TRIBUNE LIBRE
ET JE DIS CHICHE !

De toutes les épouses de nos Chefs d’Etat que nous avons eues au Congo, mise à part ; celle de l’ancien Président de la République Alphonse Massamba-Débat : très pieuse car plus croyante qu’elle : jette-toi dans le fleuve Congo, Céline ne fut pas une épouse à se laisser impressionner aussi facilement, même par le bourreau de son mari. Les deux mamans sont nées et grandi dans la grande culture Kongo. Comme, jamais je ne pouvais et ne peux imaginer ma mère être sortie avec quel que homme que c’eut été dans mon village Kongo. C’est impossible. Jamais, Céline ne pouvait tomber dans les méandres du modernisme dont se réclament to day toutes les autres que nous connaissons : Antoinette, Noëlle, Jocelyne. Et ici, la culture a tout son sens et toute sa magie.

GÉNÉRAL JOACHIM YHOMBI OPANGO, CE N’EST PAS SUR LE TERRAIN DES FESSES QUE LES CONGOLAIS VOUS ATTENDENT VOUS EXPRIMER. ILS VEULENT EXACTEMENT SAVOIR COMMENT AVIEZ-VOUS ASSASSINE LE PRESIDENT MARIEN NGOUABI ET OU A COMMENCE VOTRE

RESPONSABILITÉ ET OU SE SERAIT-ELLE ARRÊTÉE. CAR N’OUBLIEZ PAS QU’ON SAIT QUE VOUS ETES CO-AUTEUR DE L’ASSASSINAT DU PRESIDENT MARIEN NGOUABI.

Alors au lieu d’alimenter vos débats dans des salons achetés avec de l’argent volé au peuple congolais sur des sujets stériles et sur lesquels les congolais ne vous attendent pas, parlez-nous plutôt des vrais sujets ; tels que le vol et le pillage systématique que vous avez organisés et qui ont conduit notre pays là où vous l’avez mis. L’assassinat du Président Marien Ngouabi comment l’aviez-vous préparé entre vous Nordistes ?

MON GÉNÉRAL A QUEL MOMENT SITUEZ-VOUS LE CONCUBINAGE ENTRE SASSOU ET CÉLINE ?

Céline n’a jamais trempé dans la médiocrité du modernisme et du sexe. Elle ne pouvait traficoter avec n’importe qui car je sais comment Marien Ngouabi l’avait rencontrée et presque élevée. Et j’ai suivi pas à pas leur cheminement. Vous me direz que je divague, mais vous ne pouvez pas imaginer la latitude et la dimension que la culture Kongo ainsi que sa capacité transversale inculque à ceux ou celles qui la choisissent comme modèle de vie. Et Céline qui s’y est foncièrement impliquée a acquis d’autres dimensions. Et sur ce point, ce n’est pas mon grand Frère Toussaint Mavoungou qui me démentira.

Certes Sassou Nguesso est un donjuan qui n’a jamais reculé devant la pudeur et n’avoir jamais su apprivoiser son margouillat, que d’aucunes ne résistent ; pas parce qu’il a un bon margouillat mais tout simplement parce qu’il pratique un chantage stupide et délirant et lâche. C’est un frustré qui en souffre beaucoup et qui a toujours utilisé l’argent des congolais pour ses basses œuvres. Il a l’habitude de s’acharner sur les épouses de ses Collaborateurs comme c’avait été démontré à la Conférence Nationale Souveraine où beaucoup de ses victimes vinrent en parler sans pudeur et sans retenue. Avec Céline, Il n’y aura pas ce chantage. Il lui a assassiné son mari qu’elle aimait et pour lequel, elle n’est plus jamais allée voir ailleurs. Je le sais et je sais de quoi je parle. Cela suffit !

VOUS ALLEZ ME DEMANDER POURQUOI CETTE ENVIE PROMPTE ET FOLLE DE PLAIDER LES CAUSES DONT LE DOUTE PERSISTERAIT ?

Dans mon métier, nous disons que le doute profite toujours à l’accusé. Et nous sommes ici devant un cas exceptionnel bourré de subjectivités. Mais nous devons faire montre de notre tact, du sens aigu d’analyse et de jugement. Et devant ce doute persistant, c’est Céline qui l’emporte.

