Nous avons le plaisir de publier ici le dernier article d’Olivier, rédigé à la mi-juillet. C’est le dernier texte écrit de son vivant…

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Notre humanité est progressivement en train d’émerger dans une communauté plus étendue de vie intelligente. Plusieurs races et plusieurs organisations extraterrestres nous visitent à tour de rôle. Nous n’en avons pas encore conscience, mais depuis quelques décennies, leur va-et-vient s’est accéléré. La fabrication d’armes nucléaires, puis la destruction progressive de notre environnement naturel, ont attiré vers notre planète des êtres dont la survie même pourrait s’avérer menacée en cas de cataclysme planétaire.

Au moment où nous nous apprêtons à pénétrer dans un champ plus étendu de l’expression de la vie, où évoluent ces êtres que nous n’avons pas encore appris à connaître, il ne fait aucun doute que les révélations qui suivent soient d’un immense intérêt pour chacun d’entre nous

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La longueur d’onde de base de notre Univers en 3ème dimension est de 7,23 centimètres

Chaque dimension d’existence n’est rien d’autre qu’une longueur d’onde. La seule différence entre les différentes dimensions est la longueur de leur onde sinusoïdale de base. Lorsque nous tournons ou appuyons sur le bouton de notre télévision ou de notre radio, nous nous mettons en rapport avec une longueur d’onde particulière et nous changeons de station. Nous obtenons alors une image différente sur notre écran ou une autre station à la radio. Il se passe exactement la même chose avec les dimensions d’existence. Si nous pouvions changer la longueur d’onde de notre conscience et, ce faisant, réussissions à mettre en rapport toutes les parties de nous-mêmes avec une nouvelle longueur d’onde dans cet univers, nous disparaîtrions littéralement de ce bas monde et réapparaîtrions dans un autre monde avec lequel nous sommes entrés en relation.

C’est ce que font les ovnis quand vous les voyez traverser le ciel à des vitesses vertigineuses, en admettant que vous puissiez les voir. Ils pénètrent notre champ de vision à une vitesse stupéfiante, opèrent ensuite un changement de direction et disparaissent complètement de notre vue. Les êtres à bord de ces vaisseaux spatiaux ne sont pas transportés à travers l’espace comme nous le sommes dans nos avions. Ils sont psychiquement et consciemment reliés au vaisseau lui-même et lorsqu’ils sont prêts à se rendre dans un autre monde, ils se mettent dans un état de méditation et s’unissent en pensée jusqu’à former une entité consciente. Ils visualisent alors un changement de direction, ce qui permet à leur vaisseau ainsi qu’à tous les passagers à son bord de pénétrer ensemble dans une autre dimension.

Notre univers – y compris toutes les étoiles et tous les atomes qu’il renferme – a une longueur d’onde de base de 7,23 centimètres. À partir de n’importe quel point de l’endroit où nous nous trouvons, il est possible de progresser à l’infini soit vers l’intérieur soit vers l’extérieur de cet univers.

Spirituellement parlant, cette longueur d’onde de 7,23 centimètres en moyenne représente le Om, ce son auquel les Hindous attribuent la fréquence fondamentale de notre univers. Au sein de notre univers, chaque objet émet un son particulier selon sa consistance. Si vous faites la moyenne des sons de tous les objets dans cet univers ou cette troisième dimension, vous obtiendrez cette longueur d’onde de 7,23 centimètres et le véritable son Om de cette dimension.

Cette longueur de 7,23 centimètres représente aussi la distance moyenne entre les deux yeux, du centre de la pupille à l’autre – si vous mesurez cent personnes et faites la moyenne entre elles. C’est également la distance moyenne entre le bout du menton et le bout du nez, la largeur moyenne de la paume de chaque main et la distance moyenne entre chaque chakra du corps, pour ne donner que quelques exemples supplémentaires. Cette mesure de 7,23 centimètres est présente un peu partout dans notre corps parce que nous sommes tous immergés dans cet univers particulier et que tout cela est littéralement imprimé dans chacune de nos cellules.

