11 Septembre 2001 – WTC : Eléments

La vitesse à laquelle se sont déroulés les événements du 11 septembre 2001 et la consternation généralisée qu’ils ont provoqué nous ont fait fermer les yeux sur certains faits, qui avec le recul prennent une dimension très particulière, surtout avec l’éclairage de l’actualité (l’Irak, les derniers attentats à Londres, la situation géopolitique mondiale et le climat sécuritaire ambiant).

L'effondrement des tours du WTC...

Essayez tout d’abord de vous imaginer des tours de 400 mètres de haut. C’est une structure qui doit bien sûr être de taille à supporter un tel poids et à la fois assez souple pour ne pas céder sous la pression du vent, qui au sommet souffle souvent à plus de 150 km/h. Elles sont constituées d’un noyau central ("core" dans l’illustration ci-dessous) fait de béton et d’acier, sur lequel s’accroche une structure complexe de poutres d’acier destinées à soutenir les planchers et de support à la facade qui, comparée à l’ensemble, ne pèse pas grand chose. C'est donc le coeur qui tient les planchers et non l'inverse.

Même si les principes dynamiques de ce genre d’architecture sont complexes, l’ensemble de la construction reste simple à comprendre.

A ce stade, il convient de comparer deux choses, ce que l’on a vu, et ce qu’on aurait dû voir.

Ce que l’on a vu...

Ce que l'on a vu est une chute rectiligne, les étages supérieurs aux impacts s’effondrant et entraînant dans leur chute les étages inférieurs au fur et à mesure de l’effondrement.

Tout ça pour finir pile poil dans une zone très circonscrite, mais ne devant rien au hasard.

Voici un plan de la zone avec en bleu les zones complètement détruites, c’est-à-dire les 7 batiments du WTC, les immeubles les plus proches (Verizon et US Post Office sur le plan, de part et d'autre de la tour 7) n'ont subi strictement aucun dommage.


Photo sur Google Earth du chantier actuel sur le WTC
(j’ai ajouté le trait rouge)


après

Encore une fois, dites-vous que ce sont des tours de 400 mètres de haut et que cette façon de s’écrouler est pour le moins curieuse. Nous y voilà…

Observez attentivement l'image ci-dessous. C’est le tout début de l’écroulement d’une des tours, peu importe laquelle :

N’y voyez-vous pas quelque chose de curieux ?
Qu’est-ce qui peut provoquer une telle similitude sur autant d’étages en même temps, tous supérieurs au point d'impact ?
D’où peut provenir ce souffle qui éjecte de la poussière avec un tel synchronisme ?

Regardez maintenant les photos ci-dessous, ce sont des dynamitages d’immeubles:

Similitudes ? Oui on peut le dire.

Aussi absurde que soit la conclusion, elle s'impose : on a " aidé " les tours à s'effondrer. Mais si on admet cette conclusion surgit une question : la pose des explosifs est une opération qui a dû prendre un certain temps. Comment se fait-il que personne n'ait remarqué une telle activité ?

La réponse est encore au coeur des tours : les cages d'ascenceur. Voilà un endroit où les "ouvriers" ne risquaient pas d'être dérangés par des curieux.

Ce qu’on aurait dû voir…

Ce qu'on aurait dû voir est très différent. D’une part du fait des colonnes centrales, construites pour supporter les tours (car ce ne sont pas, comme nous le dit la version officielle, les structures métalliques du pourtour qui remplissaient cette fonction).

Si la colonne centrale avait été endommagée au point de céder – hypothèse plausible si un avion de la taille d’un Boeing vient percuter la tour de plein fouet – on aurait dû voir la partie de la tour située au-dessus du point d’impact basculer dans le vide, un peu comme un arbre qu’on scie à mi-hauteur, et de préférence du côté ou la structure métallique environnante qui était la plus fragilisée, c’est-à-dire du côté du point d’impact.

Le sommet de la tour aurait probablement entraîné quelques étages inférieures dans sa chute, mais le noyau central inférieur à l’impact n’avait aucune raison de se volatiliser comme il l’a fait. Si le noyau inférieur aux impacts avait cédé, cela se serait produit par blocs de plusieurs dizaines de mètres. Rappelons que la taille des débris une fois au sol n’excédaient pas quelques mètres de long.

D’autre part la vitesse à laquelle s’est produite les écroulement n’éxcèdent pas 15 secondes par tour (un rapide calcul montre qu’un corps tombant en chute libre aurait mis 9 secondes à tomber d’une telle hauteur).

