Discours de Ram Bomjon, Ghadi Mai, le 30 Octobre 2009
J’ai pris refuge dans le plus grand des véhicules lequel est le Yampa Dharma.
J’ai pris refuge chez tous les moines et les sanghas de toutes les religions
Je reviens avec la sagesse de Buddha et des Nobles Maitres avec tous les êtres vivants
Je prends refuge en la sagesse de l’omniscient Buddha, Mai Maitreya.
Pour la paix mondiale, pour tous les êtres vivants, je souhaite bien et premièrement vous offrir ces bénédictions : Om Namo Guru Buddha Gyani (Salutation au Maitre de sagesse de Buddha) Salutations à la Mère Divine informe, par laquelle le cycle de ce monde de Sin a atteint neuf formes, a dédié Buddha Gyani, la forme de sagesse pour la guidance et le bien-être des êtres vivants.
Dans l’univers entier, ce n’est pas que la compréhension des vérités élevées n’existe pas. Chez tous les êtres vivants nobles il y a des codes d’éthique, des initiations et des religions lesquels changent et ces êtres changent d’apparences. Chez tous les êtres vivants nobles il peut exister des codes d’éthique erronés, des initiations et religions lesquelles sont déplorablement empoisonnées par le monde sous forme de luxe. Par conséquent, ils acceptent uniquement la voie noble du Dharma.
Dans le monde, il y a trois sortes de dharmas informes : Le premier est la forme de Dharma qui suscite les influences nuisibles. Le second montre la forme de dharma sens dessus-dessous, le revers du Dharma. La troisième est l’apparence de la vraie forme du Dharma. C’est-à-dire :
Le premier dharma aux influences nuisibles. Dans cet univers, dans le but de renforcer d’uniques et propres plaisirs égoïstes : peurs, menaces, terrorisme, violence et démonstration des miracles. Ces plaisirs sont utilisés pour protéger le code de conduite erroné. L’égoïsme produit ceci et ce n’est pas la bonne voie.
Le second manifeste la forme de dharma sens dessus-dessous : le dharma de revers. En vue de bénéficier des gains monétaires, les humains s’écartent du chemin de la vérité. C’est une forme néfaste de dharma.
Le troisième véritable dharma : pour que les êtres vivants du monde en bénéficient et adhèrent à la voie de la vertu en ayant un sens profond de bien-être. Cette forme de vrai dharma est la forme qui mène de la souffrance et l’ignorance à la sagesse par la bienveillance aimante. Entre cette terre et ce ciel, il y a un nombre infini d’êtres lesquels sont conscients de ce monde et dont les chemins sont : la naissance, la mort et l’impermanence…Laissons nous, humains, rechercher la paix, Mai Maitreya, la vérité et la sagesse. Ce monde manque d’aptitude à faire de telles recherches avec ses types de morale et comportements. Il n’y a pas de fondations pour une bonne conduite morale. Nous sommes devenus des anti-sociaux. Il y a la nuisance, il y a la rage, l’égoïsme et la jalousie, bâtissant la société. Et la construction de la société est dépourvue de fondations. Un être innocent pourrait être déshérité de sa vie heureuse et être livré au sacrifice. Donc, par la mort “consciente” de celui-ci, l’humain peut acquérir la santé ! Comment peuvent-ils être aussi égoïstes ?
La société humaine a perdu la puissance de Mai Maitreya pour manifester la clémence, l’amour et la compassion. Par conséquent, les êtres humains massacrent des êtres innocents. Pourquoi font-ils cela ? Nous, êtres humains, afin de satisfaire notre égoïsme immoral faisons du mal aux êtres vivants. Afin de satisfaire nos désirs, seules les bonnes anciennes traditions et les manières éthiques peuvent être utilisées.
Avec ce message, je voudrai faire appel à toutes les religions afin de laisser les êtres innocents libres de la nuisance au Temple de Ghadi Mai. Au Temple Ghadi Mai…les animaux…les animaux innocents…dans nos villages et maisons…les animaux innocents…que ceci n’advienne pas…que les obstacles de cultes et préjudices ne surviennent pas…Que tous les êtres soient heureux.
