L’humanité a trop de sérieux.

Encore et toujours dans la structure corporelle, quel que soit l’état de cette structure, animer la joie. Cela est vrai, pour certains, animer la joie lorsque le corps exprime un ressenti désagréable n’est pas simple. Pourtant la joie est la source de toute guérison.
Être relié à cet infini de la joie, cet infini d’ananda qu’est la source du corps, et par le contact conscient avec la joie, ramener le corps à sa source. Faire cela au nom de sa propre structure individuelle et au nom du collectif de l’humanité.
Se souvenir encore et toujours que le corps n’a pas la rigidité qu’on lui attribue. Le corps éternellement fond et renaît du silence. En dépit des apparences, des circonstances, visualiser un corps de perfection. S’appuyer sur la tendresse. Pour visualiser ce corps de perfection, Deydas Chi toujours vous offre la tendresse, car la tendresse est la base de la relation au corps, et de la tendresse découle la joie.
Deydas Chi aime animer à nouveau dans vos structures corporelles les modes de géométrie sacrée.
Imprimer dans la structure des cellules l’affirmation de bonheur, de vitalité, d’harmonie. Oser se différencier des ressentis pour que les ressentis enfin s’harmonisent à l’intention première. Là est la clef.
Deydas chi aime offrir les flots de la tendresse. Qualifier les fluides du corps de cette nature de tendresse pour que les fluides du corps en permanence offrent à la structure corporelle l’infini de la tendresse.
Au sein de la structure corporelle, honorer le silence.

Agnès Bos-masseron