9 000 MILLARDS de dollars ont disparu des caisses de la Federal Reserve Bank (la banque centrale Americaine qui est une banque PRIVEE). 9 000 milliards de dollars represente 30 000 dollars par Americain ou 1500 dollars par personne sur terre sachant que beaucoup vive avec moins d’un dollar par jour!

Le 5 Mai 2009, Alan Grayson questionne l’Inspecteur Général, Elisabeth Coleman,de la FED sur les 9,7 trillions de dollars qui ont disparu et sur ceux ou celui qui ont bénéficié de cet argent.

L’Inspecteur Général de la Réserve Fédérale (FED) dans la vidéo ci-dessus, reconnaît que des trillions de dollars ne peuvent pas être retrouvés.

Ces cinq minutes de vidéo proviennent d’une audition du Congrès où l’Inspecteur Général de la FED, Elisabeth Coleman est interrogée par le Membre Du Congrès, Alan Grayson, le 5 mai 2009, sur les sommes d’argent énormes dont la FED est responsable.

L’Inspecteur Général évite de répondre à chaque question demandée. En fait, elle semble en savoir moins que le Membre du Congrès Grayson.

Comment se fait-il que les grands médias n’ont par rapporté une tel info!

Voir absolument ‘America from freedom to Fascism’ de Aaron Russo, ‘Money as debt’ de Paul Grignon, et ‘le jeu de l’argent’ des Archives oubliées (emission de tv diffusé au Canada) pour comprendre ce qu’est le systeme monetaire et bancaire!

America from Freedom to Fascism : dailymotion.com

Money as Debt (l’argent dette) : dailymotion.com

Le jeu de l’argent : dailymotion.com

EN BONUS la veille du 11 septembre, Donald Rumsfeld déclare à la TV que 1000 Milliards de dollars ont disparu des comptes du Pentagone :

****************************

Plus de 10’000 milliards de dollars ont disparu !

Voici une liste de suspects et les liens avec l’affaire Ferraye.

Plus de 10’000 milliards de dollars ont disparu !

Où ?

Dans des paradis fiscaux !!!

La City de Londres et ses annexes sont les pires repaires de bandits et pirates financiers.

En 2008 dans le quotidien Le Figaro : « Si l’on tient comptes des services offerts (secret bancaire, absence de taxes, non-résidence, absence de réglementation), le plus grand paradis fiscal de la planète est la City de Londres.

Elle a organisé à la fin des années 1950 la non-réglementation en accaparant le marché des eurodollars ; elle pratique le secret bancaire et l’absence de taxes pour les non résidents (…).

Elle dispose de relais exotiques (Bermudes, Bahamas, Îles Vierges, Jersey, Ile de Man, Guernsey, divers territoires du Privy council) battant pavillon britannique mais destinés à tromper sa propre réglementation.

Par ailleurs, avec le Guyana, la Barbade est le seul Etat de la CARICOM

à avoir reconnu la Cour de Justice Caribéenne (créée le 16 avril 2005 à Port d’Espagne) avec une compétence de dernier ressort

en lieu et place du Privy council de Londres.

• Gibraltar
• Île de Man
• Irlande
• Guernesey
• Jersey
• Bahamas
• Bermudes
• Îles Caïmans

La Suisse, désignée ces jours-ci comme le premier paradis fiscal avec le Luxembourg, peut, avec raison, faire remarquer qu’elle n’est qu’un coffre fort de famille, à côté de Londres. »

La vente de produits de luxe bat tous les records, le nombre de milliardaires augmente sans cesse… Pourtant les caisses des États sont désespérément vides. Où est donc passé l’argent public ?

Des Caraïbes à Jersey en passant par le Ghana, Frédéric Brunnquell a mené l’enquête sur cette « Grande évasion » et découvert le pot au rose : alors que l’ONU réclame 50 milliards pour éradiquer la pauvreté, plus de 10 000 milliards de dollars sommeillent à l’abri des regards dans les paradis fiscaux.