Traduction de Aumnamasivaya de l’Anglais en Français
Buddha Boy Ram Bomjon Ghadi Mai Speech on October 30, 2009
I have taken refuge in the geatest vehicle of vehicles which is the Yampa Dharma.
I have taken refuge in all monks and the sangha of all religions.
I turn to the wisdom of Buddha and the Noble Masters with all sentient beings
I take refuge in the wisdom of the all knowing Buddha, Mai Maitreya.
For world peace, for all sentient beings, I wish you well and first give you these blessings : Om Namo Guru Buddha Gyani (Hail to the Master of the Wisdom of Buddha) Hail to the formless Divine Mother, by whom the worldly cycle of sin was overcome in nine forms, has dedicated Buddha Gyani, the form of wisdom for the guidance and the welfare of sentient beings.
In the whole universe, its is not that the wisdom of the Noble Truths does not exist. In all noble beings there are codes of ethics, initiations, religions, which change, and they change appearances. In all noble human beings there can be wrong codes of ethics, initiations and religions which are sadly poisoned by the world in the form of wealth. Thus accept only noble path of dharma.
In the world there are only three kinds of formless dharmas : First is the dharma form that causes bad influences. The second shows the form of upside-down, reverse dharma. Third is the appearance of true form of Dharma. That is to say :
The first dharma of bad influence. In this universe, in order to secure one’s own selfish pleasures, fear, threats, terrorism, violence and demonstration of miracles are used to protect the wrong code of conduct. Pure selfishness causes this, and it is not right way.
The second show of the form of upside-down, reverse dharma. Humans in order to profit from momentary gains have strayed from the path of truth. This is a harmful form (of dharma).
The third true Dharma in order to benefit sentient beings of the world adheres to the path of virtue and having an inner sense of wellbeing. This form of true dharma is the form that leads from suffering and ignorance to wisdom through loving kindness. Between this earth and the sky, there live infinite number of beings which are conscious of this world, whose ways are birth, death and impermanence…Let us humans search for peace, Mai Maitreya, truth and wisdom. This world is unable to make such a search with its kinds of morals and behavior. There is no fondation for good moral conduct. We have become anti-social. There is harm, there is rage, selfishness and jealousy, constructing the society. And the construction of society is devoid of foundations. An innocent being should not be deprived of its happy life and be surrendered by sacrifice, so that by its death « conscious » human can acquire wealth ! How selfish can they be ?
Human society has lost the power of Mai Maitreya to show mercy, love and compassion. So human beings murder innocent beings. Why do they do it ? We human beings in order to fulfill our sinful selfishness harm sentient beings. In order to fulfill ones desires, only good old traditional and ethical ways can be used.
With this message, I would like to appeal to all religions to let innocent beings be free from harm at Ghadi Mai Temple. At Ghadi Mai Temple… animals…the innocent animals…at our villages and homes…the innocent animals…may this not happen…may obstacles in worship and harm not happen…May all beings be happy.
Avec ce message, je voudrai faire appel à toutes les religions afin de laisser les êtres innocents libres de la nuisance au Temple de Ghadi Mai. Au Temple Ghadi Mai…les animaux…les animaux innocents…dans nos villages et maisons…les animaux innocents…que ceci n’advienne pas…que les obstacles de cultes et préjudices ne surviennent pas…Que tous les êtres soient heureux.
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Un exemple parmi d’autres…
Aïd el-Kabir
L’Aïd el-Kebir ou Aīd al-Kabīr (en arabe العيد الكبير, signifiant littéralement « la grande fête »), est l’une des fêtes les plus importantes de l’islam. L’appellation islamique provenant des hadiths est « fête du sacrifice » ou Aïd al-Adha (en arabe : عيد الأضحى), cet aïd marque chaque année la fin du hajj. Elle a lieu le 10 du mois de dhou al-hijja, le dernier du calendrier musulman, après waqfat Arafa, ou station sur le Mont Arafat.
L’Aïd el-Kebir est nommé la Tabaski en Afrique de l’Ouest francopohone (Sénégal, Guinée, Mali, Côte d’Ivoire, Bénin, Burkina Faso, Togo, Niger, Nigéria, Cameroun). Chez les Berbères, en Afrique du Nord, il est appelé Tafaska. En Turquie, il est appelé Kurban Bayramı[1] et dans les Balkans, Kurban Bajram.
