Il n’y eu point de “positives vibes” mais un évènement capital et d’une rigoureuse précision sur la date : le test Divine Strake de simulation atomique visant à détruire les installations nucléaires souterraines de l’Iran a été annulé indéfiniment le 25 mai 2006 !

Vous pouvez vérifier cela sur le site suivant qui a compilé tous les articles importants sur cette affaire (premier lien ci-dessous) et l’article sur l’annulation de Divine Strake (second lien) :

http://www.bibliotecapleyades.net/esp_autor_ericjulien.htm#menu

http://www.bibliotecapleyades.net/exopolitica/esp_exopolitics_ZZZBa.htm

Mais on tente désespérément ici ou là sur Internet de vous faire croire que la prédiction a simplement été un échec, alors qu’en réalité ce fut un énorme succès puisque l’objet même de la prédiction conditionnelle fut réalisé !

Voici donc l’histoire de cette prédiction conditionnelle et de son bilan tirée du tome II de l’ouvrage « Les Messagers » dont la lecture est offerte gratuitement en téléchargement vers les liens suivants :

Les Messagers (Désirez-vous nous voir apparaître ?) Tome I: http://www.sendspace.com/file/2jg982

Les Messagers (Le Retour du Christ) Tome II : http://www.sendspace.com/file/r5qnlc

Les Messagers (Annexes) : http://www.sendspace.com/file/z6246j

Vous pouvez également prendre connaissance de la « Lettre des Messagers » (les "Messagers" sont Eve Marchal et moi-même, auteurs de ces ouvrages) disponible ici :

http://www.choix-realite.org/?7295-lettre-des-messagers-version-officielle-du-30-avril-2009#co

Alerte au tsunami géant.

Le sept avril 2006, vers vingt-deux heures, nous nous rendions Eve et moi, accompagné du fondateur d’Exopolitics Institute, alors temporairement célibataire, sur le golf du prestigieux hôtel Sheraton à Kona, Hawaii. Nous désirions faire une méditation face à l’océan pacifique après un excellent dîner au restaurant où nous venions de fêter la création juridique de notre société d’édition, Allies Publishing, Inc., en charge de la publication aux Etats-Unis de La Science des Extraterrestres en version anglaise.

Tout en marchant, il m’indiqua que sa femme, alors en voyage au Mexique, avait reçu une alerte télépathique venant de dauphins avec lesquels, selon lui, elle entrait souvent en contact. La nature de cette information obtenue quelques semaines auparavant était alarmante : une vague géante devait balayer des côtes et faire un nombre apocalyptique de victimes. L’événement devait se produire dans les semaines à venir.

Il précisa que cette même information avait été transmise par une baleine à une amie commune qui pratiquait depuis des années des contacts télépathiques avec des mammifères marins et des entités lumineuses.

Surpris par les sources de cette dramatique prédiction, j’évoquai les images de vagues géantes que je reçus moi-même trois ans plus tôt. De même, Eve décrivit sa vision de 2001. Cette nouvelle me préoccupa suffisamment pour demander à nos amis bleus s’ils avaient un quelconque avis sur la question. Arrivés tout près du rivage rocheux surplombant le ressac de l’océan en contrebas, nous nous couchâmes sur le gazon du golf, faisant face à un magnifique ciel étoilé. Emporté par cette paisible atmosphère de contemplation et mu par le relatif silence marin, j’adressai une pensée à nos amis extraterrestres. Je leur demandai explicitement s’ils avaient la moindre information sur la prédiction de tsunami. J’étais calme et serein. Je vidai progressivement mon esprit de toute préconception.

Soudain, une simple date, associée aux images de catastrophe maritime telles que je les vis trois ans plus tôt, s’imposa à moi : autour du 25 mai 2006 !

Aussitôt, une avalanche de flashs fit irruption. J’y vis la série d’événements qui aboutissaient à un tsunami gigantesque dans l’Atlantique avec une vague de près de deux cent mètres de haut. J’en fus très impressionné autant que muet. La source de ce tsunami venait de l’espace, plus exactement d’une intervention extraterrestre. Une météorite hyper véloce et suffisamment grosse déclenchait par son impact le réveil de volcans sous-marins au beau milieu de l’océan. Libérant une masse considérable de lave et de poussières pyroclastiques, les volcans sous-marins créaient alors une onde prodigieusement puissante qui se transformait progressivement en vagues monstrueuses à proximité des côtes atlantiques. Le point d’impact de la météorite était situé un peu au-dessus de l’équateur, à mi-chemin entre l’Amérique Centrale et l’Afrique.

Je fis part de cette date et de ces événements au responsable d’Exopolitics Institute où j’étais directeur, ainsi qu’à Eve. La clarté avec laquelle j’avais entendu cette date me mit fortement mal à l’aise. Je tentais de savoir intérieurement s’il n’existait pas une raison profonde pour que ce drame ait lieu autour de cette date, et s’il n’existait pas un contexte conditionnel expliquant un fait aussi meurtrier que probable.

Pour que cette catastrophe survienne ainsi que je l’avais perçue il fallait au moins trois conditions : le passage d’une météorite ou d’une comète très près de la Terre autour du vingt-cinq mai 2006 ; des volcans sous-marins capables d’exploser là où je vis l’impact dans l’Atlantique ; et une motivation extraterrestre suffisante pour menacer l’humanité d’un tel cataclysme.

J’eus les réponses le lendemain même ! Il importe de saisir le déroulement chronologique des faits et des informations glanées pour se rendre compte de leur portée. Tout d’abord, je lus les échanges d’un forum Internet qui mentionnaient de façon anecdotique l’existence de la comète SW3 devant passer à proximité de la Terre fin mai. J’appris que cette comète avait été, selon des scientifiques, mystérieusement fragmentée en passant devant la Terre en 1995, année au cours de laquelle deux crop circles spécifiques apparurent dans des champs britanniques au même moment que cette fragmentation. Les spécialistes les nommèrent Terre manquante et Astéroïde en raison de leur configuration. Mais ces experts ignoraient bien sûr l’affaire SW3 très postérieure (onze ans plus tard).

Ayant une trajectoire elliptique autour du soleil, SW3 revenait donc vers nous en 2006. Je fis ensuite une recherche approfondie sur un site Internet de la NASA dédié aux objets célestes passant à proximité de la Terre. A ma plus grande stupéfaction, il s’agissait de la première comète fragmentée de l’histoire passant aussi près de la Terre. Le plus incroyable, tenez-vous bien, fut que ses fragments de queue, ceux qui étaient prévus les plus proches, devaient croiser le plan de l’écliptique terrestre le 25 mai 2006 ! Ce fait était on ne peut plus concret et démonstratif. Un vent glacial traversa mon échine.