Suivez l’argent, vous découvrirez des secrets bien gardés…

Exemple complet.

« Cette affaire Clearstream 2 a été montée de toutes pièces, elle est destinée à cacher l’affaire des frégates de Taïwan et surtout l’affaire de M. Joseph Ferraye, il y a des milliards de dollars qui sont partis, il y a des morts dans ce dossier.

Mais on nous ressort toujours Cleartsream 2 avec une surmédiatisation qui a été encouragée par Nicolas Sarkozy et son ami DSK, pour cacher le pot aux roses…

On m’a mis au pilori. » a dit Renaud Van , l’un des juges sur France info le 1er février 2007.

Quelques morts dans le dossier : Le premier ministre Pierre Beregovoy, le banquier Edmond Safra , André Sanchez de Lausanne, diverses morts violentes à Taïwan, Daniel Levavasseur, un ancien agent français, pendu à une corde en montagne…, Georg Brozicek défenestré à Vevey, Boby Dacer à Manille et son ami Alfred Sirven en prison, le juge Bernard Borel à Djibouti, le banquier Edouard Stern à Genève et notamment le capitaine d’industrie Jean-Luc Lagardère etc…

Nous apprenons par un journaliste français qu’une perquisition a eu lieu sur ordre de Justice, au Ministère des Affaires étrangères à Paris, concernant l’affaire Bernard BOREL.

En 1995, le Procureur Bernard BOREL, en mission à Djibouti, a été assassiné (19 octobre 1995). Son agenda qui a été retrouvé, porte la mention qu’il était mission né dans une affaire de brevets ! (points 55 – page 30 et 113 – page 44 du mémoire…

L’Etat français s’est opposé à ce que la procédure lancée par l’épouse du
Procureur, Elisabeth BORREL – jugée à Toulouse, soit ouverte, sous prétexte du secret défense.

Une rhétorique facile et systématique quand il s’agit de couvrir les crimes organisés par de hautes instances de l’État, comme pour l’affaire des frégates de Taïwan et autres…. classées sous prétexte du secret défense alors qu’il y plusieurs morts très suspectes et des fonds sur des comptes notamment au Japon, à Genève, à Lausanne…et à Clearstream…et notamment un jeune journaliste père de famille liquidé dans les DOM TOM, sans compter les défenestrés… ( not. Brozicek et Wang…)…et les explosés dans leur voiture ( Sanchez ), les pendus ( Levavasseur, les « suicidés » de plusieurs coups de feu dans le dos, ce qui est impossible…)…

Il est trop facile de laisser faire, sous prétexte du secret défense, des gens qui provoquent des infamies sans limites.

desiebenthal.blogspot.com

Plus des prisonniers politiques et des censures étranges en Suisse, voir www.burdet.info

Comment brouillent-ils les pistes ?

L’affaire Clearstream 2 (ou affaire EADS-Clearstream ou affaire du corbeau des frégates de Taïwan) est une affaire apparue en 2004. Un petit groupe de politiciens et d’industriels tenta de manipuler la justice afin d’évincer des concurrents, en voulant faire croire à l’implication de ceux-ci dans le scandale des frégates de Taïwan. À l’heure actuelle (décembre 2007), l’enquête chargée d’identifier les membres de ce groupe, confiée aux juges Jean-Marie d’Huy et Henri Pons, est encore en cours.

