Qui suis-je ?
C’est une question existentielle que nous nous posons à un moment donné de notre vie.
Derrière le corps physique, derrière la personnalité et le caractère, derrière la couleur et la culture, derrière l’apparence d’être un humain, un homme ou une femme, qui suis-je vraiment ?
Au-delà de cette forme humaine, des croyances positives ou négatives, de l’éducation reçue, des émotions qui viennent à ma rencontre, dans mes pensées, dans mon mental, je ne trouve que des réponses relatives à un système, à un lieu, à une société. Comme si toutes ces croyances, ces mots, ces carcans, ne suffisaient pas à me connaître.
Juste me connaître dans une image que l’on donne, ou que l’on croit être, j’ai besoin de plus que cela. Un sentiment que je suis autre chose.
J’ai besoin de sortir de ce moule dans lequel la société, l’extérieur,
moi-même me place, j’ai besoin de me reconnaître dans ma vraie nature, celle que je suis de tout temps, de toute éternité.
Je ne suis point ce corps, je ne suis point ces émotions, ces sentiments, je suis bien plus que cela, je suis une conscience, un esprit, une âme.
Je suis une conscience divine immortelle et éternelle, le corps lui n’est qu’un véhicule, un habitat où j’ai choisi de me manifester.
Je suis divine conscience en tout et partout, une flamme qui brille même dans la nuit la plus totale, un esprit qui demeure malgré les peurs.
Tout ce qui m’entoure fait partie de ce grand Tout, de cette conscience infinie, donc JE SUIS, NOUS SOMMES, l’autre est une partie de moi, l’autre c’est moi dans une autre manifestation.
De cette compréhension, je rentre dans l’énergie d’amour, dans la conscience que ce que je fais à l’autre, ce que j’exprime à l’autre, ce que je pense de l’autre, c’est à moi que je le fais, l’exprime, le pense.
Quand je suis dans cette conscience, le monde me paraît moins hostile, moins douloureux, moins difficile.
Je ne perds pas de vue, le fait de rester en ce coeur, de ne pas me laisser happer par les pensées négatives, de ne pas me laisser envahir par mes peurs ou celles des autres.
Rester éveillé, conscient, vigilant lorsque je repars dans le jeu de la vie ou de mon mental, et revenir à moi, à qui je suis, à la pleine conscience d’être.
Il est vrai que dans cet espace, il n’y a plus aucune croyance, aucune peur, aucun doute, aucune pensée, seul un silence paisible et harmonique, harmonieux, et là, je peux entendre mon coeur, et l’amour qui vit en tout et partout. Là, en cette unité un autre monde s’offre à moi, une autre vision.
Lorsque je vois le monde à travers mon mental, je le vois voilé par toutes les limites et les mémoires que celui-ci me projette, je le vois à travers des programmes inscrits en mes cellules et en mon ADN, je le vois à travers des filtres.
La conscience infinie et pure n’a aucune filtre, elle est tout simplement. Elle est neutre et en même temps tout. Elle n’a ni couleur, ni peur, ni croyance, ni sentiment, ni émotion, ni noir, ni blanc, ni sombre, ni lumière, ni mort, ni vie. elle est pleine manifestation, elle est unité, elle est AMOUR, elle est silence. Elle est musique céleste et chaque note résonne en nous, en notre coeur.
Alors dès à présent, j’essaie chaque jour et un peu plus, d’atteindre cet état de conscience, d’atteindre mon coeur pur et innocent, et de voir le monde depuis cet espace, ainsi je ne suis plus dans aucun jugement ou critique, dans aucune lutte ou besoin de victoire, je suis tout simplement moi, dans l’acceptation totale de qui JE SUIS, dans l’acceptation totale de cette humanité que j’ai choisi d’incarner et dans une acceptation et une gratitude envers la vie et même… envers le système dans lequel j’évolue et je grandis.
Rien ne sert de comparer, de juger, d’étiquetter, de contrôler, de diviser, rassemblons ensemble nos consciences, notre éveil, et faisons de cette Terre une Terre d’accueil, une bibliothèque vivante, lieu de rassemblement, lieu de paix, lieu de bonheur, lieu d’amour, lieu de partage, lieu d’équité, lieu de tendresse, lieu de sagesse, lieu d’écoute vraie, lieu de respect, lieu de ce que vous en ferez et penserez.
