Message de l’Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron le 16-6-17

Tu le vois, les événements semblent taquiner, crisper ou chagriner peut-être. Le regard juste est ce regard qui sait rester le juste milieu au cœur de tout événement, qu’il cause du chagrin ou qu’il cause de la joie. Cela est la graine de la liberté et du vrai enthousiasme. L’enthousiasme n’est pas l’addiction à certaines circonstances ou certains événements. L’enthousiasme est ce souffle vital qui traverse chaque événement, ce souffle vital qui est le regard de la conscience qui reconnaît et qui choisit de garder son attention sur la simple beauté de l’infini de l’Être au cœur de chaque événement.
Ainsi tu t’autonourris éternellement et tu sors de l’histoire. Ceux qui semblent les autres peuvent créer des histoires à l’image de leur attention ou de leur inattention, tu restes le dévot de la beauté de ce qui semble l’autre au cœur des apparences, car étant le dévot de la beauté, tu es le dévot de l’Être et restes hors de l’histoire sans attachement, sans addiction, avec peut-être une préférence légère. L’intention reste à l’intention première de l’incarnation, servir ananda concrètement. Cela est source de joie.
Ne plus s’accrocher aux événements. Cela, il conviendrait de l’inscrire sur les murs de vos villes, car en s’accrochant aux événements, on sombre. En voulant que les événements soient tels qu’on les commande, on sombre. Alors en servant la beauté, cette simple beauté qu’est l’Être, au cœur des événements, sans jugement, sans crispation, le dévot sait entrer en relation avec sa propre énergie. Le dévot sait que son attention et la façon dont il façonne sa propre énergie, ses propre sentiments, sont indépendants de tout événement.
Couper la chaîne de cause et d’effet pour devenir être de pleine clarté et de pleine conscience qui sait entrer en relation avec son intention et nourrir cette intention de par son attention. Alors au cœur de chaque événement, resplendit la beauté. Sortir des jugements par rapport aux événements et ne pas s’accrocher. Ne s’accrocher à rien d’autre qu’à sa propre nature. Ainsi l’on traverse tous les courants, toutes les marées et même ce qui semble marécage, sans s’enliser, avec la beauté du nénuphar et la simple grandeur du dévot de l’amour. La simple grandeur du dévot de l’amour. A s’accrocher aux événements, l’on oublie que Je Suis le dévot de l’amour.

Agnès Bos-masseron