De plus, la trajectoire de cette comète, dont la fragmentation demeurait scientifiquement inexplicable (pourra-t-on jamais assez le répéter) frapperait exactement la Terre un peu au-dessus de l’équateur en cas de collision, c’est-à-dire sur un parallèle où se trouvait justement le point d’impact de ma vision. Ainsi qu’annoncés par la NASA avec raison, les principaux fragments devaient passer assez loin de notre planète autour du douze mai. Alors qu’on m’opposait souvent cet argument, je n’avais cessé moi-même de le répéter ! Mais les fragments de queue, aidés par le vent solaire, s’approchaient dangereusement de nous le vingt-cinq mai, puis le six juin 2006.

J’avais donc ma première condition ! La comète Schwassmann-Wachmann III 73P (SW3), dont j’ignorais jusque-là l’existence, allait frôler la Terre dans la période annoncée par mes amis extraterrestres ! J’en fus terrifié.

Je m’intéressais ensuite aux possibles volcans sous-marins de l’océan Atlantique. Je découvrais avec horreur l’existence de la dorsale Atlantique passant précisément par le point d’impact de ma vision. Mais le pire m’attendait. Cette zone abritait le point le plus élevé de la dorsale qui, par le plus grand des hasards, fut aussi le moins épais de la montagne sous-marine. Or, les études scientifiques montraient que l’activité volcanique y était fortement agitée. Autrement dit, une onde de choc suffisamment forte, comme celle d’un fragment de comète, pouvait déclencher une réaction en chaîne dévastatrice. En effet, les comètes sont les objets les plus rapides de l’espace.

Les fragments de SW3 se déplaçaient à la vitesse respectable de vingt-cinq kilomètres par seconde, soit près de cent mille kilomètres/heure. Un tel bolide traverserait l’atmosphère terrestre en seulement quatre ou cinq secondes. Chacun pensait, moi y compris, que les comètes étaient des boules de neige sale fondant immédiatement dans le ciel par effet thermique. Or, une étude approfondie du sujet m’apprit qu’en réalité il n’en était rien. Les comètes étaient en fait des roches très dures dont le panache était dû aux effets électromagnétiques de l’interaction entre le soleil et la comète qui lâchait ainsi derrière elle, non pas des particules de glace, mais de la poussière électrisée et lumineuse.

Je possédais ainsi ma deuxième condition physique ! Un objet solide et véloce frapperait la Terre exactement là où des volcans sous-marins étaient prêts à exploser ! Ce que, bien sûr, j’ignorais aussi. Notre frayeur, avec Eve, fut à son comble. Mais il fallait comprendre le contexte, le caractère conditionnel de cette alerte.

Quelle pouvait être la troisième condition liée aux manifestations extraterrestres ? Je savais que le feu nucléaire terrestre constituait une raison suffisante pour déclencher des représailles extraterrestres. Mais aucun essai nucléaire n’avait eu lieu depuis 1998 sur notre planète et, de plus, en cinquante ans d’essais atomiques, aucun événement cataclysmique tel que le tsunami géant annoncé ne s’était produit. Alors pourquoi cette alerte à ce moment précis ? Quelle était cette « motivation extraterrestre suffisante pour menacer l’humanité d’un tel choc » ?

La raison me fut donnée par le président d’Exopolitics Institute lui-même, Michael Salla !

En effet, une simulation de destruction des installations nucléaires souterraines de l’Iran à l’aide de bombes atomiques ad hoc était prévue le vingt-trois juin 2006 dans le Nevada, c’est-à-dire un mois après l’ultimatum des extraterrestres hostiles. Cette simulation de la puissance nucléaire prenait la forme d’une charge conventionnelle surpuissante jamais vue jusqu’alors. Elle devait détruire des bunkers spécialement aménagés au Nevada. Mon collègue politologue écrivit alors un article sur les oppositions que ce test Divine Strake suscitait, et les enjeux d’une telle option. Deux parties furent fortement rétives à cette simulation nucléaire d’un nouveau genre.

D’un côté, la population locale du Nevada craignait des retombées radioactives issues des poussières d’anciens tests atomiques que ce test aurait soulevées dans son champignon, puis soufflées jusqu'à Las Vegas.

De l’autre, un front de généraux américains s’opposait farouchement à la politique dominante de l’administration Bush consistant à attaquer l’Iran à l’arme nucléaire au prétexte de frappes uniquement chirurgicales. Les gens ont la mémoire courte. Trop courte. A cette période très précisément, l’option de frappes atomiques de faible puissance sur les bunkers iraniens était très sérieusement avancée. D’ailleurs, scientifiquement, l’arme nucléaire s’avérait la seule solution technique pour détruire les profondes installations des Mollahs.

En dépit de ces oppositions, et bien que ce test fut une fois reporté, Divine Strake était bel et bien programmé ! Cela signifiait que la stratégie d’attaque nucléaire imminente était sur les rails. A travers Divine Strake, cette politique de guerre nucléaire préventive en grandeur réelle engageait cette fois l’humanité dans une escalade apocalyptique. La différence entre les soixante années de tests atomiques disséminés dans le temps, et un pilonnage nucléaire quotidien était l’effet cumulatif des effondrements temporels que les explosions allaient créer dans les mondes parallèles des extraterrestres, et surtout la mort nucléaire (non naturelle et définitive dans l’après-vie) de dizaines de milliers d’individus.

Rappelez-vous que les tests atomiques n’ont touché aucun être humain à l’instant t, surtout que la majorité des essais furent souterrains dès les années soixante. Cela allait être forcément très différent en cas d’attaque américaine réelle en Iran, et ce depuis le ciel puisqu’on parlait de bombardements. Les iraniens avaient au moins sept sites nucléaires d’importance, et plusieurs dizaines d’implantations secondaires que le Pentagone devait nécessairement prendre pour cibles avec ses mini charges atomiques.

Ainsi, à la période antérieure de soixante ans sans représailles extraterrestres, hors les abductions de nature génétique et pédagogique, succédait une ère de guerre préventive extraterrestre à l’arme cométaire à fragmentation. Seuls les extraterrestres hostiles nous réservaient ce sort.

Nous avions la troisième et dernière condition, celle de la motivation extraterrestre, du moins celle de la Troisième Partie. Nous étions proprement effrayés face à l’imminence de la catastrophe planétaire. La vision prophétique se transforma tout à coup en une responsabilité directe et éminente. Nous avions, Eve et moi, une urgente mission d’information à assurer auprès des populations vivant sur les côtes Atlantique ! La survie de millions de personnes était en jeu. Nos amis avaient placé en nous une confiance à la hauteur de cet enjeu depuis tant d’années. Avions-nous le choix de ne rien faire devant tant d’indices criants de vérité ? Pouvions-nous laisser venir les événements tandis que nous savions ? Fallait-il laisser faire le test Divine Strake ? Nous conseillâmes alors aux populations de s’éloigner des côtes suffisamment ou de monter jusqu'à trois cent mètres sur les reliefs du littoral pour éviter les effets dévastateurs de la possible grande vague. Rien d’impossible ni d’irraisonnable à faire.

