La transition et le monde financier

Frère Lantos parle au nom des Gardiens de la Flamme :
Il est beau de comprendre la beauté de cette transition qui s’opère dans le collectif de l’humanité et d’appliquer cela à tous les domaines des relations, y compris la relation avec ce que vous appelez le monde financier. N’affirmer que l’évidence de l’abondance. La plus belle contribution est de sortir l’humanité de cette croyance qu’elle a besoin d’être assistée, et de ramener l’humanité à sa divinité. La plus belle contribution est d’affirmer cette évidence que le monde financier est le monde de l’énergie et le monde de l’attraction. Ne rétrécissez pas votre désir de l’abondance en y mettant en parallèle une notion de manque. Ne visualisez pas pour l’humanité une notion de manque ou une nécessité d’assistance.
Les manques ne sont que des croyances. Les apparences de manque ne sont souvent que le résultat de gaspillages, que les gaspillages soient énergétiques, émotionnels ou financiers même.
Sortir l’humanité de cette croyance de manque ou de crise. Ramener l’humanité dans la connaissance des lois de l’abondance. Les lois de l’abondance sont les lois de la plénitude. Les lois de l’abondance sont les lois de l’affirmation.
Les lois de l’abondance sont les lois du cœur. Sortir des mécanismes de la tête qui impose la réalité du manque ou de l’étriqué. Peu d’argent, peu d’énergie, peu de santé, peu de peu… alors que l’univers projeté par l’Être que Je Suis n’est que plénitude et qu’abondance, abondance la plus totale.
Et à celui qui affirme l’abondance ou à celle qui affirme la plénitude, la réponse vient en fonction de l’affirmation. Vous le savez, n’est-ce pas, vous créez vos réalités. La beauté n’est plus d’exister, la beauté est de faire comprendre à l’humanité que la croyance dans le besoin d’assistance est terminée car l’humain est divin.
L’abondance ramène l’humanité hors de cette course pour le temps. Le temps n’existe pas…
N’oubliez jamais cela, on ne peut suivre à la fois les vieilles voies, les vieux modes de comportement, et l’invitation nouvelle. Cela implique la clarté et le dynamisme de l’éternelle remise en question et de l’éternel autodépassement.

Agnès Bos-masseron