DEPUIS UN MOMENT LES NORDISTES N’ARRETENT PAS DE DIVAGUER. CÉLINE SERAIT CELLE QUI AURAIT INDIQUE AUX NORDISTES QUE SON MARI S’APPRÊTAIT A REMETTRE LE POUVOIR AUX BAKONGOS.

ET LA, YHOMBI SORT DE SA TANNIERE ET ACCUSE CÉLINE D’ÊTRE LA « MAKANGOU » DE SASSOU CERTES, MAIS POURQUOI NE DIT-IL PAS QUE C’EST SASSOU QUI AVAIT ASSASSINE MARIEN A LA PLACE DES KOUYOU DONT LUI-MÊME ?

POURQUOI CETTE ENVIE FOLLE DE DÉFENDRE LES VICTIMES EXPIATOIRES DES NORDISTES.

Plaider : c’est bander avait dit un de mes maîtres à pensées, Maître Robert Badinter, ancien Ministre de la Justice du Président François Mitterrand, ancien Président du Conseil Constitutionnel : Avocat. Plaider, il arrive de fois qu’on n’ait pas envie de plaider pour telle ou telle raison, parce qu’elle ne soulève en vous aucun enthousiasme, aucune envie ou tout simplement parce que vous pensez que la cause est déjà perdue. Mais comme la chèvre de M. Seguin se trouvant devant le loup à la montagne, se sentant déjà perdue, elle n’hésita pas à foncer vers le loup, engager les hostilités. C’était pour voir si elle pouvait tenir aussi longtemps que les premières que le même loup avait déjà mangées.

Il arrive aussi souvent qu’on n’arrive plus à bander devant le plus belle femme du monde soit parce qu’on est traversé par un froid pudique qui ne vous fait plus bander, soit par l’émotion, la peur de ne pas pouvoir être à la hauteur des enjeux ou la fatigue musculaire tout simplement car nous avons en nous ; les hommes un margouillat qui de fois peut vous lâcher en cours de route ou en plein combat des coqs quand il fait très chaud ou refuse tout simplement de lever sa tête, et pourtant : il faut y aller !

ET SI LA DÉCENCE ET LA PUDEUR EXISTAIENT CHEZ L’HOMME DU NORD LA PREMIÈRE DES CHOSES QU’ILS DEVRAIENT ET DOIVENT FAIRE : C’EST D’APPRENDRE A SE TAIRE ET DE RASER LES MURS DU CONGO. CA NE SERAIT PAS TROP LEUR DEMANDER. CAR CES GENS LA ONT TELLEMENT FAIT TROP DE MAL A NOTRE PAYS ET A NOTRE SOCIÉTÉ.

J’ai choisi à défendre Céline Ngouabi parce que je suis convaincu qu’on lui cherche des poux sur sa tête rasée depuis le 18 mars 1977 et comme ils n’y en ont jamais trouvés, alors, ils continuent jusqu’à la tuer peut-être comme ils savent bien le faire. Je connaissais particulièrement le couple présidentiel au même degré que le couple Yhombi en parle d’elle et la diffame. Pourquoi leur « tsongossa » sort au grand jour, à un moment où le peuple congolais n’en veut pas car préoccupé par la situation dans laquelle les Nordistes l’ont plongée. Et ceci se passant dans un salon acheté avec l’argent volé du contribuable congolais. Pourquoi le Général Yhombi ne dit-il pas qu’il est parmi les assassins du Président Marien Ngouabi ?

Depuis le 18 mars 1977, les Kouyou avaient plongé leur queue entre leurs cuisses comme un chien qui ne peut plus ou qui refuse de se battre. Et ils ont commencé à lécher leurs testicules. Ont-ils peur de Sassou Nguesso qu’ils ont tous placé au devant de cette scène macabre comme étant le seul commanditaire ? Et si nous disons que l’assassin du Président Marien Ngouabi n’est pas un Mbochi mais un Kouyou ? Ont-ils tous mis leur queue entre leurs cuisses parce qu’ils savent, parce qu’ils connaissent leurs responsabilités ? En tout cas, ils savent pourquoi les Kouyou, depuis l’élimination du Capitaine Anga, ne parlent plus. Ils savent pourquoi.