Le temps T requis pour qu’un objet tombe d’une hauteur H (en chute libre) est donné par la formule : T = Racine carrée de (2H/G), où G est l’accélération dûe à la gravité. On est donc pas loin (15 secondes contre 9) de la chute libre.

Or ceci n’aurait pû être possible que si les structures inférieures à l’impact avaient été réduites à l’état potentiel de farine. Impossible. Que les 10 ou 15 étages immédiatement inférieurs aient été fragilisés, d’accord, mais impossible que ceux encore inférieurs le soient suffisament pour s’écrouler aussi facilement.

Si, et c’est la version officielle, la chaleur des incendies a fait se tordre puis fondre la structure métallique, la désolidarisation de la façade et la chute en cascade des planchers aurait dû nous livrer une image des plus … étranges.

Imaginez les tours auxquelles on aurait enlevé les chairs et où il ne resterait que le squelette, le noyau central, sauf à l’extrémité supérieure, au-dessus des impacts, où les planchers auraient pû rester accrochés au noyau, pour quelques instants au moins avant qu’il ne finissent par s’écrouler également. Une immense tige avec un bourgeon au bout, voilà ce qu’on aurait dû voir, selon la version officielle. Mais ce n’est pas ce qu’on a vu.

La tour la moins touchée s’effondre en premier...

C’est le kérosène qui a provoqué l’explosion et les incendies. Pas de doute la-dessus. Mais on omet de préciser que la quasi-totalité du kérosène a brûlé… à l’extérieur des tours, surtout pour le deuxième crash (photo ci-contre).

Chose curieuse, c’est ce bâtiment, touché sur un coin comme le montre la photo, qui a cédé en premier, lui qui avait encore moins de bonnes raisons de le faire, la colonne centrale n’ayant pas été touchée. Heureusement que le pilote n’a pas raté la tour, j’en connais qui auraient fait une drôle de tête.

Un passeport miraculé...

Une fois les tours effondrées – imaginez les milliers de tonnes de gravats et de débris métalliques – l’une des premières choses que l’on retrouve est …

???…le passeport d'un des kamikazes!

Selon le FBI, le passeport a été retrouvé dans les décombres du WTC, après avoir résisté à une température de 2000 degrés.

Si, si, j’vous jure !!! C'est passé partout à la télé... Incroyable non, il devait avoir un passeport totalement ininflammable, ce garçon. Les incendies ont fait s’écrouler les tours, mais le passeport, lui, a tenu bon. Fichtre… Quelle est cette bonne fée qui fabrique des passeports indestructibles ?

Tout ça sans compté le fait que dans la liste des kamikazes ayant détournés les avions, mise en place par le FBI quelques heures après, plusieurs étaient encore bien vivants et bien étonnés de s'entendre dire qu'ils avaient péri dans cet attentat suicide.

Les enqueteurs disent avoir retrouvé un manuel de vol en arabe dans la voiture d'un des terroristes. Mais il n'existe pas de manuel de vol en arabe de Boeing. La langue officielle de l'aviation est l'anglais, d'ou la nécessité de venir s'entrainer aux USA...

Quand Bush s’emmêle les crayons

Ce matin là, Bush visitait une école primaire. Lors d’une conférence de presse en Floride en décembre 2001, il déclara à un journaliste lui demandant ses impressions sur le coup :

" Ce fût terrible. C’était un peu avant 9 heures et j’étais là dans un couloir à attendre d’entrer dans une salle de classe et je regardais la télévision lorsque j’ai vu un avion se crasher sur une tour. Moi-même ayant été pilote, je me suis dit que c’était vraiment un très mauvais pilote… "

Oui vous avez bien lu, mais vous pouvez recommencer…

Qu'une école primaire soit équipée de télévisions dans les couloirs, c’est pas impossible du tout. Après tout ça se passe aux Etats-Unis qui sont réputés pour leur nombre de télés. Ce qui est en revanche impossible, c’est que Bush nous dise la vérité.

A part le fait qu’on puisse s’étonner que l’on fasse attendre le président des Etats-Unis dans le couloir, on peut surtout relever ceci :

1. S’il s’étonne de voir un crash (" lorsque j’ai vu un avion se crasher "), c’est que c’est le premier, à 08h46 – il dit lui-même "un peu avant 9 heures" or le deuxième crash s’est produit à 9h03.

2. C’est impossible car à cette heure là aucune télévision ne possédait encore d’images du premier crash. Celles-ci ont été diffusées bien plus tard, en provenance de caméras amateurs.

Alors, pourquoi un tel mensonge, Mister President ?