Très beau week-end dans cette grâce infinie qui vient à nous à chaque instant et dans la gratitude d’être conscients.
Bien à vous, je nous aime infiniment,
Brigitte Marievah
www.marievah.net
page facebook : Au Coeur de la Rose d’Or
Si c’est pour faire un conditionnement du qui suis je, cela devient du déni,
le connaît toi, toi même, à aussi son importance avant la réfutation.
tout réfuter devient un déni,
appliquer comme expliquer ci dessus c’est le mur assuré,
le spécialiste c’est bien Nisargadata Maharaj,
toujours reprendre des enseignements des autres pour se mettre en valeur, point d’humilité, simplement une reprise de plus
Claude, non réfuter n’est pas un déni – tu n’as pas compris – réfuter c’est seulement voir ce qui est une illusion sans le nier – réfuter pour trouver l’Absolu, ce que nous sommes en réalité – réfuter c’est voir seulement l’illusion de tout ce que nous connaissons – quand le connu disparait, l’Absolu que nous sommmes se révèle –
merci pour le message de Marievah qui est positif dans son ensemble –
et Claude tu es beaucoup dans le jugement je trouve-
tu devrais lire ou relire les messages de autres dimensions, tu comprendrais alors certaines choses –
amicalement
Quand la réfutation devient absolu mitsy c’est juste, en abuser est déni relis Bidi….il en remet plus d’un en face d’eux même,
tout conditionnement tire vers le bas n’est ce pas?
ici il n’y a pas jugement il n’y à pas le vécu….si tu étais dans l’abandon complet, ce serait évident cette différence entre le vrai et le superficiel, seulement ce ne seront jamais les mots qui ouvrirons la porte de la liberté, seulement le vrai celui d’être…
au delà de tous textes, au delà de tous enseignements, au delà de toutes paroles, toujours il y en aura qui aurons ce besoin d’aider, de conseiller, qui à ce besoin? si ce n’est l’égo…..l’être se contente de la Vie
Quelle différence y a t’il entre déni et réfutation,
si tu es d’accord voyons cela en profondeur.
dire, je ne suis pas ce corps et délaisser le temple dans ces besoins pour son bon équilibre. est un déni
dire je ne suis pas cette pensée, est juste, surtout si elle est redondante et relie. soit à une personne soit au passé ou au future, seulement la nourrir sera un déni.
dire je ne suis pas cette action est un déni car c’est bien le corps qui effectue l’action, même si elle provient d’une influence extérieur, la reconnaître permet de se responsabilisé ensuite la réfuter permet de ne pas culpabilisé et de couper le lien avec celui qui à projeté cette action,
mais dire je ne suis pas cette action et boire de l’alcool, manger magdo,ou coca cola, est du déni,
la non écoute de ses éléments va déstabiliser l’équilibre du corps et lui donner des points d’accroche aux influences,
comprends-tu?
par contre dire je ne suis pas ses influences, ou cette pensée, va permettre de couper le lien avec cette prédation et ouvrir la vrai écoute aux vrais besoins du corps.
est-ce juste?
certains jouent la dessus pour dire je suis dans l’accueil, ils réfutent et n’écoute plus leur vérité, ils pensent être dans le partage, en réalité c’est un manque de rectitude et d’écoute de leur vrais besoins, ensuite dans leur tiédeur il se serve de la réfutation pour se donner bonne conscience.
la réfutation est un bon outil, l’utiliser sans profondeur permet simplement de rester dans le cercle de l’enfermement.
réfuter oui, sans discernement non.
les réfutations les plus efficaces sont réfuter la pensée, parce qu’elle sont souvent influencés par des entités ou par des égrégores, cependant j’ai cette pensée et je ne suis pas cette pensée, j’ai mal, je ne suis pas cette douleur et je me soigne sinon ce sera un déni.
comment vois-tu cette approche?
à brigitte je pourrais lui dire qu’elle est déjà ce cœur pur, cependant elle est toujours dans la recherche ……regarde toi et connais toi, tout se dissoudra dés que l’abandon sera effectif, s’accueillir tel qu’on est, voilà un autre chemin très simple,
si l’ont réfute ce que l’ont est, comment être?
Je crois qu’il y a en effet une nuance entre le déni et la réfutation.
Pour moi, le déni signifie le refus total(ou non acceptation) d’une situation donnée.