Ce sont des ingénieurs des laboratoires Bell, et non pas des mystiques assis en lotus au fond d’une grotte, qui furent les premiers à découvrir cette longueur d’onde. Quand ils installèrent leur système à micro-ondes qui couvrait tous les États-Unis et appuyèrent sur le bouton, après avoir choisi une fréquence d’émission, ils durent faire face à une gigantesque quantité d’ondes faisant grésiller désagréablement leurs appareils.

Les ingénieurs décidèrent finalement de choisir cette fréquence d’émission de 7,23 cm pour tout le système ! Pourquoi avoir retenu cette valeur particulière ? Sans doute en raison du silence qui l’accompagnait et de la paix dont elle semblait imprégnée. Bien entendu, ils tentèrent de localiser la source de cette harmonie qu’ils ressentaient en eux, démontèrent et remontèrent leur équipement et cherchèrent toutes sortes d’explications rationnelles. Ils commencèrent d’abord par penser que cela provenait de l’intérieur de la Terre. Ils vérifièrent finalement à ciel ouvert et en direction du vide intersidéral, rencontrant là aussi une constante statique considérable, qui déclenchait les mêmes effets et se dirent : « Mon Dieu, mais cela vient de partout à la fois ! »

Afin de se débarrasser de cette interférence qu’ils n’arrivaient pas à contrôler, les gens de chez Bell firent alors quelque chose dont nous souffrons tous encore, à la fois en tant qu’individus et en tant que planète. Ils augmentèrent leurs émissions de micro-ondes de plus de 50 000 fois leur besoin normal, créant de ce fait un champ électromagnétique surpuissant qui nous englobe tous et dont nous subissons encore les effets, de manière que cette longueur d’onde de 7,23 centimètres, qui provient de partout, ne puisse plus interférer.

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Missions des vaisseaux spatiaux proches de la Terre

Laissez-moi maintenant vous parler des vaisseaux de l’espace. Les vaisseaux utilisés dans les mondes évolués ont une dimension à la fois physique et basée sur une longueur d’onde de 7.23 cm et supraphysique, c’est-à-dire lumineuse et basée sur une bande fréquence de 723 THz . La Confédération Intergalactique utilise environ 62 prototypes différents dans notre système galactique. Ceux que vous voyez habituellement fonctionnent dans les troisième et quatrième dimensions, mais il y en a d’autres que vous n’avez jamais vus parce qu’ils appartiennent aux cinquième, sixième et septième dimensions. Puis, il y a ceux qui font partie du soutien logistique et qui sont stationnés dans la stratosphère de la Terre, les ravitailleurs étant postés dans l’orbite du Soleil.

Les vaisseaux-mères sont de tailles différentes, en fonction de leurs missions et des longueurs d’ondes qui leur correspondent. Les plus volumineux peuvent dépasser 1000 kilomètres de longueur lorsqu’ils se matérialisent dans la troisième dimension. 22 ont été déployés pour assister notre processus de transformation sur la Terre. Selon la mission à effectuer, ils peuvent servir à rajuster, accélérer et intégrer les nouveaux paramètres d’évolution de notre planète. Ils ressemblent à des grandes villes, mais pas celles de notre monde. Ils comportent des espaces récréatifs constitués de lacs, de beaucoup de végétation, et d’espèces vivantes qui nous sont inconnues. On y retrouve aussi des zones de travail, des salles de réunion et la station de commande du vaisseau.

Ces cités-vaisseaux circulent à travers notre système solaire et notre galaxie, afin d’exécuter les tâches qui leur sont assignées par la Confédération. Leurs populations peuvent atteindre jusqu’à 2 millions de personnes. Ces immenses vaisseaux ne peuvent rester que dans la stratosphère d’une planète proche de la ceinture électromagnétique qui est, en fait, la porte d’accès vers d’autres mondes.

Voici une information qui va en surprendre plus d’un : actuellement, il y a plus de 5 millions de vaisseaux proches de la Terre. Leurs missions sont variées. Ils surveillent, informent et évaluent l’état vibratoire-énergétique. Certains
protègent les portes d’accès interdimensionnelles. D’autres assurent un soutien logistique. D’autres encore surveillent de près nos politiciens et la situation de notre armement nucléaire. Puis, il y a ceux qui nettoient les résidus toxiques du champ causal de la Terre, et les ingénieurs qui réajustent et modifient les champs unifiés. Enfin, d’autres observent et harmonisent les aspects géophysiques et climatiques de la planète.