La question cruciale qui se posa à moi fut celle de la stratégie à adopter. Allions-nous simplement dénoncer un test (Divine Strake) que, pour différentes raisons, des milliers de gens dénonçaient déjà ? Inutile. Notre voix se serait perdue dans le bruit ambiant. Allions-nous écrire sur les dangers pour les extraterrestres des armes atomiques ? Je l’avais déjà fait depuis au moins deux ans sans que la communauté ufologique elle-même n’ait réagi avec intelligence et détermination. Cela n’aurait d’ailleurs aucunement réduit le risque de tsunami car le bruit des sarcasmes de cette communauté, et d’autres, couvraient efficacement le mensonge des autorités.

Bien que paradoxale, une seule stratégie responsable s’imposa alors. Les explications de salon n’ayant eu aucun impact, nous devions frapper les consciences via l’aspect sensationnel de l’alerte ! Je devais me focaliser sur la prophétie plutôt que sur la thèse, ayant en tête la formule anglo-saxonne better safe than sorry.

J’ai commencé à rédiger plusieurs articles sur le risque croissant de vagues immenses en apportant autant d’éléments convaincants que possible. Je balayais les arguments scientifiques sur la trajectoire des fragments, sur des données de la NASA, sur le rôle du vent solaire, sur le caractère mystérieux de la fragmentation, sur la nature et l’histoire des comètes, sur l’activité sismique et volcanique de la dorsale Atlantique et sur bien d’autres aspects techniques. J’avançais aussi des arguments ésotériques tels que des crop circles antérieurs annonçant clairement cet événement. J’indiquais les références prophétiques issues de diverses sources fort connues comme le Code de la Bible, Nostradamus, Mère Shipton et d’autres encore. Je citais enfin des dizaines d’internautes qui avaient eu les mêmes visions ou des visions similaires. Plus je cherchais et étudiais les travaux d’autrui, plus le caractère authentique et argumenté de cette prédiction conditionnelle extraterrestre s’inscrivait dans le marbre.

Dès les premières heures de ma recherche, le président d’Exopolitics Institute fut impressionné par la remarquable convergence du faisceau d’indices que je fournissais. Il me proposa de réaliser un communiqué de presse au nom de son organisation servant de caisse de résonance à cette alerte. Après tout, l’objet de cet institut, créé dix mois plus tôt à Hawaii, était l’étude et la promotion des relations entre l’humanité et les civilisations de l’espace. En qualité de directeur, j’avais écrit deux articles dans le Exopolitics Journal, l’un sur la science des extraterrestres fondée sur la nature fractale du temps, l’autre sur le danger que les armes nucléaires représentaient pour ces derniers en terme de destruction de l’espace-temps, raison essentielle de leur apparition massive après la Seconde Guerre mondiale.

Cette alerte réelle constituait donc un parfait prolongement, une parfaite justification des activités de cet institut. Ainsi, il traduisit en anglais les deux premiers articles que je venais d’écrire sur le tsunami. Il écrivit même un papier dans lequel il fit un plagiat évident : « Utilisant l’analyse d’Eric, je formule la possibilité qu’un impact d’astéroïde pourrait être mis en oeuvre pour arrêter une telle guerre nucléaire. Cela m’apparaît être la conclusion logique…» Nos relations furent excellentes jusqu’au retour du Mexique de sa femme dix jours plus tard. Eve s’attendait intuitivement à une opposition forte de sa part avant même qu’elle ne fut parmi nous.

Soudain, au retour de sa très récente épouse qui lui ouvrait le droit marital à vivre sur le sol américain sans lequel sa carrière exopolitique était mort-née, il fut donc question d’un disclaimer, mention laissant à un auteur la seule responsabilité de ses propos. Puis, elle fit une évasive à propos d’un contact avec une entité invisible bleue lui affirmant que la catastrophe n’aurait pas lieu et, qu’en conséquence, il ne fallait rien faire ! Sur quelle preuve basait-elle cette assertion ? Aucune ! Le politologue australien se rangea à l’avis de sa femme dont il dépendait pour sa demande de visa américain qui, ainsi, trahissait ses propres perceptions extrasensorielles !

Le plus extraordinaire est que Michael Salla nous avait avoué lors du dîner qui précéda notre méditation du sept avril 2006 que sa femme était partie au Mexique la veille sur recommandation d’une entité bleue l’invitant à monter à bord d’un vaisseau extraterrestre dans ce pays éloigné. Cela n’arriva pas ! Et c’est cette même entité bleue qui lui indiqua le 22 avril 2006, après son retour à Hawaii, que le tsunami n’aurait pas lieu, mais qu’une victoire symbolique nous serait accordée, à Eve et moi. MAIS POUVAIT-IL Y AVOIR VICTOIRE SANS BATAILLE ? Comment Michael Salla a-t-il préféré se dissocier de notre alerte alors qu’il avait la preuve que s.a femme avait été intentionnellement éloignée par des extraterrestres pour éviter son influence négative auprès de son nouveau mari ?

En revanche, l’action d’information que nous avions engagée Eve et moi était fondée sur un nombre croissant d’éléments tant scientifiques qu’ésotériques qui ne souffrait en aucune manière la comparaison. Souvenez-vous que j’ignorais l’existence de SW3, et de son croisement de l’écliptique au 25 mai 2006, lorsque je reçus cette date le sept avril 2006 en méditation ! Nos amis hawaiiens avaient choisi de ne rien dire à personne, au risque de devenir des meurtriers potentiels. Nous avions choisi d’agir et de risquer notre réputation pour sauver des millions de gens.

Les enjeux personnels étaient grands : pour eux, la réussite de leur conférence du mois de juin 2006 sur le thème de la paix avec les extraterrestres (sic) ! Leur crédibilité dans la communauté ufologique était dans la balance.

Pour nous, l’enjeu pouvait être l’échec probable de la sortie de deux ouvrages, l’un en langue française en mai, l’autre aux USA en septembre. S’exposer à ce point pour une alerte extraterrestre au tsunami hypothéquait, à coup sûr, le succès de ces sorties littéraires en cas d’absence d’événement. Peut-être même des poursuites judiciaires nous menaceraient-elles. Mais forts d’un passé de templiers, nous n’avions pas hésité une seconde pour nous mettre en péril au bénéfice possible de dizaines de millions de vies.

L’exopolitique n’était ni un jeu ni un passe-temps pour nous ! Nous n’avions pas une crédibilité ou une carrière à défendre ou à protéger. Seule la vie d’autrui valait la peine d’être défendue et protégée. Nous savions par expérience ce dont certains extraterrestres étaient capables. Le discernement était la principale qualité pour aborder la question extraterrestre. Depuis longtemps déjà nous avions fait la distinction entre extraterrestres bienveillants et hostiles. Rappelez-vous l’irruption des Reptiliens à la maison. Altruisme et discernement étaient dont les principes fondamentaux que la chevalerie templière nous avait enseigné par le passé.

