Ripoublique Maçonnique et déchéance de nationalité

Liste d’affaires:

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Les réseaux de l’horreur:

PDF: Affaire Vincent, Gouget, Roche, OTS… etc…

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Liste d’affaires politico-financières françaises

Après s’être classée au 22e rang sur 145 du rapport sur l’indice de corruption mondial de Transparency International en 2004, ce qui en faisait l’un des pays occidentaux où les phénomènes de corruption politique étaient les plus répandus, la France a amélioré sa situation et se classe au 18e rang sur 163 du rapport de l’année 2006.

Lorsque la juge anticorruption Eva Joly a quitté la magistrature en 2002, pour devenir conseillère du gouvernement norvégien dans la lutte contre la corruption et la délinquance financière internationale, elle a déploré au passage la complaisance en France avec les malversations financières.

Le 17 mai 2005, elle déclarait dans Aujourd’hui en France, édition nationale du journal Le Parisien, qu’« il y a un décalage terrible entre les images que les Français ont d’eux-mêmes et l’image qu’ils inspirent dans le monde. Ils ne s’en rendent pas compte, mais toutes les affaires judiciaires laissées en suspens, non traitées, étouffées, ont toutes un prix en matière de réputation internationale ».

* Affaire Agos ;

* Affaire Airbus ;

* Affaire Ben Barka (voir Mehdi Ben Barka);

* Affaire Botton ;

* Affaire Clearstream 1 (voir Clearstream) ;

* Affaire Clearstream 2 (voir Clearstream) ;

* Affaire du Carrefour du développement;

* Affaire Dauphiné News ;

* Affaire de Broglie ;

* Affaire de la COGEDIM ;

* Affaire de la Garantie foncière (Garantie foncière) ;

* Affaire de la DCN de Toulon (affaire de l’arsenal de Toulon) ;

* Affaire de la Jeunesse toulonnaise ;

* Affaire de la MNEF ;

* Affaire de la MGP ;

* Affaire de la mine d’or de Yanacocha ;

* Affaire de la privatisation de la CGM ;

* Affaire de la Sempap ;

* Affaire de la Société générale ;

* Affaire de la Sofremi ;

* Affaire des avions CASA ;

* Affaire des avions renifleurs ;

* Affaire des chargés de mission de la mairie de Paris ;

* Affaire des comptes de l’OM ;

* Affaire des diamants ;

* Affaire des écoutes de l’Élysée ;

* Affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris ;

* Affaire des fausses factures du RPR ;

* Affaire des faux dollars de Bahrein ;

* Affaire des frais de bouche des époux Chirac ;

* Affaire des frégates de Taïwan ;

* Affaire des fuites ;

* Affaire des HLM de Paris ;

* Affaire des HLM des Hauts-de-Seine ;

* Affaire des marchés publics d’Île-de-France ;

* Affaire des marchés truqués des lycées d’Île-de-France ;

* Affaire des otages du Liban ;

* Affaire des paillotes corses ;

* Affaire des ventes d’armes en Angola ;

* Affaire Destrade ;

* Affaire du Carrefour du développement ;

* Affaire du CDDE de Haute-Garonne ;

* Affaire du château de Bity ;

* Affaire du Crédit Lyonnais ;

* Affaire du Cref ;

* Affaire du financement de Globe ;

* Affaire du financement occulte du Parti républicain ;

* Affaire du Phocéa ;

* Affaire du sang contaminé ;

* Affaire du siège de GEC-Alsthom Transport ;

* Affaire du trafic d’armes en Angola ;

* Affaire du trafic des piastres ;

* Affaire du tramway de Bordeaux ;

* Affaire du tramway de Nice ;

* Affaire EDF ;

* Affaire Elf ;

* Affaire Elf Nigeria ;

* Affaire Escota ;

* Affaire Executive Life ;

* Affaire Falcone ;

* Affaire Gaymard ;

* Affaire Gifco ;

* Affaire Joséphine ;

* Affaire Lagerfeld ;

* Affaire Luchaire ;

* Affaire Maillard et Duclos ;

* Affaire Markovic ;

* Affaire Michel Mouillot ;

* Affaire OM-Valenciennes ;

* Affaire Pechiney-Triangle ;

* Affaire Pelat ;

* Affaire Pétrole contre nourriture ;

* Affaire Rhodia ;

* Affaire Robert Boulin ;

* Affaire Stavisky ;

* Affaire Sulzer ;

* Affaire Testut ;

* Affaire Thales ;

* Affaire Tiberi ;

* Affaire Urba ;

* Affaire Vibrachoc ;

* Affaire Villarceaux ;

* Affaire Yann Piat

* Scandale de Panama.

( suite sur )

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Affaire politico-financière

Une affaire politico-financière est un arrangement illégal, à but lucratif, entre des personnalités politiques et des organisations ou entreprises. Il s’agit généralement de détournements de fonds publics, de commissions occultes, de pots-de-vin ou d’emplois fictifs qui permettent de monnayer l’agrément d’un homme de pouvoir ou de financer de manière délictueuse un parti politique. Il s’agit donc de fraude, de corruption et d’abus de biens sociaux.