La réfutation me paraît être du domaine de l’argumentaire. C’est montrer, démontrer, la fausseté d’une affirmation par des preuves contraires.On peut réfuter tout, mais aussi seulement partie d’un propos. Ce qui me paraît être la différence avec le déni qui est une négation totale.
Le mot réfuter pour qualifier ce que l’on est est impropre.
Je pense comme toi Karen…
Mais est-ce la pensée commune ?
Nous savons que nos pensées créent nos Réalités…
Je dirais c’est la différence entre avoir et être,
je n’ai pas cette pensée est un dénis
je ne suis pas cette pensée est une réfutation,
il est simple de réfuter quand on ne connaît pas l’origine,
je ne suis pas cette douleur cependant le corps à mal, donc elle est reconnu pour souffrance mais pas faisant partie de l’être.
dire je n’ai pas cette douleur est un déni car elle est bien présente au corps, et rejeter.
simple,
ne pas être une action est une réfutation si on ne s’en sert pas pour se déresponsabilisé, sur ce point beaucoup tombe dans le déni car l’action à été commise par le corps, et elle est à accueillir même si la cause reste floue. c’est trop facile de se déresponsabilisé, et de revenir sur une cause extérieur, ce qui rejette son autonomie.
il est vrai que nous sommes assaillis de toute part, cependant soyons responsable de ce que l’on émet.
réfuter aide beaucoup à ne pas culpabilisé, à couper les liens avec les égrégores, avec les entités prédatrices,
c’est le b a ba du qui suis je, vu par Nisargadata maharaj.
lorsqu’on réfute on ne démontre rien, on annule l’action du mental sur son savoir, sa permet d’ouvrir la conscience au delà de la réflexion, de la raison, cela il l’explique mieux que moi….
Claude, tu n’as pas compris, réfuter ne veut pas dire renier – et lorsque l’on réfute ce corps, il n’a jamais été question de délaisser ses besoins – d’ailleurs Bidi dit bien, laissez ce corps vivre ce qu’il a vivre -réfuter veut dire je ne suis pas cela ,par exemple ce mental, ces pensées, ces émotions; ces peurs,ces expériences qui sont éphémères – et nous ne sommes pas ce qui vit ces expériences, il le dit –
d’ailleurs Bidi dit textuellement, je le cite ,
-« rejette les croyances sans aucune exception, réfute les –
– la Réfutation permet a l’Absolu de se manifester dans cette forme dans cette conscience
-il n’y a rien a construire il y a tout a déconstruire par la réfutation
-la seule façon de se lever du fauteuil,de sortir du théatre, pour voir que le théatre n’existe pas, c’est la REFUTATION- »
d’ailleurs il a dit dans l’un de ses textes qu’il n’y a qu’une chose a faire c’est la réfutation – amoins de vouloir rester dans la personnalité ou le Soi – mais l’Absolu n’est pas le Soi supérieur –
lorsue l’on réfute l’on ne se déresponsabilise pas du tout, simplement onréfute ce qui éphémère et donc n’est pas l’Absolu
Merci de nous rappeler qui nous sommes vraiment!
Bonjour Claude,
Je dirais que c’est ton interprétation et je ne la réfuterais donc pas !
Je suis d’accord sur : »je dirais que c’est la différence entre avoir et être »et là, tu me rejoins !
Sinon, je m’étais simplement attachée à la signification simple des mots dans notre langue française. Chacun sachant -et constatant- combien d’incompréhensions naissent par le seul fait que chacun ne met pas les mêmes choses derrière les mêmes mots.
JE SUIS ce que JE SUIS
Karen
S’entendre sur le sens donné aux mots est primordiale, si l’on veut une communication riche er pleine de sens.
merci karen
Tout ce que l’on vit, tout ce qui est éphémère , n’est pas l’Absolu, meme si c’est contenu dans l’Absolu – une grande différence -+il faut aller au dela de l’acteur, de l’observateur si l’on veut vivre l’
C’est juste mitsy seulement as tu lu ce que qui a été formuler en profondeur?
et qu’en je lis,
j’essaye chaque jour d’atteindre cet état de conscience,
alors que nous sommes déjà absolu, crois bien qu’il y a encore une attente, tant qu’il y a attente, pas d’absolu…
simple
et ce ne sera pas en réfutant tout en aconscience que cela changera quelque chose, si le point de vue ne change pas,
utilisé un outil tel que celui la sans la profondeur, reste une chimère,
es-tu certaine que c’est ma personne qui n’a pas compris?
qui cherche encore l’absolu?
