FR – La Mission Anglo-Saxonne, expliquée par Bill Ryan [sous-titres français]

La Mission Anglo-Saxonne : la Troisième Guerre Mondiale et l’Héritage du Nouveau Monde

Les historiens nous disent que la « Mission Anglo-Saxonne » fait référence à l’expansion du Christianisme au VIIIème siècle. Mais plus de mille ans après, l’expression prend maintenant un sens différent, autrement plus sinistre.

Nous avons récemment reçu 11 pages d’informations d’un insider, qui a assisté en personne, en 2005, à une réunion de Francs-Maçons de haut grade, dans la Cité de Londres. Ce qui y a été discuté glace le sang.
J’ai réalisé (moi, Bill) une interview audio de notre source, un Anglais dont nous avons vérifié l’identité, connue et confirmée dans tous ses détails. Cet homme, comme un grand nombre de ceux avec lesquels nous avons parlé, ne peut plus plus vivre avec le poids de sa conscience, ni garder ces informations secrètes.

Mon idée de départ était de publier une transcription de l’entretien, comme nous l’avons fait dans le passé. Mais le matériau couvert est si critique – et, en ce qui me concerne, les pièces manquantes qu’il apportait étaient si importantes – que j’ai pris l’initiative de présenter ces informations sur vidéo. La transcription audio de notre source, dont le visage n’apparaît pas sur la vidéo, est disponible ici.

Voici ce que rapporte notre source :

• Une Troisième Guerre Mondiale est planifiée : elle sera nucléaire et biologique. Notre source pense que tout est en place, prêt à être lancé au cours des 18 à 24 prochains mois.

• Il est prévu qu’elle commencera par une frappe par Israël contre l’Iran. L’Iran ou la Chine fera l’objet d’une provocation impliquant une réponse nucléaire. Après de brèves ripostes à caractère nucléaire, sera conclu un cessez-le-feu. Le monde se trouvera alors jeté dans l’angoisse et le chaos – le tout soigneusement orchestré.

• L’état de tension extrême qui en résultera sera utilisé pour justifier un contrôle pesant, aux niveaux social et militaire, dans tous les pays industrialisés occidentaux. Les procédures sont déjà en place.

• Il est prévu qu’au cours du cessez-le-feu, soient lâchées des armes biologiques. Celles-ci seront initialement destinées aux Chinois. Comme nous l’a raconté notre source, d’une manière qui fait froid dans le dos : « La Chine va attraper un rhume ». La guerre biologique se répandra plus loin, vers l’ouest. Les infrastructures se trouveront affaiblies de manière critique.

• Tout ceci n’est censé être qu’un début. Ensuite on devrait déclencher une guerre nucléaire totale : la « vraie » guerre, avec destructions et pertes humaines à grande échelle. Notre source nous indique que la réduction de population prévue par ces moyens combinés est de 50%. Il a entendu ce chiffre annoncé au cours de la réunion.

Cet horrible scénario est planifié depuis des générations. Les deux premières guerres mondiales faisaient partie de l’élaboration de cette apocalypse finale – de même que la centralisation des ressources financières précipitée par le krach financier d’octobre 2008, lui aussi bien préparé.

Comme si tout ceci ne suffisait pas, notre source spécule sur le fait que l’ensemble est organisé sur fond de prochain « événement géophysique » – le même genre d’événement que celui vécu par nos ancêtres, il y a environ 11 500 ans. Si cet événement se produit – pas nécessairement attendu pour 2012, mais à un moment quelconque de la prochaine décennie – il détruirait la civilisation, telle que nous la connaissons, reléguant au second plan les effets mêmes d’une guerre nucléaire.

J’ai posé à notre source la question suivante : « Si une catastrophe est prévue, pourquoi déclencher une Troisième Guerre Mondiale ? » Sa réponse m’a paru, pour la première fois, terriblement sensée.

Le véritable objectif, m’a-t-il expliqué, est de mettre sur pied le monde de l’après-catastrophe. Pour s’assurer que ce Nouveau Monde [remarquez le terme utilisé] est celui que désirent les Contrôleurs, des structures totalitaires de contrôle doivent être déjà en place au moment de la catastrophe – avec pour excuse que la population les acceptera et les exigera même. La loi martiale instaurée avant la catastrophe dans les pays soigneusement sélectionnés, permettra aux gens « adéquats » de survivre et prospérer dans ce monde de l’après-catastrophe, et de débuter le cycle de 11 500 ans suivant. Ce qui a peut-être été soigneusement planifié secrètement à l’échelle mondiale, depuis quelques générations, n’est rien d’autre que de savoir qui héritera de la Terre.

Qui sont ces gens « adéquats » ? Les Blancs. Cela explique peut-être l’appellation de Mission Anglo-Saxonne du projet. D’où la justification du génocide planifié du peuple chinois – de manière à ce que le Nouveau Monde soit hérité par « nous » et non par « eux ».

Notre source n’était pas informée du sort réservé aux pays émergeants et à ceux du Tiers-Monde, tels que les pays d’Amérique Latine, d’Afrique ou d’Asie. Mais il suppose qu’ils seront autorisés à se débrouiller par eux-mêmes et probablement à ne pas trop bien survivre – ou peut-être à ne pas survivre du tout. Les gouvernements militaires totalitaires des peuples blancs occidentaux sont les héritiers désignés.

Ce plan est si maléfique, si raciste, si diabolique, si énorme, qu’il défie presque toute crédibilité. Mais il concorde avec ce que beaucoup de commentateurs, de chercheurs et de lanceurs d’alerte originaires des milieux concernés considèrent depuis des années comme vrai. En ce qui me concerne, c’est l’image la plus claire que j’aie vu jusqu’à présent expliquant pourquoi le monde est ce qu’il est, et pourquoi les secrets sont si jalousement protégés : tout est peut-être en fait une question de suprématie raciale. Le Quatrième Reich est sauf et en pleine forme.