Je remis donc immédiatement ma démission du poste de directeur d’Exopolitics Institute et déclinai ma participation à leur conférence de juin. La tension monta rapidement de plusieurs crans entre les deux couples au point de ne plus communiquer après que le fondateur d’Exopolitics Institute (et sa femme opportunément et fraîchement nommée directeur de cet institut), se soit publiquement dissocié de notre alerte conditionnelle, en complète contradiction avec les termes de son propre article et avec sa propre initiative de communiqué de presse ! Il se dissociait donc de sa propre erreur. Autant il avoua dans un premier temps l’antériorité de ma démission dans un article à diffusion restreinte, autant il changea la chronologie des faits dans une lettre destinée au site grand public d’Al Jezeera (le CNN des pays arabes) en présentant ma démission comme une conséquence (sic) de l’avis unanime des membres d’Exopolitics Institute. S’en était trop ! L’amitié se transforma en vigoureuse défiance. Nous étions pourtant voisins, nos portes n’étant séparées que de cinq mètres. Un soir de mai, nous entendîmes le président de cette jeune organisation, derrière le mur qui séparait nos chambres respectives. Il interrogea sa femme à haute voix, probablement animé par le doute que l’absence de son contact physique avec des extraterrestres au Mexique avait dû faire naître en lui. Par trois fois il lui répéta la même question : - Es-tu sûre ?

Qui décidait du sort et de la ligne de conduite d’Exopolitics Institute ? Son fondateur ou son épouse, éminence grise du courant New Age sans connaissance scientifique ni contact avéré ? Notre détermination semblait les mettre mal à l’aise. Nous travaillâmes en effet plus de douze heures par jour pour ce seul objectif d’alerte ! Ce fut une tâche colossale. Nous fûmes aidés par une poignée d’inconnus et à distance ! Nos propres voisins et amis, conscients de l’impact et de la réalité des extraterrestres, se terraient dans le politiquement correct.

Ils montrèrent même une évidente satisfaction lorsque le webmaster que nous avions recruté localement, et prévenu de la nature du site savelivesinmay.com que nous voulions mettre au point, déclina soudain la mission dont nous l’avions chargée. Or, ils devaient lui transmettre les données que je leur avais initialement confiées. Peut-être l’ont-ils fortement découragé de faire ce que nous l’avions payé à faire.

Leurs paroles se révélèrent ainsi n’être qu’une prose sans cœur, des mots vides de sens, uniquement tournés vers l’apparence de bonne volonté. L’intérêt supérieur de l’humanité ne devenait dès lors qu’un exercice de style sans conviction où seul le pouvoir de nuisance comptait. C’est justement ce qui apparut sur les forums de la toile mondiale. Qui se souciait de la mort de millions de gens ? Chacun se dévoila et se focalisa sur la prédiction en oubliant son caractère conditionnel, et en occultant donc le fond du problème.

Nous finançâmes alors un site Internet via un autre professionnel de l’informatique, qui lui-même fit un très gros effort financier personnel, pour diffuser l’alerte au tsunami auprès de centaines de milliers d’internautes par tous moyens possibles et imaginables. Nous avions réalisé et réglé quatre communiqués de presse pour les agences de presse nationales et internationales. L’un d’eux fut même mondial. Nous avions payé des interprètes pour traduire mes articles d’alerte dans les langues qui bordaient l’océan Atlantique. Nous avions dépensé plus de quatorze mille dollars dans le seul but d’informer les populations du risque de tsunami et du danger des armes nucléaires pour les extraterrestres. Des millions de gens furent informés par voie de forums, de sites Internet, de journaux, de magazines, de radios et même de télévisions.

Quelle épreuve ! Nous étions tout deux dans une véritable course contre la montre au cours des quelques semaines de diffusion qui précédèrent l’échéance fatidique du vingt-cinq mai 2006. Nous fûmes dans un état de tension inimaginable, d’autant que beaucoup nous mettaient des bâtons dans les roues, à commencer par la trahison de nos amis et voisins qui tardèrent à nous dirent qu’ils ne traduiraient plus nos articles. Nous dûmes faire preuve d’une forte réactivité. Nos messages disparaissaient sur les forums aussitôt qu’ils s’y trouvaient. Nous devions rendre compte en remote viewing de notre activité quotidienne aux instances extraterrestres bienveillantes qui ne percevaient pas encore le champ télépathique planétaire nécessaire à une réaction induite des autorités sur la question de Divine Strake.

Eve pleura même de désespoir après avoir passé des heures entières à diffuser le message d’alerte et après s’être entendu dire que ce n’était pas suffisant. Pourra-t-on un jour se représenter notre sentiment d’impuissance face à cette lourde responsabilité tant méprisée ? Ce fut certainement les pires jours que nous ayons vécus.

Peu à peu, jusqu’au tout dernier instant, notre dur labeur devint un cri d’alarme mondial retentissant. Beaucoup se moquèrent sans connaître l’issue de la prédiction conditionnelle par peur, par mauvaise foi ou par ignorance. Ils jugeaient sans savoir ! On eût dit qu’ils étaient bien plus devins que nous ne l’étions puisque les données scientifiques de la QUEUE cométaire nous donnaient raison. Cependant, beaucoup se sont inquiétés à juste titre, notamment au Maroc dont les autorités furent vite débordées. Il est amusant de savoir a posteriori qu’un membre de la famille royale marocaine nous a écrit pour applaudir et encourager notre initiative.

Nous reçûmes des milliers d’emails de tous les pays, y compris de ceux qui n’étaient pas concernés. L’alerte au tsunami géant dépassa largement le cadre de l’ufologie, et les chancelleries du monde commencèrent à s’inquiéter. L’alerte comportait deux messages essentiels : la relation extraterrestres/armes nucléaires et la possible guerre préventive d’aliens hostiles, à distinguer des extraterrestres bienveillants qui nous avaient prévenus le sept avril 2006. Le monde ouvrait les yeux sur une nouvelle vision du phénomène OVNI.

Alors que s’est-il produit le vingt-cinq mai 2006 ? L’administration Bush annula le test Divine Strake très précisément à cette date, date exacte à laquelle les fragments de la queue de SW3 croisaient le plan de l’écliptique. Notre objectif fut atteint !

Ce que le monde prit pour l’échec retentissant d’une prophétie fut notre plus beau succès stratégique. Ayant maintes fois expliqué le rôle du libre arbitre dans notre destin grâce au temps fractal, je ne pouvais proférer une prédiction non conditionnelle. Les fruits de cette mise à l’épreuve ne devaient pas tarder à être mis au jour.

Le bilan.