être absolu dans un corps n’attend pas quelques choses de sensationnel comme l’exprime Jean Luc, à ce moment la vous risquer d’attendre longtemps et d’oublier l’essentiel,
n’oublie pas que tu es toi même avec des origines propre qui ne sont pas les mêmes que celle de ceux qui ont exprimer un certains vécu,
qu’ils ne peuvent prouver dans les faits par leur actes,
ce qui posent questions?
les connais tu personnellement?
entre le dire et le faire il y a un monde, sa ressemble à la lumière ça en à le goût, est ce la lumière? sont t’il libéré vivant?
aussi, reprendre un enseignement que l’ont à pas acquit et l’exprimer de la sorte n’est pas vérité, la vérité vient de soi ce ce que l’on est, et sur ce point je suis ce que je suis, un entier indivisible et n’exprime que ce qui est vécu.
ça fait plus de deux ans que les anciens ont formulé leur retrait totale laissant chacun vivre son autonomie, je remarque qu’il sont toujours canalisé, alors, qui parle?
je te souhaite d’ouvrir en grand la porte de l’éveil, de recevoir la visite de ton êtreté, d’ouvrir ta conscience et la tu vivras le faux, qui représente une douleur spécifique, tu sauras le sens profond de l’enferment, de l’action vrai, dans la non dualité, ce que veut dire l’accueil inconditionnel, sans pour autant accepter la falsification, et sans rejeter son frère qui fait ce choix,
la rectitude il disait bidi, c’est cela , c’est aussi exprimer le vrai et remettre l’église au milieu du village, ici quand elle aura conscience de vivre l’absolu alors il y aura vérité, pour l’instant c’est une chercheuse qui ne trouvera que quand elle arrêtera de chercher.
est ce que toi, tu comprends?
es-tu libérée?
ne te laisserais tu pas bercer par les mots, entraîner là ou on veut que tu aille?
aurais tu oublié, que tout est en toi?
fait attention car défendre le faux c’est manger à la table du diable, c’est être entre deux chaises,
Christ à horreur des tièdes….je t’ai connu intègre, ne te laisse pas influencer par l’extérieur, tes reçus sont bien plus riche que tout les écrits de la planète.
être droit c’est aussi avoir sa maison propre c’est être vrai,
soi toi même et merci pour cet échange
claude
Pour moi, après avoir beaucoup lu, et approché un Etre libéré en Inde –
maintenant l’Absolu tel qui m’a été présenté, pour moi cela me parait valable – en dehors de toutes les religions et de tous les dogmes -il ne faut pas etre en attente, bien sur, mais comment faire ?- etre déjà conscient que je ne suis pas cet éphémère, est déjà en partie , une sortie de l’enfermement ,et des dogmes –
chacun comprends et fait a sa façon – il y a plusieurs chemins comme on dit – et personne n’a le privilège de la Vérité –
JL Ayoun n’est peu etre pas parfait, mais ses messages me semblent valables- je verrai bien – je me fie essentiellement a ce que je vis intérieurement – et Ayoun n’est pas mon gourou ! – je ne me laisse pas enfermer dans une seule idée – et je ne défends aucun diable !!!-
d’ailleurs pourquoi jl serait il le diable ??-
de toute façon chacun se laisse + ou – influencer par l’extérieur , car il a toujours fallu a toutes les époques, qu’il existe des etres ayant expérimenté autre chose, pour nous en faire part, et ainsi nous permettre de réfléchir, d’expérimenter pour voir ce qui était vrai ou non –
et pourquoi dire que je suis tiède ? mystère … qu’en sais tu ?
chacun comprend a sa façon, c’est ainsi – mais tant que l’on n’est pas sorti de l’enferment , en définitive ON NE SAIT RIEN –
amicalement
Lire, dire, cotoyer, et EXPERIMENTER sont des choses bien différentes.
Si on expérimente Karen c’est qu’on reste dans le cercle, vivre est plus porteur, ne trouve tu pas?