Contrairement aux apparences, tout est sous contrôle. Notre niveau de conscience et notre collaboration ont aussi une influence, et nos frères de l’espace agissent en fonction de nos mouvements et de notre processus d’évolution pour tout corriger tout en s’interdisant d’interférer, sauf dans des cas exceptionnels. Car nous disposons du libre-arbitre.

Leur présence sert avant tout la vie et l’évolution dans l’univers ; c’est leur principale tâche. Cependant, il y a en coulisses en permanence une activité extraterrestre dont nous ne pouvons même pas imaginer l’ampleur. Parfois cependant, il nous est possible de voir et même de visiter leurs nefs interstellaires, car ils souhaitent que certains d’entre nous soient témoins de leur présence.

Il est en leur pouvoir d’encercler complètement notre planète en moins d’une heure et de poster leurs vaisseaux au-dessus de l’ensemble de nos villes en moins de 20 minutes. Même si leurs manifestations physiques semblent se faire attendre au regard de ce que certains d’entre nous espéraient et avaient pronostiqué, nos frères et sœurs du Cosmos sont déjà à nos côtés ; ils recourent à toutes sortes de stratégies dans le but d’attirer notre attention et de nous sensibiliser. Si nous voulons vraiment accéder à une forme de vie plus évoluée, il nous faut changer notre conscience de survie en une conscience active du point de vue évolutif, ou inclusive du point de vue cosmique.

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S’auto-responsabiliser sans attendre ni l’exemple ni les consignes de la société

Notre véritable Moi spirituel ne peut émerger dans sa plénitude que si nous faisons preuve d’une discipline personnelle et d’une ouverture vers les autres. Nous ne pouvons plus continuer d’agir comme si nous étions préoccupés uniquement de notre survie en sacrifiant sans état d’âme l’exploitation de l’environnement et des faibles à notre bien-être personnel. Par analogie, nos frères et sœurs du cosmos souhaiteraient nous aider, mais nous devons au préalable élever notre niveau vibratoire et atteindre un certain palier en-dessous duquel toute intervention et manifestation d’envergure de leur part serait non seulement inutile mais même dangereuse.

Le pouvoir de la transformation est en nous, mais nous sommes comme des diamants recouverts de couches d’ego discordantes voilant l’éclat de notre Moi spirituel et cosmique. Nous ne sommes pas si différents de nos frères et sœurs de l’espace, mais notre nature humaine reste très primitive : nous nous laissons manipuler par notre égoïsme et nous manquons d’amour les uns envers les autres. Nous en subissons et en subirons désormais de plus en plus les conséquences. Imaginons un instant ce qu’était jadis la vie des grands primates : ils imposaient leur loi à tous les autres animaux qui partageaient leur environnement. Mais aujourd’hui, leur vie devient de plus en plus difficile et inconfortable, n’est-ce pas ? Alors pourquoi devrions-nous nous cramponner coûte que coûte à de vieilles formes, alors même que nous les savons condamnées à disparaître ?

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Cas de Kosmo et de « son » vaisseau

Lâcher prise ne signifie pas se polariser sur les extraterrestres, mais aller au-delà de tout concept de limitation. Voici ce qui est arrivé à l’un d’entre nous – Appelons-le Kosmo. Après avoir demandé intérieurement durant des années à être contacté, Kosmo s’est un jour retrouvé dans un local blanc tout rond, hormis le sol qui était plat. Apparemment, il respirait normalement, n’avait ni chaud ni froid, se déplaçait aussi facilement que sur Terre. Et il avait bien sûr une foule de questions à poser.

D’autres Terriens qui se trouvaient présents à bord du même vaisseau lui ont expliqué les principales choses qu’il avait besoin de savoir sans attendre. D’abord, dans ce local où il se trouvait, n’importe quel endroit de la cloison courbe et molle pouvait servir de « mur d’énergie ». En y posant la main d’une certaine manière, on pouvait soit la traverser pour aller de l’autre côté, soit y enfoncer les doigts pour la tirer vers soi. On pouvait encore, si on le désirait, voir à travers. Dans ce cas, elle devenait transparente comme un miroir scintillant. C’était aussi le moyen d’accès au cerveau central du vaisseau pour demander quelque chose ou étudier.