Contre toute attente, notre source n’était pas pessimiste. Il a insisté, comme nous le faisons nous-mêmes et comme le font beaucoup d’autres chercheurs et commentateurs, sur le fait que la conscience s’éveille rapidement sur toute la planète et que CES ÉVÉNEMENTS PLANIFIÉS NE SONT PAS INÉVITABLES. S’il y a jamais eu une bonne raison de travailler tous ensemble pour éveiller la conscience des gens aux menaces qui nous concernent tous, c’est bien celle-ci.

Regardez cette vidéo, écoutez attentivement le puissant message d’espoir et d’encouragement qu’elle contient et répandez-le autour de vous et au loin. Nous avons l’intention de sous-titrer nos vidéos en de nombreuses langues – dont le chinois. Nous prenons position en faveur de la magnificence d’une humanité unie, sans limitations, ni distinctions raciales. Que la catastrophe se produise ou non – et beaucoup, dont nous sommes, affirment qu’elle ne se produira pas – nous devons créer ensemble notre avenir, revendiquer notre pouvoir, et faire tout notre possible pour alerter les gens des dangers qui nous entourent… de manière à être plus fort ensemble, pour le bien de nos descendants et pour l’héritage que nous laisserons à tous les êtres vivants de la planète Terre.

projectcamelot.org

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La Mission Anglo-Saxonne: Interview Audio du Témoin

Janvier 2010

Bill Ryan (B): Je veux vous remercier d’être venu de l’avant avec des informations très importantes qui doivent être partagées. Je viens d’en lire le résumé. C’est notre travail ici chez Project Camelot de vous assister à rejoindre les personnes suffisamment conscientisées pour comprendre ce que vous avez à leur dire, et pourquoi c’est important. Ils pourront mettre cette information en perspective avec les autres informations qu’ils détiennent déjà.

Et pour vous introduire à tout ceci, je me demandais si vous pourriez dire ce que vous pouvez sur votre histoire, vos antécédents. Tous simplement, de façon générale, ce que vous considérez prudent de partager avec nous sur ce qui vous a mis en position d’obtenir les informations que vous allez nous révéler.

Témoin (T): Ok. Bien, les informations que j’ai déjà partagées avec vous ne sont pas, je pense, de nature à faire trembler la terre. Je sens qu’il s’agit de choses que beaucoup de gens auront déjà comprises grâce à la quantité d’éléments qui circulent pour le moment sur l’internet.

Ce qui fait la particularité de ce que je vous apporte et qui doit selon moi être partagé, c’est qu’il s’agit d’informations obtenues de première main qui vous est transmise librement afin que vous puissiez l’utiliser et vous informer. Cela constitue, au départ, ma position.

En ce qui me concerne, j’ai passé beaucoup de temps dans l’armée, puis j’ai occupé un poste sénior à la City de Londres, et au sein des deux institutions j’ai été très bien mis au courant des événements que l’on préparait secrètement, au nom d’un groupe de gens – je ne peux pas dire que c’est au nom d’une nation ou d’une communauté car ce n’est certainement pas le cas – mais cela a certainement à voir avec un groupe de gens dont les intérêts sont connus d’eux seuls et ce qu’ils font pour inciter une série d’événements à se produire.

En rétrospective, je constate qu’ils ont clairement eu beaucoup de succès dans leurs agissements. Et je sens, grâce à ce que je sais, que le temps leur est compté.

Donc la trame temporelle que je vais décrire est quelque peu… et c’est là un titre adéquat, vraiment, parce qu’une trame temporelle débute quelque part et prend fin quelque part, et ces gens le savent très bien.

Nous nous approchons à l’heure actuelle d’une période critique, et c’est ce dont tout le monde parle actuellement. J’en suis très conscient. Mais l’information que j’apporte vient mettre de la chair sur les os, et permettre à d’autres personnes de les prendre en considération.

Quant à la véracité de ce qui suit, je peux seulement vous dire que ce que j’amène est véridique, bien que beaucoup pourraient penser qu’il s’agit d’une perception. Cela ne me dérange pas non plus. Mais cela a été mon expérience, et c’est cette expérience que je m’apprête à partager avec vous.

B: Oui. Ce qui serait bien, ce serait de différencier l’information obtenue de première main, c’est-à-dire provenant de rencontres physiques avec certains de ces individus, et l’information obtenue de façon plus subjective et en laquelle vous croyez également. Il est important de distinguer la provenance de chacune des informations. Par ailleurs, pour vous et pour beaucoup d’autres qui liront ceci, nous avons pour le moment un ensemble cohérent, n’est-ce-pas ?

T: Oui. Je pense que c’est important. Je pense que tout apport de cette nature se doit d’être cohérent. Bien sûr, il y a aussi un élément de subjectivité; je veux dire, on ne peut nier cela. Mais, vous savez, le tout pourrait être considéré comme subjectif, mais il y a également mon point de vue en tant que témoin. J’espère parvenir à décrire les choses de façon à ce que les gens puissent voir au travers de ma subjectivité et aller au cœur des choses.

B: Bien. Maintenant, pourriez-vous détailler un peu ce groupe auquel vous faites allusion ? Porte-t-il un nom ? Les lecteurs pourraient-ils reconnaître ce groupe en recoupant l’information ?

T: J’ai moi-même éprouvé des difficultés à décrire ces gens. Je les ai nommés “Bande de Frères”. Je les ai aussi appelés “sur-gouvernement”. Je pourrais les appeler d’autres noms, certains dérogatoires, ce qui serait bien mérité. [rires] Mais je crois que la meilleure façon compréhensible de les décrire serait qu’ils sont comme un sur-gouvernement, parce que c’est ce qu’ils font.

B: Parlez-vous des Anglais ou du monde entier ?