Sommaire

•1 Contexte
•2 Lancement de l’affaire
•3 Déroulement de l’affaire
◦3.1 Les faits : le scénario du « corbeau »
◦3.2 L’enquête de D’Huy et Pons
•4 Protagonistes
◦4.1 EADS
◦4.2 Personnalités politiques
■4.2.1 Dominique de Villepin
■4.2.2 Nicolas Sarkozy
■4.2.3 Michèle Alliot-Marie
■4.2.4 Jacques Chirac
◦4.3 Ministère de la défense et services de renseignement
■4.3.1 Philippe Rondot
■4.3.2 Pierre de Bousquet de Florian
◦4.4 Justice
■4.4.1 Renaud Van Ruymbeke
■4.4.2 Henri Pons et Jean-Marie d’Huy
◦4.5 Presse
■4.5.1 Le quotidien Le Monde
■4.5.2 L’hebdomadaire Le Point
■4.5.3 Le quotidien Le Parisien
■4.5.4 Le quotidien Libération
■4.5.5 Le quotidien Le Canard enchaîné
■4.5.6 L’hebdomadaire Le Journal Du Dimanche
■4.5.7 L’hebdomadaire Paris Match et Karl Zéro
•5 Intervenants secondaires
◦5.1 Philippe Marland
◦5.2 François Heilbronner
◦5.3 Anne-Gabrielle Heilbronner-Lahoud
◦5.4 Alain Juillet
◦5.5 Philippe Delmas
◦5.6 Stéphane Denis du Figaro
◦5.7 Salamandre
◦5.8 Intelligence économique et sécurité
•6 Documents
•7 Citations
•8 Notes et références
•9 Voir aussi
◦9.1 Articles connexes
◦9.2 Sources
◦9.3 Lien externe

(b]Contexte[/b]

Cette affaire prend place dans les conflits brutaux qui agitent l’industrie française de l’armement depuis la fusion Airbus-Matra-Dassault au sein d’EADS et les luttes d’influence des géants de l’électronique militaire Thales (Ex-Thomson-CSF) et Alcatel avant leur possible fusion. Ainsi, dans le groupe EADS, se déchireraient deux clans issus de l’ancien groupe Matra : d’une part celui d’EADS proprement dit, animé par Philippe Camus et Jean-Louis Gergorin ; d’autre part, celui d’Airbus, dirigé par Noël Forgeard et Philippe Delmas.

Une seconde toile de fond est la rivalité politique entre Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin. Dès les débuts de l’affaire, Nicolas Sarkozy y aurait vu une tentative grave de déstabilisation à quelques mois de l’élection présidentielle de 2007.

Lancement de l’affaire

Depuis juin 2001, le juge Renaud Van Ruymbeke enquête sur l’affaire des frégates de Taïwan. Au printemps 2004, il reçoit plusieurs lettres anonymes et CD-ROMs prétendant révéler l’existence d’un réseau international d’influences et de malversations, ainsi que celle de 895 comptes bancaires occultes qui, ouverts par de nombreuses personnalités du monde des affaires (dont Alain Gomez, Pierre Martinez, Philippe Delmas) ou de la politique (dont Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius), auraient fait transiter l’argent des frégates.

Il est rapidement apparu qu’il s’agissait d’une tentative de manipulation visant le juge Van Ruymbeke et dont le scénario s’inspirait des thèmes développés dans le livre Révélation$ de Denis Robert. En particulier, les listes de comptes occultes envoyés par le corbeau auraient été trafiquées afin d’impliquer des personnalités étrangères à l’affaire des frégates de Taïwan. Une enquête sur la réalisation de ces faux fut alors confiée aux juges Jean-Marie d’Huy et Henri Pons[1].

Déroulement de l’affaire

Article détaillé : Chronologie de l’affaire Clearstream 2.

( Voir la suite avec plus de détails sur )

desiebenthal.blogspot.com

Exemple (caricatural mais explicite) :

Une entreprise Française achète une montre à 1 € (n’importe où dans le monde).

Elle revend cette montre 101 € hors taxes et frais (en France).

L’entreprise aura des impôts à payer sur 100 €.

Maintenant, si elle fait acheter cette montre par une société créée par elle dans un paradis fiscal (toujours 1 €).

Que sa société implantée dans le paradis fiscal revend la montre 100 € à la société Française.

L’entreprise revendant la montre toujours 101 €.

Le bénéfice n’est que de 1 €.

