir que tout est Dieu, et par là même nous permet de pardonner et d’aimer tous les êtres, dans toutes les situations, à travers tous les temps… et nous-mêmes.

N’est-ce pas peut-être son plus profond enseignement ?

Seule une incarnation de Dieu peut faire ça

La chose la plus importante à se rappeler pour comprendre les actes de Baba est qu’il est une incarnation de Dieu, un fait facilement voilé quand il y a de telles allégations dans l’air. Pour un bref rappel de l’identité de Baba, voici une histoire de mon ami Murali, une femme américaine qui vit maintenant à Puttaparthi (et connu comme l’auteure du livre « Indweller of heart » – Habitant du cœur). Dans les années quatre-vingt-dix, alors qu’elle vivait aux états unis, elle fut diagnostiquée comme ayant un cancer fatal, et en vint à être opérée. Après cela le docteur lui dit : « C’est bien pire que je ne le pensais. Vous aurez besoin d’une nouvelle opération, et aussi d’une chimiothérapie ». Murali méditait depuis qu’elle était âgée de quatre ans, et répondit : « Laissez-moi demander à Dieu d’abord ».
Quand elle posa sa question en méditation, elle entendit une voix Divine lui dire : « Ne fait pas appel une nouvelle fois à la chirurgie, cela te fera plus de mal que de bien. Crois-Moi, et retourne juste travailler ». À ce moment-là Murali n’avait jamais entendu le nom de Saï Baba et ne l’avait jamais vu en photo.

Deux semaines plus tard, à quatre heures du matin le matin de Noël, elle se sentit fortement appelée vers sa pièce de méditation ; et après quelques minutes qu’elle fut assise, une large boule de lumière et d’énergie radiante apparue devant elle. De cette lumière émergea la forme d’un homme, brillant de ce qu’elle reconnut être une aura divine , sa coupe de cheveux était « afro », son corps vêtu d’une longue robe blanche — qui était ce que Baba portait le matin de Noël habituellement. Elle communia avec le Visiteur silencieusement quelque temps, recevant un flot clair d’une communication intérieure silencieuse. Il leva Sa main droite et télépathiquement lui dit : « Je suis venu t’apporter une grande bénédiction dans ta vie. Et je reviendrai pour toi, quand le temps viendra. »
Il leva alors aussi la main gauche, et commença à lui transmettre une énergie divine palpable dans son corps, en quelques secondes, Murali savait que son cancer était soigné. Le Visiteur resta devant elle dix minutes environ, et cette shakti se diffusa dans tout son corps ; durant ce temps Murali vit intuitivement que tous ses systèmes corporels vibraient alors d’une santé parfaite. Le Visiteur alors fit un mouvement de la main et manifesta de la cendre grise sacrée (la vibhuti, le cadeau sacré habituel de Baba), et en répandit sur le tapis devant elle, comme preuve de l’apparition et de sa réalité. Puis disparu.

Quand Murali consulta à nouveau son docteur, le cancer avait disparu alors que ce dernier n’en revenait pas.

Pour faire cette longue histoire courte, trois ans plus tard Murali vit finalement Saï Baba en photo, et le reconnu instantanément comme son « visiteur » du matin de Noël. Baba lui apparut alors à nouveau, lui donnant quelques cadeaux divins, et l’appelant à venir vivre à Puttaparthi.

Thomas, ne doute plus. Seule une incarnation de Dieu peut faire ça.

Un choix clair

En tant qu’auteur, Jack Hawley [6] proposa, bien que nous n’ayons pas vraiment d’idées de ce que Baba fait exactement lors de Ses actions, quelques possibilités de ce qui se passe à ces instants :

— Cela se rapporte à un amour si profond, si divin que rien ne peut s’y opposer — même pas la menace des incompréhensions ou des calomnies.

— Cela se rapporte avec le soin, et non pas avec les meurtrissures.

— Cela se rapporte avec la mission de l’Avatar sur terre (qui a à s’adapter avec l’erratique âge de kali).

— Cela se rapporte à la pureté de nos âmes… L’impureté n’est pas dans l’Avatar, qui est la pureté même ; elle est de ce monde seulement, et dans nos pensées.

La façon dont nous abordons la situation actuelle peut aussi bien corrompre nos âmes et nous descendre dans une réalité de peur, de jugement et de culpabilité — ou nous rapprocher de la réalisation de la compassion universelle et immanente de Dieu, qui est notre véritable nature.

En dépit du brouhaha actuel, je crois que la divinité de Baba est évidente par sa nature même, et que le choix à faire est clair. Ou alors nous avons la foi basée sur nos propres expériences intérieures et sur les témoignages des anciens sages et des actuels, à savoir que Saï Baba est une incarnation de Dieu et admettons et croyons alors que Ses actions sont donc parfaites ; ou alors nous doutons et nous le jugeons, et par là même perdons l’extrêmement précieuse opportunité de communier avec le Poornavatar. Si nous prenons la dernière option, et influençons d’autres à faire de même, non seulement nous nous évinçons de la voie rapide de ce Yuga vers la réalisation de Dieu, mais nous risquons aussi d’alourdir notre karma d’un poids qui pourrait nous peser durant des éons.