Un calme olympien...

Toujours dans le cadre de cette visite à une école en Floride, une vidéo est disponible ici qui montre la classe et Bush juste après 9H. Tout au début du film, on distingue brièvement un personnage (Andrew Card , le chef de cabinet du président) qui vient adresser quelque mots à l’oreille du président.

On peut raisonnablement penser qu’il vient lui annoncer qu’un deuxième crash s’est produit (qui a eu lieu à 9H03 et pour ceux qui suivent pas les photos sont prises à 9H et quelques minutes) .

N’oublions pas que des mots même de Bush, il a " vu " (même si c’est pas possible…) les images du crash. C’est pas le genre de truc qui arrive tous les jours et ça vous met dans un certain état d’alerte.

Si la télé était toujours allumée dans le couloir (*), ceux qui s’y trouvaient (parmi lesquels son chef de cabinet) ont dû voir en direct le deuxième crash. Je pense que si j’assumais la fonction de chef de cabinet du président des Etats-Unis et que j’assiste à un tel événement, ma première idée serait d’en avertir le président, surtout s’il se trouve à 5 mètres de là. Et c’est ce qu’il a fait.

(*) Et si elle ne l'était plus - éteindre une télé aux Etats-Unis n'est pas courant - on peut se dire qu'une info aussi grave pouvait arriver par téléphone au chef de cabinet.

On pourrait déjà se demander s’il n’aurait pas été raisonnable d’ajourner cette visite à l’école après avoir vu un premier avion de ligne se crasher dans un monument tel qu’une tour du WTC. Quelqu’un vient de toucher le cœur de la haute finance américaine et le Président préfère rester avec des enfants et les écouter réciter leurs leçons plutôt que de s'inquiéter de ce qui vient d’arriver.

L'homme le plus important de la planète - en tant que chef de l'armée la plus puissante du monde - reste assis pendant au moins 5 minutes (*) à discuter avec des enfants après avoir été informé qu’un deuxième Boeing ait percuté une tour du WTC. En se mettant deux secondes à sa place, on aurait peut-être pensé à s'inquiéter et tenté d'en savoir plus, passer des ordres. C'est quand même le chef suprême de ce pays, il vient de se manger 2 Boeings sur le palais de la finance américaine, et il bouge pas...

(*) Durée de la vidéo. La seule chose dont on soit sûr après cela c'est qu'il a fait une intervention télévisée à 9H30, il aurait pu rester un quart d'heure dans la salle...

Bon. Andrew Card aurait bien pu aussi lui raconter une blague, une recette de cuisine ou que telle équipe de basket venait de gagner. Mais quelque chose me dit que c’est pas ça…

Dans l’hypothèse où le chef de cabinet ait annoncé le crash, je ne vois que quatre solutions :

1. Bush est extrêmement zen.
2. Il est complètement bouché.
3. Il est très lent à réagir (vous connaissez Rantanplan ?).
4. Il s’attendait à l’événement.

Rayez les mentions inutiles.

Des militaires étrangement absents...

La pratique d'interventions des militaires auprès d'avions civils est chose courante. Elle se situe de l'ordre de 80 décollages par an et concernent des avions en difficulté ou signalés comme étant sortis de leur plan de vol. L'US Air Force se charge de les ramener sur le bon chemin. Cette procédure est identique pour les détournements, à ceci près que, si l'ordre leur en est donné, ils doivent abattre les avions. Cette décision est prise par le chef des armées qui n'est autre que Bush.

Et ce matin là, les avions de l'US Air Force ont eu bien du mal à décoller. Extrait du site mai68.org.

Cet argument trouvé sur Amnistia m'a beaucoup plu : New York, mardi 11 septembre 2001, il est 8h45. Le Boeing 767 d'American Airlines percute la tour nord du World Trade Center au niveau du 87° étage. A 9h03, un autre Boeing 767 s'écrase au milieu de la tour sud. La scène est retransmise en direct par toutes les télévisions de la planète... le monde découvre que " America is under attack ". Trois quarts d'heure plus tard, à 9h43 un troisième avion, un Boeing 757 s'écrase sur le Pentagone, le ministère de la Défense, qui est situé à quelques centaines de mètres de la Maison-Blanche à Washington.

Pourquoi, entre temps – environ une heure après le premier impact – l'espace aérien de la plus grande puissance du monde n'a-t-il pas été verrouillé ? Pourquoi, trois quarts d'heure après que toute la planète a pu voir qu'une attaque terroriste était en cours dans le ciel des USA, les sites les plus sensibles de ce pays, dont la Maison-Blanche et le Pentagone figurent au premier rang, n'ont-ils pas bénéficié d'une protection aérienne ? S'agit-il d'un manque de vitesse de réaction ? Impossible, quand on sait qu'en cas d'alerte un avion de chasse peut se positionner en quelques minutes en défense d'un endroit stratégique.