La société ne paiera des impôts en France que sur 1 euro au lieu de 100 €.

Les 99 autres euros gagnés par sa société seront soumis à l’impôt très bas du paradis fiscal.

Caractéristiques des paradis fiscaux

L’intérêt des paradis fiscaux ne réside pas seulement dans leur qualité fiscale, mais aussi dans d’autres avantages aussi essentiels. Le rapport Gordon de l’administration fiscale américaine ainsi que les travaux de l’OCDE retiennent un faisceau de caractéristiques communes à la plupart des paradis fiscaux :

* absence ou faible niveau d’imposition pour des dépenses publiques réduites

* liberté des changes accompagnée d’une monnaie liquide

* secret commercial et secret bancaire inébranlable (on parle parfois de « paradis bancaire »)

* secteur financier très développé par rapport à la taille du pays ou la dimension de son économie

* maillage de conventions fiscales faible ou inexistant.

A ces critères on peut ajouter l’impunité judiciaire relativement aux lois nationales contournées qui font dire à l’ONG Survie, membre fondateur d’ATTAC, que les paradis fiscaux sont en fait des paradis fiscaux et judiciaires.

Les paradis fiscaux sont en général de tous petits territoire, souvent des îles, qui peuvent dégager des ressources fiscales suffisantes à leur échelle parce que le faible taux d’imposition est compensé par l’énorme volume d’opérations (la ressource étant de niveau mondial).

Devenir un paradis fiscal est une solution qui peut-être adoptée par des états sans autres ressources, dont l’économie très faible par ailleurs ne supporterait pas une taxation à la hauteur des besoins.

Toutefois, ces critères restent relatifs : la Suisse est un paradis bancaire, mais n’est en général pas considérée comme un paradis fiscal ; le Royaume-Uni ou les États-Unis ne sont pas en général considérés comme des paradis fiscaux bien qu’en pratique ils puissent offrir les mêmes avantages aux particuliers (statut de résident non domicilié au Royaume-Uni) comme aux entreprises (sociétés non résidentes aux États-Unis) ; Andorre est un paradis fiscal avec des infrastructures de communication et de transport limitées du fait de sa géographie, etc.

La Suisse n’est plus un paradis fiscal depuis des années.
Depuis que l’OCDE a mis en place des outils de lutte contre les paradis fiscaux, 33 juridictions ont pris des engagements en matière de transparence et d’échange effectif de renseignements et ont été retirées de la liste.

Exemple de paradis fiscal sous juridiction anglaise…Allez, un extrait du Monde pour finir :

Citation:

Apparemment, aux Bahamas, la bonne moralité semble ainsi à géométrie variable. Le « comte », il est vrai, a presque l’air d’un demi-sel en regard des personnages qu’il côtoie dans les endroits les plus huppés des îles : la St Andrew’s School, la piscine du très sélect Ocean Club ou le bar du country club de Lyford Cay, l’enclave ultraprivée des multimilliardaires de l’île de New Providence. Même un Didier Schuller ne fait guère le poids à côté d’autres « célébrités » de la petite communauté offshore des nouveaux flibustiers de Nassau.

Prenez le Canadien David Walsh, par exemple. Fondateur de la sulfureuse Bre-X, une société censée exploiter une mine d’or sans filon à Bornéo, Walsh serait à l’origine de la ruine, en mars dernier, de plusieurs milliers d’investisseurs. Il vit tranquillement à Cable Bay, dans une propriété longeant une plage privée sur plus de 400 mètres.