Dans mon premier article de l’alerte au tsunami géant dans l’océan atlantique supposé être provoqué par un puissant séisme et l’explosion des volcans sous-marins de la dorsale médiane, je fis clairement mention du caractère conditionnel de la prédiction en dernière page :

« On nous annonce froidement une guerre préventive à l’arme atomique, en banalisant celle-ci au rang d’arme conventionnelle, pour lutter contre les armes atomiques ! En conséquence, l’attaque préventive semble être l’option choisie par certains extraterrestres au moyen d’un objet céleste, mystérieusement éclaté en 1995 pour minimiser ses effets. Il devrait percuter la Terre autour du vingt-cinq mai 2006 en guise de coup de semonce. Sauf si, bien sûr, les dirigeants font marche arrière ! »

Vous avez bien lu : SAUF SI LES DIRIGEANTS FONT MARCHE ARRIERE. Et ils ont fait marche arrière. Le tsunami géant n’a pas eu lieu car l’alerte fut entendue ! Contre toute attente, décision fut prise d’annuler le test conventionnel Divine Strake le vingt-cinq mai 2006 ! Ce test s’inscrivait clairement dans une politique d’agression atomique selon les experts de la question. Cette politique fut donc stoppée ce jour-là !

Certains firent appel à la coïncidence pour ne pas reconnaître leur erreur après tant de critiques et de sarcasmes publiques. Ils insistaient sur la grande distance qui avait séparé la comète SW3 de la Terre, ce avec quoi j’étais parfaitement d’accord depuis le début en ce qui concernait les fragments principaux. Je fis alors remarquer qu’ils oubliaient de nombreuses autres coïncidences et que la QUEUE de comète chargée de ses débris avait bel et bien percuté la Terre autour de la date annoncée, d’autant que les plus petits fragments, les moins visibles, furent plus aisément attirés par l’attraction terrestre. Il s’agissait pourtant de principes physiques célestes basiques !

La NASA avait fait un démenti officiel de l’alerte du vingt-cinq mai 2006 par la bouche même de son porte-parole. Pourquoi la NASA s’était-elle intéressée à une prophétie si ridicule ? Nous eûmes la réponse grâce au témoignage d’un analyste informatique de cette administration : « deux des fragments de comète ont été labellisées comme impacts probables et huit labellisés comme passage proche. Il me fut demandé de me préparer au pire et d’espérer le mieux car il n’y a aucun plan mis en place pour avertir le public. » Oui, vous avez bien lu : il n’y a aucun plan d’évacuation pour un tel événement ! Comment alerter et déplacer des dizaines de millions de personnes en un mois ? Qui plus est des centres nerveux de la planète comme New York et Washington ?

Les services secrets de la Navy américaine eurent aussi leur fuite. Un officier adressa ce message sur un forum public : « notre gouvernement a été informé de façon quotidienne sur les probabilités d’un tel impact. Quand il devint évident qu’un tel impact surviendrait certainement entre le vingt-quatre et le vingt-sept mai, l’administration s’opposa aux suggestions d’alerte publique avec l’obligation d’un black-out médiatique. Le personnel des services secrets de la Navy fut aussi interdit de discuter de cette question, même avec leur propre famille (…) en particulier ceux qui vivent sur la côte Est. Le risque d’un tsunami majeur est extrêmement élevé et leur vie est, en conséquence, en grand danger. »

Enfin, je fus en contact avec l’intermédiaire d’un agent des services secrets, certainement de la CIA, qui dirige un site de survie collective. Il lui indiqua début mai trois informations d’importance : 1) le départ prochain de nombreux navires de guerre, 2) l’approvisionnement maximal des bunkers militaires de la côte Est des USA, 3) ainsi qu’un impact probable dans l’Atlantique, au sud des Açores quarante huit heures autour du vingt-cinq mai 2006. Son message fut alarmant : « approche majeure à quarante-cinq degrés, onze miles par seconde, sud des Açores, objet d’une tonne et demie environ. Confirmation que les bunkers de la côte Est ont été réapprovisionnés et opérationnels sous prétexte de l’exercice de tsunami Pacific Peril du vingt-trois au vingt-cinq mai. »

Sachant que les médias ont effectivement confirmé par la suite le départ de nombreux navires de guerre pour un exercice naval gigantesque et l’usage inhabituel de bunkers dans le cadre d’un autre exercice de grande envergure impliquant plus de quatre mille personnels de plus de cinquante agences gouvernementales simulant une catastrophe majeure, il est fort probable que l’impact d’un fragment de comète, puis le tsunami géant induit, aient été pris très au sérieux par les services secrets des Etats-Unis. D’ailleurs, des scientifiques indépendants annoncèrent une pluie inhabituelle de météorites à partir du vingt-trois mai, à deux jours de la date de référence.

Mais ce n’est pas tout. Un mois après notre communiqué de presse d’alerte au tsunami géant, la FEMA, organisation en charge de la gestion des situations d’urgence aux USA (Federal Emergency Management Agency), publia un communiqué de presse évoquant l’organisation de l’exercice de grande envergure Pacific Peril prévu entre le vingt-trois et le vingt-cinq mai 2006 ! Il fut présenté ainsi : « cet exercice suppose un séisme catastrophique qui déclenche un tsunami… » Pour cette manœuvre d’entraînement, le choix des côtes Pacifique à la place des côtes Atlantique s’expliquait pour deux raisons. D’une part, la possible perte des moyens engagés à l’Est en cas de tsunami réel sur les côtes orientales et, d’autre part, la panique potentielle du public croyant alors à une confirmation officielle de la prédiction conditionnelle des extraterrestres.

La chaîne de télévision CNN diffusa le vingt-trois mai 2006 un bandeau déroulant en bas d’écran commençant par « prepare, prepare, prepare », puis l’interview d’un officiel de l’administration météorologique NOAA décrivant le risque d’un nouveau type d’ouragan appelé, accrochez-vous, « sploch model »! Sploch ! Comme le bruit d’une grosse pierre percutant l’eau à grande vitesse ! Cet officiel expliqua que toute la côte Est des USA était concernée par cette alerte, y compris les Etats au nord n’ayant jamais connu d’ouragan, et ce, avant que la saison des ouragans ne commence, et alors qu’aucun d’entre eux n’avait pris naissance, ou n’était raisonnablement prévu de se former ! Ce responsable précisa, les yeux regardant les téléspectateurs droit vers la caméra, qu’il fallait s’attendre à : « toutes les situations, y compris celles qui sont imprévues ! » Depuis, personne n’a jamais parlé de ce nouveau modèle climatique. En revanche, il existe le « slosh model » qui met en œuvre lui aussi des vagues anormalement hautes !

D’ailleurs, au matin du vingt-cinq mai, les membres du congrès américain, à Washington sur la côte Est, reçurent une note leur demandant expressément de participer à un exercice d’évacuation dans les heures à venir ! Dans le même temps, un exercice géant d’occupation des bunkers militaires de la côte Est dans le cadre de la continuité du gouvernement était en préparation. Tous les signaux étaient dans le rouge.