T: La rencontre dont je vais vous parler était entièrement anglaise, et certains d’entre eux seraient immédiatement reconnaissables au Royaume-Uni. Les gens d’ailleurs qui liront ceci devront effectuer quelques recherches sur ceux-ci. Mais certains d’entre eux sont des personnages connus de la nation.

B: Sont-ils des personnages politiques ? Ou des personnes appartenant à la noblesse, pour ainsi dire ?

T: Oui, il y a pas mal d’aristocratie présente, et certains proviennent carrément de l’aristocratie. J’en ai identifié un comme étant un politicien sénior. Deux autres étaient des personnages séniors de la police et un autre venait de l’armée. Tous deux sont connus sur le plan national et sont des personnages clés qui conseillent le gouvernement actuel.

B: Et, dans la mesure où il y a une composante politique à tout cela, les deux partis politiques sont-ils représentés ?

T: Non, cette composante politique sénior appartient au parti de droite en Angleterre, le Parti Conservateur.

B: Pour le bénéfice des lecteurs américains, ce serait l’équivalent du Parti Républicain.

T: Oui.

B: Bien. Donc, il s’agit d’un groupe d’initiés qui fonctionne en Angleterre comme le gouvernement secret américain, ce que les lecteurs américains reconnaîtront par analogie. Vous parlez de politiciens toujours influents qui agissent derrière les coulisses, qui ont des liens avec la police, des liens avec l’armée. Y a-t-il ici des liens avec l’armée américaine également ?

T: Oui.

B: Ok.

T: Un personnage militaire important, pour le moment retraité, mais toujours actif à conseiller le gouvernement.

B: Ok. Connaissez-vous, ou avez-vous entendu des discussions sur la participation des autorités de l’église ou du Vatican ou de toute autre religion du monde ? Faisaient-ils partie de la planification stratégique de tout ceci ?

T: Non. Pas du tout, mais je sais que l’Église d’Angleterre, en particulier, est totalement complice de tout ce qui se passe.

B: Ok. Et vous savez cela à cause des relations étroites qu’entretiennent les personnages séniors de l’Église d’Angleterre avec ce groupe que vous avez rencontré à la City de Londres ?

T: Absolument. Il ne faut pas être un expert judiciaire pour s’en rendre compte. Cela se passe au grand jour.

B: Ok. Est-ce que tout ceci est de nature fondamentalement maçonnique (la Franc-maçonnerie) ?

T: Absolument. C’est l’évidence même. Tous sont contrôlés par ce processus, par le processus maçonnique, ensuite ils se rencontrent.

C’est une chose que les gens doivent comprendre. Il existe des niveaux dans la maçonnerie. Vous savez, la plupart des maçons ne savent vraiment pas grand chose, et la majorité d’entre eux accomplissent du bon travail et bénéficient en retour de l’appartenance à un genre de “club”, si on veut. Mais cela passe par différents niveaux. Certains les appellent “degrés”. Mais il y a un annuaire (“Who’s Who”). C’est-à-dire à qui peut-on se fier, qui peut-on réunir, qui détient du pouvoir, qui va probablement développer plus de pouvoir.

Et ces gens s’attirent mutuellement et se réunissent sous une cause unique. Mais il ne s’agit plus exactement d’une cause maçonnique, vous savez. Cela peut s’y apparenter, mais ce n’est pas la même chose.

B: Pourriez-vous expliquer cela un peu plus clairement ?

T: Bien, je pense que la meilleure façon d’expliquer cela est la suivante: La maçonnerie (Franc-maçonnerie) constitue, à ma connaissance, un véhicule pour ces gens. Elle leur permet de se réunir tranquillement, en secret, à huis clos, de se connaître, de se sentir en sécurité sachant que ce qui est dit dans ces rencontres ne sort pas du groupe. Il y a donc cet élément maçonnique présent, mais les choses évoluent vers un niveau entièrement différent.

Maintenant, dans ce qui a trait à la rencontre dont je vais vous parler, je ne considère même pas que ces gens appartiennent à un niveau important – il était assez important pour moi à l’époque – mais ils discutaient de choses déjà acceptées, planifiées et dictées. Ils se rencontraient vraiment pour partager de l’information, voir comment allaient les choses et ce qu’il fallait faire pour les remettre sur la bonne voie.

B: Alors les choses avaient déjà été décidées à un niveau supérieur à celui-ci. C’est ce que vous nous dites ?

T: C’était très clair. D’après ce que j’ai entendu, il ne s’agissait pas d’un groupe de décideurs. Ils constituaient plutôt un groupe d’action. C’étaient des gens qui avaient besoin de se rencontrer de temps à autre pour discuter de ce qu’il fallait faire, ou de ce qui se faisait et de ce qui devrait se faire. Puis ils se dispersaient et retournaient faire ce qu’ils devaient faire, à la suite de ces rencontres.

B: Ok. Et vous avez assisté à une rencontre ?

T: Seulement une.

B: Quel était alors votre rôle ?

T: C’était par pur accident! Je pensais qu’il s’agissant d’une rencontre trimestrielle normale parce que, en regardant la liste des courriels, laquelle comprenait des noms familiers, mon nom y était. Mais à l’époque, comme j’occupais une position sénior à la City, je pensais qu’il était très normal que l’on m’ait assigné à ce genre de rencontre.

Donc, en me rendant à la rencontre, il ne s’agissait pas du même lieu de rendez-vous qu’auparavant. C’était une chambre de commerce de la City [livery company], ce qui était inhabituel, mais pas suffisamment pour se poser des questions. Je suis allé à la rencontre et ce n’était pas le genre de rencontre auquel je m’attendais. Je crois que si j’y fus invité… c’était à cause de la position que j’occupais, qu’ils croyaient que j’étais l’un d’eux.