Ou tu vois que je dis que tu es tiède?
ni que jla est diable, ce mot veut dire division tout simplement,
je t’exhortes à reprendre ton autonomie, quand aux messages extérieurs il sont tous empreint de falsifications? déjà le reconnaître est un pas vers la liberté,
sans allez voir un maître extérieur il est un fait que tu vis l’absolu, comme dirait bidi il n’y a rien à chercher, le doigt est mis sur l’attente, et quand on revient dans la vie au présent sur terre, tout devient simple, n’oublions pas que c’est dans un corps qu’on œuvre pour l’humanité, et pas en Samadhi, comment cela se passe? n’est pas important, car vivre apporte tout.
c’est simple Mitsi, très simple, revient à quand tu ne te posais pas de questions sur tout ça, comme une enfant qui jouit du moment.
les réponses viendront comme par enchantement…
pour les liens créé avec les canaux, n’oublie pas qu’ils sont aussi un frein, je t’invites de ton coté à les couper, radicalement, sa dissoudra des voiles et ouvrira la conscience vers un plan d’ont tu n’a pas idée.
les voiles ne sont pas toujours du de notre fait, ne jamais sous estimer l’œuvre des zozos, et qui ils utilisent pour arriver à leur faim.
j’espère que ces quelques mots pourrons te guider vers ton entièreté claude
J’aimerais ajouté, suivre la réfutation tel enseigné par bidi est une très bonnes chose.
seulement réfutes-tu autres dimension, les canalisations? bidi, les reçus persos, extérieurs, ce que j’ai formuler dans cet échange,
pas de demis mesure pour une efficacité optimum,
car si tu lis bien la seule vérité que je peux assurer est: c’est tellement simple, que cela en est compliqué…..pour le mental,
alors si vraiment tu estimes être important de suivre ce chemin réfute tout et les liens s’étioleront, je lis qu’il y a encore de l’importance mise sur certains écrits, des accroches en sorte,
ne te sous estime pas,
l’essentiel est dans est ce simple? est ce fluide? puis je le prouver?
j’aimerais poursuivre, si tu le désir et si tu as encore mon courriel ce serait plus simple et plus cordiale que sur un forum ouvert aux quatre vents.
tu y es, fais toi confiance, aux hayots, à la vie, à ce que tu es, dans ta profondeur, dans la rectitude.
ne te laisse pas guider par autre que toi,
si tu te sens prête à tous perdre, oui c’est une solution, et tu en es capable.
aussi couper les liens peut être faciliter en y mettant l’action sur la trois d, par exemple enlever tout y correspondant de l’ordi, cana, inscriptions dans les forum, c’est pour cela que je n’ai plus ton courriel….
de toute façon ce qui est vrai revient toujours et tu seras étonné que c’est maigre.
te sens tu prête d’aller au bout du cheminement libérateur?
simple…..claude
Je ne suis pas un chemin en particulier – je prends ce qui me convient dans ceux qui me conviennent et qui résonnent en moi – c’est tout simple
je n’oeuvre pas pour l’humanité, si j’y contribue tant mieux – certains Etres ont vécu le samadhi, pourquoi dénigrer cela, chacun fait selon ce qu’il ressent –
oui je suis l’Absolu, mais je ne le vis pas actuellement – vivre l’Absolu est différent que d’en parler –
je sais que je suis Absolu et je le vivrai quand je le vivrai –
la troisième D ne m’intéresse plus particulièrement, et vivre dans une 3d falsifiée ne me semble pas particulièrement exaltant –
si pour toi vivre dans cette réalité te convient tant mieux, je ne trouve rien a y redire –
de plus pourquoi devrait on encore oeuvrer , ce sont encore des croyances inculquées ! – en avançant en conscience on oeuvre pour l’ensemble, cela suffit –
amicalement
Je rajoute ceci, il n’y a rien a prouver a personne – juste a vivre ce que l’on ressent comme vrai –
C’est très bien comme cela,
si tu veux gouter tout les menus, tu recevras un peu de tout, et vu ta réponse ne dit pas que tu veux vivre l’absolu, vu que tous te convient,
ceci dit quand on est absolu on le vit, donc à l’inverse si tu ne le vit pas, tu ne peux l’être,
dans ce cas comment peut on dire qu’on à compris l’enseignement de bidi? si il n’est pas acquit, à oui le mental à compris….le vivre c’est mieux….
c’est quoi vivre l’absolu pour toi?
