Repos éternel

IL n’y à de repos que dans mon sommeil, dans l’anesthésie du plomb là ou seul le corps reconnais son existence que dans la transe induite par la respiration. Calme lente profonde.
Il n’y à de repos que lorsque la lune à pris le pas sur le soleil alors quelle domine à l’horizon, et que l’esprit ce calme comme par une douce nuit d’hiver.

Il n’y à de repos que lors de la digestion, ou toute l’attention est prise par le corps et ou les moindres parcelle de doute sont réduite à néant par l’entreprise de dissolution intérieur.
Il n’y à de salut que dans l’extase tranquille mais profonde de celui qui retrouve sa lumière intérieur , et cela aussi dans son environnement extérieur. Qui porte la rosace d’une Notre Dame au fond des yeux d’un Homme. Et sur les flans de la Montagne qui berces l’enfance de l’âme et mène à la maturité.