B: Alors vous avez été accepté parce que l’on vous connaissait déjà. On vous considérait comme quelqu’un de fiable.

T: Absolument. Oui. J’étais fiable. J’étais un exécutant. J’étais une personne qui, à mon niveau dans l’organisation, faisait avancer les choses.

B: Ok.

T: Et c’est ainsi que l’on me voyait. Beaucoup me connaissaient depuis un certain temps, même les plus âgés. Je veux dire, nous nous appelions par nos prénoms. Et aussi j’étais régulièrement invité à diverses fonctions, des fonctions sociales, ce genre de chose qui fait que j’étais familier avec certains d’entre eux, et que certains d’entre eux étaient devenus très familiers avec moi.

Alors, c’était confortable, très professionnel, rien d’extraordinaire, quoiqu’une petite musique commençait à résonner dans ma tête quant à ce qu’ils préparaient et ce qu’ils faisaient et le type de décisions qu’ils prenaient, que pour la plupart, j’ignorais. Cela semblait inhabituel, mais une partie de moi-même voulait comme ignorer ce qui se passait.

B: Est-ce que vous nous dites que dans cette rencontre les participants vous étaient pour la plupart familiers et que vous aviez participé à d’autres rencontres avec eux auparavant; mais que ceci était une rencontre différente à cause du lieu différent, de l’agenda différent bien que les délégués de la rencontre étaient pratiquement les mêmes ? C’est bien cela que vous nous dites ?

T: Non, pas exactement. Je connaissais la plupart des participants à cette réunion, mais pas tous. Il y avait environ 25 à 30 personnes à cette rencontre. Et c’était plutôt informel, vous savez, des gens qui faisaient ou refaisaient connaissance comme des gens ordinaires. Il n’y avait là rien d’inhabituel. Ce n’est que lorsque certains sujets commencèrent à être abordés que mon étonnement se manifesta par rapport à ce qui était dit.

B: Est-ce que c’était une rencontre avec des chaises autour d’une table, avec des prises de notes et des verres d’eau, ce genre ce choses ?

T: Non, rien de semblable. Il n’y avait pas de prise de notes – rien. C’était vraiment une rencontre à huis clos avec des gens qui s’interrompaient mutuellement, certains qui retenaient l’audience, clamant leurs préoccupations, passant à d’autres sujets qu’ils croyaient intéresser les autres.

Et ensuite décrivant, ce que je ne peux qu’énoncer que comme une “trame temporelle des événements” dont ils anticipaient la venue, ou qui étaient en cours, et beaucoup de préoccupations parce qu’ils ne l’étaient pas. Et ce qui devait se produire dans la trame temporelle des événements et qui ne s’était pas produit, et les actions à prendre afin que ceux-ci se produisent.

Et c’est alors que les choses prirent un tournant surréaliste – parce que je n’avais jamais été en compagnie de gens pareils parlant de cette façon.

Maintenant, le groupe de gens avec lesquels j’étais le plus familier, ceux qui effectuent le travail à la City, appartiennent à plusieurs comités financiers bien connus; certains de ces comités sont très divers mais ils appartiennent tous à la même organisation. Ce sont des gens que l’on ne remarque pas; la plupart des gens ne savent pas qui ils sont. Je les connais. Je les connais de vue, je connais leurs noms. Je les connais par leurs agissements.

Ce sont les autres qui étaient présents à ce moment qui m’ont surpris. Trois d’entre eux en particulier. Il y avait d’autres personnes présentes qui étaient à leur type de niveau et que je ne pouvais pas identifier, trois personnes importantes, certainement.

B: Ok, maintenant quand cette rencontre a-t-elle eu lieu ? Mettons-y une date.

T: Ok. Nous parlons de 2005. C’était après l’élection générale de mai – lorsque Blair fut réélu. La rencontre a incontestablement eu lieu au cours du mois de juin de cette année.

B: Pouvons-nous dire officiellement que c’était en juin ?

T: Juin 2005 est correct. Oui.

B: Très bien. Maintenant pourriez-vous expliquer ce dont il a été question dans cette rencontre ?

T: Bien, comme je l’ai mentionné, je fus très surpris de voir la quantité de gens présents. La rencontre comprenait des discussions couvrant des sujets ou des choses qui se passaient dans le monde à ce moment-là, et il y avait une grande discussion sur la sécurité à l’intérieur du pays. Et l’une des trois personnes clés a assumé ce rôle depuis… et continue de l’assumer pour le moment. Il est là maintenant. Il occupe cette position à l’heure qu’il est.

Le grand sujet à l’époque était l’Irak. Cela faisait partie de leur agenda, et, de façon surprenante, on parlait beaucoup de l’Iran.

Et ce qui m’a surpris au point de me faire hausser les sourcils fut la mention ouverte – c’étaient des gens qui parlaient confortablement entre eux, sans cris ou argumentations – mais qui parlaient confortablement de la réticence d’Israël à frapper et à provoquer l’Iran à initier une action armée. Cela m’a fait dresser les poils du dos.

Et il apparaissait que le gouvernement israélien était lié à ce qui se passait là-bas et qu’il avait un rôle à jouer qui lui était dicté de l’extérieur des frontières israéliennes. Un an plus tard, Israël attaquait les bases du Hezbollah appuyées par l’Iran qui étaient au Liban.

Et la seconde chose dont je me souviens fut la réticence des japonais à créer la pagaille dans les secteurs financiers chinois.

Je ne comprenais vraiment pas pourquoi ils en parlaient ni pourquoi cela avait de l’importance. Ce que j’ai cru comprendre c’est que le gouvernement japonais, ou ceux du Japon, étaient forcés ou ordonnés de faire quelque chose qui allait endommager ou ralentir la montée de la Chine vers un statut de grande puissance financière.