Alors que hier, ils se réclamaient tous de la famille du Président Marien Ngouabi ; en l’occurrence (le Procureur de la République OKOKO qui entendait même la voix du défunt Président Ngouabi lors du Procès). Mais tout simplement parce qu’à l’époque l’assassin du Président Marien Ngouabi se trouvait être « un MUKONGO » au lieu du KOUYOU. Yhombi-Opango, Anga Pierre, Jean Michel Ebaka, Bonaventure Engobo, Mouassiposso, Jacques Okoko : l’assassin et les commanditaires sont parmi eux. Nous les connaissons et attendons qu’eux-mêmes se dénoncent à défaut d’attendre le vrai procès. Nous avons des documents précieux légués par des acteurs, pas des moindres et qui avaient été accusés lors de ce crime : le capitaine Kikadidi écrivait tout depuis sa fuite de la Résidence du Présidence ce 18 mars 1977 jusqu’au 13 février 1978 date de son assassinat. Et son enterrement qui fut élogieux avec les honneurs militaires et enterré au Centre ville. Et les documents légués par le Général Yves Motando dont le CMP voulait qu’on le ramena : « VIF OU MORT ». Et enfin Pierre Anga lui-même nous avait envoyés depuis son Maquis des cassettes audio, vidéos et des documents écrits. Donc les preuves sur ce macabre assassinat, on les a et à ramasser à la pelle.

ET LE GÉNÉRAL JOACHIM YHOMBI DANS TOUT CA, OU EST SA RESPONSABILITÉ ?

Après sa déclaration intempestive à la Conférence Nationale qui nous était destinée pour nous endormir debout, (ils) les KOUYOU n’ont jamais rien fait pour s’exempter, pour dire qu’ils n’avaient jamais assassiné leur parent Marien Ngouabi. Dites-nous votre part de responsabilité dans l’assassinat de notre patriote et républicain Marien Ngouabi, avant de raconter vos niaiseries, monsieur le Président du CMP et pas de notre République. Dites-nous ce que vous avez fait avant de partir là où la veille, en tant que Directeur des Travaux publics parce que le Président Marien Ngouabi était obligé de vous relayer à cette plus simple fonction ? Quand vous êtes allé inaugurer le tronçon Obouya ou Bouya qui vous a servi de rempart, d’alibi ; qu’aviez-vous arrêté avec vos amis avant de partir ? Je vous apprends que je connais très bien la famille du Président Marien Ngouabi dont beaucoup à cette date furent mes élèves à Mafoua Virgile. Et c’étaient mas cas personnels. Et j’échangeais beaucoup avec eux.

Je refuse qu’on insinue mon geste comme tribaliste parce que je défends ici une personne de ma région. Et si c’est ça le tribalisme, c’est donc une bonne chose parce qu’ici la tribu défend et sauve les âmes persécutées. Nous parlons d’une dame qui a une culture ; qui a son honneur, sa fierté et sa grandeur à protéger. Il faut donc l’accompagner dans l’honneur et non la laisser choir dans les méandres où ils veulent l’amener et qu’elle soit. C’est une dame caractérielle qui n’est pas comme toutes les autres. Elle est originaire d’une région qui représente un véritable terroir et chez elle, la région s’est toujours effacée devant la République. Ce qui n’est pas le cas dans d’autres régions où les valeurs se confondent avec la région et la République.

Sassou Nguesso est un grand malfaiteur qui a crée beaucoup de confusion dans notre société. Il se passe pour diriger nos débats alors qu’il est d’une nullité absolue. Il fait propager de fausses informations pour se donner un peu du crédit. Mais hélas, tous les congolais connaissent l’homme qui est comme ce cafard et qui : « même en se roulant dans de la poussière, la mère poule le reconnait toujours ». Sassou Nguesso est un monstre froid.