je te laisse dans tes attendes, et te souhaite leurs réalisations,
ce choix ta vas à merveille…..
des fois reprendre par le connais toi, toi même, peut être utile, qui sait….
des mots toujours des mots, rien de concret, en somme pas de vérité, juste des leçons apprises par cœur, tu es une bonne élè
Claude, un, entier, indivisible,
Claude, serais tu un grand donneur de leçons ? apparemment oui -parle pour toi et laisse les autres évoluer et faire leur chemin comme ils le ressentent – tu n ‘es pas très évolué pour juger ainsi – donc merci pour tes commentaires cela ne m’intéresse pas –
mon pauvre ami tu n’as rien compris a ce que veut dire l’Absolu – puisque l’Absolu est l’Inconnu ,ce que l’on ne connait pas – alors arrete de dire des betises et de faire celui qui connait tout –
tu te crois un grand enseignant,mais c’est seulement ton Ego qui parle –
Je rajoute ceci, je n’ai jamais dit que je suivais tous les chemins, tu inventes, tu comprends mal –
je suis seulement ceux rares qui me conviennent – et qui me font vivre certaines choses –
nous ne sommes plus 30 ans en arrière, les choses ont changées –
je ne suis pas intégriste dans mes choix – et je ne porte pas des oeillères –
qui te dit que je fais fausse route ? c’est ton mental ! que connais tu vraiment !!!
je te laisse a tes choix et a tes idées toutes faites –
fraternellement
Content de voir ton grand plaisir à défendre, ce texte de marieva, as tu été voir son site?
tu vas aimer, dans le sens paradoxe, qui se ressemble s’assemble.
sois rassuré il n’y a aucune leçons, simplement une lecture des faits, quand à allez ou tu le désir, il n’y a aucune prétention de te changer, le vent te porte.
Il y a eu une demande, il y a eu réponse
claude
Je ne défends pas son texte !! encore une invention
je suis simplement d’accord avec elle quand elle dit « je ne suis point ce corps, je ne suis point ces émotions, ces sentiments, je suis bien + que cela »
parce que cela rejoint ce que Bidi nous dit –
c’est juste cela, pas de quoi en faire tout un plat –
Je rajoute ceci que tu dois savoir, puisque c’est ce que Bidi nous a dit – nous sommes tous l’Absolu, mais nous devons le retrouver, car il est au dela de l’ame, du Soi supérieur de la conscience – il est l’Ultime, l’a-conscience –
et tu prétends avoir atteint l’Ultime ?
Je n’ai fait que répondre à ta question, « il ne faut pas être en attente mais comment faire? »
si ce qui est proposé comme réponse ne convient pas, peut être il serait mieux de le réfuter et de voir en soi ce qui freine cet amour ardent qui nous habite.
tu dis aussi « Je ne suis pas un chemin en particulier – je prends ce qui me convient dans ceux qui me conviennent et qui résonnent en moi – c’est tout simple, »
ne serait-t-il pas plus logique d’écouter simplement le maître intérieur, celui qui convient le mieux.
alors vraiment à toi de voir si ce que j’ai formulé plus haut pour répondre à ta question peut convenir, ce n’est que le Ba Ba de l’abandon, et cela ne fait rien si ce n’est pas le cas, si cela ne convient pas, l’amour prend tous les chemins de chaque un.
claude, dans la profondeur de l’instant.
Avoir pratiqué pendant plusieurs années des chemins l’un après l’autre, permet justement de se retrouver intérieurement et justement de trouver ce Maitre intérieur – – d’autres l’ont fait avant moi et pas des moindres, exemple : Drunvalo Melchisedeck –
alors pourquoi me juges tu ? – pourquoi veux tu faire le petit maitre –
je te l’ai dit chacun fait comme il veut et il n’y a rien a juger –
juste a retrouver qui nous sommes réellement de toute éternité, en respectant les autres pour leurs choix – car comme on dit les conseilleurs ne sont pas les payeurs –
chacun a sa vision des choses et chacun fait des expériences différentes – et cela est bien ainsi – pourquoi vouloir se meler du chemin des autres de quel droit ?
fraternellement
C’est un point de vue,
si il y avait un chemin cela se saurait, si il y avait quelques choses à retrouver, il y aurait des milliards d’éveillés sur terre.
pourquoi pas.
Décidément tu ne comprend rien ou tu le fais expres
pauvre homme !!!