Que sonne le tocsin , car l’heure est venu
Nul fin nul départ mais seulement la rue
Les vaches commes les rats, ce tiendront la main
Marcherons de la concordes miséricordes demanderont t’il des comptes à la cours du rois
Mangerons dans les mangeoires, couperons leurs nageoires et ouvrirons les océans
Pour rendre la noir rivières des larmes du ciel.

A part toi , à part toi qui jamais ne trahi ni folie, ni éxcés, ni injustice , fermement etabli , par ton sabre tu tranche la nuit car les signes prennent leurs envols et viennent frôler l’eau et faire s’envoler tout les parasols
Nul n’est à l’abris, cela est dit cela est dit
Que les oisillons sorte de leur nid et en Aigle des cieux prennent leur envol vers la terre du milieux.

Mark A Lee