Sur le green de Lyford Cay on peut aussi croiser le Tchèque Viktor Koczeny. Cet ancien
étudiant de Harvard s’est enrichi grâce à un gigantesque délit d’initié, en rachetant des fonds de pension en couronnes et en les revendant en dollars lors des privatisations en République tchèque. Bénéfice de
l’opération selon l’un de ses proches : plusieurs centaines de millions de francs. Viktor Koczeny, 37 ans, a
débarqué aux Bahamas en 1996. Beau garçon, intelligent et de compagnie agréable malgré l’omniprésence de ses trois gardes du corps, « le Tchèque », comme on le surnomme à Nassau, s’est offert un Boeing 737 aménagé en appartement, qu’il tient prêt au décollage vingt-quatre heures sur vingt-quatre. « Beaucoup de gens cherchent à lui faire la peau, affirme un agent immobilier. Il a intérêt à profiter de la vie, avant de se retrouver au fond du lagon, les pieds pris dans le béton.

Un autre personnage bien plus haut en dollars fait beaucoup parler de lui dans ces îles de rêve. C’est Sol Kerzner, l’empereur des jeux en Afrique du Sud et le propriétaire de cet Ocean Club que fréquentent Didier Schuller et Patrick Campion. Depuis quelque temps, les activités de Salomon, dit Sol, Kerzner, fils de modestes émigrants juifs de Russie, occupent toutes les conversations lors des soirées élégantes de Nassau. Sol a racheté plus de 70% de Paradise Island, et il a investi 700 millions de dollars (4,2 milliards de francs) dans la construction du centre de loisirs le plus grand du monde. C’est ainsi qu’il est devenu l’homme fort des Bahamas. Un homme craint mais respecté.

« Depuis son arrivée, c’est le jour et la nuit, dit une résidente belge. Auparavant, les rues de Nassau ressemblaient à un gourbi. Maintenant, les poubelles sont ramassées, les maisons repeintes. La ville est enfin sûre. Dans « Punch », le journal satirique de l’île, de nombreux articles ont pourtant dénoncé l’origine incertaine, voire mafieuse, de la fortune de Sol Kerzner, fortune accumulée au temps de l’apartheid. On a accusé le magnat de la roulette d’avoir arrosé des dirigeants de quatre anciens bantoustans où il a ouvert ses casinos.

Certains s’interrogent : ne serait-il pas en train de recourir aux mêmes méthodes aux Bahamas ? « Si vous
voulez être tranquille ici, il suffit de payer, dit un financier. Payer ses intermédiaires et surtout payer ses
protections. Pour s’implanter, les grosses sociétés financent par ailleurs des plans de développement
gouvernementaux. Elles mettent ainsi les responsables du pays en porte-à-faux et deviennent vite
incontrôlables. »

Jusqu’à maintenant, un seul de ces richissimes résidents étrangers peut se plaindre d’avoir
cédé à l’appel des bakchichs sous les cocotiers. Il s’agit du Suisse Werner K. Rey. Caché aux Bahamas
depuis la faillite frauduleuse de son empire Omni Holding, en 1992, il a laissé à Berne une ardoise de 4
milliards de francs suisses (16 milliards de francs français). Durant quatre ans, Rey a vécu tel un nabab à
Nassau, persuadé qu’on ne viendrait jamais l’en déloger. En mars 1996, pourtant, le gouvernement suisse a fini par obtenir son arrestation provisoire. Depuis, Rey dort en prison.

Pendant ce temps, pour des dizaines de milliers dollars d’honoraires, ses avocats bahamiens négocient son maintien dans les îles, devant la Cour suprême de Nassau.

Selon « la Tribune de Genève », Werner K. Rey pourrait être extradé au printemps prochain. A moins qu’il ne fasse appel de cette décision en premier lieu à Nassau, puis, s’il le faut, devant le Privy Council de Londres, l’autorité judiciaire suprême du Commonwealth dont dépendent les Bahamas. A Nassau, avec un portefeuille plus rebondi encore que son casier judiciaire, on a la vie devant soi.

