Extraits de l’ouvrage « Extra-terrestrials friends and foes » de George Andrews, Illuminet Press, USA 1993
1- La Guerre Cosmique entre Rigel et Procyon
Communication du messager Khyla de Procyon :
Depuis plusieurs milliers d’années, il existe une Grande Guerre dans le cosmos qui oppose l’Alliance Interdimensionnelle des Mondes Libres et l’Alliance Impériale des Mondes (auto)Vertueux. Les principaux peuples en rivalité dans cette guerre et qui sont aussi présents dans notre système solaire sont les Grands Blonds et les Petits Gris. Ces deux races sont aujourd’hui très différentes mais dans les temps reculés elles ne formaient qu’un seul peuple habitant une planète tournant autour de l’étoile Rigel (Constellation d’Orion). Tous les Rigeliens étaient blonds.
A cette époque prospère, Rigel était un vaste empire qui avait été la source d’un ensemencement considérable à travers les galaxies. Quand la Grande Guerre commença, une colonie rigelienne était déjà installée sur une planète orbitant autour de l’étoile Procyon, située devant Sirius dans la Constellation du Grand Chien. En fait, la Grande Guerre débuta par une guerre civile entre les Rigeliens sur Rigel. Dans sa phase planétaire, cette guerre mondiale dura l’équivalent de 3 siècles terrestres. Elle s’acheva avec une guerre nucléaire totale et seul un petit groupe de Rigeliens put s’enfuir de la planète avant l’explosion nucléaire en ayant construit clandestinement des vaisseaux civils (ce qui était difficile car tous les vaisseaux appartenaient à l’armée).
Tous les Rigeliens qui sont restés sur la planète ont dû survivre à ce qu’on appelle un hiver nucléaire. Il leur a fallu des milliers d’années pour reconstruire leur société. Mais les radiations avaient endommage leur patrimoine génétique de manière considérable. Au fil du temps, leur espèce a dégénéré vers le stade que nous connaissons actuellement comme « Petits Gris ». Si les terriens avaient à subir une guerre nucléaire totale, ils pourraient bien leur ressembler aussi après plusieurs générations. Leurs modifications génétiques atteignirent principalement leurs systèmes glandulaires, producteurs d’hormones, mais ils subirent aussi des altérations psychologiques et mentales graves. Leur dégénérescence les a conduits progressivement à passer sous le contrôle des entités du bas-Astral de l’Univers qui les ont conduits à développer une volonté de domination sur les autres races du cosmos. Ils décidèrent alors d’attaquer, entre autres, l’ancienne colonie de Procyon. Sur Procyon, la lutte entre les Gris et leurs blonds ancêtres fut très longue. Les armes nucléaires étant toujours utilisées par les Gris, certains Blonds ont été frappés par les radiations, notamment les femmes qui avaient perdu certaines armes de leur système immunitaire. Les Blonds qui ont subi le plus gros dommage sont ceux qu’on appelle les « Blonds Muets » car ils ne peuvent plus parler et ne peuvent s’exprimer que par télépathie.
La Grande Guerre s’étendit au cosmos et à l’heure actuelle, il existe encore deux grandes guerres cosmiques en cours. Celle entre Rigel et Procyon a maintenant atteint un stade de trêve temporaire tandis que celle qui oppose Rigel à Sirius est encore en phase active.
2- Les ensemencements de la Terre
Tous les organismes primitifs furent déposés dans les océans primordiaux comme phase préliminaire de l’ensemencement planétaire par des peuples d’autres planètes.
Au niveau humanoïde, la terre fut ensemencée par les Rigeliens Blonds d’origine, avant la Grande Guerre. A cette époque, l’humanité primitive de la Terre, d’origine simiesque, fut hybridée génétiquement avec de l’ADN des Rigeliens pour donner les hommes de Cro-Magnon. Ensuite, ce sont surtout les êtres de Procyon qui ont suivi l’évolution humaine en apportant quelques modifications de temps en temps. Ils avaient pour intention de combiner leur grande capacité cérébrale et immunitaire avec les grandes capacités pulmonaires et respiratoires de l’humanité primitive.
Si l’on s’en réfère aux écritures sumériennes, les humains ont été créés par d’autres peuples pour être les « jardiniers » et les « mineurs » de la Terre. Nous aurions été utilisés comme esclaves dans des mines.
Dans le processus d’hybridation, il nous aurait été ôté 90 % de nos capacités cérébrales pour que nous soyons obéissants et disciplinés. D’ailleurs il est évident que ce « bridage » de notre cortex est entièrement artificiel puisque la Nature n’a jamais rien créé qui soit inutile à la survie de l’espèce et donc qui ne soit entièrement utilisé. Mais les Gris ont aussi interagi avec les humains à la recherche de patrimoine génétique ancestral puisque les hommes et eux ont pour ancêtre commun les Blonds de Rigel.
Il y a des centaines voire des milliers de races qui sont venues sur la Terre au travers des millions d’années de son histoire et se sont plus ou moins hybridées avec les hommes. Cependant le croisement avec d’autres races que les Blonds doit être surveillé car les humains ont un système immunitaire différent de celui des autres races extra-terrestres. De nouvelles souches bactériennes hybrides peuvent créer des désastres dans les deux camps. Certaines races ont même toujours été présentes, depuis au moins aussi longtemps que l’homme sur la Terre. Un groupe suivant d’ETs (sauveurs) vint pour donner aux humains l’auto-détermination et la libération permettant l’accès progressif à la confrérie de la communauté galactique. Le travail est encore en cours à l’heure actuelle.