Sommaire

* 1 Dans la pratique
* 2 Le coût de la corruption
* 3 Transparency International
* 4 Situation de quelques pays
o 4.1 Allemagne
o 4.2 Belgique
o 4.3 France
o 4.4 Inde
o 4.5 Italie
o 4.6 Russie
* 5 Notes et références

Dans la pratique

Le nombre d’affaires politico-financières est très variable suivant les pays. Il est à la fois dépendant du taux de criminalité financière de ce pays, mais également de l’indépendance des contre-pouvoirs au milieu politique comme par exemple la presse ou la justice. Il arrive ainsi que pour camoufler ces compromissions, ou pour protéger leurs auteurs, des témoins gênants, ou des obstacles éventuels, soient abattus ou « suicidés ».

Un certain nombre de scandales sont liés au financement occulte des partis politiques. En France, les dons des personnes morales, à l’exception des autres partis politiques, sont interdits.

Des magistrats spécialisés sont chargés du traitement de ces affaires. Les plus connus en France, sont par exemple : Armand Riberolles, Baltasar Garzón, Benoît Dejemeppe, Bernard Bertossa, Carlos Jimenez Villarejo, Edmondo Bruti Liberati, Eric Halphen, Eva Joly, Gherardo Colombo, Laurence Vichnievsky, Patrick Desmure, Philippe Courroye, Renaud Van Ruymbeke, Thierry Jean-Pierre.
Le coût de la corruption

D’après l’Institut de la Banque mondiale, le coût de la corruption internationale s’élève à plus de mille milliards de dollars américains, généralement sous forme de pots-de-vin. Ce chiffre englobe tous les paiements illicites dans le monde, ceux des pays développés et ceux des pays en voie de développement.

Le chiffre de mille milliards de dollars a été calculé sur la base des données économiques 2001-2002, qui donnaient à l’économie mondiale une taille d’environ trente milles milliards de dollars. Ce chiffre ne comprend pas les détournements de fonds publics ou les vols de biens publics.

Transparency International

Chaque année, l’ONG Transparency International publie un rapport sur le degré de corruption des différents pays de la planète. La dernière édition de ce rapport[1], qui analyse l’indice de corruption de 163 pays, est disponible en ligne gratuitement et en de nombreuses langues, dont le français.
Situation de quelques pays

D’après les différents rapports de Transparency International, le Danemark, la Finlande, l’Islande et la Nouvelle-Zélande, qui en ont jusqu’à présent systématiquement occupé les premières places, sont les pays où la corruption y est la moins perceptible[2] Allemagne

L’Allemagne se classe au 16e rang sur 163 du rapport de l’année 2006 de Transparency International.

* Affaire Leuna.

Belgique

La Belgique se classe au 20e rang sur 163 du rapport de l’année 2006 de Transparency International.

* affaire Agusta.

Inde

L’Inde se classe au 70e rang sur 163 du rapport de l’année 2006 de Transparency International.

* Affaire Bofors

Italie

L’Italie se classe au 45e rang sur 163 du rapport de l’année 2006 de Transparency International.

* Affaire des matches truqués du Calcio ;
* Banco Ambrosiano ;
* Opération Mains propres ;
* Parmalat.

Russie

La Russie se classe au 121e rang sur 163 du rapport de l’année 2006 de Transparency International.

* Affaire Ioukos : Vladimir Poutine est parfois accusé d’avoir utilisé l’affaire Youkos pour évincer Mikhaïl Khodorkovski, qui devenait un concurrent politique.

Notes et références

1. ↑ Rapport sur la corruption mondiale de Transparency International pour l’année 2006 :
[pdf] Première partie ;
[pdf] Deuxième partie ;
[pdf] Troisième partie ;
2. ↑ Classement récapitulatif des pays, extrait de l’édition 2006 du rapport sur la corruption mondiale, établi par Transparency International.

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Financement illégal des partis politiques français

Le financement illégal des partis politiques français est un ensemble de pratiques permettant aux partis politiques de trouver des ressources financières en dehors du cadre de la loi. Les années 1990 ont permis de prendre la mesure de ces pratiques illégales lors des affaires politico-financières qui ont intéressé l’ensemble des partis politiques français.

Le financement des partis politiques français est soumis à une législation qui s’est progressivement imposée depuis les années 80 (loi du 11 mars 1988, loi du 15 janvier 1990, loi du 19 janvier 1995).
Affaire concernant plusieurs partis politiques

* Affaire des marchés publics d’Île-de-France concenant le RPR, PR, PS et le PCF

Affaires classés par parti politique

* financement illégal du CDS
* financement illégal du PCF
* financement illégal du PR
* financement illégal du PS
* financement illégal du RPF
* financement illégal du RPR
* financement illégal du FN

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