Nous eûmes en réalité des météorites, des séismes et des vagues géantes autour du vingt-cinq mai 2006 ! Mais les extraterrestres hostiles furent assez aimables pour limiter la propagation des ondes incidentes. Après tout, la politique de guerre préventive nucléaire avait été stoppée in extremis par l’annulation de Divine Strake. Ces aliens, maîtres du temps fractal, étaient tout aussi capables de provoquer un black out électrique, d’exploser des météorites en vol (il existe des vidéos), que de freiner les effets d’une oscillation, quelle qu’elle soit. Le champ temporel d’un vaisseau, lorsqu’il est à proximité, est capable de ralentir la course d’un fragment de comète comme il est capable de ralentir le temps lors d’une abduction, ce que tous les abductés vous diront. Il est donc en mesure de limiter les conséquences d’un impact cométaire.

Relation de cause à effet : pas de Divine Strake, pas de tsunami géant ! Voilà la relation évidente et logique de l’absence de vague de deux cent mètres de haut. Voilà la victoire symbolique qu’avait promise une entité bleue à Angelika Whitecliff, épouse de Michael Salla. Cette vague n’aurait été que le produit final, magnifié par le plateau continental, d’une vibration initiale de faible amplitude dans l’océan. Mais une série d’événements confortèrent indubitablement la réalité de cette alerte grandeur nature.

Le fragment que j’avais perçu dans ma vision tombait au beau milieu de l’Atlantique, là où personne n’aurait pu le voir chuter puisque l’océan est un désert de plusieurs milliers de kilomètres carrés dans les quatre directions. De plus, la chute ne pouvait durer qu’au plus cinq secondes. La chance de trouver des témoins directs, au bon moment, était quasi-nulle. Personne, tout simplement, ne pouvait donc affirmer scientifiquement que rien n’était tombé dans l’Atlantique !

Les seuls indices probants à notre disposition demeuraient donc l’activité sismique et les rapports de houle. Or, on eût le vingt-six mai un séisme de trois virgule cinq sur l’échelle de Richter proche du point d’impact supposé, ainsi que des vagues géantes jusqu'à quatre-vingt mètres de haut pendant la période qui succéda au vingt-cinq mai. Ces relevés furent réalisés par des navires marchands civils travaillant dans le cadre d’une mission d’assistance au réseau de bouées du National Data Buoy Center déjà en place. Or, après que nous ayons mis le doigt sur ces vagues historiques venant confirmer la prophétie, le directeur de cet organe officiel déclara qu’il mettait un terme à cet accord d’assistance avec les navires civils !

Par ailleurs, un séisme de six virgule trois sur l’échelle de Richter eut lieu le vingt-six mai heure de New York en Indonésie provoquant un tsunami tuant plus de trois mille cinq cent personnes ! Or, il est courant de voir de gros séismes de plus de sept, et même huit sur l’échelle de Richter ne provoquant aucun tsunami dans cette zone. L’histoire des catastrophes montre que cet événement était rarissime. Les sismologues eux-mêmes savent que les vibrations traversent la Terre et peuvent provoquer, par effet domino, des conséquences sismiques retardées de l’autre côté de la planète. Un impact dans l’Atlantique a pu provoquer un séisme en Indonésie.

Enfin, en dépit d’affirmations péremptoires de la NASA, la preuve de collision de fragments cométaires fut apportée par une météorite ayant percuté la Norvège le six juin 2006 (6/6/6) heure de New York ! Cette date, au-delà de son aspect symbolique, correspondait justement au croisement de l’écliptique de la Terre par les derniers fragments de SW3. De plus, le vacarme que fit l’impact du caillou fit dire à un astronome norvégien : « c’est simplement exceptionnel. Je ne peux pas imaginer que nous ayons eu un impact de météorite aussi puissant en Norvège de nos jours. ». Du reste, bon nombre de météorites ont été découverts par la NASA après qu’ils soient passés à proximité de la Terre. Ceci est très régulier. Dans ces conditions, quelles certitudes les astronomes pouvaient-ils avoir à propos des probabilités de collision qu’ils certifiaient, de façon bien trop douteuse, être nulles dans le cas de SW3 ? Le suivi des cailloux célestes n’est pas une science exacte, loin s’en faut.

Le point le plus intéressant concernant l’impact des extraterrestres sur l’annulation de Divine Strake via notre alerte fut la mesure du pic historique le vingt-sept mai du Global Consciousness Project. Ce projet de la prestigieuse université de Princeton mesure la corrélation entre la conscience de l’humanité et les événements du monde physique au moyen d’un réseau de capteurs quantiques à travers le monde. Tous les événements significatifs relatés par les médias sont passés au crible. Or, le vingt-sept mai 2006, lendemain de l’annonce d’annulation de Divine Strake, fut le deuxième plus haut score de l’histoire !

L’action que nous avions engagée avec Eve eût un double impact mondial : l’annulation de Divine Strake et la prise de conscience de la paix avec les extraterrestres. Nous avions apparemment sauvé des millions de vies et ouvert autant de consciences. Mission accomplie !

L’ironie du sort voulut que lors de la conférence de juin 2006 que j’avais déclinée et organisée par Exopolitics Institute sur la paix avec les civilisations extraterrestres, le fils du défunt Colonel Corso, connu pour son célèbre ouvrage The day after Roswell, et chef du bureau des technologies étrangères et extraterrestres de l’Army aux USA, exprima ce que ce dernier lui avait confié : « il est très important de savoir que les extraterrestres vinrent ici à cause de la bombe atomique (...) Mon père était un très bon ami d’Oppenheimer (père de la bombe atomique) Ils savaient qu’il y avait d’autres dimensions (...) La part essentielle de l’explosion [nucléaire] a lieu dans une autre dimension (…) C’est ce qui mit les extraterrestres en colère. C’est très perturbant dans une autre dimension parce que nous ignorons ce qui existe. »

Quel sens pouvait alors avoir la pompeuse Déclaration d’Hawaii issue de cette conférence et rédigée par le fondateur d’Exopolitics Institute qui affirma le profond désir de l’humanité de collaborer avec les peuples de l’espace ? Qu’était-elle sinon des mots vides de sens venant d’un homme présentant tous les signes de l’hypocrisie et du double langage ? Il ne fut bien sûr pas le seul dans l’ufologie et l’exopolitique, loin s’en faut. Tout montrait dans son attitude qu’il semblait prêt à sacrifier des millions de gens sur l’autel de son ambition personnelle et de sa peur du scandale.

Du reste, dans un de ses articles postérieurs, il fit lui-même mention de l’annulation de Divine Strake comme une possible réponse humaine à l’avertissement extraterrestre d’un tsunami après qu’il se soit dissocié de notre alerte! C’est dire combien il était conscient de ce lien que j’avais exprimé. A moins que la manipulation fût plus machiavélique encore. Aucun champ de conscience n’émergea de cette liste de lieux communs et de vœux pieux sans consistance que fut cette Déclaration d’Hawaii. Comment dans ces conditions parler au nom de l’humanité et s’autoproclamer ambassadeur des extraterrestres ?