Il y a toujours eu des croisements pour faire évoluer l’homme hors du contexte simien. Cela continuera tant que l’homme n’a pas développé la totalité de ses potentialités cérébrales. Aujourd’hui nous sommes devenus physiologiquement acceptables, mais sommes encore une espèce psychologiquement instable et immature.
3- Inde : Dévas et Asuras
Le Sanskrit, langue sacrée de l’Inde Ancienne, était en réalité la langue parlée par les Dévas ou « dieux » qui se déplaçaient dans des véhicules aériens ou Vimanas.
Ce sont les Dévas qui ont écrit les 4 Védas, qui devaient servir de base aux bonnes relations entre l’humanité terrienne et les célestes Dévas. Dans les textes Védas, on trouve l’origine du système des castes. Celui-ci, qui ressemble beaucoup à une structure insectoïde, fut âprement dénoncé par de grands penseurs comme Bouddha ou Ramakrishna. Les Dévas étaient décrits comme des êtres d’un grand pouvoir et très pervertis dans des activités de plaisir sensoriel. Cette dispersion leur interdisait la voie de l’illumination. L’histoire nous apprend qu’ils chérissaient une boisson appelée Soma, dont la composition est inconnue. Un homme avait la possibilité de devenir plus puissant qu’un Déva, il lui fallait pour cela atteindre l’illumination et sortir du cycle des incarnations. A partir d’un certain moment, une autre race non terrienne qui voyageait aussi dans des chariots célestes arriva sur Terre. Ils furent appelés Asuras, ce qui signifie en sanskrit « non dieux ». En fait, la religion mazdéenne, fondée par Zoroastre, enseigne tout le contraire, à savoir que les Dévas étaient des démons tandis que les Asuras étaient angéliques.
4- Grèce Antique : Titans et Dieux de l’Olympe
Les Dieux grecs de l’Olympe étaient-ils l’équivalent des Dévas ?
( Voir la suite sur ) sfr.fr Andrews[/author]
Quelle soupe… En tout cas on retrouve les mêmes références entre amateurs d’E.T..
Le site pour ceux qui aime les ziziques grandiloquentes holliwoodienne seront servis.
Comme disait ma grand mere … c’est cucu la praline :mrgreen:
C rigolo.
Pareil pour les Siddhars tamils qui dénoncent le systhème des castes en Inde et bien plus encore…
* First, in SHARP OPPOSITION to the bhakti tradition, they refuse to allow themselves be carried away by idol worship in particular temples.
* Second, in contrast to bhakti which emphasizes passionate devotion to God, the siddhar emphasize knowledge, yoga practice, and character, moral behavior, right conduct. Anger, lust and egoism are the worst sins.
* Third, almost all siddhar’s raise a protest against caste and casteism.
yogascience.angelfire.com
et aussi :
First of all, the Siddhas or most of them, in sharp contrast to the bhakti tradition, refuse to allow themselves to be carried away by idol-worship in particular temples (a truly diagnostic feature of South Indian bhakti, which has been called henolocotheism). CF/ Civavakkiyar 126: « Do gods becomes stones? » And st. 33 he condemns ritual worship and bathing:
[i]“What are temples? What are the bathing tanks?
You fools who worship in temples and tanks!
Temples are in the mind! Tanks are in the mind! »[/i]
p 63/64
(…)
Second, In contrast to bhakti which emphasises the emotional approach, a passionate devotion to God, to one’s iṣṭa-devatā (« deity of one’s choice »), The Tamil Siddha texts emphasize _apart from the knowledge (seelater) and Yoga practice_ the character, the moral behaviour, the right conduct. In this sense, they have been called « puritanical ». The worst sins are anger (kopam), lust (acai) and egoism (akankaram). according to Akkattiyar 7.1 « If the mind is in the right disposition, it is unnecessary to say prayers ».
p 64
(…)
Liberation (in contrast to bhakti, devotion) is achieved by knowledge; it is a liberation from the idea of evil and pain. The wretched condition of human existence and life is not do to divine test, but to ignorance_to metaphysical ignorance. That is, the ignorance consists in regarding what is ephemeral , impure, painful, and non-spiritual as being eternal, pure, blissful and spiritual. there is one way do gain salvation: adequate knowledge (and not devotion, or ritual ceremonies, or simply right actions). Knowledge of what? Knowledge of the ultimate reality (paraparam), that is, an awakening in which the object completely identifies itself with the subject. Liberation is only becoming aware of the eternal freedom of the spirit; it is the liberation from the idea of pain and evil. Suffering and pain cease as soon as the relation between suffering and Self ceases, that is, as soon as one understands that suffering is exterior to Spirit. Thus suffering is destroyed by ignoring it as suffering.
p 66
(…)
[b]Thus, roughly speaking, the two characteristic features of the social attitudes of the Siddhas are anti-casteism, anti-brahmanism, especially a strong stand against the brahmans’ “pharisaic insistence on external purity and observance of rites”.
One may fully agree with the following quotation: “To denounce today caste, worship in temples and religious and agamic rituals does not require much courage, but to have done so in centuries in which the Tamil Siddhas lived required extraordinary heroism and strength of convictions”[/b]
p 70
Source :
– « The poets of the powers », Kamil V. Svelebil
Merci infiniment pour le postage de cet article Superlucide…