On a mentionné que la Chine connaissait une croissance trop rapide et que le bénéficiaire principal de cette croissance était l’armée chinoise, qui se modernisait, principalement par l’argent qu’ils obtenaient du marché mondial.

Et puis il y a des choses… et c’est là que je ne peux m’empêcher d’être subjectif, Bill. Parce qu’à l’époque, je me rappelle m’être senti malade et extrêmement anxieux d’entendre ce qui était dit.

Je me trouvais en périphérie de cette rencontre et je pouvais sentir l’anxiété monter en moi du fait des sujets qui étaient abordés. Cela ne nous était pas annoncé. C’étaient des choses qu’ils connaissaient déjà.

Alors cette discussion ouverte sur l’utilisation d’armes biologiques, où et quand elles allaient être utilisées et la synchronisation. La synchronisation semblait toujours constituer l’élément critique.

Puis, on se concentra sur la façon dont il fallait engager l’Iran militairement afin de provoquer la réaction désirée de la part de la Chine.

Il y avait une claire expectative à inciter l’Iran à entamer un conflit armé avec l’Occident, avec la Chine qui irait aider l’Iran. Par cette incitation, soit l’Iran, soit la Chine utiliserait une arme nucléaire tactique.

Et, comme je le mentionnais, ces gens ne prenaient pas les décisions. Ils discutaient quelque chose qui avait déjà été planifié, et ils partageaient simplement leurs informations entre eux. Et il est devenu clair à la lumière de ces discussions que le sujet principal de cette réunion était de savoir quand cela allait se produire.

D’autres discussions portaient sur les finances, les ressources, la protection des avoirs, un contrôle de ces ressources et le rapatriement de ces avoirs périphériques. Et si vous le voulez, Bill, je peux continuer cette chaîne d’événements.

B: Je serai heureux que vous y alliez de façon la plus détaillée qu’il vous sera possible.

T: Ok. Maintenant, comme je le mentionnais, il leur était nécessaire que les Chinois ou les Iraniens se rendent coupables d’être les premiers à utiliser des armes nucléaires afin de justifier l’étape suivante.

Maintenant j’ai déjà spécifié que ceci est anecdotique et ne peut être confirmé. Cependant les informations provenant de cette rencontre, et aussi d’ailleurs, indique de façon positive que les Iraniens possèdent déjà effectivement l’arme nucléaire tactique. Ils ne sont pas en train de la développer. Ils la possèdent.

B: Certains disent qu’ils pourraient peut-être l’avoir obtenue des Russes. Avez-vous une idée à ce sujet ?

T: Je crois que cela provient des Chinois.

B: Des Chinois… Ok.

T: Parce que la technologie chinoise a été utilisée, depuis plusieurs années, dans leurs systèmes de missiles. Ils obtiennent aussi de la technologie de missiles des Russes, mais c’est surtout des systèmes de missiles sol-air, et ce genre de choses – des armes défensives. L’armement missile tactique est une technologie qui leur vient de Chine.

B: Est-ce que votre passé militaire vous confère une expertise à ce sujet ?

T: Oui. C’est le cas.

B: Ok, cela signifie qu’au cours de cette réunion où vous pouviez entendre ces informations, vous pouviez porter votre casquette militaire, avec votre expérience militaire, et comprendre sur le plan stratégique et tactique ce dont on parlait et pourquoi ?

T: Oh, absolument. J’aurais même pu m’embarquer dans des conversations et corriger leur terminologie en pensant qu’ils ne la possédaient pas bien, mais ils la décrivaient du mieux qu’ils pouvaient.

B: Bien.

T: Alors oui, j’ai une bonne connaissance de ce type d’armes, et des systèmes d’armement en général.

B: Les systèmes d’armement en général, bien sûr. Ok, revenons où vous en étiez, il y avait cette note en bas de page où vous racontiez, de façon anecdotique, ce que vous ressentiez, mais que vous étiez également certain, selon votre opinion, que l’Iran possédait couramment des capacités nucléaires.

T: Oui, je vais le mentionner ici avant que cela ne m’échappe, Bill. Ceci est anecdotique en ce sens que la discussion ne mentionnait pas que l’Iran ne possédait pas le nucléaire. La discussion allait dans le sens où les Iraniens avaient ce type d’armes, plutôt que de ne pas en avoir. Je pense que la distinction aurait été faite à ce moment – s’ils n’en avaient pas eu. Il n’a pas été mentionné qu’ils N’EN AVAIENT PAS. Cela tendait vers le fait qu’ils avaient déjà ce type d’armement.

B: Je comprends. Maintenant, sans vouloir vous faire dévier de votre chemin, j’y vois une analogie potentielle avec la situation irakienne, dans laquelle les gouvernements et les militaires occidentaux, qu’ils aient dit la vérité ou non, avançaient volontiers que les capacités militaires irakiennes étaient bien plus grandes qu’elles ne l’étaient en réalité. Pourrait-il y avoir une désillusion similaire en ce qui a trait à la capacité de l’Iran ? Ou bien pensez-vous qu’ils savaient vraiment ce que les Iraniens possèdent et ce qu’ils sont en mesure de faire ?

T: Il est naturel de faire la comparaison avec l’Irak. Dans le contexte présent cependant, cela pourrait s’avérer trompeur.

C’est essentiellement l’Occident qui a appuyé l’Irak lors du conflit Iran-Irak. « L’Occident » inclut Israël, alors la possibilité que l’Irak obtienne l’arme nucléaire sans l’avoir produite eux-mêmes, mais en l’ayant importée, s’avérait extrêmement faible.

D’un autre côté, il y a l’Iran. Maintenant l’Iran est appuyée par la Chine, puis ensuite par les Russes; et par d’autres pays également. Le marché militaire est très ouvert et il peut inclure aussi bien la France qui exporte ses armes de façon très indépendante là où elle le peut.

B: Oui.