Il me semble que le choix de la foi basée sur une discrimination intelligente, renforcée par les témoignages des maîtres, est la seule option sage.

Même si elles m’ont mises à l’épreuve au plus profond, les rumeurs des danses de rasa de Baba avec ses dévots m’ont donné ultimement plus d’amour pour Lui, plus de foi dans Sa divinité, et une compréhension approfondie de l’immanence et de l’exquise nature illimitée de Dieu qui Est — et qui est-ce que nous sommes véritablement.

Devant cet être Divin suprême, je me prosterne.


Finalement, vous devrez trouver la réponse seul(e)

Bien sûr, ce que j’ai partagé ici sont les réponses qui ont fonctionné pour moi. Mais finalement, nous avons tous à chercher la réponse en notre propre cœur, et trouver notre propre guidance et compréhension.
Rappelez-vous que la surface de nos pensées, pleines de jugement et d’arguments sur les autres, ne peut pas suffire. Pour de véritables réponses à ces questions si vitales, vous aurez à plonger profondément en vous, en votre Âme, pour recevoir un signe direct de Dieu.

Arrêtez de patauger ! Plongez, et découvrez votre véritable Moi.

« À travers vous est l’océan tout puissant du nectar Divin. Cherchez-le en vous. Ressentez-le. Ressentez-le. Il est là, le Soi.
Il n’est pas le corps, le mental, l’intellect, le cerveau… Au dessus de tout cela, vous êtes… Vous apparaissez comme une fleur souriante, comme une étoile scintillante. Qu’il y a-t-il dans ce monde qui puisse vous faire désirer autre chose ?
 »

Sathya Saï Baba [7]

Durant les quatre années que j’ai passées à l’ashram de la suprême paix de Baba (Prashanti Nilayam), j’ai vécu des expériences extraordinaires, j’ai aussi collecté des informations puissantes sur l’identité de Saï Baba, la plupart n’ont pas été publiées. Étant donné la crise actuelle de foi, j’ai pensé que le moment été venu pour moi de les partager et d’offrir ce matériel au monde.

Source : saibaba-aclearview.com

Partie 1

Saï Baba et le sexe — une vision claire (traduit ci-dessus)

Partie 2

Preuve évidente : Qui est Saï Baba ? (non encore traduit)
Dont « Allégations contre Baba concernant des « fausses matérialisations ». « 

Partie 3

La plus précieuse substance de l’univers (non encore traduit)

Partie 4

« Krishna, Kali, Monsieur Malice ! » (A song ! )