À ce sujet, on lui a expliqué que des instructeurs parlant français allaient venir le voir. Ils ne pourraient entrer dans son local car ils n’utilisent pas d’oxygène dans leurs vaisseaux : les extraterrestres, du moins ceux de cette race, ne respirent pas, ne s’alimentent pas, ne dorment jamais, ne se reproduisent pas, travaillent en permanence. Ils sont cependant toujours disponibles pour nous si nous les appelons au mur d’énergie. Nous les Terriens pouvons manger normalement, car les extraterrestres sont capables de tout reproduire à partir des modèles de formes qu’ils ramènent de la Terre à bord de leurs navettes, aussi bien des aliments que des vêtements ou des informations.

Pour se laver, pas besoin d’eau. Il suffit de se rendre en un endroit déterminé du mur d’énergie, et instantanément une sorte d’aspirateur vous débarrasse de tout ce qui vous semble superflu, y compris la barbe et les poils, à moins que vous ne souhaitiez les conserver.

Au fur et à mesure de son expérience, Kosmo se rendit peu à peu compte de la situation difficile dans laquelle il s’était lui-même plongé. Il avait choisi de se rendre à bord d’un vaisseau pour y étudier les connaissances scientifiques des extraterrestres et leur technicité. Mais il se rendait maintenant compte qu’il allait lui être difficile de trouver les mots pour les partager avec des Terriens. En effet, certains de leurs concepts sont complètement inconnus sur Terre. C’était un peu comme s’il avait dû, face au tableau d’un peintre, décrire la couleur rouge à un aveugle de naissance !

Rassuré par les autres Terriens du vaisseau, il finit par réussir à se débarrasser progressivement de ses peurs. De plus sa curiosité était forte. Et il avait besoin d’en savoir toujours plus sur ces extraterrestres. C’est alors que l’un d’eux se matérialisa dans un cercle de lumière sur le mur d’énergie. Il portait une sorte de boîte lumineuse sous la tête. Je dis sous la tête, car son cou était à peine visible. Il restait debout, presque sans bouger, sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer. C’est ainsi qu’il s’aperçut qu’il pouvait traverser son image et se retrouver derrière lui, de l’autre côté du mur. Une fois qu’ils se furent retrouvés face à face, son visiteur commença à lui parler en français.

« Je suis venu vous parler, car vous avez beaucoup de questions en vous. Nous allons vous instruire de tout ce que vous avez besoin de connaître. Nous répondrons à toutes vos questions mais surtout, vous pourrez interroger le cerveau central par l’intermédiaire du mur d’énergie sur tout ce que vous voudrez savoir et autant de fois que vous le voudrez. Toutes nos connaissances y sont stockées et pour vous en français.

Comme vous avez besoin d’air, vous ne pourrez pas venir chez nous. Même moi, pour vous parler, je dois porter cette petite boîte qui me délivre l’air nécessaire pour cela. Quand vous aurez épuisé les questions personnelles, votre instruction proprement dite commencera à votre rythme. Mais vous verrez ; ce sera très rapide. Votre motivation sera la curiosité. »

Kosmo posa alors aussitôt une foule de questions en vrac, et autant qu’il se souvienne, d’une manière un peu confuse. L’extraterrestre le laissa parler sans jamais l’interrompre ni marquer une émotion quelconque. Comme il le constata par la suite, le visage des extraterrestres, du moins ceux de cette race, est toujours figé et les yeux fixes.

En dépit de sa curiosité, beaucoup de séances lui furent nécessaires pour comprendre les réponses aux questions qu’il venait de poser. Au départ, son niveau d’instruction ne lui permettait pas de tout appréhender. Jamais cependant son interlocuteur ne lui fit aucune remarque désobligeante. Ce n’est donc que petit à petit et au fur et à mesure de son instruction proprement dite que, grâce à son assistance, il put commencer à comprendre ce que sont les extraterrestres, ce qu’ils veulent, à quoi ils nous destinent et comment ils conçoivent notre avenir.