Il faut restituer l’Histoire, toute proportion gardée. J’entends, je vois, je lis des congolais qui, à longueur des journées n’arrêtent pas de discréditer cette tendre sœur bien élevée parce qu’elle a une grande culture qu’elle tire d’une grande Région. Les congolais n’ont rien compris jusqu’à ce jour. Où ils sont de très mauvaise foi, où bien ils ne connaissent pas très bien le mauvais fonctionnement de Sassou Nguesso et de son PCT. Ils ont toujours semé le trouble dans notre opinion et pour cela, ils ont une longueur d’avance sur nous. Sassou Nguesso et Yhombi dans le procès du 3 janvier 1978, n’avaient nullement fait allusion à la veuve, Madame Céline Ngouabi. Tout simplement, parce qu’ils ne lui trouvaient pas des poux sur sa tête qu’on venait de raser à cause du deuil. Et Céline est du Pool, une région qui a beaucoup payé pour cet assassinat et comme telle, elle était aussi une cible comme l’avaient été ses frères et sœurs de la région. Ils s’étaient beaucoup moqués d’elle comme va le prouver Lékoundzou à la CNS qui : quand il parle de l’assassinat du Président Marien Ngouabi, alors que le crime s’était passé dans sa chambre d’hôtel, nous avait fait un tel speech qu’on a tout simplement compris que ces gens manquent de culture, de l’élégance de la superbe. Comment pouvait-il nous dire que : « Sassou et lui se suivaient : lui dans sa Fiat et Sassou dans sa Peugeot 504 » « Qu’ils étaient partis le chercher à l’Hôpital Général où ils avaient demandé s’ils l’y avaient vu.

Ce faux jeton de Lékoundzou, et Dieu merci, que sa traîtrise, il la paye si bien cher aujourd’hui avec ce qui lui est arrivé. Car on ne peut pas lui pardonner ses écarts de langage après qu’ils aient assassiné notre Président et qu’ils ne se soient pas entendus sur leur partage et sur l’essentiel de leur contrat. Et savoir qui avait fait quoi ? Et le fait qu’il soit sorti du Secret de façon unilatérale, il paie très cher celle-ci. Personne ne devrait en sortir en claquant la porte. En l’ayant fait, il se retrouve amorphe et est devenu légume to day.

LA VEUVE CÉLINE NGOUABI AURAIT-ELLE PARTICIPE A L’ASSASSINAT DE SON DÉFUNT MARI QU’ELLE AIMAIT LE PRESIDENT MARIEN NGOUABI ?

Question devenue récurrente. Oui en effet depuis un temps non prescrit, les congolais, de mauvaise foi ou pas, n’arrête pas de diffamer, s’interroger ou carrément d’accuser la veuve sur sa responsabilité pénale et politique sur l’assassinat de son mari le Président Marien Ngouabi.

Les uns très « ainés » cf . (Nianga-Mbouala) ne passent pas par quatre chemins pour accuser directement et simplement Céline Ngouabi d’avoir « livré son mari aux chiens ». Que c’est elle qui aurait donné l’information fatale qui a poussé : Sassou Nguesso, Yhombi, Okoko, Assemekang, Anga, Mouassiposso, Engobo, Ebaka à donner la mort au Président Marien Ngouabi ayant pressenti que : « TCHINFOUMU NI PIATOUKA TCHIEKA BA PIATOUKA ». Pour reprendre les termes du Président Abbé Fulbert Youlou. Et pour se faire, il fallait impérativement contrer le fameux groupe des prieurs qui avaient été eux : désignés et choisis par les deux Présidents pour aller le « chercher » au lieu d’aller « l’enlever » comme l’avait fait l’autre groupe des putschistes pour aller lui donner la mort à l’Hôtel le Mistral.

Les autres accusent carrément la veuve Céline Ngouabi qui aurait informé les conspirateurs, les planificateurs, les concepteurs putschistes et assassins du Président Marien d’avoir donné l’information qui aurait servi d’alibi pour l’assassiner. Cependant, nous savons que Céline n’avait jamais assisté à l’audience qu’avait accordée le Président Marien Ngouabi à son ancien, le Président Alphonse Massamba-Débat ce vendredi 5 mars 1977.