En effet, il faut 2 minutes aux avions pour décoller et moins de 10 pour franchir une distance comme Fort Lauderdale / New-York (320km). Les détournements ont été connus du NORAD vers 08h20 et les premiers chasseurs ont décollé plus d'une heure après le premier crash. On voudrait nous faire croire que la première puissance aérienne mondiale s'est soudain rendue extrêmement "pénétrable" que l'on s'y prendrait pas autrement.

" Plus un mensonge est gros, plus il a de chance de réussir " - Goebbels

Auteur

  • Didier Erard

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Commentaires

  1. Meloe dit :

    Bonjour, tout d’abord, on ne peut pas comparer un petit immeuble en parpaings,c’est à dire extremement rigide, et une tour de 400m,qui à besoin d’être très légère et souple à l’impact du vent, et donc oscillations sur toute sa longueur, et plus d’un metre à son sommet, architecturée en formes alvéolaires,sinon elle ne tiendrai pas debout.
    De plus quel est le poids de l’avion? Sa vitesse? La résistance d’impact du matériau choqué? Avez vous calculé LA FORCE?
    La poussière? Simplement les étages qui s’éfondrent sous le poids du l’avion, et qui ne sont pas conçu pour supporter une telle charge ; c’est pas vrai? Alors essayez de mettre 15 personnes de 100kg dans un ascenseur prévu pour 300kg max de charge!

  2. Jacou dit :

    Pour Meloe,
    Je suis ingenieur structure ( béton armé, metallique )lorsque j’ai vu
    s’effondrer les tours ,j’ai eu un curieux sentiment de spécialiste, la
    « perfection » avec laquelle s’écroulait les tours,et il m’a fallut
    quelques jours pour faire le rapprochement avec des démolitions contrôlées

    Je suis d’accord avec cela:

    Si, et c’est la version officielle, la chaleur des incendies a fait se tordre puis fondre la structure métallique, la désolidarisation de la façade et la chute en cascade des planchers aurait dû nous livrer une image des plus … étranges.

    « Imaginez les tours auxquelles on aurait enlevé les chairs et où il ne resterait que le squelette, le noyau central, sauf à l’extrémité supérieure, au-dessus des impacts, où les planchers auraient pû rester accrochés au noyau, pour quelques instants au moins avant qu’il ne finissent par s’écrouler également. Une immense tige avec un bourgeon au bout, voilà ce qu’on aurait dû voir, selon la version officielle. Mais ce n’est pas ce qu’on a vu. »

  3. Elem dit :

    Non, malheureusement les informations qui circulent sur le net du complot ayant amené la destruction des tours sont certainement vrais .
    Bien que le documentaire zeitgest soit partial sur certain plans et images utilisés il est véridique pour moi a plus de 80 % .
    C est très triste d apprendre que les tours étaient des gouffres financier bourrés d amiante qui furent rachetés quelques temps avant le soi disant attentats, d entendre les témoignages de gens qui parlent de travaux ayant fait beaucoup de poussières a certains étages quelques semaines avant le supposé attentat, de savoir que la tour sept qui n etait même pas touchés mais abritait des secrets d états plus que louches est aussi tombés pour permettre l effacement ( devant l opinion public ) de documents compromettants .
    Tous ceci n est pas encourageant et a voir le forcing que font les americains et nos gouvernements pour mettre a genoux l iran ne présage pas de bonnes choses pour les temps qui viennent .
    Il est une chose qui peut être arrivera c est une intervention externe ( extraterrestre ) si les gouvernants occultes du monde s obstinent a toujours vouloir plus contrôler et se placer a la tète des ressources de cette planète et tentent d instaurer la guerre et la loi martiale .
    C est un espoir mais s il est déçu il nous faudra choisir des chemins qui peuvent s avérer douloureux a emprunter .
    Il est aussi un espoir, c est une cinquième colonne, en effet ce qui a touché le pentagone n est pas un avion, c est très surement un missile balistique casseur de bunker américain dont la charge a été supprimé afin de donner un avertissement sans frais aux fous qui prétendent prendre en main le destin de ce monde .
    Mais bon ces choses sont disponibles et il suffit de regarder sans ce voiler la face pour les comprendre .

    Salam . shall be the soul .

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