Pour les extraterrestres, tout se résume à Dieu ; et parler de Dieu, c’est parler du Cosmos. Voici ce qu’ils en disent : « Pour nous, ce que vous appelez Dieu est Information. Nous l’avons démontré par les mathématiques. Cette Information est préexistante à la création actuelle. Par l’observation du vivant, nous savons aussi que cette Information est orientée, même si son agencement dans le temps de chaque planète est aléatoire.

C’est cette Information qui fait exister le Cosmos, à la fois éternellement et d’une manière cyclique. Il existe en effet un « avant » la création éternelle actuelle. Le départ de la création actuelle est une explosion d’énergie-matière. L’énergie et la matière, c’est la même chose. Cette énergie-matière est en expansion, créant en conséquence les galaxies, des soleils, des planètes et le vivant. Vous comme nous sommes des fragments de cette énergie-matière.

Cette expansion s’accélère continuellement. Un moment viendra où d’aucune planète on ne pourra voir un autre soleil ni même une autre planète. Les soleils, de toute façon, s’éteindront au fur et à mesure qu’ils auront brûlé toute leur énergie. La quantité d’énergie-matière étant finie et éternelle, elle continue d’exister, mais se transforme. Lorsque tous les soleils seront éteints, l’énergie-matière du cosmos se concentrera en un point immatériel qui est Information. C’est un cycle éternel création-expansion-compression-création.

Bien entendu, chaque soleil qui s’éteint est une fin du monde partielle pour ses planètes. Rassurez-vous, le Soleil de la Terre durera encore longtemps et la Terre aussi sauf accident. Ce sont ces possibilités d’accidents que nous sommes en mesure de prévoir dans notre environnement. Par exemple, nous avons pu prévoir la fin de notre planète et partir à temps.

Il reste des questions que nous n’avons pas résolues. Certains êtres vivant sur diverses planètes pensent que Dieu est extérieur au Cosmos. Dans ce cas, même s’il n’est pas possible de changer l’information initiale, on peut améliorer l’agencement des codes d’information à l’intérieur d’un cycle par la prière, par la méditation, par la connaissance et par le travail. En effet, par l’observation on peut remarquer que ces codes d’information semblent avoir été conçus par un Dieu.

Nous, nous pensons que Dieu est à la fois Information et Cosmos et qu’en conséquence nous pouvons améliorer la vie dans le Cosmos d’une manière rationnelle et logique par la connaissance et le travail. Nous pensons pouvoir, avant la fin de ce cycle, intervenir dans l’information. Nous y travaillons. »

Faute de point de repère dans l’espace, Kosmo a toujours ignoré où se trouvait « son » vaisseau, mais ce qu’il a réussi à comprendre, c’est qu’il était soit proche, soit à l’intérieur du système solaire. Il n’était pas matériel dans le sens où nous l’entendons. En effet, son enveloppe extérieure est pure « énergie-matière », comme ils disent. On ne peut le voir de l’extérieur. Il est donc invisible de notre planète. De l’intérieur il semble immense, mais comme les extraterrestres peuvent dilater ou compresser l’énergie, il semble a priori impossible de détecter sa présence dans le Cosmos et ses effets sur son environnement.

Les extraterrestres ont quitté leur planète il y a des milliers d’années (en équivalent terrestre) pour se réfugier dans des vaisseaux, car une collision avec un corps céleste était prévue depuis longtemps. Les vaisseaux se déplacent comme des escadrilles, et ils restent rarement positionnés au même endroit. Ils se partagent la surveillance de l’ensemble des planètes qui leur sont le plus proches. Il s’agit d’interception d’émissions de toutes sortes, mais aussi d’envoi et de récupération « d’espions » sur la planète considérée. Pour la Terre et pour des raisons de commodité et d’efficacité, il s’agit en général d’anciens Terriens. Certains vivent avec les extraterrestres depuis des milliers d’années. Plusieurs sont en cours de mutation de leur vivant et ressemblent de plus en plus aux véritables extraterrestres. Leur morphologie change. Beaucoup n’ont quasiment plus d’organes génitaux par exemple.

Le vaisseau où Kosmo s’était rendu est en charge de la surveillance de notre système solaire et donc de notre Terre. Les mots qu’il entendait le plus souvent en consultant le cerveau central étaient « rationnel » ou « logique ». Or, selon les extraterrestres, il n’est pas rationnel d’intervenir d’aucune manière dans la vie d’une planète ou de ses habitants, ni même de se faire connaître. Si cela arrive par accident, le témoin est enlevé et transporté jusqu’au vaisseau. Il pourra y vivre et, s’il le veut, participer aux recherches.