Les juridictions qui n’ont pas encore pris d’engagement en matière de transparence et d’échange effectif de renseignements sont [14] :

Europe
• Andorre
• Liechtenstein
• Monaco

« Offshore Financial Centers » selon le FMI de 2007[15]

Amérique
• Antilles néerlandaises
• Bahamas
• Bermudes
• Îles Caïmans

Asie
• Bahreïn
• Hong Kong
• Singapour
• Émirats arabes unis

Europe
• Chypre
• Guernesey
• Île de Man
• Irlande
• Jersey
• Luxembourg
• Malte
• Royaume-Uni
• Suisse

Paradis fiscaux selon ATTAC [réf. nécessaire]

Afrique
• Seychelles
• Maurice
• Tunisie
• Libéria
• Ghana

Amérique
• Antilles néerlandaises
• Anguilla
• Antigua-et-Barbuda
• Bahamas
• Barbade
• Belize
• Bermudes
• Îles Caïmans
• Costa Rica
• Grenade
• Honduras
• Jamaïque
• Montserrat
• Panamá
• Saint-Barthélemy ( France)
• Saint-Christophe-et-Niévès
• Trinité-et-Tobago
• Sainte-Lucie
• Saint-Vincent-et-les Grenadines
• Îles Turques-et-Caïques
• Îles Vierges britanniques
• Aruba
• Delaware ( États-Unis)

Asie
• Singapour
• Hong Kong
•Hainan ( Chine)

Europe
• Andorre
• Chypre
•Campione ( Italie)
• Gibraltar
• Île de Man
• Irlande
• Guernesey
• Jersey
• Luxembourg
• Liechtenstein
• Monaco
• Pays-Bas
• Suisse

Moyen-Orient
• Bahreïn
• Oman

Océanie
• Nauru
• Pitcairn
• Tonga
• Vanuatu [16] • Îles Marshall
• Îles Cook

[b]Autres(/b]

D’autres territoires ont été parfois qualifiés de paradis fiscaux :

•la Polynésie Française, où n’existe ni impôt sur le revenu, ni ISF, ni droits de succession. Valable aussi pour Wallis-et-Futuna, le plus secret des paradis offshore français[réf. nécessaire].

• Belgique : bien qu’ayant une fiscalité considérée comme assez lourde, le pays n’a pas d’ISF, ni d’impôt sur les plus-values mobilières, un statut avantageux de « centre de coordination » pour les multinationales, anonymat fiscal des revenus d’épargne, etc[réf. nécessaire].

•Le Liban est aussi considéré comme un paradis fiscal, même si l’instabilité politique actuelle peut rebuter les entreprises ou les investisseurs à s’installer dans ce pays[réf. nécessaire].

•Le Canada est considéré comme un paradis fiscal pour les mouvements religieux. En effet, dans ce pays, tout mouvement à caractère religieux peut recevoir de nombreux avantages fiscaux, exception de taxes municipales et d’impôt sur le revenu, possibilité d’émettre des reçus fiscaux aux donateurs. Il est relativement facile aux 15 000 organismes religieux basés au Québec d’avoir droit à ces avantages fiscaux[réf. nécessaire].

• Royaume-Uni. Selon le quotidien français L’Humanité[17], mais aussi pour la place historique et prépondérante de Londres dans le marché des eurodollars[18].

•L’essayiste français Stéphane Denis écrit en 2008 dans le quotidien Le Figaro : « Si l’on tient comptes des services offerts (secret bancaire, absence de taxes, non-résidence, absence de réglementation), le plus grand paradis fiscal de la planète est la City de Londres. Elle a organisé à la fin des années 1950 la non-réglementation en accaparant le marché des eurodollars ; elle pratique le secret bancaire et l’absence de taxes pour les non résidents (…). Elle dispose de relais exotiques (Bermudes, Bahamas, Îles Vierges) battant pavillon britannique mais destinés à tromper sa propre réglementation. La Suisse, désignée ces jours-ci comme le premier paradis fiscal avec le Luxembourg, peut, avec raison, faire remarquer qu’elle n’est qu’un coffre fort de famille, à côté de Londres. »[19][réf. nécessaire].

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal

desiebenthal.blogspot.com

Divers Auteurs