Autrefois les Morisques réfugiés en Afrique du Nord appelaient cette fête Karnéré, le terme disparaît peu à peu au profit de la dénomination arabe majoritairement en vigueur au Maghreb, il est parfois noté sous la graphie européanisée de Carnere par de nombreux voyageurs étrangers.
Commémoration du sacrifice d’Ismaël
Cette fête commémore la soumission d’Ibrahim à Dieu, symbolisée par l’épisode où il acceptait d’égorger son fils Ismaël [2] sur l’ordre d’Allah, celui-ci envoyant au dernier moment un mouton par l’entremise de l’archange Gabriel pour remplacer l’enfant comme offrande sacrificielle. En souvenir de cette soumission totale d’Ibrahim à Dieu, les familles musulmanes sacrifient un mouton ou un bélier, mais parfois d’autres animaux comme des vaches ou des chèvres, en l’égorgeant, couché sur le flanc gauche et la tête tournée vers La Mecque, après la prière et le sermon de l’aïd.
Selon les traditions juive et chrétienne, tirées de la Torah (1ere partie de la Bible), dans l’épisode du sacrifice, c’est le second fils d’Abraham, Isaac qui a failli être sacrifié, et non Ismaël car ce dernier était impur (issu d’un adultère).
Rites et traditions islamiques
Le jour de Aïd el-Kebir constitue un jour de fête dans la tradition prophétique musulmane. En effet dès l’annonce de la vision de la nouvelle lune (cela signifie la fin du mois précédent et le début du suivant selon le calendrier lunaire), les musulmans où qu’ils soient, glorifient la grandeur d’Allah par le takbir comme suit : Allah akbar, Allah akbar,laa ilaaha illa Allah wa Allah akbar, Allah akbar wa lillahi al-hamd ( Dieu est le plus grand, Dieu est le plus grand, il n’y a pas d’autres divinités à part Allah et Dieu est le plus grand, Dieu est le plus grand et à lui seul lui sied la Louange ). Ils doivent le prononcer autant qu’ils peuvent dans les mosquées, dans les maisons et les marchés. Les hommes le proclament à haute voix tandis que les femmes le font à voix basse, depuis la veille jusqu’à la prière du lendemain , jour de fête. Le matin très tôt, les musulmans mangent un nombre impair de dattes selon la sunna, puis après s’être purifiés par les ablutions et s’être parés de leurs plus beaux vêtements,ils se rendent au lieu de prière (à l’extérieur ). Ils prient deux unités de prière et écoutent le sermon de l’imam qui les exhortent à craindre Dieu et à multiplier les actes d’adoration et de dévotion et à les parfaire afin qu’ils récoltent le succès au jour de la Résurrection. Enfin, l’imam égorge sa bête ( mouton, chèvre, vache, chameau… ) au nom d’Allah, sur le lieu de sacrifice ensuite les fidèles l’accomplissent à leur tour. L’islam incite les croyants à remercier Dieu pour ses bienfaits, et à partager la viande avec les plus pauvres dans un esprit de recueillement et de fraternité… Cette tradition s’appuie sur la sourate 22 (dite du « pèlerinage »)[3
Source : fr.wikipedia.org
Bhakti
La Bhakti (Devanāgarī: भक्ति)[1], littéralement »la dévotion » ou le service de pur amour envers Īśvara (le seigneur suprême en sanskrit), est l’une des composantes essentielles de l’hindouisme.
Dans la Bhagavad-Gītā sri Krishna, 8e avatar du dieu Vishnu, enseigne entre autres le bhakti yoga ou la voie de la dévotion au Dieu personnel pour atteindre la Délivrance du cycle des réincarnations.