Cependant, il existe d’autres extraterrestres venant du grand « ailleurs ». Avec certains, le vaisseau peut communiquer, avec d’autres non. Mais cela ne semblait pas inquiéter les extraterrestres que Kosmo a rencontrés. Ils lui semblaient n’être que de passage. Ils ne paraissent s’intéresser à la Terre qu’au titre de leur collecte de renseignements. Ils savent presque tout ce qui se passe sur Terre. Ce qu’ils ne savent pas, leurs « espions » peuvent le compléter. Ils peuvent ramener au vaisseau livres et journaux. Ils ramènent également des objets, ou pour les Terriens à bord, des échantillons alimentaires à reproduire et aussi toutes sortes de choses et de renseignements pour enrichir le cerveau central qui est commun à tous les vaisseaux et accessible à tous, y compris aux Terriens et dans la langue de leur choix.

Si un Terrien n’a pas une bonne instruction à son arrivée, les extraterrestres l’éduquent en commençant par la maîtrise de sa propre langue avant de l’initier à la manipulation du cerveau central. Ce fut le cas de Kosmo. C’est ainsi que l’on peut connaître le passé comme le présent de la Terre dans tous les domaines, mais aussi tout ce qui est répertorié de n’importe quelle autre planète.

Il y a cependant des choses qu’ils ne comprennent pas très bien pour le moment. Par exemple, concernant la Terre, ils constatent, mais ne comprennent pas, l’utilité de la diversité du vivant conscient. Ils en connaissent le processus, mais se posent la question du pourquoi de cette information spéciale pour la Terre. Ils étudient nos émotions aussi mais eux ne semblent pas en avoir. Ils sont rationnels, point. Le concept de nations différentes leur est étranger, ainsi que ses conséquences, comme celle de l’existence de langues différentes. Il semble que sur toutes les planètes qu’ils ont visitées, il n’y ait qu’une unique forme de vie consciente, lorsqu’elle existe bien entendu. Il n’y a donc qu’un seul peuple par planète. Pas de nations différentes et une seule « langue ».

Le concept de démocratie n’est pas très bien appréhendé non plus. Selon eux, pour chaque problème il ne peut y avoir qu’une seule réponse possible, et c’est celle qui est la plus rationnelle et logique. Si un problème se pose, les extraterrestres n’ont pas besoin de communiquer entre eux, tous sans exception trouvent en même temps la seule réponse possible. Voilà pourquoi aussi la Terre les intéresse.

Bien qu’ils essaient de parvenir à connaître la totalité de l’information initiale pour pouvoir peut-être la manipuler, les extraterrestres savent qu’ils n’échapperont sans doute pas à la fin du Cosmos. En attendant, ils vivent très très longtemps. Ils sont partis de leur planète il y a des milliers d’années si l’on raisonne en temps terrestre, et depuis, aucun n’est mort, dit le cerveau central. Un point noir, pourtant : il est arrivé, rarement, mais il est arrivé que des navettes ne soient jamais rentrées au vaisseau. Ils n’ont aucune explication à ce sujet pour le moment.

Ils sont donc, à l’intérieur de leurs vaisseaux, toujours le même nombre. Combien sont-ils ? Des milliers, des millions ? Impossible de savoir. Comment font-ils pour ne pas vieillir, ni eux, ni les Terriens « prisonniers consentants » ? Il en est de même pour les autres entités conscientes venant d’autres planètes, habitant d’autres vaisseaux. Tous les habitants des vaisseaux bénéficient de la même longévité, même si certains ont besoin de respirer ou d’autre chose pour vivre.

Ceux qui parmi les Terriens sont là depuis des milliers d’années finissent par changer. Ils mutent de leur vivant. Certains organes s’atrophient puis disparaissent. Il n’y a jamais de décès ni chez les extraterrestres ni chez les Terriens, et c’est la principale raison pour laquelle aucun de ces derniers ne veut retourner sur Terre.