T: Même en défiant les conventions actuelles en ce qui a trait à la vente d’armes à l’étranger. Mais ça va un peu au delà de cela. Nous parlons d’un pays qui a été très bien utilisé par un autre durant toute sa période révolutionnaire – où il a été considéré comme un adversaire par tous les états occidentaux, ainsi que par les états du Golfe.

B: Vous voulez dire que l’Iran est utilisé par la Chine ?

T: La Chine. Oui. Ils s’utilisent l’un l’autre, bien sûr. L’économie de la Chine est en pleine expansion. Je ne sais pas si elle a atteint ou non son plateau, et je ne parle pas de cela. Mais la quantité d’armements et le niveau d’expertise technique que l’Iran reçoit des militaires chinois – il semble inconcevable que des armes nucléaires n’aient pas été incluses dans des paquets allant vers l’Iran; qu’ils soient sous le contrôle direct de la Garde Révolutionnaire Iranienne ou à la fois sous le contrôle chinois et iranien. On ne peut en être sûr.

Mais pour revenir à ce que je disais, à cette rencontre, on assumait – très clairement – que les Iraniens avaient de telles armes en leur possession parce que personne n’a dit le contraire.

B: Compris. Et vous allez continuer à élaborer la façon dont cette collaboration entre l’Iran et la Chine va être utilisée pour attaquer la Chine – parce que la Chine demeure le principal objectif. C’est bien cela ?

T: Exactement. La Chine constitue le principal objectif depuis au moins le milieu des années ’70 – et encore, cette information est de troisième main, donc je ne peux pas vous donner une évidence de première main – mais cela a toujours été au sujet de la Chine. Cela a toujours été la Chine qui constitue le grand objectif dans cette trame temporelle.

B: Mm hm.

T: C’est après la Chine qu’ils en ont maintenant, et tout consistera en la façon d’inciter et de créer le scénario où de type de – bien, ça va être la guerre, Bill; il va y avoir une guerre – comment peut-on faire comprendre ça et rendre ça crédible pour tous ceux qui vivent en Occident ?

Et la façon de rendre cela crédible est qu’un état comme l’Iran soit utilisé comme bouc émissaire à utiliser l’arme nucléaire afin de provoquer un échange.

B: Et l’entière justification de tout cela est d’amener la Chine à la guerre, mais pourquoi ?

T: La Chine viendra alors à l’aide de l’Iran, très rapidement. On en parle comme une “route vers Jérusalem”, comme on dit. Cela ne devrait pas nous surprendre si la Chine avait sa propre “route vers Jérusalem” pour ainsi dire, car c’est là que se trouve le pétrole – leur approvisionnement vital – et c’est là que leur puissance pourrait s’étendre encore plus qu’aujourd’hui.

B: Je n’ai pas compris ce que vous vouliez dire par Jérusalem. Est-ce une métaphore en parlant de l’Iran ?

T: Oui. C’est ma métaphore. Quoique je ne l’aie pas mentionné avant, vous savez, ils parlent de “la route vers Jérusalem”. Des gens comme Benjamin Netanyahu l’utilisent beaucoup. Obama l’utilise. Le président chinois Hu Jintao l’utilise aussi, je crois. Ils se sont servis de cette métaphore.

B: Je n’étais pas au courant.

T: Oui, ils l’ont dit. C’est la route. Ne passe-t-elle pas par Téhéran, en un sens ? Et ne repasse-t-elle pas par Téhéran, en revenant ?

B: Ok. Donc vous vous servez de cela essentiellement comme métaphore pour désigner un objectif à atteindre.

T: C’est cela.

B: Ok. Donc, ce vous nous dites c’est qu’un plan à long terme a été décidé il y a assez longtemps pour mettre une situation en place, pour établir l’échiquier global afin qu’il y ait une guerre avec la Chine. C’est ce que vous racontez.

T: En un mot, oui. Vous avez compris. Il s’agit d’une série complète d’événements, dont plusieurs sont déjà réalisés. Et j’insiste encore pour dire que le temps constitue un facteur essentiel.

B: Qu’est-ce qui s’est déjà produit, qu’est-ce qui doit encore se produire, et quel est le déroulement éventuel du plan qu’ils préconisent si tout se passe comme ils le veulent ?

T: Bien, le plan est de mettre encore une fois le feu aux poudres au Moyen Orient, mais de façon tellement spectaculaire que les conflits précédents du Moyen Orient paraîtraient insignifiants.

Cela impliquera l’utilisation d’armes nucléaires et, une fois de plus, on veut créer une atmosphère de chaos et de peur extrême, non seulement en Occident, mais dans le monde entier, et ainsi pouvoir mettre en place un gouvernement totalitaire unifié pour tout l’Occident; et pour faire cela, la Chine doit être éliminée, politiquement et socialement.

B: Alors ce qu’ils veulent, c’est faire d’une pierre deux coups. Ils se serviront de cela comme justification pour ériger ce que l’Internet appelle un Gouvernement Mondial Unique, sauf qu’il n’inclura pas la Chine. Vous parlez d’une alliance étroite des nations de l’Occident face à cette nouvelle menace.

T: Il s’agit spécifiquement des nations occidentales, mais je crois que l’on doit y inclure le Japon également.

B: Et la Russie ? Où se situera la Russie ?

T: Je crois que la Russie est aussi un joueur, mais je n’ai aucune évidence. Pour une raison ou une autre, la Russie n’a pas son mot à dire ici; c’est moi qui suppose que le gouvernement russe actuel fonctionne main dans la main avec les acteurs de contrôle qui sont ici en Occident.

B: Hm. Alors vous nous dites ça parce qu’au cours de cette réunion à laquelle vous avez assisté, la Russie n’était pas mentionnée comme étant un facteur majeur ?