Y avaient assisté : les deux Présidents. Germain Mizélé qui accompagnait le Président Alphonse Massamba-Débat et le Capitaine Ibara Dénis, Directeur de la Sécurité Publique qui servait de Secrétaire pour prendre notes pour les Archives Nationales.

Mais pourquoi ce qui avait été dit là-bas, avait fuité ? Il y avait là des oreilles qui ne devraient pas entendre ce qu’elles avaient entendu. Ce sont les oreilles d’Ibara Dénis. C’est lui qui, cet après-midi même avait couru alerter Sassou Nguesso sur ce qu’il venait d’entendre. Du coup le téléphone fonctionna et le même jour, ils convoquèrent une réunion extraordinaire NORDISTE pour statuer sur le sujet ô plus que sensible. Ils se retrouvèrent chez le patriarche « Yhombi Opango » (ha ! enfin le nom de Yhombi) afin de mettre en place une parade car il ne fallait pas laisser le pouvoir s’échapper. Pour ce faire :

« IL VALAIT MIEUX PERDRE UN KOUYOU QUE DE PERDRE LE POUVOIR ».

Et à l’issue de cette réunion, une décision sera prise. Il fallait se débarrasser de Marien qui était devenait pour eux « la machine à perdre le pouvoir. Et ça, c’était carrément intolérable et inacceptable pour rien au monde.

Ceux qui avaient assassiné le Président Marien Ngouabi, qui avaient la haine le plus viscérale qui soit ; ce sont les Kouyou au devant duquel se trouvait le Général Joachim Yhombi Opango, suivi du capitaine Anga Pierre. Ensuite le capitaine Ondziel parce qu’ils avaient été sanctionnés par lui pour des reproches. Ce qu’ils n’avaient jamais accepté d’où leur haine contre l’homme, qu’ils voulurent voir mal finir.

Anga Pierre : un ami personnel qui avait fini par déraper. Quand il avait commencé par se faire trop de zèle, le Président va tenter de le ramener à l’ordre. Ce qu’il n’accepta pas, le poussant même à gifler le Président de la République Marien Ngouabi : son protégé. Il trouva comme prétexte qu’il l’avait injurié. On le verra aller bomber son torse au procès où il avait été appelé pour témoigner. On vit Pierre Anga, béret rouge sur sa tête, bravant tout le tribunal. Charles Assemekang n’eut pas l’idée de le ramener à l’ordre, surtout en lui demandant d’enlever son béret car il était dans un Tribunal qui méritait respect. Toute la haine concentrée était là. Donc celui qui massacra le Président Marien Ngouabi n’est pas Mbochi mais KOUYOU : c’est qui ? ? ?

Il n’y avait aucun Kongo quand ils s’étaient retrouvés dans la chambre N°3 qu’occupait Lékoundzou, où le Président se retrouva nez à nez avec ses 8 Bourreaux dont : LEKOUNDZOU, ANGA, MOUASSIPOSSO, le DR CARLOS le CUBAIN

LES MBOCHIS A LA TÈTE DE LAQUELLE SE TROUVE LEUR GOUROU SASSOU NGUESSO N’ASSUMENT JAMAIS LEURS CRIMES.

Des gens mal intentionnés : les Mbochis n’ont jamais assumé leurs responsabilités, toutes leurs responsabilités sur tous les crimes qu’ils commettent : quels que soient leurs formes : crimes de sang, crimes financiers, crimes contre la culture, contre l’Education Nationale, contre le développement etc…. Même quand vous les prenez la main dans le Trésor qu’ils ont asséché et pillé à vif comme des barbares, des mercenaires sans foi ni loi ; sans âme : ils refusent de reconnaître leurs forfaits. Ils ne reconnaissent pas qu’ils ont volé. Ils incriminent des boucs émissaires. Et pourtant plus rien ne fonctionne à cause de leur cleptomanie. On ne sait vraiment pas qui sont ces gens là ; de la même façon qu’ils n’ont jamais reconnu qu’ils avaient assassiné le Président Marien Ngouabi. Mais quelle est cette race et d’où vient-elle ?