Dans le vaisseau il y a la même gravité que sur Terre. Peut-être le vaisseau tourne-t-il sur lui-même. On ne peut aller dans les locaux des extraterrestres, mais on peut les voir et ils se déplacent comme nous sans flotter.

J’ai déjà eu l’occasion de préciser que les extraterrestres ne s’alimentent pas, ne dorment jamais, ne respirent pas et ne se reproduisent pas non plus. Leur aliment, c’est l’énergie. En permanence ils reçoivent l’énergie nécessaire. Pour eux comme pour nous, les corps sont analysés en permanence sans que le sujet ne s’en rende compte, et les besoins sont satisfaits aussitôt.

Aucune maladie ne peut se déclarer sans qu’en amont un manque ne soit satisfait à temps. Les neurones ou d’autres cellules sont réparés ou changés à temps, ce qui supprime le vieillissement. Les extraterrestres peuvent tout faire, même changer un cerveau et y injecter la mémoire ancienne.

Concernant la mémoire, il semble qu’il y ait une limite à son contenu. En effet, il arrive que le cerveau central indique à certains sujets qu’ils doivent « déposer » provisoirement leurs souvenirs les plus anciens dans le cerveau central. À tout moment, s’ils en éprouvent le besoin, ils peuvent y avoir de nouveau accès par le cerveau central. Mais tous les autres également, car dans les vaisseaux tout est commun, les renseignements aussi. Voilà ce que je peux dire au sujet de la santé.

Pour les extraterrestres, les voyages dans le Cosmos ne dépendent ni de la vitesse de la lumière, ni de la gravité des corps célestes, ni du temps et ni de l’énergie utilisée pour pousser une fusée. L’Univers est en expansion. Et cette expansion s’accélère continuellement. Il est donc illusoire de croire que l’on peut, avec une fusée, quelle que soit sa puissance, rattraper un système qui s’éloigne et accélère à des vitesses qui peuvent être supérieures à la vitesse de la lumière dans un temps local. En effet, plus la « taille » d’un objet est importante – un système autour d’une étoile par exemple – plus sa vitesse propre est lente. À l’inverse, plus un objet est petit, plus sa vitesse propre est rapide. C’est pour cette raison que les extraterrestres ont trouvé un moyen de voyager dans l’espace-temps. Ils se servent de l’infiniment petit.

Il est difficile d’expliquer ces choses, car les concepts scientifiques des extraterrestres et ceux de la Terre sont très différents. Pour les Terriens, les galaxies, visibles ou non, c’est le Cosmos, dont le système solaire fait partie. Pour les extraterrestres c’est comme la peau d’un ballon. Les galaxies sont sur la peau de ce ballon. Notre système solaire aussi bien entendu. À l’intérieur du ballon, l’espace, le temps, les distances sont fluctuants.

De même, nos scientifiques pensent que pour qu’il y ait de la vie il faut de l’eau, du gaz carbonique, que sais-je encore. Dans notre système solaire : peut-être, mais qui peut prouver que sur d’autres systèmes il en soit de même ? C’est un postulat, rien de plus. Ils objectent aussi les distances. C’est vrai. Mais peut-être est-il possible de voyager dans le Cosmos autrement que les Terriens l’imaginent !

Ce qui limite le plus le contact de l’être humain avec les vaisseaux et avec les civilisations subtiles, c’est l’égoïsme. Ce ne sont pas les Frères aînés, membres d’humanités plus évoluées, qui cachent leur existence à l’homme terrestre, mais c’est lui qui s’éloigne d’eux en tissant autour de lui un réseau dense de forces hostiles et matérialistes.

Adaptation – Olivier de Rouvroy

Rédaction – Juillet 2013

Publication – 27 mai 2015

Source originelle – EreNouvelle.fr

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Site et blog OdR

LesPortesDeL’EreNouvelle

EreNouvelle.fr

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Départ d’Olivier de Rouvroy

Précisions de Delta de la Lyre

Nous remercions l’entourage d’Olivier pour cette belle démarche d’édition.