Pire ! Il nous avait écrit en privé, en raison de leurs prénoms respectifs, qu’il représentait symboliquement l’archange Michael ! Un docteur d’université ! Son épouse, quant à elle, représentait l’Ange. Pas moins. Le plus triste est peut-être qu’il parvint à séduire autrui, usant de ruses dialectiques et de sourires entendus. Cet homme était-il plus dangereux qu’il n’y paraissait ? Etait-il le jouet d’une force invisible terrifiante ? On dit souvent que le mal absolu revêt les habits de la fragilité et de la candeur pour mieux piéger les âmes. Le mal ressemble à s’y méprendre au bien. Il imite ses traits, s’exprime avec aisance, mais ses actes le trahissent tôt ou tard.

Avec le recul du temps, je me suis souvenu qu’au cours de l’été 2005, lorsque cet homme me reçut chez lui à Hawaii dans le but d’asseoir notre association commune, et alors que je participais à un stage auquel j’étais prétendument invité – que j’avais en réalité payé à travers un don que j’avais fait auparavant à l’institut - il m’aida à ouvrir un compte bancaire dans une banque de l’île en vue de m’installer sur Big Island. Il fut physiquement présent à la banque pour cette ouverture de compte. Son adresse fut même utilisée pour les courriers à recevoir localement de l’établissement bancaire.

Lorsque je pris connaissance du numéro de compte qui me parvint un peu plus tard, une frayeur traversa mon échine. Ce numéro fut simplement : 666666 ! Deux fois 666. Cette marque double de la Bête s’incarnait-elle dans ce couple d’Hawaii aux accents New Age et doucereux, faisant la promotion d’une version politisée des relations avec des êtres beaucoup plus évolués que nous dont la seule issue ne pourrait être logiquement que l’asservissement de l’homme par l’extraterrestre malveillant ?

Ce n’est que récemment que je fis le rapprochement entre ma rencontre bien involontaire avec le diable en 1987 (voir le premier volume) et ce numéro de compte pour le moins satanique. Je n’ai d’ailleurs jamais utilisé ce numéro de compte que de façon très anecdotique puisque, six mois plus tard lorsque nous nous installâmes fin décembre 2005 à Big Island, nous ouvrîmes avec Eve deux autres comptes dans le même établissement. Aucune trace de 666 dans ces nouveaux comptes bancaires.

On eût dit que quelqu’un, à travers ce numéro de compte 666666 ouvert en compagnie de son fondateur, m’avertissait du danger de cette association avec Exopolitics Institute que j’ai partiellement financé.

Fort heureusement, l’intervention du Christ, lors de l’expérience avec le diable en 1987, me tira d’affaire. Cette intervention christique s’est incarnée à mes yeux dans l’alerte au tsunami géant qui sépara ceux qui servaient vraiment l’humanité dans les actes, c’est-à-dire les extraterrestres bienveillants avec qui nous collaborions, et ceux qui s’en servaient, les extraterrestres hostiles et leur acolytes, conscients ou inconscients. Il est d’ailleurs curieux qu’un fragment de SW3 ait frappé la Terre le six juin 2006 (6/6/6) en Norvège, heure de New York, faisant ainsi un bruit assourdissant, et rappelant d’où venait la menace que le président d’Exopolitique Institute chercha à tout prix à taire.

Lorsque Exopolitics Institute, par la voix de son président, se dissocia de notre initiative d’alerte visant à sauver les nombreuses populations des rivages atlantiques le 25 mai 2006, le mal montra alors son vrai visage.

Il le montra plus encore lorsque, près de deux ans plus tard, début 2008, ce même docteur en philosophie se fit porte-parole d’une rumeur – aucune preuve définitive n’ayant été apportée - selon laquelle une réunion aux Nations Unies à New York aurait été organisée par des militaires, en particulier la Navy, et des services secrets américains, dans le but de révéler au grand public l’existence des extraterrestres sur Terre… à condition d’accorder à ces insiders le pardon et l’immunité pour tous les mensonges, l’opprobre et les crimes commis par ces hommes de l’ombre à l’égard des courageux chercheurs et contactés de ces soixante dernières années.

Ces sources non identifiées orchestraient ainsi, comme ce fut le cas si souvent dans le passé, une fuite d’informations sans que personne ne puisse jamais les mettre à l’épreuve de la vérification. Michael Salla fut choisi pour répandre l’idée d’un futur contact officiel prévu en 2017 (dix ans plus tard !) et d’une maîtrise des autorités dans les affaires interraciales avec les visiteurs de l’espace (on voit aujourd’hui qu’il n’en est rien avec la diffusion de nos preuves). La trahison fut cette fois plus subtile, mais aussi plus terrifiante à terme.

Devenant désormais un intermédiaire choisi indirectement dans les hautes sphères du pouvoir, l’homme, qui refusait opportunément de divulguer le nom de sa source (voir Source A plus bas), avait pourtant soutenu le Référendum Mondial « Désirez-vous nous voir apparaître ? », grâce auquel je devais ma nomination à mon ancien poste de Directeur d’Exopolitics Institute. Ce soutien vint de ce que les extraterrestres bienveillants proposaient un contact direct avec les « individus sans distinction », c’est-à-dire vous et nous, s’opposant ainsi à un « contact officiel » avec des autorités gouvernementales qui avaient menti aux peuples de la Terre depuis soixante ans sur les manifestations d’OVNI.

Soudain, cet homme montra publiquement un intérêt plus que fébrile pour les affaires d’Etat et la « révélation officielle » qui ne pouvait que servir une stratégie partisane et féodale. Ce que les hommes de pouvoir avaient à dire sur les extraterrestres semblait le fasciner bien plus que ce que les extraterrestres bienveillants eux-mêmes avaient déjà dit. Il montrait enfin son vrai visage. Désirait-il une place de choix dans les couloirs du pouvoir ? Les extraterrestres devenaient tout à coup secondaires.

D’ailleurs, bien que n’ayant jamais rencontré le moindre extraterrestre de sa vie, il proposait des certificats d’ambassadeur galactique et des diplômes d’exopolitique pour quelques milliers de dollars seulement, certificats et diplômes assortis de ballades avec des dauphins pour imiter un contact télépathique extraterrestre. Lorsqu’on se souvient que ce sont prétendument des dauphins qui avertirent sa femme d’un tsunami imminent, alerte dont ils se dissocièrent ensuite, les lecteurs seront en droit de s’interroger sur l’honnêteté, ne serait-ce qu’intellectuelle, de ce couple. Ils s’interrogeront aussi en prenant connaissance d’un plagiat du message Désirez-vous nous voir apparaître ? réalisé par son épouse lorsqu’elle écrivit un message supposé venir des extraterrestres intitulé Nous avons besoin de votre consentement (« We Need Your Consent »).