T: Non, pas du tout. La seule façon dont on l’a abordée était toute cette idée de créer une condition de chaos dans le monde entier. Cela signifiait l’utilisation plus tardive d’armes biologiques, des manques globaux de nourriture qui allaient affecter les pays vulnérables autour du globe, suivis par des maladies et des famines massives.

La seule mention qu’on ait fait de la Russie en est une que je ne peux expliquer, mais peut-être que quelqu’un d’autre pourrait le faire. Je n’y ai rien compris. Mais au sein de cette rencontre quelqu’un a dit : “inciter la Chine à attaquer la Russie orientale”. Maintenant, il m’est impossible d’en dire plus à ce sujet – je ne le sais tout simplement pas.

B: Ok. Revenons à ce que je disais il y a une minute, c’est-à-dire de faire une pierre deux coups. Un des objectifs donc est d’établir une alliance unifiée des pays de l’Ouest avec une sorte de « connotation de guerre d’urgence » totalitaire, avec un aspect de fort contrôle. Et l’autre aspect est de vraiment mettre le feu aux poudres pour faire démarrer cette guerre, laquelle provoquera toutes sortes de formes de chaos et vraisemblablement un très grand nombre de morts.

T: Oui.

B: Dans la population chinoise ? Ou partout sur la planète ? Cela fait-il partie du plan de réduction de la population ? Qu’avez-vous entendu à ce sujet ?

T: Bien, on a parlé des agents biologiques qui allaient être utilisés, on les décrivait comme ressemblant à la grippe et cela allait se répandre comme un feu de forêt. Maintenant, ce n’est pas au cours de cette rencontre que cela fut mentionné, mais je sais qu’ils vont attaquer les gens de façon génétique, pas tout le monde à la fois. Comment cela va-t-il se passer… ? Je ne sais vraiment pas, je ne suis pas généticien. On doit supposer que c’est lié à l’ADN d’une certaine façon.

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T: Absolument. C’est le cas. Je pense qu’au plus les gens deviennent conscients, au plus le facteur peur disparaît. Nous ne vivons pas dans cette peur, alors ce que vous craigniez auparavant ne constitue plus une peur pour cette personne ou pour ce groupe d’individus. La peur ne sera simplement plus présente.

Ce qui ne signifie pas qu’il n’y aura plus de préoccupations, qu’il n’y aura plus de douleur et tout le reste; bien sûr qu’il y en aura. Mais par dessus tout, les peurs que nous expérimentons pour le moment, les peurs physiques des incertitudes et de la nature imprévisible des choses, ces peurs disparaîtront simplement. Il nous restera à être les gens que nous sommes, et je pense que la race humaine en général est vraiment merveilleuse.

B: Oui. C’est une chose merveilleuse que les gens peuvent ramener avec eux, quelque chose dont nous avons souvent parlé. Il y a ce film merveilleux. Cela remonte à 1984, un film avec Jeff Bridges qui s’appelait Starman. Cet homme des étoiles est un visiteur extraterrestre qui vient dans un but pacifique, il essaie de comprendre la race humaine parce qu’il se trouve dans une étrange situation. Et il essaie de retourner chez lui.

Vers la fin du film, il dit : Voulez-vous savoir ce que je trouve de très beau dans votre espèce ? Vous êtes à votre meilleur quand les choses sont à leur pire.

Je n’ai jamais oublié cette phrase. Elle parle du fait que ce qui est merveilleux dans la race humaine, c’est la capacité de transcender les problèmes et de plonger au plus profond d’elle-même afin de produire le meilleur d’elle-même dans les pires situations. Et bien sûr, chez les militaires ce type de situation est presqu’une tradition, que sous des pressions extraordinaires, il y aura des gens qui feront preuve d’un héroïsme incroyable, et c’est cette réaction à la pression qui nous rend merveilleux.

T: Oui, cela se remarque encore plus dans l’armée parce tout est rapporté. La conscience humaine et notre façon d’exister dans ce monde physique sont la preuve d’une extrême résistance. Une bonne chose à considérer est que nous pouvons parfois penser nous trouver dans une impasse concernant des préoccupations éthiques, mais ce n’est pas vraiment le cas. C’est simplement que les choses diffèrent d’une personne à l’autre, ce qui, je pense, est une autre chose merveilleuse car cela peut faire durer les conversations éternellement, ce qui est fantastique. Le dialogue que nos avons nous permet de tellement mieux nous connaître.

Mais cela transcende l’impasse, je pense. Cela va au delà de ça. Cela va au delà de ce que nous considérons comme éthiquement correct et ainsi de suite. Cela atteint un autre niveau lorsque ces choses se produisent quand notre résistance est testée à son maximum. Nous sommes tous capables d’accomplir des choses passablement merveilleuses et il est probable, très probable, que nous nous trouvons à un moment où notre résistance va se trouver mise à l’épreuve de façon extrême.

Je vais mettre l’emphase une fois de plus sur le fait que nous avons affaire à des adversaires très dangereux, extrêmement dangereux, des gens incroyablement puissants. Et je sais par expérience que bien peu de gens ont été personnellement en contact avec ce type de puissance et comment cette puissance se dégage, et la façon dont cela peut affecter une personne… cela peut vous rendre très, très malade, vous rendre malade jusqu’à l’effondrement. Ou bien vous vous joignez à eux, devenez serviles et attentifs à tout ce qu’ils veulent faire, parce que ceux qui travaillent pour eux et accomplissent leurs volontés – et il y en a un grand nombre – sont incroyablement obéissants et incroyablement serviles. Ils ne sont pas du tout ce que l’on appelle des “esprits libres”. Vous savez, ils ont été enrôlés, pris par eux.

Peut-être que c’est quelque chose dont les gens devraient commencer à être conscients, le genre de puissance qu’ils détiennent pour le moment, je ne pense pas qu’on le réalise encore pleinement. Les gens essaient d’entrevoir ce qui se passe entre les marges pour découvrir ce qui se passe et obtenir des fragments d’information, et ces fragments vont devenir très, très importants.

