Notre histoire – Une humanité unie

C’est l’histoire d’une humanité en marche qui parfois se déchire, et parfois officie un Dieu de silence auquel on ne peut prêter de nom.
Cette histoire est tissée de l’expérience de milliards et milliards d’êtres qui grandissent dans l’athanor de la vie et apprennent à aimer d’un amour qui se situe bien au-delà de leurs différences et de leurs croyances.
Elle nous plonge aux signes d’une identité commune, dans la conscience que nous sommes Un.

Nous sommes tous, sans exception aucune, une facette de cette histoire qui est inscrite en lettres d’Or en chacun d’entre nous.
C’est une histoire qui se situe bien au-delà de nos mémoires et de nos expériences actuelles…

Nous y avons tous contribué et elle nous lie à la source même de toutes vies.
Elle nous unit dans la vibration du chœur même de l’univers.

En elle, et par elle, nous sommes frères d’éternité…

Durant nos vies, nous avons revêtu de nombreux visages et ces visages ont vu des ouvrages cyclopéens brulés par le soleil, des civilisations s’effondrer et d’autres émerger de la souffrance. Ils ont connu l’incompréhension, parfois côtoyé des guerres de religions.
Ils ont également effleurés des présences qui enseignaient le silence…

Nous avons visité une multitude de mondes afin d’expérimenter et nous construire.
Nous avons haï et aimé, nous avons possédé et sommes restés dépossédés de tout.
Nous avons espéré et sollicité. Nous avons crié et sommes restés dans le mutisme le plus profond.
Nous avons pleuré. Nous avons habillé le monde de nos éclats de rire…

Nous avons poursuivi notre route, siècles après siècles,
Et ceci pour apprendre, encore et encore,
Et ceci, pour désapprendre, encore et encore,
Afin de retrouver ce que nous sommes de toute éternité, afin d’apprendre à simplement être, incarner et réaliser ce que nous sommes de toute éternité.

Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse.
Quoi que l’on médise, quoi que l’on défasse.
C’est derrière les cortèges de colère du quotidien un grand mouvement de Grâce qui prend son envol et s’élève dans la lumière du présent.
Il nous soustrait de l’esprit de pesanteur et ensemence nos existences d’un florilège de possibles.
Il nous libère de nos conditionnements et habille la chaussée humaine d’un tissu de fraternité.

Enfouie au plus profond de nos mémoires, réside une histoire qui émerge du cristal de nos cœurs, et nous élève aux battements et à la mesure de notre véritable Identité

Lorsque nos âmes quittent nos corps devenus alors inertes, nous dansons de reconnaissance et de simplicité dans le chœur même de l’Univers.
Nous accompagnons de nos mesures d’âme, les grands battements cosmiques, et c’est une joie sans nom de faire corps avec l’Univers même.
Et c’est une plénitude sans objet de faire corps avec la Source même de la Vie…

Nous sommes les filles et les fils de cette histoire…

Est-ce que vous vous souvenez de cette histoire ?

Est-ce que vous vous souvenez de notre histoire ?

Nous sommes tous sœurs et frères d’éternité…

5 juil. 2014

Auteur : Alain Degoumois
Source : YouTube
Source : atlantide-research.com
Photo : Petite cascade en Navarre – Delta de la Lyre

Pour aller plus en détail :

C’est ainsi que la Conscience est symbolisée par une croix cerclée que certains qualifient de celte.

Ce symbole est apparu dans des sites préhistoriques, en Espagne, dans les Pyrénées et en Provence.

On n’a pas, semble-t-il, donné de date, mais ces dessins sont probablement antérieurs à l’engloutissement de l’Atlantide il y a 12 000 ans.

La croix cerclée est présente également en Amérique du Nord et du Sud et se trouve amplement représentée sur les stèles discoïdales basques et sur certains objets, comme ce coffin sculpté sur lequel on peut voir la croix cerclée – symbole de la Conscience – au centre du svastika.

C’est bien elle qui entraîne les Quatre Forces.

Source : « La langue basque ou la Civilisation du Serpent » de Alatz J. Roblès-Aranguiz
Éditeur : Prendre conscience
Transcription Internet & photos extraites depuis le livre : Delta de la Lyre

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Extrait du chapitre Les Stèles Discoïdales

En fait, ce que l’on considère actuellement comme un art, était à l’origine le souvenir et le rappel des symboles de la religion de la « Loi de Un », la première religion des Hommes.

Ces tailleurs de pierres, en réalité des chamans, ont perpétué ces symboles, que l’on retrouve en beaucoup d’endroits dans le monde et qui ont une origine préhistorique commune.

L’Humanité terrestre aurait été en reliance constante avec l’Univers jusqu’à ce que la dualité de plus en plus marquée, en l’occurrence en période mi-atlante, amenuise progressivement l’Homme de sa connexion divine.
Avant cette « cassure » due à une dualité exacerbée, cette reliance est nommée « Loi de Un ».

En marge de cette tentative de définition de la Loi de Un, on remarquera que souvent l’on associe la densité ou matière ou troisième dimension
à la dualité et
au libre-arbitre.

Or, c’est parce que le libre-arbitre s’est dirigé dans des champs expérimentaux trop éloignés, trop déviés, qu’il a à cette occasion généré une dualité exacerbée c’est-à-dire allant bien au-delà de la dualité originelle qui elle se limite à avoir d’un côté le pôle féminin et de l’autre le pôle masculin. Au lieu d’avoir à gérer et à créer uniquement avec ces deux principes de la balance (-) et (+), la balance
s’est emplie dans l’un de ses plateaux de tout ceci :
la peur, la colère, la vengeance, la méchanceté, le rejet, l’ignorance, le déni, la jalousie, l’arrogance, l’orgueil, la culpabilité…
et s’est remplie dans l’autre de ces plateaux de tout cela :
le dévouement, l’admiration, la vénération, la dévotion, la charité, le sacrifice, le mérite, l’attachement, etc.

La densité n’est donc pas à incriminer, ce n’est pas elle qui empêche l’Humanité de se reconnecter à elle-même ainsi qu’à la Nature et à l’Univers.

Les égrégores « négatifs », ou champs de force créés par ces qualificatifs listés ci-dessus et s’auto-entretenant captant ces émotions et ces pensées limitatives, auraient vus le jour à partir de la période mi-atlante. L’humain entretenant ces qualificatifs s’embourbe lui-même simultanément qu’il nourrit ces égrégores. La qualité des pensées ainsi que le verbe sortant de la bouche mais aussi l’hygiène de vie comme l’alimentation par exemple coupent court aux liens unissant l’individu aux divers égrégores. L’individu s’offre alors la reconnexion de plus en plus fluide au divin.

Source : « La langue basque ou la Civilisation du Serpent » de Alatz J. Roblès-Aranguiz
Éditeur : Prendre conscience
Transcription Internet : Delta de la Lyre
Photo : Stèle en Pays Basque – Yann Forget

Delta De La Lyre