C’est ce même couple qui nous adressa une facture pour « services rendus » de quatorze mille cinq cent dollars un an après notre rupture, alors même qu’ils ont été incapables, car incompétents, d’honorer leur propre contrat d’agent littéraire, et que nous avions financé l’essentiel du démarrage d’Exopolitics Institute. Tout ne fut finalement que fraude intellectuelle et menées sectaires.

Cette mise au point n’a rien à voir avec un quelconque ressentiment, mais avec une responsabilité précise. Une fois comprise l’idée fondamentale que les autorités officielles ont tout fait pour cacher et déformer la vérité à propos de la présence des extraterrestres sur Terre, remplaçant ainsi à terme les églises des temps obscurs dans leur mission autoproclamée d’intermédiaires exclusifs entre Dieu et les hommes lorsqu’il s’agira d’établir un contact pérenne avec les extraterrestres, vers qui les populations et les médias vont-ils se tourner pour analyser les implications des preuves apportées ?

Vers les opportunistes de l’exopolitique, ou les expérimentateurs qui apportent les preuves ? Vers les théoriciens de l’OVNI, vers les porte-parole officiels, ou les hommes de terrain sans lien hiérarchique ? Pourquoi les menteurs d’hier seraient les héros de demain ? Pourquoi ceux qui n’ont rien compris hier seraient une référence aujourd’hui ? Ceci étant dit, nous n’avons nous-mêmes strictement aucune velléité d’aucune sorte. Nous ne sommes pas, mais alors vraiment pas, intéressés par le pouvoir temporel. Nous n’avons d’ailleurs pas les qualités nécessaires pour l’exercer. Nous disons ce que nous pensons. Aux peuples de décider leurs destins.

Vous comprendrez ainsi notre attachement à éclairer le chemin de votre propre expérience et à vous éviter les écueils de la séduction et des arguments d’autorité. Rappelez-vous toutes les formes d’inquisition de l’histoire du genre humain. Le prétexte de la Sécurité Nationale n’est qu’une forme moderne des démons du passé, ceux de l’Inquisition. Ceux qui font les guerres ne sont pas ceux qui les décident. Ceux-là ont déjà leur place dans un bunker protégé.

Au-delà des personnes impliquées, car beaucoup participèrent au jeu de massacre à notre endroit, cet épisode nous conduisit à une seule conclusion : l’ignorance porte et maintien les hommes au pouvoir. Le vrai pouvoir réside à l’intérieur où chacun peut communiquer avec nos voisins de l’espace. Certains ufologues nous ont opposé que nous rétablissions la vérité a posteriori lorsque, en réalité, ce fut fait au lendemain des événements du vingt-cinq mai 2006 dans deux articles complémentaires et consécutifs. Ils référençaient alors de nombreuses sources externes et indépendantes, appuyant ainsi notre démonstration. Mais il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. C’est l’une des raisons essentielles pour laquelle nous nous sommes éloignés aussi loin que possible du petit monde effervescent, hypocrite et pervers de l’ufologie. L’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Ce qui sépare l’apparence de la vérité, c’est le travail sur soi. C’est aussi ce qui décidera de votre destin à court terme. A très court terme.

Ainsi, nous sommes convaincus avec Eve que l’exopolitique est, en essence, de nature maléfique car elle s’emploie à rationaliser des rapports diplomatiques entre niveaux de consciences très différents - les humains et les extraterrestres - par le fait même de la densité temporelle à laquelle chacun des deux camps – créateurs et créatures - appartient. Elle tend donc à faire croire aux hommes que les extraterrestres sont strictement nos égaux, alors qu’ils ne le sont qu’à la condition de changer d’espace-temps, ce qui va justement à l’encontre de la problématique politique terrestre qui organise la vie humaine, et ses pyramides, dans la matière, alors que le corps physique de l’homme n’est que la part fragile et temporaire de son existence.

Toute menée, tant humaine qu’extraterrestre, visant à offrir des technologies avancées, ou de l’énergie libre, pour améliorer nos conditions de vie matérielles actuelles, ne sera jamais qu’une emplâtre sur une jambe de bois. Elle ne sera qu’une vision matérialiste agrémentée de science-fiction. Rien de plus. C’est justement l’ambition de l’exopolitique.

Or, c’est le corps de l’homme tout entier qui doit être changé pour qu’il devienne l’égal de l’extraterrestre. Et cela n’est offert qu’à ceux qui suivent et suivront une voie spirituelle authentique – puisque c’est dans le monde l’esprit que les extraterrestres vivent essentiellement - loin des valeurs de l’avoir et du pouvoir terrestre. Et cela n’est offert que par ceux qui ont à cœur la véritable évolution de l’homme.

Tout ce qui ne ressemble pas à cette (r)évolution est en essence satanique, donc exopolitique, c’est-à-dire dans le programme d’asservissement de l’homme à la matière et à son corollaire de l’incarnation physique et cyclique par les draconiens, maîtres des Reptiliens et de certains Gris.

Comme par hasard, les frères Clay et Shawn Pickering avec qui Michael Salla entra en contact pour promouvoir le rôle des Nations Unies pour la divulgation de la présence extraterrestre sur Terre, se sont fait les intermédiaires d’un officier de la Navy américaine, officier de liaison aux susdites Nations-Unies. Les frères Pickering l’ont nommé Source A.

Ce dernier leur déclara être en contact avec des créatures polyformes capables de prendre votre apparence, vivant dans un environnement naturel à très haute température, et auxquels les Reptiliens se soumettent. Ce contact fut établi dans le cadre d’une assistance future de la part de ces curieux extraterrestres, programmée sous certaines conditions, notamment une très forte dépopulation de notre planète (oui, vous avez bien lu).

La donne semble simple de prime abord : aux représentants militaires et politiques la responsabilité de la divulgation publique à partir de 2013, aux extraterrestres la responsabilité d’une apparition massive au-dessus des capitales du monde entier en 2017. D’où des réunions secrètes au Nations-Unies si l’on en croit cette Source A.

Un mimétisme sournois, une obéissance reptilienne et les flammes de l’enfer, cela ne vous rappelle rien ? Une histoire de Fin des Temps et d’Antéchrist peut-être ?

Vous trouverez ces développements notamment sur le forum openmindsforum.com - Michael Salla y est vénéré comme un maître à penser par ses administrateurs - que les frères Pickering ont choisi pour transmettre les informations de la Source A. Mais attention, ce site est avant tout pro-américain. Malgré un niveau de réflexion de très bonne tenue, il est le repère d’agents de désinformation de premier plan et de pseudo-Christs.

Croyez bien que nous pesons nos mots avec la balance de la justice céleste.

par eric julien