Ils ont toujours accusé les « BAKONGOS BA BOMI MARIEN. Et quand ils le disent, ils n’ont pas froid aux yeux, ils vous toisent même et vous regardent les yeux largement ouverts. Ils n’ont aucune pudeur, aucune retenue, aucune élégance, aucune fierté, aucune dignité, aucun « tchimuntu » : de véritables « bimpumbulu » des vulgaires parasites, des cafards, des gens sans importance.

Aujourd’hui, ils n’ont pas honte de raconter des ragoûts sur une veuve qui a toujours su garder sa dignité. Ils ont du culot d’accuser la pauvre Céline Ngouabi d’avoir donné l’information aux MBOCHIS comme quoi : « le Président Marien Ngouabi voulait remettre le Pouvoir aux BAKONGO ». Je confirme que c’était effectivement cela pour avoir longuement discuté avec le Général Yves MOTANDO à ce sujet puisque c’était le premier que les assassins avaient accusé. Ils cherchaient à le tuer mais il avait échappé bel. Des documents que nous avait légués le capitaine Barthélémy KIKADIDI, que je connaissais pour avoir enseigné ses enfants à Mafoua Virgile, le prouvent.

QUAND SASSOU NGUESSO ASSASSINE LES MARIS, IL S’ACHARNE SUR LES VEUVES DEVENUES VULNÉRABLES ET FAIBLES ET CELLES-CI DEVIENNENT SES VICTIMES EXPIATOIRES SEXUELLES.

Si Sassou Nguesso s’est acharné sur pas mal des veuves de ses différentes victimes dont nous taisons les noms ici pour la pudeur mais en tout cas, nous en connaissons beaucoup. Mais au niveau de nos Services on est obligé de tout savoir. Car entre Services : on échange des informations surtout entre l’Afrique francophone et la Métropole française. Pourquoi tel ou tel est mort. C’est dans la logique même des choses qu’il y ait ces échanges. Et ces gens-là dans leur petit Palais ne peuvent imaginer qu’ils sont nus, qu’on les a à l’œil nu : dans nos jumelles.

QUAND LES UNS ET LES AUTRES DISENT QUE MA NIÈCE AURAIT DÉCLARÉ : « QU’ELLE SE FERAIT ACCOMPAGNER AUPRÈS DE SON MARI PAR SON VRAI PAPA », J’EN SUFFOQUE. C’EST UNE INJURE A L’ÂME DE MON GRAND FRÈRE, LE PRESIDENT M. NGOUABI.

Je l’ai appelée quand j’ai entendu ces foutaises. Elle m’a tout simplement dit que : « Tonton les congolais sont fous ». Fin de citation. Pourquoi sommes-nous véreux et cyniques ? Que cherchons-nous à démontrer dans la tartuferie, dans le mensonge, dans la diffamation et la crapule ; toujours chercher à faire mal à tout prix. Chercher à discréditer les gens. On accuse souvent sans preuve. Et s’il le faut pourquoi n’exigerons-nous pas l’ADN car le sujet est d’ordre public car pour sortir du flou, dans lequel Sassou veut nous conduire ; de ces doutes mortifères dans lesquels Sassou Nguesso aime toujours plonger ses victimes, il faut, s’il le faut faire l’ADN car je ne veux pas que ma nièce ait le sang de ce Satan, ce tyran et ce vampire. Et ça aussi ressemble à ce que j’ai dénoncé contre mon frère Marcel Makomé où, quand il lance le « faux », il attend du peuple « le vrai ». Car avec lui, c’est toujours la même recette : « LE DOUTE ET LE TROUBLE ». « Quand sa main jette la pierre, on ne la voit pas. Il la cache et c’est quand on voit tomber la pierre, qu’on se demande qui l’a balancée ». Et souvent, c’est trop tard car le mal est déjà fait. Et le peuple congolais, comme il a arrêté de réfléchir, se laisse aller dans les fantasmes du bourreau. Prenons garde ! Sassou Nguesso est un vrai serpent de mer et un malade aussi.

J’ai parlé !

A Paris le 6 décembre 2018.

Maitre Tony Gilbert MOUDILOU.