fr.wikipedia.org
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Bhakti
Bhakti (Sanskrit: भक्ति, IPA: [bʱəkˈt̪i], devotion or portion)[1] in practice signifies an active involvement by the devotee in divine worship. The term is often translated as »devotion », though increasingly « participation » is being used as a more accurate rendering, since it conveys a fully engaged relationship with God.[2] One who practices bhakti is called a bhakta,[3] while bhakti as a spiritual path is referred to as bhakti marga, or the bhakti way.[4][5] Bhakti is an important component of many branches of Hinduism, defined differently by various sects and schools.[6]
Bhakti emphasises devotion and practice above ritual. Bhakti is typically represented in terms of human relationships, most often as beloved-lover, friend-friend, parent-child, and master-servant.[7] It may refer to devotion to a spiritual teacher (Guru) as guru-bhakti,[8][9] to a personal form of God,[10] or to divinity without form (nirguna).[11] Different traditions of bhakti in Hinduism are sometimes distinguished, including: Shaivas, who worship Shiva and the gods and goddesses associated with him; Vaishnavas, who worship forms of Vishnu, his avatars, and others associated with; Shaktas, who worship a variety of goddesses. Belonging to a particular tradition is not exclusive—devotion to one deity does not preclude worship of another.[12]
The Bhagavad Gita is the first text to explicitly use the word »bhakti » to designate a religious path,[13] which the Bhagavata Purana develops more elaborately.[7] The so-called Bhakti Movement saw a rapid growth of bhakti beginning in Southern India with the Vaisnava Alvars (6th-9th century CE) and Saiva Nayanars (5th-10th century CE), who spread bhakti poetry and devotion throughout India by the 12th-18th century CE.[14][15] Bhakti influence in India spread to other religions,[16][17][18][19] coloring many aspects of Hindu culture to this day, from religious to secular, and becoming an integral part of Indian society.[15]
en.wikipedia.org
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First of all, the Siddhas or most of them, in sharp contrast to the bhakti tradition, refuse to allow themselves to be carried away by idol-worship in particular temples (a truly diagnostic feature of South Indian bhakti, which has been called henolocotheism). CF/ Civavakkiyar 126: »Do gods becomes stones? » And st. 33 he condemns ritual worship and bathing:
“What are temples? What are the bathing tanks?
You fools who worship in temples and tanks!
Temples are in the mind! Tanks are in the mind! »
p 63/64
(…)
Second, In contrast to bhakti which emphasises the emotional approach, a passionate devotion to God, to one’s iṣṭa-devatā (« deity of one’s choice »), The Tamil Siddha texts emphasize _apart from the knowledge (seelater) and Yoga practice_ the character, the moral behaviour, the right conduct. In this sense, they have been called « puritanical ». The worst sins are anger (kopam), lust (acai) and egoism (akankaram). according to Akkattiyar 7.1 »If the mind is in the right disposition, it is unnecessary to say prayers ».
p 64
(…)
Liberation (in contrast to bhakti, devotion) is achieved by knowledge; it is a liberation from the idea of evil and pain. The wretched condition of human existence and life is not do to divine test, but to ignorance_to metaphysical ignorance. That is, the ignorance consists in regarding what is ephemeral , impure, painful, and non-spiritual as being eternal, pure, blissful and spiritual. there is one way do gain salvation: adequate knowledge (and not devotion, or ritual ceremonies, or simply right actions). Knowledge of what? Knowledge of the ultimate reality (paraparam), that is, an awakening in which the object completely identifies itself with the subject. Liberation is only becoming aware of the eternal freedom of the spirit; it is the liberation from the idea of pain and evil. Suffering and pain cease as soon as the relation between suffering and Self ceases, that is, as soon as one understands that suffering is exterior to Spirit. Thus suffering is destroyed by ignoring it as suffering.
p 66
(…)
Thus, roughly speaking, the two characteristic features of the social attitudes of the Siddhas are anti-casteism, anti-brahmanism, especially a strong stand against the brahmans’ “pharisaic insistence on external purity and observance of rites”.
One may fully agree with the following quotation: “To denounce today caste, worship in temples and religious and agamic rituals does not require much courage, but to have done so in centuries in which the Tamil Siddhas lived required extraordinary heroism and strength of convictions”
p 70
Source :
– The poets of the powers, Kamil V. Svelebil
There are some features which are typical for all or almost all siddhars as a body of thinkers.
* First, in SHARP OPPOSITION to the bhakti tradition, they refuse to allow themselves be carried away by idol worship in particular temples.
* Second, in contrast to bhakti which emphasizes passionate devotion to God, the siddhar emphasize knowledge, yoga practice, and character, moral behavior, right conduct. Anger, lust and egoism are the worst sins.
* Third, almost all siddhar’s raise a protest against caste and casteism.
Source : yogascience.angelfire.com