Glossaire des termes sanskrits

Adharmique : impur, à l’encontre de la voie juste et sage.
Advaïtha : la philosophie de la non-dualité.
Amrit(a) : Un nectar aux arômes de miel et de Jasmin.
Atma(n) : l’Esprit ou Soi Divin.
Atmique : Tout ce qui se rapporte à l’Atma.
Avatar : Incarnation Divine.
Ajna Chakra : Le centre d’énergie sacrée qui se trouve localisé dans le troisième œil, en relation avec le point au milieu du front au dessus/entre les sourcils.
Anahat(a) Chakra : Le centre d’énergie sacrée localisé au centre de la poitrine dans la région du cœur.
Bhagavan : Seigneur.
Brahma : Le seigneur Brahma est « le créateur », le premier de la trinité hindoue.
Brahman : La réalité suprême, non duelle, sans forme et pure conscience.
Chakras : Les centres d’énergies sacrés qui se trouvent répartis le long de la colonne vertébrale, classiquement aux nombres de sept.
Darshan : La vision d’un saint. (Dans l’ashram de Baba, « Darshan » se réfère spécifiquement au moment où Baba se promène au milieu de ses dévots, leur donnant la possibilité de le voir sous Sa forme humaine).
Gopis : Les bergères dévotes du Seigneur Krishna.
Gourou : Enseignant spirituel. Avec la capitale G, cela indique la pleine réalisation du Maître.
Jnana : Sagesse divine la plus élevée. (Celui qui a obtenu la Jnana a atteins le véritable but de la vie).
Jnani : Une personne qui a atteins la pleine réalisation de l’Atman. Le terme est le plus souvent relié à ceux qui ont atteins la réalisation par la voie de l’introspection.
Karma : Résultat de la loi cosmique de cause à effet ; « Comme vous avez semé, vous récolterez ».
Kumkum : Une poudre rouge utilisée pour les rituels pour la mère Divine.
Kundalini : Une force spirituelle latente en l’homme qui reste enroulée et dormante à moins d’être réveillée par certaines pratiques spirituelles.
Leela : Jeu(x) Divin(s). De nombreux hindous pensent que tout l’univers n’est qu’une leela cosmique, un rêve de Dieu.
Lingam : Symbole de la réalité suprême, utilisé pour célébrer le Seigneur Shiva.
Maha : un préfixe signifiant «  grand ».
Mahavatar : puissante incarnation divine.
Maya : L’illusion cosmique ; la puissance qui voile la vérité et nous garde ligotés dans le petit moi.
Moksa (ou Moksha) : La libération finale, c’est à dire, la réalisation du Soi.
Muladhara Chakra : Le centre énergétique racine localisé à la base de la colonne vertébrale (périnée).
Nilayam : « La demeure de… »
Pada Puja : Cérémonie célébrant des pieds divins.
Parashakti : Une des appellations de la mère divine, signifiant « puissance Suprême ».
Parvata : Une des formes de la Mère Divine. (Parvati est la compagne du Seigneur Shiva)
Poornavatar : une incarnation complète de Dieu.
Prashanti : Paix suprême.
Prema : Amour Divin.
Puja : Cérémonie d’adoration.
Purushartha : Le but spirituel, c’est à dire un des noms de la réalisation de son Soi Divin.
Puttaparthi : Une ville du conté de l’Andhra Pradesh situé au sud de l’Inde, ou l’ashram de Saï Baba (Prashanti Nilayam) est localisé.
Rasa danse : La danse réalisée par Krishna avec les Gopis, à travers laquelle il se manifestait en de nombreuses formes de manière à pouvoir danser personnellement avec chacune des Gopis.
Rêves darshaniques : Rêves spéciaux offerts par Dieu à ses dévots, et dans lesquels Dieu apparaît.
Rishis : Les anciens Sages indiens.
Sadhak(a)s : Chercheurs ou étudiants spirituels travaillant en vue de leurs réalisations spirituelles.
Sadhana : Pratique spirituelle telle que la méditation, la contemplation, l’introspection, la répétition d’un des noms du Seigneur…
S(h)akti : Puissance Divine de la création, aussi appelée « la Mère Divine ».
Samadhi : Un état yogique d’absorption avec l’être suprême, et dans lequel le mental est totalement retiré.
Sathya : Vérité.
Shirdi : La ville dans le conté de Maharashtra où la première incarnation des Saï (Shirdi Saï Baba) vécut.
Siddhis : Pouvoirs yogiques, c’est à dire la puissance qui permet aux miracles d’advenir.
Subramaniam : Le second fils du Seigneur Shiva et de Parvati.
Tantra : Un chemin spirituel ancestral. (« La voie de la main droite » implique le culte de la mère Divine au travers de méditations, mantras, alors que celui de la main gauche additionne des utilisations directes de l’énergie sexuelle).
Vasanas : Tendances mentales ; habitudes de pensées qui créent des réponses inconscientes qui ligotent l’âme.
Venkateshwara : Une forme du Seigneur Vishnu, vénéré à Tirupathi, Tamil Nadu.
Vibhuti : Cendre sacrée, souvent manifestée par Saï Baba pour ses dévots. La vibhuti apporte une bénédiction spirituelle et/ou médicale.
Vishnou : Le préservateur dans la grande trinité Hindue, « Brahma, Vishnou et Shiva ». De nombreux Indous adore Vishnou comme le Seigneur suprême.
Yoga : Lien ou attelage aux multiples formes permettant d’atteindre l’union avec Dieu.
Yogi : Une personne qui a atteins, ou qui est sur le chemin en vue d’atteindre la réalisation de Dieu grâce à la pratique du Yoga.

NOTES

[1] Le test, Kundalini foundation for Self-Realisation (Fondation Kundalini pour la réalisation du Soi) Feb. 99, New Delhi ; p. 1

[2] De la pensée du jour du tableau aux bulletins de l’ashram de Saï Baba « Brindavan » (2 juin 2001).

[3] Chercher la divinité, Docteur John S. Hislop ; Sri Sathya Saï Books and Publications Trust, Prashanti Nilayam, India, février 1998 p. 15 et 16.

[4] Aghora : At the Left Hand of God (À la main gauche de Dieu) ; Robert E. Svoboda ; Rupa & Co., New Delhi, 1986 ; p. 158-159.

[5] De “Miracle of love” ; histoires de Neem Karoli Baba ; Ram Dass (comp.), Sri Kainchi Hanuman Mandir & Ashram Trust, Kainchi, India 1979

[6] Extrait d’une lettre ouverte de Jack Hawley à l’organisation Saï ; 2000

[7] Saï Baba Gita ; The Way to Self-Realization and Liberation in This Age ; Drucker, A. (Ed.) ; Saï Towers Publishing, Bangalore, 1994 ; frontispiece./p>

Ram Das Awle