S’il avait été encore de ce monde l’article aurait eu soit son titre modifié soit son corps de texte complété par d’autres exemples. Il est indéniable que ce dernier texte est incomplet car devant sans doute être remanié et re-documenté ; c’est pourquoi de
– Article posthume d’Olivier De Rouvroy : Les VAISSEAUX DE L’ESPACE et leurs équipages
le titre retenu pour ce présent article est
– Article posthume d’Olivier De Rouvroy
… il est clair que cette rédaction n’énumère pas l’ensemble des divers types d’équipages pouvant exister ni les variétés de vaisseaux spatiaux… tels qu’Olivier les avaient déjà répertoriés au sein même de son site.
Semblant donc n’ayant pas connu de révision définitive j’ai aussi pris soin d’ajouter les titres secondaires ou titres des grandes parties pour une meilleure lisibilité structurante.

En fin d’article nous lisons le mot « Adaptation ». Il est fort probable qu’Olivier fut entrain de résumer un témoignage ou un livre afin d’en présenter un condensé aux internautes. Mais alors de quel livre peut-il bien s’agir ?

Le savoir c’est bien, la connaissance c’est mieux, l’intégration (avoir compris ses propres expériences) c’est encore mieux. La chercheuse ou le chercheur a tout bénéfice de se remémorer que les matrices, si matrices il y a, exercent leurs emprises tellement insidieusement qu’elles en sont en définitive réellement lourdes ; il est alors judicieux et même impérieux de voir plus loin, toujours plus loin, que ce soit vers l’extérieur ou en soi. Tout « bon » texte est un plus pour soi. Néanmoins, non seulement un écrit n’est pas automatiquement exhaustif, ce n’est pas forcément son rôle, mais il est surtout relatif au niveau de croyance de son auteur voir des propres expériences de celui-ci – c’est une réalité, une réalité qui n’est ni forcément la vôtre ni forcément la réalité suprême, si réalité définitive il y avait ; c’est un niveau de réalité atteint par certains certaines alors qu’il en existe des inférieurs tout comme il existe des niveaux supérieurs de réalités. Un témoignage ou encore un écrit est généralement en résonance par rapport à ce qu’est son producteur à un moment « T », et, aussi, est en très grande résonance vis-à-vis du lecteur ou de la lectrice qui s’attire ce qui lui correspond au moment présent.
D’ailleurs, le témoignage de Kosmo et de ses interlocuteurs est froid, à la manière ummite, même s’il ne semble pas qu’il s’agisse ici d’ummites, autant qu’il apparaît comme sans espoir ou fataliste. En dehors de ce récit, d’autres personnes furent contactées par des présences extraterrestres sans pour autant que leurs expériences aient été froides. Ici on peut supposer que Kosmo se soit attiré à lui un type de présence extraterrestre en conformité avec ses propres croyances et sa propre façon d’être dans la vie.

« opèrent ensuite un changement de direction » : en effet, je confirme, du moins concernant les OVNI visibles la nuit et étant de couleur jaune tirant vers l’orangé, ou aussi comme récemment : orange presque rouge. Après avoir suivi leur(s) couloir (s) aérien à une vitesse approximativement deux fois plus rapide qu’un avion de ligne commerciale et sans clignoter à l’inverse d’un avion, soudain les OVNI opèrent un changement directionnel de moins de 90° donnant ainsi l’impression d’un ralentissement et très vite ils disparaissent pour réapparaître aussitôt, puis disparaissent définitivement soit dû à une accélération extrêmement puissante soit dû à un changement d’espace-temps ou dimensionnel.

Les contenus qu’Olivier le pionnier nous présenta depuis les débuts d’Internet, étaient-ils vrais, étaient-ils faux ? Un peu des deux ! En quelle proportion ? Peu importe ! En tout les cas il aura réussi à faire tomber les ornières de milliers de lectrices lecteurs chercheuses chercheurs qui ne demandèrent que ça, faire tomber les œillères collées puis scotchées puis agrafées puis scellées au mortier au dessus des joues par une société étriquée d’esprit. Qu’il en soit à nouveau remercié.

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Photos & dessins

1ère – Goutte d’eau par Katia
3ème – Croquis de N. Fowkes
4ème – John Bardeen, Walter Brattain et William Schockley
8ème – Système Solaire par Jay Morague
9ème – B. Woelck

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Source présent article, choix et pose des liens, précisionsDelta de la Lyre

Olivier De Rouvroy