Acceptez, mes Bien-Aimés, mes Enfants, d’entendre aujourd’hui, en ce 11 août de vos calendrier où la lune se renouvelle à vos yeux, l’appel de la musique céleste qui en vous revient et ne cesse de revenir, telle la vague indéfinie de l’Eternité qui authentiquement vous habite.
Cette Eternité n’est pas un vain mot : elle est la matière du sang qui coule dans vos veines, elle illumine chacune de vos cellules dans ces processus biologiques. Elle ne peut cesser d’être en vous. Et même si votre corps en venait à se transformer, ce serait dans le flux de cette Eternité qui n’est autre que le flot de l’Amour issu de la Lumière de l’Un, de la Source des Sources, et qui ne saurait cesser d’être, de par son essence tout autant que de par votre propre essence.
Accueillez dès à présent la musique en vous de cette Eternité car c’est elle qui vous portera et ne cessera de vous porter dans les traversées de mondes que vous pourriez avoir à franchir ou à rencontrer. Ces mondes ne sont pas un vain mot, il ne s’agit pas là de poésie. Vous devez accepter la notion même de ces mondes car vous êtes aux portes de leur Lumière. Ainsi en est-il et ainsi en soit-il, mes Aimés, dans toute la Grâce qu’il vous est et qu’il vous sera donné de recevoir et d’être en tout instant, en tout lieu et en toute situation.
Ainsi vous parle votre Mère, aimante, dans la vibration de ses noms Marie, Isis, Eloha, que je porte pour vous, en ces instants de Joie partagée et où je vous appelle à reconnaître votre Beauté. Mes Enfants, je vous dis à demain.
Vous en pensez quoi?