Mais agir contre eux de quelque façon peut s’avérer assez désastreux. J’ai vécu cette expérience et beaucoup, beaucoup d’autres l’ont vécue également. Alors c’est pourquoi nous devons dire exactement ce qu’ils sont, et nous annoncer sans crainte. C’est à cause de cette peur… c’est à la base de tout ce qui existe encore.

B: Il y a quelque chose que nous avions mentionné lors de notre conversation d’il y a quelques jours, vous parliez de la suprême arrogance de ces individus, que vous avez expérimenté de première main, et que George Green a également décrite à notre première rencontre et lorsque je lui ai parlé il y a un an et trois quarts: Il a dit : Ils pensent avoir gagné. Ils ne s’inquiètent plus de rien maintenant. Ils n’essaient plus de faire taire tous les médias alternatifs. Pas vraiment, vous savez. Cela ne fera aucune différence. Quelle différence peuvent faire une voix ou deux ? Le plan va toujours se dérouler. Ils croient que, quoi que nous puissions dire, vous ou moi, ça ne fera aucune différence du tout.

T: Bien, j’irais dans le sens de ce que dit George Green. Il en a fait un portrait meilleur que je ne le pourrais le faire, parce que c’est exactement ce qu’ils sont. Ils sont incroyablement arrogants. Avec tous leurs autres attributs, il y a cette arrogance. Et c’est particulièrement tangible. Oui. Et ils sont tout-à-fait à l’aise avec ce qu’ils font, totalement à l’aise. Ils ne se cachent pas et ils ne parlent pas pour rien. Je veux dire, ce sont des individus très ouverts, et certains d’entre eux sont des personnages publics.

B: Ok. Maintenant, y a-t-il quelque chose que nous avons oublié ? Y a-t-il quelque chose que vous vouliez mentionner mais que vous n’auriez pas eu la chance d’élaborer complètement ? Aimeriez-vous ajouter quelque chose que je ne vous aurais pas demandé ?

T: Il y a encore toute une histoire à raconter, je pense, parce que je suis très conscient que les gens ressentent le besoin de percevoir un certain niveau de crédibilité dans ce que je viens de vous décrire, et je suppose que c’est là où réside la difficulté. Mais tout ce que je peux vraiment affirmer, c’est que je suis conscient de cette trame temporelle depuis le début des années ’70 ; j’étais trop jeune à l’époque pour comprendre ce dont il s’agissait. De fait, ce qui se tramait me semblait une chose excitante, et c’était la toute première fois que j’entendais parler de l’existence de la “Mission Anglo-Saxonne”.

Quant aux détails de ce que je sais, je crois que si je commençais à mentionner des noms en particulier et ce qui a été mentionné et où j’étais à l’époque, pourrait compromettre la Loi Officielle du Secret (Official Secrets Act) auquel je suis toujours soumis, sous beaucoup d’aspects. Du moins en ce qui a trait à l’environnement militaire. Quand c’est dans un environnement civil, alors non, je suis heureux d’en parler.

J’aimerais qu’il y ait une façon de décrire d’autres événements, dont vous êtes au courant, et le faire de façon à ce que vous puissiez me comprendre beaucoup mieux que ce que j’ai expliqué ici. Vous verriez alors d’où je viens, où j’ai été, ce que j’ai vécu. Je sens que les gens pourraient rationaliser beaucoup mieux ce qui a été dit.

Mais je pressens que ce qui a été dit jusqu’ici suffira à inciter les gens, s’ils le désirent, à jeter un coup d’œil par eux-mêmes et soulever quelques pierres. Et s’il en découle quelque élément significatif que d’autres pourront corroborer, cela sera fantastique. Cela serait bien, parce que l’évidence… Vous savez, je sais combien il est crucial de réaliser des rencontres comme celle-ci, et il n’y a pas d’évidence concrète comme telle. Ceci n’est qu’une personne qui documente un événement d’il y a cinq ans, principalement, mais il y a autour de cela une plus grande histoire dont vous êtes au courant, et nous devons nous montrer extrêmement prudents où nous allons avec ceci.

B: Il y a beaucoup de gens, bien sûr, qui ont accès aux mêmes informations que vous. Ces éléments sont connus de milliers d’individus dans les milieux de la finance, de l’armée et de la politique. C’est largement connu. C’est une petite portion de la population humaine, mais c’est tout-de-même très largement connu.

T: Absolument. Oui.

B: Et ce que nous avons toujours encouragé, nous le répétons ici, c’est quiconque a expérimenté un aspect de ceci de première main ou même de seconde main, s’il-vous-plaît manifestez vous et sachez qu’il existe une sécurité dans le nombre. Sachez que plus il y a des gens qui sortent des rangs et qui ont le courage de s’exprimer comme vous le faites, plus de ‘matériel’ sera entendu, plus de ‘matériel’ sera compris, et le tout formera une boule de neige qui roulera graduellement. La boule de neige roule pour le moment. Elle est très petite, mais elle roule.

T: Oui, elle roule. Elle roule. Il viendra un temps où les noms seront nommés s’il y a suffisamment de soutien public, et nous exigerons des réponses de ces individus.

Alors lorsque suffisamment de fruits seront tombés de l’arbre de l’évidence, alors on pourra défier ces individus de façon appropriée, et alors nous assisterons à une histoire passablement différente, vous savez, qui émergera de celle que des gens comme moi vous apportent. Nous pouvons accomplir cela. Nous pouvons mettre les gens à contribution.

B: Ok. C’est très bien. Ceci est très, très important. Je voudrais terminer en disant : merci pour votre courage, merci pour votre attitude.

T: Merci beaucoup à vous aussi, Bill.

Bill Ryan & Divers Auteurs